Il meurt le 6 avril 2018 à Chambéry des suites d’une longue maladie du foie6.
Condamnation pour attouchements sur mineurs
En 1996, Patrick Font est accusé d’attouchements sur mineurs dans un cadre institutionnel, commis sur des jeunes filles élèves dans son établissement « ouvert à la rentrée 1994, une école parallèle7 » de formation au spectacle. Poursuivi par les familles de douze enfants, onze filles et un garçon5,8, « le 25 juillet [1996], [il] est incarcéré à la prison d’Aiton (Savoie) pour atteintes sexuelles sur enfants de moins de 15 ans7. »
Il reconnaît la plupart des attouchements avec les adolescentes et les rapports sexuels avec les filles âgées de plus de quinze ans, déclarant à l’audience : « Je me suis trouvé de plus en plus en contact avec les jeunes filles. Je me suis laissé emporter par le torrent9. » L’Express le décrit comme un « pédophile type obnubilé par les enfants5 » et les psychiatres considèrent que « seule une incarcération pourra favoriser une prise de conscience5 ». Il est condamné en mars 1998 à six ans de prison pour « attouchements sur mineurs10 ». Libéré au bout de quatre ans, il remonte ensuite sur scène, poussé par des amis chansonniers10.
1987 : Catherine Muson et Franck Bunel, Patrick Font, l’artiste qui ne voulait pas être star (sous-titre intérieur Font sans Val ou le chanteur qui ne voulait pas être star), coll. « Écrit-S », Arcantère Éditions (ISBN2-86829-023-X)
Jeudi 27 juin 2019 s’est produit à Brest un attentat insensé immédiatement suivi d’une « revendication » très surprenante de l’auteur des faits, un jeune Lyonnais de 21 ans apparemment sans histoire et expliquant qu’il aurait agi sur ordre d’individus lui paraissant être des policiers, sous la menace de l’assassinat de toute sa famille.
Il a été retrouvé mort avec une balle dans la tête peu après non loin des lieux de l’attaque.
Quant à ses victimes, l’imam de la mosquée Sunna de Brest et un de ses amis, tous deux blessés par balles, ils sont à l’hôpital et vont relativement bien.
A en croire ce que dit leur agresseur dans la lettre diffusée sitôt après les faits, il n’avait pas l’intention de se suicider mais aurait au contraire tenté d’échapper à une mort d’après lui certaine en envoyant ses explications à 54 personnes auxquelles il a demandé de les publier et partager au maximum.
Tout aurait commencé le 18 avril 2019 vers 23h30.
Ce jour-là, Abdelkader Merah était condamné à trente ans de réclusion criminelle pour « complicité » des sept assassinats perpétrés en mars 2012 par son frère Mohamed.
Un peu plus tôt le même jour, j’avais publié à ce sujet :
Il s’agissait d’un article de presse introduit par ce commentaire :
La condamnation sans preuve est en passe de devenir la règle dans toutes les affaires criminelles où les investigations auront été bloquées par les magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest avant que leurs protégés de la bande de « déconnologues » du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne s’en trouvent mis en accusation.
Personnellement, j’ai bien l’impression qu’une grosse pierre vient d’atterrir dans le jardin du procureur de la République de Brest.
L’ennuyeux, c’est qu’il y a encore mort d’homme et deux blessés.
Attentat de Brest : l’étrange lettre de Karl Foyer
La double attaque armée contre l’imam Rachid Eljay et un autre fidèle devant la mosquée de Brest a été commise par un individu identifié, répondant au nom de Karl Foyer. L’homme avait précédemment envoyé par email une lettre à 54 personnes expliquant les motivations de son acte.
Le contenu de cette lettre, assortie d’une photo de sa pièce d’identité diffusée sur internet, évoque des menaces et de l’intimidation dont il aurait été victime, du chantage de la part d’individus non identifiés qui l’aurait contraint sous peine de représailles contre sa famille, de tuer Rachid Eljay.
Peu reprise par la presse, cette lettre et son contenu ont été qualifiés de « délirant » par certains journalistes, en l’absence d’une expertise médicale et avant même que des éléments d’enquête plus approfondies aient été diffusés.
La rédaction de Mizane.info reproduit dans l’état et sans commentaire, cette lettre de Karl Foyer, retrouvé mort. La thèse du suicide (l’homme est mort d’une balle dans la tête) est évoqué par les autorités.
Quant à l’attaque, le parquet de Brest a écarté toute forme d’attentat, comme il s’en est expliqué dans un communiqué.
« Les éléments recueillis à l’heure qu’il est ne permettent pas de considérer qu’il s’agit d’un attentat. C’est la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Rennes qui s’est chargée de l’enquête », a expliqué le procureur de la République Jean-Philippe Récappé.
Brest : l’auteur des coups de feu, Karl F., était détenteur d’une licence de tir
Par LEXPRESS.fr , publié le 28/06/2019 à 18:45
La police sur les lieux de l’agression de l’imam de la mosquée Sunna, le 27 juin 2019 à Brestafp.com/Fred TANNEAU
Confiée à la police judiciaire de Rennes, l’enquête se poursuit après qu’un homme a tiré sur deux personnes dont un imam devant la mosquée de Brest, jeudi.
Ce geste insensé continue d’interroger les enquêteurs. Le procureur de Brest est encore bien incapable d’expliquer les raisons qui ont poussé un jeune homme de 22 ans à tirer sur deux personnes, dont l’imam Rachid Eljay, jeudi devant une mosquée de Brest, avant de se donner la mort.
Lors d’une conférence de presse tenue dans l’après-midi, Jean-Philippe Récappé est revenu sur ce qu’il qualifie de « tentative d’assassinat », perpétrée par Karl F., un habitant de Lyon, qui a tenté d’expliquer son geste dans une lettre confuse, largement diffusée sur les réseaux sociaux jeudi soir. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Rennes.
« Un individu s’est présenté sur le parvis de la mosquée un petit peu avant 16 heures, a raconté le magistrat. Il est entré dans un premier temps dans la mosquée, sans y faire quoi que ce soit de répréhensible, il est ressorti ». Puis le jeune homme a rapproché un véhicule « dans lequel il était venu », une Clio grise.
