Personnellement, je ne peux pas comprendre que police et justice acceptent d’être « aidées » dans une enquête criminelle ou autre par des gens qui à cet effet commettent des infractions pénales (en l’occurrence, et pour le moins, des piratages informatiques, puisqu’il y a eu aussi violation du secret de l’instruction) et pourraient en être eux-mêmes les coupables ou de leurs complices.
Je rappelle que le cybercriminel, psychopathe et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours revendiqué depuis 2008 au moins le droit de violer l’intimité de la vie privée de ses cibles par piratages informatiques et écoutes illégales pour « se documenter » sur des personnes bien réelles afin d’en faire les « personnages » de ses « romans ». Il affirme que cette activité illégale qu’il pratique depuis de nombreuses années à l’encontre de nombreuses personnes relèverait de son « droit d’auteur ». Contrairement à d’autres, dit-il, il est incapable de faire oeuvre de fiction, il ne sait que raconter, et son « métier » d’ « écrivain » l’obligerait à écrire, pas seulement sur les personnes de son entourage, dont la vie n’intéresse pas grand monde hors le cas de sa soeur qu’il a exploité dans le cadre d’un « polar » de la collection Le Poulpe des éditions Baleine (et qui se plaint d’ailleurs comme toutes ses autres victimes d’être calomniée par son frère qui n’en a pas dressé un portrait exact mais a fait en sorte d’anéantir par avance toutes ses velléités de plaintes à raison de ses exactions, graves, contre ses filles et elle-même), mais également sur des personnes qu’il ne connaît pas, n’a jamais croisées nulle part dans la « vraie vie », et dont les « biographies » entièrement refaites par ses soins et autres « révélations » publiques les concernant pourraient de son point de vue s’avérer vendeuses, comme dans mon cas, testé avec sa « série de l’été 2010 » sur son blog Tique Toc, qui avait connu un bien plus gros succès que toutes ses précédentes publications, du fait de toutes ses « révélations » concernant ma vie privée, consistant en fait en l’affichage de mon nom et de mes coordonnées avec une montagne d’inventions calomnieuses à mon encontre et moult menaces de mort ou de viol ainsi que de récurrents appels au meurtre et au viol.
Je rappelle aussi au passage que les magistrats brestois (corrompus) qui ont décidé de blanchir complètement ce malade mental et tous ses complices pour toutes leurs exactions à mon encontre ont bien eu à compter de l’année 2010 tous ces textes sous les yeux, et bien d’autres encore, avec également des preuves formelles de leurs piratages informatiques à mon encontre…
Mais ils le suivent en toutes ses élucubrations délirantes, non seulement en ce qui me concerne, mais également en matière législative sur Internet. Or, bien avant de devenir comme ses amis et complices Jean-Marc Donnadieu et autres pirate informatique, il a été technicien de radios pirates qui par la suite ont été légalisées et voit les choses exactement de la même manière concernant tous ses viols de l’intimité de la vie privée des uns et des autres : lui en a besoin pour vivre (en l’occurrence, pour pouvoir écrire des « bouquins »), donc c’est normal et il n’est pas normal que ce soit interdit, et un jour ce sera légal. Même chose, d’ailleurs, pour le commerce et la consommation de drogues comme le cannabis, il soutient tous ceux qui en demandent la légalisation, car ce sont eux qui ne voient aucun mal dans sa principale activité lucrative depuis toujours ou presque, la tolèrent, y participent pour certains, et en tous les cas ne le dénoncent pas. Et même chose encore concernant la pédophilie et toutes les activités qui s’y rapportent : recherche et trafic d’enfants au Népal ou ailleurs, production d’images pédopornographiques, traque acharnée des antipédos sur la toile comme dans la « vraie vie », assassinat de divers témoins et autres gêneurs, etc…
Tout ce qui fait sa vie de hors-la-loi depuis qu’à l’âge de 14 ans il a quitté l’école et sa famille devrait être légalisé, car ce n’est pas mal, c’est bien, c’est normal, c’est ce qui le fait vivre et il ne serait pas normal qu’il aille en prison pour cela – il est mentalement tellement atteint qu’il ne mesure même pas qu’une fois légalisées toutes ses activités lucratives, il n’y aurait plus sa place, n’étant lui-même qu’un sociopathe…
En outre, en ce qui me concerne, on ne sait comment ni pourquoi, il s’était mis en tête qu’il ferait tomber Nicolas Sarkozy en m’attaquant, et tous ceux qui le suivaient et/ou toléraient toutes ses exactions contre divers internautes, notamment d’anonymes commentateurs du site Rue89 à compter de 2008, louaient également celles-ci comme relevant d’une militance extrême-gauchiste et prétendument antifasciste.
A lire ou à relire sur les cyberharcèlements organisés par le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre divers riverains du site Rue89, dès son arrivée sur ce site en 2008 :
Enfin, toujours en ce qui me concerne, circulait réellement chez les cybercriminels de la bande de ce hors-la-loi de longue date l’idée que j’aurais été un agent de l’Etat infiltré parmi ces valeureux militants de l’extrême-gauche s’affichant tous comme des héros de la lutte en faveur des sans-papiers.
Dès le départ, en 2008, il y a parmi eux des membres de la famille ou de l’entourage de l’ancien caïd marseillais Farid Berrahma.
Et à compter du printemps 2010, il y aura aussi un membre de la famille des Cuntrera-Caruana.
Donc, si je suis bien harcelée par les mêmes cybercriminels qui vont se jeter sur l’affaire Dupont de Ligonnès dès qu’elle éclate au mois d’avril 2011, comme s’ils n’y étaient pas totalement étrangers, et il semble bien que ce soit le cas au moins pour certains d’entre eux, les contenus de la lettre « Coucou tout le monde » du 8 avril 2011 ne sont peut-être pas aussi farfelus qu’ils n’en ont l’air de prime abord, puisqu’on y retrouve bien des éléments tout à fait réels de mon affaire, lesquels pourraient d’ailleurs, tout simplement, avoir inspiré Xavier Dupont de Ligonnès pour justifier auprès de ses proches la disparition subite de toute sa famille, si d’une manière ou d’une autre il a suivi ce qui se passait sur Internet me concernant, sinon depuis 2008, au moins depuis le printemps ou l’été 2010.
Je rappelle ici que Jean-Marc Donnadieu de Béziers a commencé à m’attaquer sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur la plateforme OverBlog au mois d’avril 2010 sur ordre de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi avec un programme assez simple répondant au même schéma que celui des harcèlements précédents de toute la bande sur les sites Rue89 puis Le Post : me harceler jusqu’à m’obliger à me défendre contre leurs agressions quotidiennes et multiformes, et dès la première réplique de ma part, en appeler à l’autorité pour me faire sanctionner, soit par la suppression de tous mes écrits publics et mon interdiction de toute nouvelle expression publique, soit par des poursuites et condamnations pénales faisant l’impasse sur l’ensemble des harcèlements dont je suis moi-même victime de leur part, bien avant d’être amenée à y répondre, et encore après – il s’agit alors d’escroquerie au jugement.
D’autres personnes ont été harcelées de même par cette bande, mais sans doute pas autant.
Les mêmes harceleurs se sont aussi toujours attaqués à tous ceux qui pouvaient les déranger dans leurs entreprises criminelles à mon encontre : des tiers tentant de les modérer, parfois des leurs estimant qu’ils allaient beaucoup trop loin et qui ne voulaient plus les suivre, également des gens qui pouvaient me connaître et leur faire savoir que tout ce qu’ils racontaient ou répétaient à mon sujet était entièrement faux.
Le chef de bande Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours pratiqué le chantage contre les uns et les autres, les menaçant pour la plupart de leur faire subir le même sort qu’à moi, un genre de « pilori » internétique ultra-violent notamment alimenté par les produits de ses piratages informatiques.
Toujours la même erreur d’aiguillage façon boomerang dans le peu de cerveau qui lui reste après plusieurs décennies de toxicomanie et d’alcoolisme invétéré…
« Tu connais un peu mon histoire, donc tu sais tout le mal que je pense de la liberté d’expression des ordures et autres psychos craignos. »
Oh la, oui, on la connaît, son histoire, c’est celle d’un type qui se prend pour un écrivain de génie (un « génie littéraire », pas moins) et s’est mis à écrire dans les colonnes de commentaires du site Rue89 en 2008 dans le but de s’y faire reconnaître comme tel.
Très vite, il se met à injurier tous ceux qui refusent de reconnaître son « génie littéraire » ou ne le remarquent même pas, à l’instar des journalistes du site eux-mêmes qui ont pour manie de valoriser dans leurs sélections de commentaires ceux de gens comme moi, qui non seulement écrivent mieux lui sans jamais injurier ni diffamer qui que ce soit mais de plus font des commentaires intéressants ou pertinents sur les sujets proposés quand lui est constamment hors sujet avec toutes ses débilités, ses papotages et radotages personnels qui n’intéressent personne ou, pire encore, ses attaques perpétuelles contre les uns ou les autres, ceux qu’ils jalousent et appellent les « premiers de la classe » du fait que leurs commentaires sont fréquemment sélectionnés, et pas les siens, ceux qui n’apprécient pas sa prose et encore moins toutes ses attaques contre les autres intervenants, ceux qui ne la remarquent même pas comme moi avant qu’il ne commence à m’attaquer, ou bien encore ceux qui tiennent des propos ou fournissent des témoignages non conformes aux idéologies extrême-gauchistes qu’il défend par opportunisme ou cirage de bottes – il est très lèche-cul, en fait, il le fait constamment pour s’attirer les bonnes grâces de tous ceux dont il attend de l’aide pour parvenir à ses buts ultimes, c’est-à-dire être enfin reconnu comme un « génie littéraire » et obtenir tout ce qui va avec : gloire et richesse.
Dès 2008, il instaure le « pilori » internétique pour tous ces gens-là tout en réclamant constamment leur interdiction de toute expression publique, d’abord sur le site Rue89 où il les rencontre à compter de 2008 et harcèle aussi les journalistes modérateurs jusqu’à en obtenir la suppression des commentaires et leurs bannissements respectifs, puis bien au-delà, sur tous les autres sites où ils tentent de s’exprimer et où il continue à les traquer quels que soient les pseudonymes qu’ils utilisent.
Mais comment fait-il pour toujours savoir sous quels pseudonymes écrivent ses cibles et sur quels sites ?
Ses victimes vont-elles gentiment les lui fournir d’elles-mêmes pour qu’il puisse continuer à les harceler ?
Bien sûr que non, il les pirate pour ne jamais rien rater de leurs productions sur Internet.
Ah voilà, il ne peut pas du tout s’en empêcher, il revient très régulièrement sur tous ses exploits des années 2008 et suivantes, toujours avec les mêmes mensonges.
Concernant l’ancien riverain de Rue89 qui utilisait le pseudonyme de Pierrrrre dit P5R, et qui effectivement faisait partie de ses têtes de turc, il ne s’est jamais rendu compte qu’il était bien ce qu’il disait en le lisant, mais en le violant, comme pour tous les autres : piratages informatiques, écoutes illégales, et pas seulement téléphoniques, puisque qu’il sonorise aussi les domiciles de ses cibles.
Il y en a même une dont il était tombé en amour en la violant comme tous les autres 24h sur 24, celle-là en raison de ses interventions récurrentes sur le conflit Israël-Palestine, toujours à l’opposé de celles de son groupe d’extrême-gauchistes pro-palestiniens.
Du coup, il avait cessé de la harceler tandis que ses amis « déconnologues » continuaient à lui tomber dessus à bras raccourcis à chacune de ses apparitions sur le site Rue89.
Il faut bien comprendre que ce taré n’est ni un intellectuel ni un idéologue de l’extrême-gauche. C’est juste un opportuniste qui cherche à tout prix et par tous les moyens de se faire reconnaître comme « écrivain » et sait qu’il n’a strictement aucune chance d’y parvenir auprès de gens un minimum éduqués et instruits. Voilà pourquoi il joue habituellement la carte rouge de l’extrême-gauche qu’il brandit partout autant comme une espèce de laisser-passer ou de passeport diplomatique que pour obtenir des ralliements à sa cause très personnelle… sans jamais craindre de retourner sa veste en cas de besoin…
Je sais depuis son irruption dans les médias au mois d’avril 2011 qu’il existe un rapport entre cette affaire et la mienne, sans pouvoir être très précise à ce sujet. Cependant, comme j’ai eu l’occasion de l’exposer à plusieurs reprises, est déjà extrêmement troublant le fait que mes harceleurs s’intéressent de très près à cette affaire, beaucoup trop, anormalement, en commettant même de tels abus que certains ont été sanctionnés par la justice (cf. ci-dessous la liste des articles de ce blog où le nom de Ligonnès apparaît, sans qu’ils lui soient tous consacrés).
Je rappelle notamment que les victimes des cybercriminels de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, traquées sur toute la toile par ce malade et tous ses complices depuis qu’elles ont croisé leur route sur le site Rue89 en 2008, ont été harcelées par un inconnu ou un anonyme de cette bande de malfrats signant « La Vérité », tout comme le hacker dit « Christophe La Vérité », lequel s’est illustré à la même époque par ses recherches de traces laissées sur Internet par Xavier Dupont de Ligonnès et sa femme sur des sites de discussion où l’un et l’autre se confiaient sur leur vie privée, intime.
Le malade mental et néanmoins cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait d’ailleurs lui-même participé à cette traque de leurs confidences publiques sous divers pseudonymes et publié tout un article à ce sujet, mettant en exergue le fait religieux, pour lequel il affirmait XDDL malade mental, tout comme il l’a toujours fait également pour Patricia Bouchon en raison de sa fréquentation passée d’un groupe d’évangéliques – une femme qu’il avait fait assassiner au mois de février 2011 à Bouloc près de Toulouse car il la soupçonnait de pouvoir ou de vouloir le dénoncer aux autorités judiciaires pour toutes ses exactions à mon encontre.
Ces cybercriminels auraient bien pu aussi faire quelques recherches sur les différents sites dont XDDL était lui-même l’auteur dans le cadre de ses activités commerciales à la limite de l’escroquerie ou carrément qualifiées d’ « arnaques » par certains, ainsi que sur lesdites activités de XDDL, mais non, seule sa vie privée réduite à son mysticisme avéré semble les avoir jamais intéressés.
Or, d’une part, le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi a pour habitude d’écrire sur ses victimes, et d’autre part, son complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers se positionnait comme auto-entrepreneur sur le même secteur de services que XDDL avec un site à destination des commerçants de Béziers – en aurait-il été concurrent, partenaire ou collaborateur ?
Notons que le hacker « Chris La Vérité » lui-même était également auto-entrepreneur dans le domaine du web et a par ailleurs donné en 2012 une interview aux Inrockuptibles, magazine auquel collaborait depuis fin 2009 Arnaud Aubron, l’un des fondateurs de Rue89, où tout commence en 2008. A cette occasion, il avait révélé que ce sont en fait une quarantaine de personnes qui avec lui avaient épluché et piraté des sites Internet pour en apprendre plus sur XDDL, ce qui correspond à peu près au contingent de violeurs qu’en cette année 2011 je voyais régulièrement arriver sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en provenance du blog Tique Toc du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi devenu privé à la fin de l’été 2010, à chacune de ses nouvelles publications privées me concernant, avec toujours de nouvelles révélations croustillantes qu’il n’était plus possible de publier sans en trahir les sources et faire connaître au public tous les complots dont mes proches et moi-même étions victimes (j’en comptais en fait un peu plus, une bonne cinquantaine début janvier 2011, ce nombre ayant tendance à croître avec le temps).
Mais depuis environ deux ans, de nouvelles informations sur cette affaire ont été révélées au public et les reportages se sont enchaînés les uns aux autres, livrant toujours plus de détails sur les faits du mois d’avril 2011, notamment sur les contacts et déplacements de Xavier Dupont de Ligonnès et les auditions subséquentes de ses amis, au moins l’un d’eux, le plus proche, Michel Rétif, ayant été soupçonné de complicité.
Or, avec cette hypothèse très sérieuse et fort bien étayée, l’affaire se rapproche encore de mes harceleurs, notamment de Jean-Marc Donnadieu de Béziers, puisque non seulement Michel Rétif, lui aussi commercial, vivait à Lunel dans l’Hérault, mais qu’il avait développé avec le couple Dupont de Ligonnès une relation à trois s’approchant des activités sexuelles très spéciales de Jean-Marc Donnadieu, adepte d’échangisme et de BDSM fréquentant assidûment le Cap d’Agde en soirée.
On notera au passage que Lunel, au Nord de la Grande-Motte et du Grau-du-Roi, est aussi une petite ville très connue depuis les années 2010 pour avoir abrité un foyer d’islamistes à l’origine d’une filière djihadiste.
Les déplacements de XDDL avant son départ de Nantes, notamment dans un quartier sensible, pourraient avoir été nécessités par l’ensemble des faits encore assez mystérieux de ce mois d’avril 2011, tout comme ses déplacements ultérieurs dans le Sud de la France, au moins jusqu’au 26 avril 2011, jour où il est reconnu par deux personnes près de Salon-de-Provence, où Jean-Marc Donnadieu a effectué son service militaire de février 1989 à février 1990 et s’est peut-être lié à l’ancien caïd marseillais Farid Berrahma et son entourage, dont il est toujours très proche lorsqu’il commence à m’attaquer ouvertement au mois d’avril 2010.
Voici son CV, qu’il a lui-même mis en ligne en 2013 :
Il en ressort que son activité d’auto-entrepreneur a pris fin au mois de mai 2011, soit tout de suite après la disparition de XDDL.
La date du 8 avril 2011 est également très importante pour l’un comme pour l’autre : XDDL annonce à plusieurs de ses proches son départ pour les Etats-Unis tandis que Jean-Marc Donnadieu vient de perdre contre OverBlog devant le juge des référés du TGI de Béziers. L’escroquerie au jugement qu’il ne réussira plus tard que grâce à la corruption de magistrats n’a alors pas abouti, il n’a pas obtenu la ou les dizaines de milliers d’euros qu’il attendait pour pouvoir partir en Thaïlande y rejoindre quelques amis pédophiles et proxénètes, dont certains sont originaires de Nantes et d’autres de l’Hérault, comme lui.
Curieusement, lors de l’énorme bévue d’octobre 2019 concernant son identification à Glasgow qui fera tant rire le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi (voir articles listés ci-dessous), XXDL venait d’être possiblement localisé en Thaïlande selon son ami Bruno de Stabenrath.