Neuf douilles de calibre 9 mm
« Après avoir pris contact avec l’imam en lui disant qu’il souhaitait faire un selfie avec lui, il est reparti vers sa voiture et est revenu en ayant un blouson sous le bras. Sous ce blouson, il dissimulait une arme de poing, avec laquelle il a tiré sur l’imam et sur personne qui l’accompagnait », a détaillé Jean-Philippe Récappé. Les deux victimes ont été sérieusement blessées, a-t-il confirmé, mais leurs jours ne sont pas en danger.
Neuf douilles de calibre 9 mm ont été retrouvées sur place. Elles ont été tirées par un pistolet Glock, pour lequel le suspect disposait d’une autorisation de détention, a indiqué lors de la conférence de presse le directeur adjoint de la police judiciaire de Rennes. Une autre arme du même type, appartenant elle aussi à Karl F., par ailleurs titulaire d’une licence de tir dans un club de la région lyonnaise, a été retrouvée lors de perquisitions.
Après les tirs, Karl F. a pris la fuite au volant de sa Clio. Les enquêteurs, qui l’ont rapidement identifié, ont retrouvé la trace du véhicule gris, vide et verrouillé, dans la commune de Guipavas, près de Brest. À 300 m de là, les gendarmes sont tombés sur « le corps d’un individu qui se trouvait sur le ventre. Une arme de poing à proximité », a décrit Jean-Philippe Récappé qui ajoute que l’homme était déjà mort. Il se serait tiré une balle.
« Aucun signe particulier de radicalisation »
Avant de se suicider, Karl F. aurait diffusé une lettre, accompagnée d’une photo de sa carte d’identité, sur les réseaux sociaux. Le procureur a annoncé avoir assez rapidement balayé l’hypothèse d’une piste terroriste : « on n’a retrouvé aucun signe particulier de radicalisation ».
Interrogé sur l’éventualité d’un suspect à la personnalité psychotique, il est resté prudent. « Sa lettre est ‘très surprenante’. Quand on la lit, on s’interroge sur la possibilité qu’il y ait eu une approche de la situation qu’il vivait qui n’est pas conforme à ce que l’on vit actuellement ».
« Il m’a ordonné d’égorger l’imam Rachid Eljay », est-il écrit dans ce manuscrit de deux pages, à propos des consignes que lui aurait données un des hommes cagoulés présents dans une camionnette noire dans laquelle il aurait été brièvement retenu. « Je suis obligé de le tuer, si je ne le fais pas ils tueront ma famille », poursuit l’auteur du texte diffusé sur les réseaux sociaux. « Juste avant de me sortir de la camionnette, ils m’ont implanté une espèce de puce dans le bras. »
Une tablette et un téléphone portable en cours d’analyse
Le procureur demeure encore circonspect quant aux motivations du jeune homme qui vivait et travaillait dans une entreprise de nettoyage et d’entretien de la région lyonnaise et occupait depuis le 17 juin un bungalow dans un camping près de Brest. Il avait d’ailleurs prévu d’y rester quelques jours après le 27 juin. « Quel lien pouvait-il avoir avec l’imam de Brest », s’est interrogé le magistrat, qui évoque un jeune homme « qui n’est pas connu pour une radicalisation ou pour appartenir à un groupuscule quelconque ». L’imam avait fait de son côté parler de lui en 2015 en raison de prêches controversés avant d’adopter un discours plus modéré.
« Les perquisitions menées dans le véhicule et bungalow n’ont pas apporté d’éléments sur sa motivation. Une tablette et son téléphone portable, dont il s’est délesté sur la route entre la mosquée et Guipavas, doivent encore être analysés », a annoncé le magistrat. Il évoque aussi la découverte de « munitions », et de « plusieurs chargeurs, complets ou incomplets ». Des perquisitions ont également été menées par la police judiciaire de Lyon dans le studio qu’occupait Karl F. dans l’agglomération de la ville. Sans résultats probants.
À ce jour, aucune autre arrestation n’a eu lieu et aucune complicité n’a pu être déterminée. La mère du suspect a été entendue afin d’aider les enquêteurs à étudier « ce personnage qu’on découvre et qui était totalement inconnu des services de police », a précisé le commissaire de la PJ.
Tirs devant la mosquée de Brest : «Une histoire invraisemblable»
L’adjoint au maire en charge du quartier à Brest où l’imam a été attaqué jeudi par un jeune apparemment déséquilibré est venu soutenir les habitants qui veulent rester sereins.
Au lendemain de la tentative d’assassinat de l’imam brestois Rachid Eljay, les fidèles sont revenus nombreux à la prière. LP/Nora Moreau
Par Nora Moreau, notre correspondante à Brest (Finistère)
Le 28 juin 2019 à 21h56
Au lendemain des faits survenus ce jeudi, le quartier de Pontanézen à Brest (Finistère) restait saisi par la tentative d’assassinat de l’imam brestois Rachid Eljay à l’entrée de la mosquée. Les habitants étaient pour la plupart « sous le choc ».
Ce quartier populaire, où réside une importante communauté d’origine maghrébine, commençait depuis quelques années à s’installer dans un quotidien paisible. « Jusqu’à ce que Rachid fasse parler de lui », glisse Hélène, 54 ans, qui travaille dans le quartier depuis toujours. « Même si nous sommes évidemment contents qu’il s’en sorte bien. »
Jeudi, à 16h19, plusieurs coups de feu retentissent devant la mosquée Sunna. Un jeune homme armé d’un 9 mm s’enfuit dans une Clio grise. À terre gisent deux hommes ; l’un d’eux est l’imam youtubeur aux centaines de milliers de followers, dont les anciens prêches aux relents sectaires ont fait de lui une personnalité controversée.