En 2011, ils étaient des dizaines à jouer les cyber-enquêteurs pour tenter de percer le mystère de l’affaire Dupont de Ligonnès. Cinq ans après, leur passion s’est-elle essouflée ?
Le 21 avril 2011, la découverte des corps d’Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants sonne le début de l’une des plus fascinantes affaires criminelles. Immédiatement, le mystère autour de la disparition du suspect principal, Xavier Dupont de Ligonnès, suscite la curiosité et la mobilisation de dizaines d’internautes, qui vont tenter de mener l’enquête avec leurs propres moyens.
L’implication des internautes. Parmi eux, “Chris La Vérité”, créateur de la page Facebook : “Xavier Dupont de Ligonnès : Enquête et débat”. Groupe de référence sur le sujet, elle recueille plus de 5.000 likes. Technophile, cet Angevin était “auto-entrepreneur dans le domaine du web” lorsque l’affaire a éclaté. Passé par la même université catholique que Thomas, l’un des fils de “XDDL”, le jeune homme a voulu “scruter et fouiller le net, et utiliser Google au maximum de ses capacités”.
Les trouvailles des Sherlock 2.0. A l’époque, il se “consacre à temps plein” aux recherches, mettant tous ses projets de côté. Lui qui devait partir s’installer en Nouvelle-Zélande, reporte son départ. Il n’ira jamais. Autour de “Chris La Vérité” se constitue une équipe d’une quarantaine d’enquêteurs amateurs, qui vont traquer la moindre trace numérique des Dupont de Ligonnès. Très vite, l’investissement des “stalkers” va se révéler fructueux. Ils exhument, sur les forums et profils Facebook d’Agnès et Xavier Dupont de Ligonnès, des photos ou messages postés sous pseudo permettant de dresser un portrait plus nuancé que celui des apparences bourgeoises et traditionnelles que le couple donnait à voir en société.
Lire aussi >> Qui est vraiment Xavier de Ligonnès ?
L’enquête numérique s’est vite épuisée. Aujourd’hui, le trentenaire, condamné en mars dernier pour avoir notamment diffusé sur le groupe d’enquête des notes secrètes du père de famille versées au dossier de l’instruction, a totalement laissé tomber. Les trouvailles se sont épuisées “en deux mois”, explique-t-il. “C’est allé decrescendo. On est très vite arrivés au bout. Difficile d’avoir une piste que d’autres n’auraient pas eue avant quand autant de cerveaux sont mobilisés”, résume celui qui a sauvegardé sur son ordinateur plus de 700 photos, des dizaines de captures d’écran, etc.
Surtout, “Chris La Vérité” a la conviction que “XDDL” s’est suicidé. Pour tenter de percer le secret du père de famille, le jeune homme “a compilé, sur un siècle, les cas de familicides” et lu sur le sujet nombre de bouquins. “Ce qui m’intéressait, c’était de voir le devenir de l’auteur du crime dans ces cas-là, le père en général”, explique-t-il. Réponse ? Le suicide, en large majorité.
“Si je savais où il se planquait, j’irais peut-être le chercher!” Néanmoins, si le dossier Dupont de Ligonnès suscite moins l’engouement des “stalkeurs” jouant les détectives, il continue à captiver certains mordus de la première heure. Et pour cause, personne n’est en mesure de dire si “XDDL” s’est suicidé ou a pris la fuite. “C’est une affaire un peu hors-norme, non pas pas pas le crime en lui-même mais par son auteur qui demeure introuvable depuis bientôt cinq ans”, analyse Alexis, qui reste informé sur le sujet au rythme de deux fois par mois.
Voilà pourquoi, même cinq ans plus tard, il suffit d’un rien pour raviver l’intérêt des internautes, toujours à l’affût du moindre élément d’enquête. En particulier, les défenseurs de la thèse de la cavale. “Je me demande comment ce type fait pour passer entre les mailles du filet”, confie le consultant en affaires de 37 ans, interrogé via Facebook. Car une certitude l’anime, “c’est qu’il est toujours en vie !”. D’ailleurs, “si je savais où il se planquait, j’irais peut-être le chercher!”, lance ce mordu de l’affaire, persuadé qu’il reconnaîtrait Xavier Dupont de Ligonnès. “Son visage est imprimé dans ma tête.”
Le fantasme persiste. Mais où chercher ? Car mort ou vivant, “XDDL” demeure introuvable malgré le mandat international émis à son encontre et les 900 signalements adressés à la police judiciaire de Nantes depuis le début de l’enquête. Le quinquagénaire a été “aperçu” en Italie, en Amérique du Sud, ou encore en Australie… Une absence de certitudes qui continue d’alimenter les théories les plus originales. Certains pensent qu’il pourrait s’être réfugié dans un monastère, d’autres qu’il aurait même tué une personne pour lui usurper son identité….
Sur la page “Xavier Dupont de Ligonnès : Enquête et Débat”, un message posté le 3 avril, date à laquelle Agnès et ses enfants ont pu être tués, sème le trouble parmi les internautes. Longue démonstration à l’appui, un certain “Hervé Spets” persuadé du suicide du père de famille appelle les volontaires à se manifester pour localiser, puis aller déterrer le corps : “Alors pourquoi ne pas participer à l’enquête, par exemple en procédant au repérage des sites possibles ?” Ce fameux “Hervé Spets”, que nous avons tenté de contacter – en vain -, est soupçonné par certains internautes… d’être Xavier Dupont de Ligonnès lui-même.
Suspendus à l’enquête. Au fond, tous restent en attente d’une nouvelle avancée significative dans l’enquête, au point mort depuis plusieurs années. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un policier dédié à ce dossier tentaculaire, notamment charger de vérifier les signalements. Et si un peu plus de 900 ont été transmis à la police judiciaire de Nantes, plus de la moitié l’ont été durant l’année suivant le quintuple meurtre.
« Un homme ordinaire » sur M6: Chris la Vérité, le hackeur qui a inspiré le personnage d’Emilie Dequenne
La série en 4 épisodes, librement inspirée de l’histoire de Xavier Dupont de Ligonnès, évoque notamment le rôle des cyber-enquêteurs adeptes du web sleuthing via le personnage d’Anna Rose.
Emilie Dequenne dans un rôle inspiré du hackeur Chris la vérité dans la minisérie « Un homme ordinaire » sur M6, les 15 et 22 septembre 2020
TÉLÉVISION – Il s’appelle Christophe de Salin et l’histoire se déroule à Lyon. Mais les téléspectateurs ne s’y tromperont pas, la minisérie “Un homme ordinaire”, en 4 épisodes, diffusée à partir de ce mardi 15 septembre sur M6, est bel et bien “librement inspirée de l’affaire Dupont de Ligonnès”. Dans cette fiction écrite par Pierre Aknine et Anne Badel, c’est Arnaud Ducret qui se glisse dans la peau du père de famille tandis qu’Émilie Duquenne incarne Anna-Rose, hackeuse fascinée par ce fait divers qui mène sa propre enquête.
Et ce personnage n’est pas sorti de l’imagination des scénaristes. Après plus d’un an et demi de recherches (de la lecture de lettres et mails à des entretiens avec des protagonistes concernés), les créateurs de la série ont imaginé leur propre version de cette histoire en donnant une large place au web sleuthing, ces communautés d’enquêteurs amateurs qui s’emparent de faits divers et mènent des recherches en parallèle de celles de la police.
Un hacker condamné
Le rôle d’Anna-Rose est ainsi inspiré du hackeur Chris la vérité, créateur de la page Facebook “Xavier Dupont de Ligonnès: Enquête et Débat” qui avait mené des investigations officieuses en 2011. C’est notamment lui qui “a trouvé la photo de XDDL dans le sud de la France”, précisent les notes de production. Il a ensuite été condamné à 1000 euros d’amende avec sursis pour “recel de violation du secret de l’instruction” au printemps 2016, pour avoir publié en ligne des documents de l’enquête transmis par un policier.
“Ce hackeur il s’appelle Christophe (…) et il fait ce qu’on appelle du web sleuthing. Le web sleuthing aux États-Unis ce sont des groupes de hackeurs qui s’occupent d’aller trouver les coupables”, explique Pierre Aknine, créateur et réalisateur de la minisérie “Un homme ordinaire”, à l’antenne d’Europe 1 ce lundi 14 septembre.
“En 2011, pour la première fois en France, un hackeur a commencé à ouvrir un compte sur Facebook qui s’appelait Christophe la vérité, et là ça a été la ruée”, rappelle-t-il. “Ils s’y sont tous mis, avec des choses abominables et des choses intéressantes. Et ils ont trouvé des choses”, parmi lesquelles des messages postés sous pseudo par l’épouse de Xavier, Agnès Dupont de Ligonnès, sur des forums en ligne où elle décrit sa détresse.
Policier et proches de XDDL impliqués
Christophe, alias Chris la vérité, à l’époque trentenaire vivant à Angers, s’est confié aux Inrocks en 2012. Il racontait comment il avait mené pendant plusieurs mois l’enquête avec l’aide d’autres internautes sur sa page Facebook puis au sein d’un groupe privé. “Des proches d’Agnès et Xavier”, une “amie des enfants” mais aussi “un enquêteur de l’office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC)” participaient à leurs recherches.