Menacé de mort par Daech, celui qui s’est fait connaître un temps sous le nom de « Rachid Abou Houdeyfa », aujourd’hui âgé de 39 ans, aurait été blessé à l’abdomen et à une jambe, et opéré ce vendredi. Son pronostic vital n’est pas engagé, tout comme celui de son ami, qui aurait été plus légèrement touché.Yann Piriou, nouveau patron du « resto des amis », situé juste en face de la mosquée, a été l’un des premiers à appeler les pompiers : « Ce qui m’a surtout frappé, c’est la rapidité des faits et le bruit. J’ai cru qu’on tirait au fusil à pompe. »
« Il était autorisé à porter ces armes »
Jeudi, vers 17h30, la voiture de l’auteur présumé des faits a été retrouvée vide à Guipavas dans un sous-bois. Trois cents mètres plus loin, un corps sans vie a été retrouvé, « une balle tirée sous le menton », d’après le procureur de la République Jean-Philippe Récappé. À ses côtés, un Glock 26 et un Glock 17. Il s’agissait de Karl F., 22 ans, né à Paris, originaire de Normandie et résidant dans la région lyonnaise, où il travaillait pour une agence de nettoyage. L’homme ne « montrait pas de signe de radicalisation ».
« Il possédait une licence de tir dans un club local et était donc autorisé à porter ces armes », a précisé le parquet. Selon les premiers éléments de l’enquête menée par la PJ de Rennes, épaulée par celle de Lyon, il aurait quitté Lyon le 15 ou 16 juin, et occupait, depuis le 17 juin, un bungalow dans un camping à l’ouest de Brest. Une tablette et son portable vont être analysés. Selon nos informations, Karl F. était venu la semaine dernière à la mosquée et avait demandé aux représentants de l’association gérante un entretien en tête-à-tête avec Rachid Eljay, prétextant vouloir se convertir. Mais l’imam était absent ce jour-là.
« C’est un acte islamophobe »
Quelques minutes après avoir tiré sur lui, il a posté sur les réseaux sociaux une photo d’un courrier, assorti de sa carte d’identité. Un texte décousu, dans lequel il raconte avoir été forcé à tuer l’imam sous peine de voir sa famille exécutée. Il l’aurait également adressé à l’imam de Lille, qui l’aurait lui-même renvoyé à celui de Brest. Pour l’heure, les enquêteurs cherchent à comprendre les motivations de ce jeune homme, considéré comme « déstabilisé ».
Pour autant, à « Ponta », personne ne se laisse abattre. Malgré une empathie évidente pour les victimes et leurs familles, certains ne cachent pas leur « ras-le-bol » lié à Rachid Eljay et à « l’image qu’il projette sur le quartier ». Ce vendredi soir, la projection du match de foot féminin France-Etats-Unis sur grand écran, dehors, devant le centre social, a été maintenue. « La mère de Griedge Mbock Bathy, qui est une fille du quartier, sera présente ! », notait l’adjoint au maire en charge du quartier. « Nous restons sereins et dignes, confiants en la justice qui fera lumière sur cette histoire invraisemblable. »
Du côté de la mosquée Sunna, les fidèles sont revenus à la prière, nombreux, comme de coutume. « On a reçu beaucoup de messages de solidarité », témoigne Othmane M., l’un des responsables de l’association. En revanche, il réagit à la qualification d’attentat qui a été écartée : « Pour nous, c’est un acte islamophobe perpétré sur un lieu de culte. C’est toute la communauté musulmane touchée et victime aujourd’hui ».
En vidéo, la réaction de l’imam blessé par balles devant la mosquée de Brest
Jeudi 27 juin 2019, l’imam et un fidèle avaient essuyé plusieurs coups de feu devant la mosquée à Brest. De son lit à l’hôpital, l’imam a publié une vidéo sur sa chaîne YouTube.
«Je vais mieux et je vous aime.» C’est le titre de la vidéo que l‘imam Rachid Eljay a publiée sur sa chaîne YouTube, samedi 29 juin. Soit deux jours après avoir été victime, avec un fidèle, d’une fusillade, devant la mosquée, 123 rue de Gouesnou dans le quartier de Pontanézen à Brest.
Allongé dans son lit, à l’hopital de la Cavale-Blanche à Brest, l’imam a voulu rassurer concernant son état de santé, remercier toutes les personnes qui sont intervenues ou qui ont apporté leur soutien et a dit, à la fin de la vidéo :
Nous ne répondrons jamais à la haine par la haine mais nous répondrons à la haine par la sagesse, le calme et l’intelligence.
«On fait confiance à la justice»
Préalablement, l’imam avait précisé :
Pour ceux et celles, une minorité (mots prononcés en levant les yeux au plafond, NDLR) Dieu merci, qui ont utilisé cet événement pour avoir des pensées encore malsaine à travers certains articles, etc…, ou redéterré certains articles qui étaient passés, nous leur répondons simplement “Paix sur vous”, c’est triste, mais “Paix sur vous”.
Dans cette vidéo, Rachid Eljay dit aussi «La justice a pris le dossier sérieusement, l’enquête suit son cours. On fait confiance àla justice.»
Des nouvelles rassurantes
Une vidéo où il a donné des nouvelles rassurantes quant à son état de santé.
Que Dieu guérisse aussi le frère Osman, qui a aussi été blessé et qui s’est interposé entre moi et l’agresseur. Il a eu une balle au niveau de l’abdomen et de la cuisse aussi. Moi, j’ai reçu une balle au niveau de la main, une balle au niveau de la cuisse et une troisième balle au niveau du mollet.
Ça va bien, je sors du bloc opératoire, ça va bien, on vit cette épreuve de manière très apaisée.
Remerciements
Tout au long de son intervention, l’imam a remercié les personnes qui sont intervenues ou qui lui ont apporté leur soutien. Il a d’ailleurs débuté son propos par des remerciements :
Que la Paix soit avec vous. Je remercie sincèrement et chaleureusement toutes celles et ceux qui m’ont soutenu et qui me soutiennent à travers les réseaux sociaux, à travers les messages, à travers les vidéos, les personnes de confession musulmane ou n’étant pas de confession musulmane.
Il a ainsi cité les différents services de secours (pompiers, ambulanciers, services de sécurité) «pour leur intervention très rapide», les services hospitaliers, les voisins, le pharmacien qui leur ont prodigué les premiers soins, les jeunes du quartier «qui ont eu un comportement digne et qui sont restés auprès de nous», toute la communauté «musulmane et, je le répète, non musulmane», les fédérations, les conseils, les imams, les prédicateurs, les théologiens…
Cet élan de solidarité, de soutien, qui me rappelle qu’au fond de chacun d’entre nous se cache une part d’amour mutuel et, malheureusement, on a tendance à l’étouffer et c’est pour ça qu’il faut faire primer cet amour mutuel tout au long de l’année. En tout cas, vraiment sincèrement, merci à vous. Que Dieu vous préserve et vous bénisse pour votre soutien, ça me fait vraiment chaud au cœur et j’espère vous rencontrer prochainement.
Explications précises d’un côté, invectives, bruit et fureur de l’autre : il n’y a pas photo pour toute intelligence normalement élaborée… non corrompue…
Jean-Luc Mélenchon devrait donc quitter le mouvement, après quoi LFI ne pouvant y survivre disparaîtra, et les Arnaud Hell, Hubert Casel, Josette Brenterch et autres criminels de l’extrême-gauche venus y imposer leur dictature iront se trouver un autre parti à dégager…
Charlotte Girard, figure de La France insoumise, quitte le mouvement
Dans un long texte, l’universitaire met en avant les dysfonctionnements internes au mouvement populiste de gauche.
Par Abel Mestre Publié hier à 17h40, mis à jour à 11h08
Charlotte Girard en campagne avec Jean-Luc Mélenchon en amont de l’élection présidentielle, à Dijon, en avril 2017. PHILIPPE DESMAZES / AFP
C’est une réplique de plus du séisme qui secoue La France insoumise (LFI) depuis plusieurs jours. Charlotte Girard, ancienne responsable du programme, a décidé de quitter le mouvement mélenchoniste. Elle s’en est expliquée dans un long texte publié sur Facebook, samedi 8 juin. Une décision qui intervient trois jours après l’envoi d’une note interne incendiaire, critiquant le fonctionnement interne de LFI, dont Charlotte Girard était l’une des quarante et un signataires et que Le Monde a révélée.
La France insoumise risque d’avoir du mal à se remettre du départ de Mme Girard, tant elle était un élément central du mouvement. Non seulement cette universitaire avait des compétences extrêmement pointues et était respectée pour sa pensée et ses analyses politiques, mais elle était aussi appréciée des autres dirigeants de gauche. Son mari, feu François Delapierre, qui avait jeté les fondations de LFI avec Jean-Luc Mélenchon, est une personne à laquelle se réfèrent encore souvent les « insoumis ». C’est donc un pilier du dispositif qui vient de claquer la porte.
Dans son post publié sur Facebook, l’universitaire explique :
« Je n’ai jamais voulu déranger. J’ai été élevée comme ça. Quand les désaccords sont venus, j’aurais beaucoup donné pour pouvoir partir sur la pointe des pieds. On m’a dit alors que ça n’allait pas être possible. Se rendre à l’évidence : ni vous, ni les journalistes n’auraient laissé faire. (…) Comment faire alors pour dire ce qu’il y a à dire… et pour partir ? Surtout quand il n’y a pas de lieu permettant de s’adresser aux insoumis.es sans qu’une nuée de caméras et de micros fasse écran entre vous et moi. »
Celle qui a longtemps été une personnalité centrale de la « mélenchonie » et qui est extrêmement populaire au sein des militants insoumis continue : « La question de ma mise en retrait n’est plus posée. C’est un fait acquis. (…) [Les] doutes exprimés lors de la constitution de la liste et de la rédaction chaotique du programme n’ont pas trouvé de cadre où être travaillés et élaborés suffisamment pour qu’il en sorte une perspective claire et partagée ; en l’occurrence une véritable stratégie politique qui oriente à proprement parler la campagne et, au-delà, le mouvement lui-même. » Mme Girard reprend ici l’un des arguments avancés dans la note interne du 5 juin, mais aussi dans une lettre que Le Monde avait révélée en janvier et qui pointait déjà les nombreux dysfonctionnements internes de La France insoumise.
Et elle continue :
« Souvenons-nous de la présidentielle. Des interventions toujours fondées sur l’explication, jamais sur l’invective. Une anticipation précieuse qui avait permis que tout le monde s’approprie les contenus chemin faisant. Parler à l’intelligence. (…) La campagne [européenne] est passée. Les camarades sont restés avec leurs questions pendant tout ce temps, quoique certains, dont je suis, ont alerté, à plusieurs reprises, au sujet du fonctionnement – juste le fonctionnement – de La France insoumise. (…) Mais pour ma part, le chemin fléché par La France insoumise s’arrête. »
Si elle ne nomme jamais ni Jean-Luc Mélenchon (leader de fait de LFI) ni Manuel Bompard (leader statutaire), Charlotte Girard adresse des critiques précises, sur un ton clinique, loin du « bruit et de la fureur » de l’ancien candidat à l’élection présidentielle.
« Défiance »
Elle le reconnaît sans mal : sa « défiance porte sur l’outil », « la désorganisation ». Revenant sur la jonction qui ne s’est pas faite avec le mouvement des « gilets jaunes » alors que leurs revendications étaient proches, selon elle, du programme des « insoumis », Mme Girard déplore que le mouvement soit « trop tourné vers l’exercice institutionnel du pouvoir ». Elle vise en particulier « l’exploitation du seul contre-pouvoir parlementaire que nous avons encore. (…) La forme institutionnalisée de notre mouvement ajoutée à son expression électoraliste ont révélé deux handicaps ».