“Au début on stalkait [traquait, NDLR]. Il y a eu un peu de hacking aussi. On a trouvé plein de petites choses et puis ensuite ça a été donnant-donnant dans une sorte de triptyque internautes-famille-enquêteurs”, décrivait Chris la vérité. “Comme notre contact enquêteur n’avait pas accès à l’intégralité du dossier, il a été ravi qu’on lui transmette certains documents et comptes-rendus sur Xavier Dupont de Ligonnès et sur son entourage, qui provenaient de la famille. Du coup il nous a transmis dès le mois de juillet 2011 les fameuses ‘notes secrètes’ que Dupont de Ligonnès avait stockées sur ses serveurs, ainsi que plein d’autres informations.”
Pour Pierre Aknine, ces cyber-enquêteurs ont indéniablement “aidé l’enquête policière” quand d’autres ont soutenu qu’ils l’avaient entravée. Mais là où les deux hommes ne sont plus d’accord, c’est sur l’issue de ce fait divers non résolu. Si Chris la vérité a la conviction que XDDL s’est suicidé, confiait-il à Europe 1 après sa condamnation en 2016, le créateur d’“Un homme ordinaire” fait lui l’hypothèse que Xavier Dupont de Ligonnès est toujours en vie.
Après le docu-fiction “Dans la tête du suspect” sur M6, le téléfilm “La part du soupçon” avec Kad Merad sur TF1 ou le film “Paul Sanchez est revenu!” avec Laurent Lafitte, sans oublier le succès estival phénoménal rencontré par le magazine Society et ses deux volets d’une enquête-fleuve écoulée à 350.000 exemplaires, la “tuerie de Nantes” et le sort de Xavier Dupont de Ligonnès seront à nouveau au cœur de toutes les discussions ce mardi 15 septembre. De quoi relancer, aussi, la fougue des cyber-enquêteurs?
Comme celui de la série My Holo Love, Holo le journaliste se fait discret. Il observe l’actualité mode, musique et sport, et l’analyse dans les moindres détails…
Publié le 22 Septembre 2020 – 21h09
Dans la mini-série « Un homme ordinaire » diffusée sur M6, Emilie Dequenne incarne une hackeuse passionnée par l’affaire Dupont de Ligonnès. Son personnage est inspiré d’un vrai pirate informatique qui a enquêté sur la tuerie. Chris La Vérité a créé une page Facebook qui compte aujourd’hui plus de 10 000 abonnés.
La série événement de la rentrée, inspirée de l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès, est déjà presque finie ! Les deux derniers épisodes d’Un homme ordinaire sont diffusés ce mardi 22 septembre 2020. Emilie Dequenne y incarne un rôle très important. Son personnage de hackeuse a réellement existé…
Dans Un homme ordinaire, dont Arnaud Ducret est le héros, Emilie Dequenne interprète Anna-Rose Cagnière, une pirate informatique qui mène également une enquête sur la tuerie de Nantes. En réalité, ce hackeur répondait au pseudo de « Chris La Vérité ». L’homme a créé, le 26 avril 2011 (5 jours après la découverte des corps de l’épouse de Xavier Dupont de Ligonnès, Agnès, et de leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît) une page Facebook intitulé Xavier Dupont de Ligonnès : Enquête et Débat, consacrée à ce crime commis en avril 2011.
La communauté rassemble plus de 10 000 utilisateurs.
A post shared by Emilie Dequenne (@emiliedequenne) on Sep 15, 2020 at 12:59am PDT
Chris La Vérité a notamment collaboré avec des anonymes, des proches des époux Dupont de Ligonnès ainsi qu’un enquêteur, tous en quête de la vérité. Des informations échangées dans des groupes privés ont été divulguées. Chris La Vérité s’est confié lui-même à la presse, en accordant une interview aux Inrockuptibles en 2012. Il a notamment révélé au magazine qu’une quarantaine de personnes ont épluché et piraté des sites Internet pour en apprendre plus sur Xavier Dupont de Ligonnès, toujours porté disparu et principal suspect des meurtres de son épouse et de leurs enfants.
Les recherches de Chris la Vérité ont été fructueuses et lui ont valu des ennuis avec la justice. Il a été condamné en 2016 à 1000 euros d’amende avec sursis pour recel de violation du secret professionnel et atteinte au secret des correspondances, après avoir publié 39 notes secrètes de Xavier Dupont de Ligonnès.
Neuf ans après les faits, l’affaire suscite toujours autant d’intérêt.
Le magasine Society publie ce jeudi une longue enquête sur la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès soupçonné d’avoir tué sa femme et ses enfants avant de disparaître en 2011. On découvre les liens étranges qu’il entretenait avec son ami Michel Rétif à Lunel, un homme aujourd’hui décédé.
L’ami lunellois de Xavier Dupont de Ligonnès a t-il joué un rôle dans sa disparition ? Le magasine bi-mensuel Society sort cette semaine une grande enquête sur cet homme soupçonné d’avoir assassiné sa femme et ses 4 enfants en 2011 à Nantes. Une enquête qui retrace notamment les amitiés du père de famille. Des amitiés très équivoques.
On apprend ainsi que Michel Rétif, un habitant de Lunel a été entendu à plusieurs reprises par les enquêteurs et même soupçonné d’avoir couvert la fuite de Xavier Dupont de Ligonnès.
Dupont de Ligonnès propose à son épouse et son meilleur ami une relation à trois
Michel Rétif est un ami de Xavier Dupont de Ligonnès, un ami intime. Mais cette amitié de longue date avait pris une autre tournure. L’épouse, Agnès de Ligonnès, et Michel Rétif entretenaient une relation épistolaire très équivoque. En le découvrant, le mari propose à son épouse et son meilleur ami une relation à trois. Ils passent ainsi deux jours et deux nuits tous les trois dans un hôtel de Nantes, puis en Bourgogne et même au domicile familial, des vidéos en témoignent.
Cela, Michel Rétif ne le raconte pas aux enquêteurs lors des premières auditions. Il ne leur dit pas non plus qu’il a réussi à joindre Xavier Dupont de Ligonnès au téléphone après sa fuite avant la découverte des corps, il est le seul à avoir pu le joindre, tous les autres tombaient directement sur la messagerie. De Ligonnès n’a rallumé son portable que pour cet appel, comme si les deux hommes avaient pris rendez-vous.
Ce qui intrigue aussi beaucoup les enquêteurs, c’est ce déplacement professionnel de Michel Rétif dans le Var (il est alors commercial), là où justement s’arrête le parcours du père de famille, au même endroit au même moment.
Maxime Chamoux du magazine Sociéty
Michel Rétif soupçonné d’avoir couvert la fuite du père de famille ? Les enquêteurs n’ont aucune preuve formelle et aucun aveu. Dans leur enquête, les journalistes du magasine Society ont rencontré la dernière compagne de Michel Rétif. Ils dressent le portait d’un homme brisé par cette histoire qui sombre dans l’alcool, il refuse de soigner un cancer avant de se suicider en mars 2018 chez lui à Lunel.
Les journalistes ne veulent plus s’attarder sur leurs révélations sur la vie intime du couple de Ligonnès
9 ans après la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, soupçonné d’avoir assassiné sa femme et ses 4 enfants, Society dévoile, à l’occasion d’une nouvelle enquête, l’existence de l’un de ses amis les plus proches : Michel Rétif, aujourd’hui décédé, qui vivait à Lunel, dans l’Hérault.
« Au début du mois d’avril 2011, un homme de 50 ans assassinait sa femme, leurs quatre enfants et leurs deux chiens avant de les enterrer sous la terrasse de leur maison nantaise, puis de disparaître sans laisser de traces. »…
Pour la deuxième fois, le magazine Society revient sur l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès. A l’occasion d’une nouvelle enquête de plus de quatre ans, Maxime Chamoux, Sylvain Gouverneur, Thibault Raisse et Pierre Boisson reviennent, entre autres, sur les amitiés de l’un des hommes les plus recherchés de France.
Parmi les amis de Xavier Dupont de Ligonnès : le Lunellois Michel Rétif, aujourd’hui décédé. « Il est l’un des amis clé de son environnement » témoigne l’un des journalistes et rédacteurs en chef de Society, Pierre Boisson.
De l’amitié au trio amoureux
Les deux hommes, tous les deux commerciaux, se rencontrent dans les années 80, dans le Sud de la France. « C’est un voyage aux Etats-Unis qui va sceller leur amitié entre 1989 et 1990« .
Ensemble, les deux amis visitent 48 des 50 Etats américains. Puis, dans les années 2000, un cap est franchi entre les deux hommes. « A partir de 2005, il y a des troubles dans le couple Dupont de Ligonnès » précise Pierre Boisson.
En effet, Xavier Dupont de Ligonnès consacre peu d’attention à Agnès, sa femme. Cette dernière est en contact avec Michel Rétif : une relation naîtra entre eux, d’abord virtuelle puis concrète. Plus tard, avec Xavier Dupont de Ligonnès, ils formeront un triangle amoureux pendant quelques mois, de quoi « transformer la nature de leur relation » ajoute le journaliste.
A la vie, à la mort… le mystère Michel Rétif
Dès la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, les policiers ont rapidement examiné lesquels de ses relations pourraient l’avoir aidé dans sa cavale. Naturellement, ils s’intéressent à ses meilleurs amis, dont fait partie Michel Rétif.