Elle précise : « Tant qu’on est d’accord tout va bien. Mais il n’y a pas de moyen de ne pas être d’accord. Or une dynamique politique – surtout révolutionnaire – dépend de la capacité des militants à s’approprier des raisonnements, c’est-à-dire potentiellement à les contester. Cette option est obstruée pour le moment, d’autant plus que dernièrement, on a eu parfois du mal à identifier avec quoi être d’accord ou pas. Le reproche d’inefficacité se confond finalement avec celui du manque de démocratie. »
La crise à La France insoumise a débuté pendant la campagne européenne (de nombreux départs ont scandé les six derniers mois des « insoumis »), mais a pris une ampleur inédite après le score cinglant des élections européennes, où la liste emmenée par Manon Aubry a réuni 6,31 % des voix. Les dissensions de fond se sont matérialisées dans le débat stratégique opposant Alexis Corbière, partisan d’une ligne « populiste et humaniste », à Clémentine Autain, qui veut rompre avec le populisme. La France insoumise n’a pas l’air, pour l’heure, prête à se réconcilier avec elle-même.
Jean-Luc Mélenchon pourrait se mettre − un temps – en retrait de la vie politique
« Je ne déprime pas, je ne pars pas à la retraite. Je suis au combat et j’y resterai jusqu’à mon dernier souffle », a expliqué le député des Bouches-du-Rhône, samedi sur son blog.
Par Abel Mestre Publié le 04 juin 2019 à 09h26 – Mis à jour le 04 juin 2019 à 10h09
Au Belushi’s, QG de La France insoumise le soir des élections européennes, à Paris (10e), dimanche 26 mai. IVAN GUILBERT / REA POUR « LE MONDE »
Le « mélenchonisme » sans Jean-Luc Mélenchon est-il possible ? Les cadres et les militants de La France insoumise (LFI) devront bientôt résoudre cette épineuse question. Dans une note de blog sibylline parue le 1er juin, le député des Bouches-du-Rhône laisse entendre qu’il pourrait se mettre − un temps – en retrait de la vie politique. « Après le 6 juin, je m’exprimerai plus largement, aussi clairement que j’en suis capable. Je dirai mon appréciation du moment politique. Je proposerai une suite pour notre chemin et je dirai ce qu’il en sera pour moi, écrit l’ancien sénateur socialiste. Quelques précisions pour éviter les fantasmes médiatiques traditionnels à mon sujet : je ne déprime pas, je ne pars pas à la retraite. Je suis au combat et j’y resterai jusqu’à mon dernier souffle, si je le peux. » Et de citer Albert Camus : « Il faut imaginer Sisyphe heureux ».
Repli stratégique
Dans la garde rapprochée du leader « insoumis », personne ne veut lui subtiliser la primeur de l’annonce, mais tous laissent entendre qu’il prendra du champ, « de la hauteur », pour s’extraire de la gestion quotidienne. « Mais il n’a pas encore tranché tout ce qu’il voulait faire », avertit une figure du mouvement.
Ce repli stratégique, s’il est confirmé, laissera un vide dans cette famille politique qui est structurée autour du chef charismatique. Et ajoutera un peu plus à la confusion qui règne au sein de La France insoumise, depuis les mauvais résultats des élections européennes, où la liste emmenée par Manon Aubry a rassemblé 6,31 % des voix, très loin de l’objectif annoncé de 11 % des suffrages.
Une défaite qui a ouvert une crise de basse intensité au sein de LFI et qui révèle les faiblesses de l’organisation « gazeuse » du mouvement. Il n’y a pas de lieu de débat où la ligne peut être tranchée, et le leader n’a pas de fonction statutaire : son sort ne dépend que de son bon vouloir. En période de tumultes, tout se règle donc en public, sur les réseaux sociaux et dans la presse, y compris les débats stratégiques.
Depuis une semaine, justement, on voit que deux positions sont en train de se définir pour rebondir après la débâcle européenne. La première est celle défendue par Clémentine Autain ; la seconde est incarnée par Alexis Corbière.
« Big bang »
Mme Autain a, dès l’annonce des résultats, sévèrement critiqué le discours porté par LFI et Jean-Luc Mélenchon depuis deux ans. « Notre famille politique prospère quand elle s’appuie sur le ressort de l’espérance et non sur celui de la haine, expliquait-elle dans un entretien à L’Obs. Le mouvement a mis l’accent sur le clivage entre le “eux” et le “nous”, qui ne me paraît ni juste ni efficace. Cela revient à rejeter d’un bloc les élites, cela s’est traduit par un rejet global des médias et une prise de distance à l’égard du monde intellectuel. » En disant cela, la députée de Seine-Saint-Denis se met à distance de la stratégie populiste dont l’un des axiomes est de tracer une ligne entre un « eux » et un « nous ». Le retrait de M. Mélenchon et la panique générale à bord de LFI donnent une opportunité à la parlementaire pour pousser son avantage et proposer une voie alternative au populisme.
Dans une tribune au Monde, Mme Autain et sa camarade communiste Elsa Faucillon (elles dirigent ensemble la revue Regards) appellent à un « big bang nécessaire pour construire une espérance capable de rassembler et de mobiliser ».« Le pire serait de continuer comme avant, de croire que quelques microaccords de sommet et de circonstances pourraient suffire à régénérer le camp de l’émancipation, que l’appel à une improbable “union de la gauche” à l’ancienne serait le sésame. (…) Il est temps de se parler et de s’écouter, de se respecter pour pouvoir avancer en combinant le combat pour les exigences sociales et écologiques », peut-on notamment y lire.Ce texte a été signé par plusieurs figures de la gauche et de l’écologie antilibérales, qui viennent du mouvement social, de Génération.s (dont Guillaume Balas, le bras droit de Benoît Hamon), du Parti communiste français (PCF) ou des proches de LFI. Il y a également des intellectuels, des artistes et des militants associatifs. Une réunion doit se tenir le 30 juin à Paris pour mettre tout cela en musique.
« Il faut mettre ensemble des gens d’horizons différents, faire vivre le pluralisme, précise Mme Autain. Je ne parle surtout pas d’un cartel électoral. Il faut abattre les murs, fédérer des courants politiques organisés avec des citoyens, des artistes, des intellectuels, des acteurs du monde associatif et syndical. » Seule manière, selon elle, de renouer avec l’esprit de la campagne présidentielle de 2017, où Jean-Luc Mélenchon avait réuni plus de 19 % des voix.
Age d’or
2017 : la référence de tous les « insoumis », sorte d’âge d’or du mélenchonisme. Cet esprit de la présidentielle, Alexis Corbière veut également le retrouver mais en adoptant une stratégie différente de celle de Mme Autain. Le député défend une ligne « populiste et humaniste ». « Le débat doit s’engager chez nous, reconnaît-il. Mais il faut que cela soit propre, que ce ne soit pas un moment d’éclatement, mais de rassemblement autour d’une orientation stratégique. »
Selon lui, il faut abandonner la référence au mot « gauche », vide de sens depuis le quinquennat de François Hollande. Surtout, il estime que le clivage droite-gauche n’a plus de pertinence. « On doit redonner le pouvoir aux gens, défendre l’intervention directe des citoyens, continue M. Corbière, qui estime que les élections municipales sont l’occasion rêvée de mener ce combat. Il y a les garants de la Ve République et les partisans de la VIe, avec des contrôles citoyens très forts, la question de la démocratie est essentielle.Lors de la présidentielle, nous avions une singularité, celle d’un mouvement qui veut redonner le pouvoir au peuple. Il faut retrouver cela. C’est le seul moyen de convaincre les abstentionnistes. »
Cette option populiste est également défendue par Adrien Quatennens. Le député du Nord, de plus en plus présent au nom de son mouvement, a ainsi estimé que « La France insoumise n’a pas vocation à être un énième parti de gauche. Elle est née pour être l’outil du peuple et de sa révolution citoyenne. C’est avec cela que nous devons renouer. C’est à cela que nous allons travailler. » Tous ensemble ? Rien n’est moins sûr.
Montrant comment les deux malades mentaux Jean-Marc Donnadieu de Béziers et Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque agitaient alors la toile à mon sujet, j’avais aussi posté cet article sur un lecteur tunisien de Satanistique qui m’inquiétait :
Observons pour finir, après avoir rappelé mes publications du 29 décembre 2018, que j’ai encore un grand nombre de visites des Pays-Bas pour Satanistique aujourd’hui même :
Publier les statistiques correspondantes est aussi l’occasion de vous montrer les nouvelles formes qu’elles ont prises aujourd’hui. Les graphiques se parent désormais de jolies couleurs mais ne peuvent plus être copiés comme auparavant.
Comme je l’ai déjà fait observer lundi et mardi soir, mes nombres de visites quotidiennes ont augmenté sensiblement de la même manière durant ces deux journées sur mes deux blogs Petitcoucou et Justinpetitcoucou, en relation avec le décès du juge Raymond André, à Brest.
J’avais remarqué ces visites avant l’annonce publique du décès par Le Télégramme, lundi à 16h22.
Aujourd’hui, c’est quasiment fini, comme le montrent les statistiques du jour pour Petitcoucou à l’heure où j’écris ces lignes, soit 19h (voir ci-dessous).
Il en va de même pour Satanistique, où le nombre de visites quotidiennes avait légèrement augmenté lundi et mardi en raison de l’intérêt subit de mes lecteurs pour un article du 5 mai 2017 concernant la « justice » brestoise que j’avais alors comparée à celle de Rome :
La Direction Interministérielle du Numérique et du Système d’Information et de Communication de l’Etat était donc déjà informée du décès lundi, 11 février 2019, à 10h36, tout comme devait l’être aussi le cybercriminel et psychopathe Jean-Marc Donnadieu de Béziers lorsque vers 9h30 ou 10h il avait posté sur Facebook ce message m’étant manifestement adressé :
Balance : Si vous avez un Iphone, vous casserez l’écran en le faisant tomber de 2 centimètres. Si vous n’en avez pas, vous deviendrez juste ami(e) avec une loutre.
Depuis quelques semaines, les statistiques de mon blog Satanistique étaient frappées du même phénomène déjà observé pour Petitcoucou puis Justinpetitcoucou à compter du vendredi 25 juillet 2014 en fin de journée, correspondant à l’activité de mon Chinois de Thaïlande devenu allemand au mois d’avril 2016, et qui n’est autre que le malade mental au clavier – son « arme »-, comme je l’avais bien compris assez rapidement. En effet, il m’en a depuis donné plusieurs confirmations qu’il ne doit même pas soupçonner tant il en a peu dans le ciboulot, hormis la merde que connaissent tous ceux qui ont eu affaire au personnage.
Ces derniers temps, ce sont donc les nombres de visites quotidiennes du blog Satanistique et de plusieurs de ses articles que je voyais artificiellement gonflés par des visites en provenance de Grande-Bretagne.
Or, le phénomène s’est brutalement arrêté en date du 27 mars 2018.
Alors qu’habituellement personne ne s’intéresse à ce que je publie sur aucun de mes harceleurs, durant cette période de quelques semaines un article concernant Jean-Marc Donnadieu était ainsi arrivé jusqu’au tableau des dix articles les plus lus du blog, en faisant disparaître celui concernant un djihadiste dont le nombre de visites retombait irrémédiablement à 666 après de nouvelles lectures :
Aussi, je me doutais bien que cette fois mon visiteur obsessionnel était ce malade, et me suis naturellement inquiétée pour lui après avoir constaté que les nombres de mes visites quotidiennes sur Satanistique étaient brutalement revenus à leur niveau habituel : ses pérégrinations internationales l’avaient-elles mené à un cachot quelconque ?
Je vais donc consulter sa page Facebook, et là, ô surprise bientôt mêlée d’une joie confuse, je le trouve en plein démêlé avec un de ses adversaires récurrents, l’ufologue Christian Comtesse, avec qui il est très occupé depuis le 27 mars 2018, raison pour laquelle son petit jeu sur Satanistique a brutalement cessé ce jour.