Il se trouve que Michel Rétif a appelé Xavier Dupont de Ligonnès le 6 avril, un jour après le meurtre du dernier membre de la famille. Ce jour-là, le téléphone de Xavier Dupont de Ligonnès était éteint toute la journée sauf pendant cette demi-heure d’appel.
Fait troublant, de quoi éveiller les soupçons des enquêteurs qui vont le surveiller, l’interroger. « Rien ne prouve la culpabilité de Michel Rétif » insiste Pierre Boisson.
Pourtant, un déplacement de Michel Rétif intrigue. Le 14 avril, Xavier Dupont de Ligonnès passe sa dernière nuit « connue » à Roquebrune-sur-Argens. « Ce même jour, Michel Rétif est à moins de 10 kilomètres de là, à vol d’oiseau » confirme Pierre Boisson.
Que ces deux amis passent cette dernière nuit spéciale à quelques kilomètres l’un de l’autre, c’est forcément suspicieux.
Michel Rétif aurait-il couvert la fuite de Xavier Dupont de Ligonnès ? Au nom de l’amitié et de sa phrase fétiche : à la vie, à la mort. L’hypothèse est plausible. Cette question reste pour l’instant sans réponse.
Atteint d’un cancer, Michel Rétif s’est suicidé en 2018, à Lunel-Viel, dans l’Hérault, à l’âge de 53 ans en emportant avec lui tous ses secrets. « Dans cette enquête, nous avons voulu montrer que les amis, la famille, les proches liés à cette enquête ont souffert de tous les soupçons qui ont pu peser sur eux » : pour la rédaction de Society, une chose est sûre : Michel Rétif tentait par tous les moyens d’oublier cette affaire.
Une affaire sordide, toute une famille décimée
En 2011, Agnès et les quatre enfants du couple sont retrouvés enterrés à Nantes. Xavier Dupont de Ligonnès prend la fuite. Depuis, il s’est volatilisé. On l’a vu partout sur la planète mais il reste introuvable.
En 2019, nos confrères de France 3 Pays de la Loire consacrait un reportage à cette affaire, toujours non élucidée.
Pierre Jourdin est un ancien magistrat du TGI de Brest, qu’il a quitté à l’été 2016 pour celui de Créteil où, a priori, il se trouve toujours en fonction aujourd’hui comme juge de l’application des peines.
On peut le voir dans la vidéo ci-dessus du 12 mars 2021. On en trouve aussi sur le net deux autres images remontant à septembre 2012 lors de son arrivée au tribunal de Quimper en provenance de celui de Brest où il exerçait déjà comme juge de l’application des peines depuis 2007, après avoir eu la même fonction à Nevers de 2004 à 2007.
Il était ensuite revenu à Brest pour la rentrée de septembre 2014, cette fois comme juge d’instruction, une fonction qu’il n’a « assurée » tant bien que mal (personnellement, je n’ai vu que le mal et ne sais même pas, en fait, s’il y a jamais eu de bien) que durant deux ans au cours de sa carrière.
Il prenait la suite de la juge ultra corrompue Céline Verdier qui elle avait été nommée à Quimper comme juge des enfants et reprendra sa place de juge d’instruction à Brest à la rentrée de septembre 2016.
On notera au passage que le juge brestois Meriadeg Merret, qui prenait ce même poste de juge des enfants à Quimper à la rentrée de septembre 2012 avant de revenir à Brest en 2014, parlait alors du très inquiétant « danger des enfants » auquel il s’apprêtait à être confronté comme magistrat pour la toute première fois tandis que simultanément, son collègue de Brest le juge Raymond André quittait l’instruction pour accéder lui aussi à cette fonction de juge des enfants pour la toute première fois dans sa beaucoup plus longue carrière. Rappelons qu’au mois de novembre 2011, des amies de la criminelle perverse Josette Brenterch du NPA de Brest, dont l’une qui à cette époque me harcelait en avait témoigné sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, avaient mensongèrement désigné à la vindicte populaire comme « pédophile » un retraité qui de ce fait, pris en chasse dans son quartier par tout un groupe de parents d’élèves devenus hystériques à son encontre, avait fait une crise cardiaque dont il était décédé. Aussi, la peur des dénonciations pour pédophilie, qui par ici n’était pas vraiment retombée depuis Outreau – à moins que ce fiasco judiciaire ne fût particulièrement opportun pour justifier les politiques locales en la matière – était encore à son comble dans le Finistère, où ce que font toujours aujourd’hui les magistrats pour protéger les pédophiles du « danger des enfants » ou de leurs dénonciations, totalement hallucinant et particulièrement abject pour le justiciable lambda, est sans aucun doute à la hauteur de l’effroi extraordinaire qu’il semble toujours provoquer chez eux…
Mais le Finistère avait aussi reçu la visite de Frédéric Mitterrand au printemps 2011 après l’échec de Jean-Marc Donnadieu contre OverBlog au TGI de Béziers le 8 avril 2011, et il était bien nécessaire que sa future victoire en appel le 15 décembre 2011 à Montpellier fût puissamment soutenue par quelque évènement de nature à frapper très fort l’opinion publique en sa faveur, d’où le retentissement national qu’avait connue cette histoire de chasse à l’homme faussement accusé de pédophilie que sa complice la criminelle Josette Brenterch avait organisée avec quelques copines et l’assentiment des magistrats locaux, à proximité immédiate de la fac de droit de Brest.
Fermons la parenthèse et revenons à Pierre Jourdin.
Pas de cancer pour lui depuis sa période brestoise, pas non plus d’autre maladie mortelle, « foudroyante » ou non, au contraire de ses anciens collègues Mathilde Boissy, François Dresen et Raymond André.
Cependant, le moins que l’on puisse dire à son sujet est qu’il ne respire pas la joie de vivre, et cela semblait quand même nettement moins pire en 2012, avant son dernier passage à Brest.
Rendez-vous compte qu’à peine huit ans et demi séparent ces photos de 2012 des images TV de 2021. Or, il donne l’impression d’avoir vieilli beaucoup plus, et mal, comme un alcoolique.
Par ailleurs, lui aussi avait bien travaillé pour le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont je rappelle qu’il s’agit en outre d’un trafiquant de drogue, d’or, d’enfants, etc… pirate en tous genres, cybercriminel et harceleur, mythomane, calomniateur public et champion de la dénonciation calomnieuse, organisateur ou commanditaire d’assassinats et terroriste « islamigré ».
Oui, Pierre Jourdin aussi avait bien travaillé pour cet individu qu’il porte aux nues comme tous ses collègues de Brest et Quimper. Et même très rapidement après sa prise de fonction comme juge d’instruction à Brest, à l’automne 2014.
En effet, c’est lui qui au mois d’octobre 2014 avait prononcé un non-lieu général en faveur de tous mes harceleurs de la bande de cybercriminels du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, à l’issue de l’information judiciaire qui avait été confiée à sa collègue ultra corrompue Céline Verdier, laquelle, comme je l’ai déjà exposé, refusait en fait illégalement d’informer en m’opposant des déclarations du dénommé Pascal Luraghi auxquelles elle m’interdisait aussi illégalement tout accès, comme à mes avocats successifs.
L’ordonnance de non-lieu rendue par Pierre Jourdin était parfaitement conforme au faux en écriture publique déjà produit dans cette affaire par la vice-procureure Isabelle Johanny, et pour cause, elle n’en était qu’un copié-collé, fautes d’orthographe y compris, alors que j’avais déjà dénoncé ce document comme un faux dans un premier train d’observations toutes parfaitement justifiées, en annonçant une suite de ces observations avant la fin du délai que le Code de procédure pénale m’octroyait à cet effet.
C’est que le faux en question est quand même constitué de plusieurs pages de texte très dense écrit en petits caractères, et qu’il comporte au moins un sinon plusieurs mensonges grossiers ou inventions délirantes par ligne de texte. Quand on le reçoit, on en est littéralement atterré et on se demande comment traiter le problème, car il faut vraiment tout corriger morceau de phrase après morceau de phrase, en expliquant et justifiant chacune des corrections apportées, d’abord d’un point de vue purement factuel, ensuite en termes de droit. C’est absolument délirant, le travail nécessaire est colossal et je pense d’ailleurs que le but du jeu est de complètement submerger, noyer ou ensevelir la victime sous un incroyable amoncellement de mensonges où, en l’occurrence, même mes harceleurs mythomanes, super menteurs, affabulateurs et calomniateurs ne peuvent s’y retrouver – ils sont complètement dépassés par des magistrats qui eux aussi doivent s’adonner à de tels exercices au quotidien.
Il n’y a pas la moindre honnêteté chez un magistrat corrompu, il est précisément payé par des malfrats pour s’abstenir de faire son travail ou être l’auteur d’injustices flagrantes, ce qui passe toujours, au minimum, par la production de faux en écriture publique. C’est pourquoi, dans les dossiers qui me concernent, on en retrouve en pagaille, et toujours associés à quantité d’autres illégalités ou violations de la loi.
Pierre Jourdin est donc bien corrompu, c’est indéniable; reproduisant à l’identique le faux que je lui avais dénoncé comme tel nombreuses pièces justificatives à l’appui, il a lui-même produit un faux en écriture publique, criminel, en toute connaissance de cause. Tous les critères de l’infraction pénale sont bien remplis, en aucun cas il ne peut prétendre avoir commis une quelconque « erreur ».
Mais ce n’est pas tout.
Il n’a pas attendu la suite de mes observations pour rendre son ordonnance et n’a ainsi pas respecté mon droit à produire des observations durant un délai fixé d’une manière pourtant assez simple : un premier délai de trois mois auquel s’ajoutait un second délai d’un mois, soit un total de quatre mois. Il n’a pas su faire cette addition, c’est trop compliqué pour lui – j’en déduis qu’il a fait lui aussi le petit demi-bac pour demi-cerveaux très allégés.
Quant à moi, j’ai fait des études d’ingénieur et ai effectivement travaillé comme tel durant plusieurs années. Additionner 3 et 1, donc, je sais le faire. Mais très franchement, je ne l’ai pas appris en maths sup ni en maths spé, je savais déjà le faire en maternelle – j’ai toujours eu un cerveau complet.
Ce qui est trop drôle, c’est que j’ai obtenu sur ce motif-là la cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel de Rennes ayant confirmé en 2015 son ordonnance de non-lieu d’octobre 2014 – car cette Cour d’Appel qui me donne assez souvent raison contre les magistrats du Finistère ne le fait quand même pas à tous les coups, les magistrats ayant toujours une très forte tendance à tous se couvrir mutuellement même quand leur rôle consiste théoriquement à contrôler le travail de ceux du niveau inférieur.
Pierre Jourdin fait donc partie de ces magistrats qui ont toujours été nuls en maths et se plaisent, tout comme la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices de la bande du pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce dernier en tête, à se « moquer » des matheux ou des ingénieurs en inventant absolument n’importe quoi pour les calomnier, et par voie de conséquence, leur nuire ou leur porter préjudice au maximum, leur but étant de les empêcher de travailler, de vivre, tout simplement, car ils les haïssent autant qu’ils ont toujours haï les maths.
Sauf que dans son cas, le truc est consacré par un arrêt de la Cour de Cassation de 2016.
La femme ingénieur qu’il s’était plu à faire passer mensongèrement pour une prostituée débile mentale et folle à lier de surcroît coupable de quantité de choses totalement délirantes lui a donné tout à la fois une leçon de maths (3+1=4) et une leçon de droit : si tu ne sais même pas compter sur tes doigts, t’as qu’à demander à ta greffière pour t’assurer que mon droit soit respecté.
Allez, je vais être indulgente avec ce pauvre M. Jourdin qui a quand même vu se terminer sa carrière de juge d’instruction qui avait commencé si fort à l’automne 2014 sur un échec des plus ridicules deux ans plus tard, face à un « cas lourd psychiatrique » (= une femme ingénieur qui contrairement à lui comprend le français et sait faire des additions).
Il faut quand même bien se rappeler le contexte de sa décision d’octobre 2014.
A Toulouse, les gendarmes enquêtant sur le meurtre ou l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011 commençaient à s’intéresser au pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont l’activité criminelle contre mes proches et moi-même était depuis le début jugée si précieuse par les magistrats ultra corrompus du TGI de Brest. Il était donc urgent de le blanchir complètement dans mon affaire tout en m’enfonçant au maximum : plus de mobile, plus de crime !
Avouez que cela peut bien brouiller les esprits et en faire perdre son latin ou son compteur même au plus éminent des juristes corrompus…
Audience particulière, hier matin, au tribunal de grande instance de Quimper. Patrick Le Quinquis, le président, a présenté trois nouveaux magistrats.
De gauche à droite : Olivier Callec, juge, Meriadeg Merret, vice-président chargé des fonctions de juge des enfants et Pierre Jourdin, vice-président du tribunal d’instance de Quimper. |
Ouest-France Maël FABRE. Publié le 17/09/2012 à 19h00
Lundi matin, devant un parterre d’officiels, de gendarmes et d’avocats, par décret du 21 août 2012 publié au journal officiel, trois nouvelles nominations viennent d’être confirmées pour cette rentrée judiciaire à Quimper.
Les arrivées
En poste au tribunal de grande instance de Brest depuis 2007 où il a été substitut du procureur, le juge Meriadeg Merret vient d’être nommé vice-président chargé des fonctions de juge des enfants à Quimper. Une juridiction qu’il a vivement souhaité intégrer. « C’est une fonction intéressante, une suite logique après Brest. C’est cependant plus difficile car nous sommes dans la gestion de l’humain et surtout nous sommes face au danger des enfants », explique-t-il.
Pierre Jourdin, juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Brest vient d’être nommé vice-président du tribunal d’instance de Quimper. « Il y a dans cette nouvelle fonction une grande convergence avec l’ancien poste », indique le nouveau juge. Pierre Jourdin a été de 2004 à 2007, juge de l’application des peines au tribunal de grande instance de Nevers.
Enfin, Olivier Callec est nommé juge. Il devient assesseur et présidera les audiences du tribunal correctionnel. Auparavant, Olivier Callec a été juge au tribunal de grande instance de Nevers de 2009 à 2012.
Les départs
Par ailleurs, Hélène Geiger, 36 ans, quitte le parquet. Elle rejoint le siège au tribunal de grande instance de Brest, où elle est nommée vice-présidente. Marie-Annick Rossignol, juge des enfants, rejoint le tribunal de grande instance de Lorient où elle assurera la vice-présidence. Un tribunal qu’elle connaît bien puisqu’elle a été substitut du procureur jusqu’en 2007.
Disparition d’un poste de juge d’instruction
Cette nouvelle rentrée a aussi été marquée par la disparition du dernier juge d’instruction en poste, depuis la création du pôle de l’instruction à Brest, en 2008. Cette disparition a été soulignée par Eric Tufféry, procureur de la république lors de son discours. La dernière juge d’instruction à Quimper, Sophie Sourzac, a été nommée au tribunal d’instance de Grenoble.
Quimper. Trois nouveaux magistrats à pied d’oeuvre
Publié le 18 septembre 2012 à 00h00 De gauche à droite, Olivier Callec, Pierre Jourdin et Meriadeg Merret: la magistrature du siège est au complet sur la juridiction quimpéroise
Trois nouveaux juges ont été adoubés, hier, par leurs pairs, lors de la traditionnelle audience de rentrée au tribunal de Quimper. Le trio renforce la magistrature du siège. Le parquet devra faire sans renforts.
Audience intermédiaire, la rentrée de septembre ne revêt pas la solennité de celle qui se tient chaque début d’année. Le président Le Quinquis parlait hier de sa dimension «quasi-familiale». Elle permet néanmoins d’installer les nouveaux magistrats nommés dans la juridiction quimpéroise. En cette rentrée 2012, ils sont trois à rejoindre les bords de l’Odet.
«Grand écart sur le plan technique»
Deux d’entre eux seront en terre de connaissance. Meriadeg Merret est nommé vice-président du Tribunal de Grande Instance, chargé des enfants. La justice des mineurs, mais aussi les placements d’enfants en danger sont quelques-uns des aspects qu’il devra prendre à bras-le-corps. La perspective lui apparaît «intéressante». Il succède à Mme Rossignol, nommée vice-présidente du Tribunal de Grande Instance de Lorient. Meriadeg Merret avait fait ses armes au Havre, comme juge d’instance, en 2002 puis rejoint le tribunal d’Instance de Châteaulin en 2005. En 2008, il poussait jusqu’à Brest. Après quatre ans dans la cité du Ponant, il traverse le département. Pierre Jourdin était lui aussi Brestois, chargé de l’Application des Peines de 2007 à 2012. Il occupait précédemment des fonctions identiques, à Nevers, de 2004 à 2007. Il devient vice-président chargé du tribunal d’instance. «Sur le plan technique, ça ressemble à un grand écart, mais sur le plan humain, il y a beaucoup de convergences», commente-t-il.
Un juge d’instruction placé
Olivier Callec, enfin, est le seul à découvrir le Finistère, si l’on excepte les stages de voile suivis pendant son enfance. À Nevers, il était juge du siège depuis 2009 et aura des fonctions équivalentes à Quimper. Il sera juge civil et assurera des audiences correctionnelles, comme juge assesseur ou président. Il se dit «ravi». Ces arrivées permettent aux juges du siège de la juridiction quimpéroise d’être au complet puisque les 18 postes sont pourvus. Petit bémol cependant: le départ de Sophie Sourzac, juge d’instruction, nommée à Grenoble, est certes compensé, mais par M. Morvan, juge placé. Le cabinet d’instruction devant cesser son activité au 1er janvier 2014 au profit du pôle de l’instruction brestois, il est fort probable qu’il ne soit pas pourvu en attendant de s’éteindre à petits feux. Voilà qui ne mettra pas de baume au coeur du procureur Éric Tufféry, qui perd quant à lui un parquetier dans son équipe.
Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :
Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.
Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.
Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.
Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).
Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.
Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.
Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.
Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.
Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.
Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.
Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.
Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.
Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…
A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.
C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.
Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.
En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.
C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.
Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).
Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.
En voici une copie :
Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.
J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :
En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.
De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.
Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).
Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.
Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :
Cavalier législatif au profil de LVMH
Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.
En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.
Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.
On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.
« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest
Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ». | OUEST-FRANCE
Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00
Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.
Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.
L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.
À douze ans, il apparaît pour la première fois à l’écran, sous le nom de Frédéric Robert, dans le film d’Alex JofféFortunat, aux côtés de Michèle Morgan et de Bourvil4.