Voilà sa page Facebook où, en date du 29 mars 2018, il a rendu publics un certain nombre de documents de son cru :
Jean-Marc Donnadieu y a répondu le 29 mars 2018 par la mise en ligne de ce texte renvoyant à d’autres publications qu’il a faites en date du 27 mars 2018 :
Bien entendu, deux de ses plus grandes victimes, la société OVERBLOG et moi-même, y sont encore injuriées et diffamées, mais ce n’est pas tout, car le règlement de comptes public entre les deux contradicteurs de très longue date porte aussi sur des faits présumés de piratages informatiques et d’atteintes à l’intimité de la vie privée du sieur Donnadieu qui m’intéressent au plus haut point, la plainte et la procédure subséquentes, remontant à l’année 2012, se situant dans une période où j’étais moi-même piratée par cet individu et plusieurs de ses complices harceleurs depuis au moins quatre ans.
Cela se poursuit par la mise en ligne le 31 mars 2018 d’un nouveau texte concernant Jean-Marc Donnadieu, celui-ci :
En réponse à son auteur, c’est avec plaisir que je témoigne ici-même du fait que l’escroc et cybercriminel Jean-Marc Donnadieu est tout à fait capable d’avoir inventé tout seul le témoin fantôme en question, ce menteur et affabulateur notoire m’en ayant fait voir bien d’autres depuis 2010.
Attendant avec impatience le « plat principal » qu’il nous promet après son « apéro » du 29 mars 2018, je commente aussi d’ores et déjà sa plainte du 3 février 2012, dont j’ai pris connaissance tout comme la personne qu’elle vise nommément avec une certaine jovialité.
La voilà, telle que la publie Jean-Marc Donnadieu :
Et revoilà les commentaires de Jean-Marc Donnadieu, où l’on découvre notamment qu’en date du 21 février 2012 il a dû répondre au Commissariat de Béziers à une plainte de Christian Comtesse contre lui :
Ce monsieur qui me piratait avec ses complices « déconnologues » depuis plusieurs années laissait donc traîner ses codes un peu partout…
Je confirme l’avoir bien vu publier des codes de connexion à Internet, dont ceux de ses propres parents, en précisant que les autres avaient pour la plupart été obtenus par piratages informatiques, sur le blog principal de son complice cybercriminel et harceleur le malade mental au clavier – son « arme » – le 5 avril 2012, comme exposé dans celui de mes articles qui l’excitait tant depuis deux mois :
Concernant ses identifiants de connexion à un « blog ultra privé », en l’occurrence le blog Tique Toc du même malade mental au clavier, entièrement dédié à un certain nombre de ses exactions contre mes proches et moi-même depuis sa création en juin 2010, je me souviens très bien de l’incident évoqué, car l’auteur et administrateur du blog en question en avait immédiatement parlé aux lecteurs de son blog principal en indiquant avoir bloqué l’intrus au moment même de sa connexion, si bien que celui-ci n’avait pas eu le temps d’accéder à leurs échanges ultra secrets à propos de tous leurs viols de l’intimité de ma vie privée et de leurs complots à mon encontre.
En revanche, des « ufosceptiques » de ses amis, comme la dénommée Francine Cordier qui accuse Christian Comtesse de n’avoir su résister à la tentation de se servir des identifiants et mots de passe que Jean-Marc Donnadieu aurait « malencontreusement » laissé apparaître « un court moment » sur un site qu’ils fréquentaient tous, ces amis ufosceptiques de Jean-Marc Donnadieu à qui, à n’en pas douter, s’adressait cette publication particulière, ont pu utiliser les mêmes codes sans se faire bloquer par son administrateur à l’entrée du blog.
De fait, j’ai eu de nombreuses occasions de me rendre compte qu’effectivement, tous ces amis du cybercriminel et harceleur Jean-Marc Donnadieu, tous affligés des mêmes tendances au cyberharcèlement, étaient bien tous au courant d’éléments de ma vie privée volés par piratages informatiques et différents autres moyens illégaux par cet individu et ses complices « déconnologues ».
Ce sont tous des pirates, des délinquants.
Et c’est bien de là que provient ce document que j’avais reçu par La Poste au mois de juin 2011, comportant des copies d’e-mails de mes harceleurs à propos de leurs piratages informatiques à mon encontre, Jean-Marc Donnadieu en faisant partie :
Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.
Tout comme certains de ses complices dès l’été 2011, Jean-Marc Donnadieu confirme aujourd’hui l’authenticité de ces courriers électroniques en se plaignant d’avoir été lui-même « piraté ».
Et pour cause, s’il publiait de son propre chef toutes les informations nécessaires…
Même chose pour les prétendues « atteintes à l’intimité de la vie privée » à raison desquelles il a gagné deux fois contre OVERBLOG devant la Cour d’Appel de Montpellier après avoir toujours perdu en première instance à Béziers : l’escroc avait lui-même apporté sur mon blog tous les éléments de sa vie privée dont ensuite il est allé se plaindre qu’ils y figuraient… et comme rappelé par OVERBLOG pour sa défense, il révélait lui-même son identité sur tous les autres sites où il s’exprimait sous son pseudonyme de NEMROD34 depuis une bonne dizaine d’années, si bien que l’infraction d’atteinte à l’intimité de la vie privée qu’aurait pu consister une levée de son anonymat sur mon blog n’était nullement constituée, et il en était de même pour ses difficultés conjugales et familiales qu’il étalait aussi de lui-même sur de nombreux autres sites…
Puisqu’il insiste pour que je fasse connaître à mes lecteurs la dernière de ces décisions, du 22 mars 2017, la voici :
Il a donc obtenu une somme de 7 500 € en réparation du prétendu préjudice allégué pour un maintien en ligne durant 18 mois des informations censées constituer une atteinte à l’intimité de sa vie privée.
Dans ces conditions, nous allons lui rappeler qu’il a lui-même réellement commis cette infraction à mon encontre sans discontinuer à compter de juin 2010, ce qui fait actuellement une durée de près de huit ans.
Mon préjudice de ce seul fait peut donc s’évaluer à ce jour à une somme de près de 40 000 €.
Et comme il le sait, j’ai bien porté plainte contre lui.
Depuis quelques jours, je vois revenir en masse des lecteurs russes et américains sur Satanistique.