La qualité de ses programmations, alliant les classiques des studios américains et les films égyptiens, les films de Pasolini et de Duras, en fait une figure majeure de l’exploitation parisienne. Il diffuse parmi les premiers les films d’Ingmar Bergman, Kurosawa et Ozu. Mais, mauvais gestionnaire, il accumule les dettes pour quinze ans, et doit abandonner ses salles en 19865,12,13.
En 1981, inspiré par la fin d’une histoire amoureuse avec un collaborateur, il réalise son premier long-métrage, Lettres d’amour en Somalie, et publie sous le même titre l’année suivante son adaptation en roman12.
La même année, il propose une émission de cinéma à TF1, Étoiles et toiles, qu’il anime et produit jusqu’en 1986, et Ciné-Fêtes en 1984. Il poursuit ensuite avec Acteur Studio de 1986 à 1987, Permission de minuit de 1987 à 1988, Destins de 1987 à 19885.
Remercié par la première chaîne privatisée, il passe sur Antenne 2 en 1988, où il présente Du côté de chez Fred jusqu’en 1991, Étoile Palace en 1990, C’est votre vie en 1993, Les Amants du siècle en 1993 ou encore Caravane de nuit en 1994. Son « bonsoir » et sa voix nasale et nonchalante deviennent célèbres. Recevant un 7 d’or du meilleur animateur pour Du côté de chez Fred qui vient d’être arrêtée par la direction, il pose le trophée à terre en déclarant : « C’est là où se trouve le service public », puis s’en excuse le lendemain5.
Frédéric Mitterrand se passionne également pour les grands personnages historiques et notamment les têtes couronnées : il est ainsi souvent demandé pour commenter des cérémonies royales.
En 2012, à la création de D8, il doit animer une émission culturelle sur la chaîne16 mais le projet est finalement abandonné.
En 2018, Frédéric Mitterrand présente une émission en dix épisodes : « Ecrivains au péril de la guerre » (10X13’) réalisée par Thomas Briat en collaboration avec Antoine de Meaux.
Directeur de la Villa Médicis
Le 4juin2008, après l’avis positif d’une commission de dix personnalités créée pour l’occasion (la commission Gall)17, qui avait retenu trois candidats, le président de la République Nicolas Sarkozy choisit Frédéric Mitterrand à la direction de l’Académie de France à Rome, plus connue sous le nom de « Villa Médicis »18. Il est nommé par un décret du 5 juillet suivant et prend ses fonctions le 1er septembre19.
Pendant cette période, il négocie avec Laurent Solly du groupe TF1 la coproduction d’une émission mensuelle sur la Villa Médicis20 pour la chaîne Odyssée21. Mais il fait rapidement part de l’ennui qu’il ressent à cette fonction, qu’il laisse le temps d’un soir, pour présenter la Nuit des Molières en juin200911.
Membre du jury du prix Médicis depuis 2007, il s’est mis en disponibilité en septembre2009. Selon son président, l’écrivain Michel Braudeau, il en redeviendra membre de droit dès la cessation de ses fonctions ministérielles22.
Entre 2008 et sa nomination comme ministre de la Culture et de la Communication, il tient une chronique dans le mensuel Têtu23.
Le 9octobre2009, il décide la restitution de cinq fragments de peinture murale issus d’un tombeau de prince égyptien de la XVIIIe dynastie égyptienne, achetés par le Louvre mais dont la légalité de la sortie du territoire égyptien était en doute. Il soutient également la proposition de loi en faveur de la restitution des têtes maories.
Il signe le décret no 2009-1393 du 11novembre2009 relatif aux missions et à l’organisation de l’administration centrale du ministère de la Culture et de la Communication qui réorganise son administration en un secrétariat général et trois directions générales, refonte portée par son prédécesseur, Christine Albanel27.
Son refus, comme celui d’autres membres du gouvernement29, de condamner le régime du président tunisien Ben Ali qui réprime le mouvement populaire de contestation tunisienne en janvier2011, est critiqué par le Parti socialiste et Les Verts. Pour lui, « il y a une opposition politique mais qui ne s’exprime pas comme elle pourrait le faire en Europe. Mais dire que la Tunisie est une dictature univoque, comme on le fait si souvent, me semble tout à fait exagéré. »30. Frédéric Mitterrand s’est expliqué en déclarant : « la meilleure manière de protéger ceux auxquels j’étais attaché — et ça représentait tout le peuple tunisien et notamment les opposants — était de ne pas braquer un régime dont je connaissais parfaitement l’autorité »31. Il rappelle qu’il a toujours soutenu les artistes tunisiens32 – en tant que commissaire général de la saison tunisienne ou en tant que ministre – et qu’il a décoré en décembre2009 notamment le metteur en scène protestataire Fadhel Jaïbi33. Frédéric Mitterrand a plus tard présenté ses « regrets » au peuple tunisien dans une lettre qui a été publiée à la fin du mois de janvier 2011 dans un hebdomadaire tunisien34. Leïla Ben Ali, la femme de l’ancien président Ben Ali, déclare dans une interview publiée le 1er juillet 2012 par Le Parisien : « Le seul à nous avoir soutenus jusqu’au bout, c’est Frédéric Mitterrand »35.
Il reçoit en 2011 le rapport de Jérôme Bouët sur le partenariat entre l’État et les collectivités dans le domaine culturel, celui de Selles et Riester aboutissant au lancement du Centre national de la Musique, et mandate Hervé-Adrien Metzger, Jean-Louis Martinelli, Bernard Murat et Serge Dorny pour une mission d’étude sur le financement du spectacle vivant, pour lequel Frédéric Mitterrand annonce un plan d’actions de 3,5 M€ en 2012, le 8 juillet 2011 à Avignon. Il propose également 15 mesures en faveur des arts plastiques en octobre 2011 et un plan de développement des scènes de musiques actuelles, lance les Cafés cultures, fait voter la loi sur le prix unique du livre numérique, et défend la réforme de la redevance d’archéologie préventive. Durant l’année 2011, le Conseil de la création artistique et le Conseil national des musiques actuelles (CSMA) sont dissous, tandis que l’Institut français est mis en place pour remplacer Culturesfrance dans un contexte difficile pour le réseau culturel français à l’étranger37.
À partir du 26 août 2013, il anime Jour de Fred sur France Inter du lundi au jeudi de 18 h 20 à 19 h41. En avril 2014, il annonce l’arrêt de l’émission, qui a perdu 200 000 auditeurs en un an ; Frédéric Mitterrand voit dans ce choix une « animosité indigne de sa fonction »42 de la part de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, ce à quoi celle-ci répond : « Je ne suis jamais intervenue ni sur le choix des personnes ni sur le contenu des programmes [...] Je suis la ministre qui a fait voter la loi la plus progressiste en faveur de cette totale indépendance »42.
Christian Bourgois éditeur
En avril 2019, Frédéric Mitterrand a remplacé provisoirement Dominique Bourgois dans ses fonctions d’éditrice éditoriale de la maison Christian Bourgois éditeur ; la holding de la famille Mitterrand, présidée par Olivier Mitterrand (le frère de Frédéric) est entrée dans le capital de Christian Bourgois éditeur en janvier 2019, avant d’en prendre le contrôle43.
Autres
Académie française
En 2016, il présente sa candidature à l’Académie française, avant de la retirer deux semaines après en faveur d’Andreï Makine44. Il renouvelle sa candidature en 201845 : il obtient 11 suffrages, la majorité mais insuffisamment pour être élu46.
Académie des beaux-arts
Le 5 février 2020, Frédéric Mitterrand est officiellement installé à l’Académie des beaux-arts par son confrère Adrien Goetz, membre de la section des membres libres47.
Frédéric Mitterrand a été élu membre de l’Académie le 24 avril 2019 dans la section des créations artistiques dans le cinéma et l’audiovisuel au fauteuil précédemment occupé par Jeanne Moreau décédée le 31 juillet 201748.
Frédéric Mitterrand est ouvertement homosexuel50. Il a trois enfants : un fils naturel (né en 1981) et deux fils adoptés en Tunisie (nés en 1989 et 1991, tous deux à Hammamet).
Polémiques
Affaire d’abus sexuel sur mineur par Roman Polanski
En septembre2009, Frédéric Mitterrand apporte son soutien au réalisateur Roman Polanski qui, poursuivi aux États-Unis depuis 1977 pour une affaire de crime sexuel commis sur une fille de treize ans51 et délit de fuite, est arrêté en Suisse sur mandat d’arrêt américain52. Déclarant, à propos de cette affaire de viol, qu’il s’agissait d’« une histoire ancienne qui n’a pas vraiment de sens », il provoque la colère d’associations de victimes53 et des réactions négatives de la part de quelques hommes politiques ainsi que l’incompréhension de la presse étrangère, notamment anglo-saxonne54.
Le 5octobre2009, il est accusé par Marine Le Pen sur le plateau de Mots croisés, d’avoir pratiqué le tourisme sexuel et trouvé du plaisir à « payer des petits garçons thaïlandais », évoquant son récit La Mauvaise Vie paru en 200555 : « J’ai pris le pli de payer pour des garçons […] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici. […] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas » Frédéric Mitterrand – La Mauvaise Vie 200556. La polémique médiatique et politique prend rapidement de l’ampleur, le député socialiste Patrick Bloche présentant son récit comme des écrits « insupportables »57 et l’accusant de ramener « les homos 10 ans en arrière »58. Frédéric Mitterrand doit réfuter le 8 octobre, au journal télévisé de TF1, avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs et condamne avec fermeté tout tourisme sexuel et acte pédophile59.