Curieusement, au moins les premiers s’intéressent beaucoup au casino en ligne que constituait le blog Luraghi en 2016, lorsque l’ensemble des « déconnologues » rassemblés autour de ce malade mental travaillait à réunir les sommes d’argent nécessaires à sa procédure parisienne à mon encontre.
Aujourd’hui, c’est son complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers qui selon ses dires (il veut à son tour se lancer dans une procédure à mon encontre) a besoin d’argent pour payer son avocat biterrois Philippe Desruelles, lequel ne pourra plus être rémunéré par l’Etat comme il l’a toujours été pour ses escroqueries au jugement contre OVERBLOG, puisque la situation matérielle de son client a depuis lors changé de telle manière qu’il ne peut plus bénéficier de l’aide juridictionnelle totale, même sur la base de fausses déclarations similaires à celles qu’il avait dû faire à plusieurs reprises pour toutes ses procédures contre OVERBLOG, les faits répréhensibles dont il se plaignait étant imaginaires. En effet, il est devenu propriétaire.
Or, il s’agit toujours d’un pirate informatique bénéficiant de complicités parmi ses homologues russes.
Les cybercriminels de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se revendiquent « déconnologues » (une forme de Ligue du LOL extrêmement violente) et dont Jean-Marc Donnadieu fait toujours partie, pourraient donc bien, derechef, avoir recours à quelques compétences russes particulières pour réunir les sommes d’argent nécessaires aux nouvelles procédures envisagées.
Place du 24 octobre… Pfff… Il m’a déjà collé ce jour anniversaire, une fois, il y a longtemps, par piratage informatique, mais ce n’est pas le mien, c’est le sien…
Un individu né en Turquie étant recherché, il faut que je vous montre mes statistiques du jour pour Petitcoucou :
C’est le moment de rappeler que le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi est depuis longtemps associé à un groupe de pirates turcs ou qui se présentent comme tels et soutiennent les mêmes revendications que lui quant à cette activité qui selon eux n’est pas criminelle. J’en avais parlé sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog au mois de septembre 2011 (cliquer sur les images ci-dessous pour les agrandir et lire les textes) :
Le nom de leur groupe étant sous-titré « Gel Banana », je rappelle que « Banana » est aussi, curieusement, le pseudonyme utilisé sur le site Rue89 par une des « déconnologues » « historiques » de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Il s’agit d’une femme qui tout comme son complice Laurent Morillon de Montluçon est enseignante et aime aussi beaucoup le cinéma, puisqu’elle a fait des études dans ce domaine. Or, cette personne qui dans les années 2008 à 2011 au moins résidait à Strasbourg a eu jusqu’en 2010 une colocataire qui participait elle aussi aux harcèlements de la bande à mon encontre et est allée s’installer à Toulouse cette année-là. Cette dernière n’est autre que « Manue », très impliquée dans l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc en février 2011 (voir mon article précédent).
Pour finir, je publie sous l’article qui suit les dernières traces de visites de leur complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers sur mon blog Satanistique, montrant qu’il se balade derechef aux Pays-Bas depuis hier…
Pays-Bas : au moins trois morts et cinq blessés dans des attaques à Utrecht
Peu après 11 heures, la police a signalé les faits sur Twitter.
Les forces de l’ordre interviennent à Utrecht (Pays-Bas), après une fusillade dans un tram, le 18 mars 2019. (ROBIN VAN LONKHUIJSEN / ANP)
Trois personnes ont été tuées, lundi 18 mars, après les attaques survenues à Utrecht (Pays-Bas). Jan van Zanen, maire de la ville, a précisé dans une vidéo publiée sur Twitter que les autorités avaient recensé « neuf blessés, dont trois grièvement » touchés. Vers 16h30, la police locale a revu ce bilan à la baisse, évoquant désormais cinq blessés. Le lieu du drame, la place du 24-Octobre, située à la périphérie du centre de la ville, a été bouclée par la police. Les services de secours sont sur place.
Selon la police, les coups de feu ont été tirés à l’intérieur d’un tramway, dans ces attaques qualifiées de « potentiellement terroristes ». Les services de secours ont indiqué que trois hélicoptères avaient été déployés pour prendre en charge les victimes. Sur une photo postée par un journaliste, on peut apercevoir un corps recouvert d’un drap près du tramway.
Tireur en fuite, piste terroriste envisagée
La police a conseillé aux écoles de la ville de fermer leurs portes. Elle a annoncé, à la mi-journée que le tireur était en fuite, n’excluant pas qu’il y ait eu plusieurs tireurs. Elle a diffusé lundi la photo d’un suspect : « La police recherche Gökmen Tanis, 37 ans (né en Turquie) en lien avec l’incident de ce matin », affirme la police d’Utrecht sur Twitter, enjoignant au public de « ne pas l’approcher ».
Le porte-parole de la police a dit que la thèse d’une motivation terroriste était envisagée. « Une enquête sur la fusillade sur la place du 24 octobre à Utrecht est en cours. Dans celle-ci, nous prenons également en compte un éventuel motif terroriste », a déclaré la police dans un tweet. La sécurité a été renforcée dans les bâtiments clés et les aéroports des Pays-Bas, dont celui d’Amsterdam-Schiphol. A Utrecht, la police a conseillé aux écoles de fermer leurs portes et l’université de la ville a été bouclée.
Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.
Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.
Avis du 24 janvier 2015
Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né.
En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées.
Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.
Avis du 26 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.
Avis du 31 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.
Avis du 1er février 2015
Retour de mes statistiques "basiques".
Avis du 3 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.
Avis du 6 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.
Avis du 11 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.
Avis du 26 février 2015
Statistiques "basiques" enfin débloquées !
Avis du 27 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt...
Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
Avis du 4 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.
Avis du 7 mars 2015
Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.
Avis du 25 mars 2015
Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.
Avis du 2 avril 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour.
Avis du 26 avril 2015
Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.
Avis du 28 avril 2015
Statistiques de retour. Merci.
Avis du 7 mai 2015
Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.
Avis du 10 mai 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".
Avis du 14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
Avis du 3 octobre 2015
Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.
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