À la suite de ces deux polémiques, il se fait médiatiquement plus discret jusqu’à la fin de l’année 200960.
Frédéric Martel
Le 9 septembre 2016, Frédéric Mitterrand est condamné pour injure à 5 000 euros de dommages-intérêts en raison des propos qu’il a tenus à l’encontre de l’écrivain et journaliste Frédéric Martel dans son livre La Récréation (TGI de Paris, XVIIe chambre)61.
Cavalier législatif au profil de LVMH
Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.
En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.
2015 : Silex and the City, série de Jul. Il interprète le rôle d’un rabbin préhistorique et le rôle du roi Louis-Silex.
Théâtre
2018 : « Bonsoir » seul en scène produit par Quartier Libre Production au Studio Marigny.Pour la première fois, Frédéric Mitterrand raconte et se raconte à travers la lecture de morceaux choisis de ses livres Le Festival de Cannes (2007), Une Adolescence (2015) et Mes regrets sont des remords (2016).
Les Aigles foudroyés, sept épisodes pour un total d’environ neuf heures, diffusé sur la chaîne France 2 en janvier 199767 ;
Mémoires d’exil68, une série documentaire de six fois 70 minutes, coproduction France 2 (1999) ;
Farah: The Last Empress69, documentaire de 2009, 75 min70.
Il réalise aussi deux séries sur des personnages historiques du XXe siècle et sur la vie sentimentale des artistes monogames : Étoiles, et Les Amants du siècle. Ces documentaires diffusés par Antenne 2-France 2 ont eu la particularité de se servir de films d’époque pour montrer des moments de la vie privée des familles royales et impériales d’Europe : Nicolas II de Russie se baignant dans une rivière avec son fils, un mariage princier en Autriche, etc. Mitterrand a rédigé deux livres à partir de ces deux séries documentaires.
En 1997, il écrit Norodom Sihanouk, Roi cinéaste71, un film documentaire de 64 minutes réalisé par Jean-Baptiste Martin – France 2 ;
En 1998, il réalise Fairouz72, un reportage-documentaire de 52 min, diffusion Arte.
En 2001, il réalise Je suis la Folle de Brejnev73, un film documentaire de 74 minutes, coproduction France 3, présenté aux festivals : Films gays et lesbiens de Bruxelles (2003), Films gays et lesbiens de Paris (2003), et au Gay Kitsch de Lille (2003).
En 2006, il réalise la série Un printemps 1956, en deux volets : L’Indépendance du Maroc et L’Indépendance de la Tunisie.
En 2008, pour la collection Empreintes de France 5, il réalise Jean d’Ormesson, la vie ne suffit pas.
En 2017, il écrit et réalise « Christian Dior, La France » (2X90’) diffusé sur France 3 et TV5 Monde.
Il est également l’auteur et le réalisateur du film documentaire « La rose de Tirana » (52’) en co-production avec ARTE France et « Le pays de l’innocence, enfance et adolescence de François Mitterrand » (59’) en co-production avec la chaîne Parlementaire (LCP).
En 2018, il écrit et réalise « Tlemcen 1937 » (52’) en co-production avec la chaîne Histoire.
De plus il écrit et réalise « Hollywood, la vie rêvée de Lana Turner » (90’) un documentaire sur Lana Turner en co-production avec ARTE France.
Avec le journaliste Gilles Biassette, il écrit et réalise Trump, le parrain de Manhattan, diffusé le 8 octobre 2018 sur France 374.
Ouvrages
Tous désirs confondus, Actes Sud, 1988, réédition 2009
Philippe Pasqua, préface de Frédéric Mitterrand, Philippe Pasqua, autoportrait : Entretiens avec Cyr Mald, Éditions Séguier, 2014 (ISBN978-2-8404-9669-4)
Le pays de l’innocence, Robert Laffont, 2017
Le duel, Napoléon III et Victor Hugo, XO éditions, 2019
Martine Bourrillon, « Frédéric Mitterrand : « Mon nom me procure plus d’inconvénients que d’avantages » », in Télé 7 jours, no 1200 (28 mai au 3 juin 1983) : « Il se présente à l’ENA. Il est admissible. Et soudain la crise. Sentimentale. Qui le fait renoncer à présenter l’oral. Il ne sera pas fonctionnaire. Il ne peut pas. Ce n’est pas sa voie. »
Mohammed Aïssaoui, « Académie française : Frédéric Mitterrand ne remporte pas la majorité des voix », Le Figaro, 22 juin 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 12 août 2020).
« « La Mauvaise Vie » de Frédéric Mitterrand : les passages qui dérangent », Le Monde.fr, 8 octobre 2009 (lire en ligne [archive], consulté le 26 janvier 2021)
Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.
De toute façon, officiellement, il n’y a aucune menace particulière en ce moment. Donc il ne peut pas s’agir d’un acte terroriste.
Rappel : le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a bien relancé une nouvelle série de fêtes islamistes fin mai dernier et il a sûrement préparé un gros coup pour le 14 juillet. Il adore faire la fête à sa manière ce jour-là, et cette année comme en 2016 et précédemment en 2011 (il s’était alors contenté d’attaquer par piratage informatique et faire tomber la plateforme de blogs Overblog pour obliger ses informaticiens à bosser le jour de la Fête nationale), cela coïncide parfaitement avec son calendrier festif habituel lorsqu’il attend que toutes ses saloperies à mon encontre portent enfin leurs fruits.
Grenoble : un homme armé abattu par la police en centre-ville
Les faits sont survenus quand le passager d’un scooter, en possession d’une « arme longue » a « braqué son arme en direction de policiers ». Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».
Le Monde avec AFP
Publié aujourd’hui à 10h19, mis à jour à 11h09
Les faits ont eu lieu en plein centre-ville de Grenoble jeudi 7 juillet en fin d’après-midi. Un homme de 24 ans, qui circulait à scooter avec un passager armé, a été tué par la police, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources concordantes.Une source policière a précisé à l’AFP que le conducteur du scooter, vêtu d’un gilet pare-balles, circulait en compagnie d’un passager armé d’une « arme longue ». Ce dernier a « commencé à braquer son arme en direction de policiers », qui ont tiré à deux reprises, touchant le conducteur à la tête.
Le parquet a précisé que les occupants du scooter avaient croisé la route de deux fonctionnaires de police qui effectuaient une patrouille à pied vers 18 h 15, et qu’un jeune homme âgé de 24 ans, « connu des services de police », était mort « sur place malgré les soins prodigués rapidement par les secours ». L’autre occupant du scooter est lui parvenu « à prendre la fuite ».
Une arme, « de type kalachnikov, chargée a été retrouvée sur les lieux », dans le secteur du quartier Hoche, a encore précisé dans un communiqué le procureur adjoint de Grenoble, Boris Duffau.
Deux enquêtes ont été ouvertes. La première sur les faits de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique », confiée au service de police judiciaire de Grenoble, et la seconde a été confiée à l’IGPN, la « police des polices » sur les faits de coups mortels. « Le policier qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue et devrait être entendu dans la soirée par des enquêteurs de l’IGPN », a ajouté M. Duffau, lequel précise qu’une autopsie serait réalisée vendredi matin.
Une autre source policière contactée par l’AFP a expliqué que, selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».
Jusqu’à présent, à peu de choses près, je me suis contentée de parler du seul signe de naissance pour dégrossir un peu le sujet du profilage des tarés par l’astrologie.
Cependant, il est évident que bien d’autres paramètres entrent en ligne de compte de manières diverses pour faire de chaque individu un être unique, quoiqu’il puisse présenter des traits de caractère ou de personnalité communs à de nombreux individus.
Avec le cas de John Edward Robinson, tueur en série d’Internet, le premier connu du FBI, j’ai déjà montré que ce Capricorne ressemblant assez au malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont tout le monde sait qu’il va lui aussi sur Internet à la recherche de proies, notamment pour alimenter ses « bouquins » en « personnages », comme il l’a fait à compter de 2008 sur le site Rue89, est en fait très proche d’un Verseau, comme l’est effectivement le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Mais ces deux-là sont également des sadiques, ce qui relève du signe du Scorpion et se retrouve effectivement dans leurs thèmes respectifs avec ce signe et son maître Pluton en relief et viciés.
Pour John Edward Robinson, il s’agit de Vénus en Scorpion au carré de Jupiter en Lion avec son maître Pluton.
Et pour ce qui est du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je l’avais déjà quelque peu montré le 24 janvier 2011 sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur la plateforme de blogs Overblog, ce dont l’intéressé s’était plaint à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 en expliquant aussi avoir constitué avec plusieurs amis internautes un groupe de « déconnologues » revendiquant « donner de la bonne humeur aux gens » en se « moquant » tous ensemble sur le site Rue89 de femmes qui s’y disaient victimes de harcèlement moral dans le travail. En général, les gens paient pour avoir leur thème astral, moi je le lui fais gratis, et il en va s’en plaindre en réponse à ma plainte parfaitement justifiée pour de déjà très nombreuses infractions pénales avérées dont il reconnaît bien une partie… Par ailleurs, la criminelle sadique Isabelle Johanny avait trouvé absolument génial son cyberharcèlement en bande organisée clairement revendiqué à l’égard de femmes déjà victimes de harcèlement moral dans le travail, elle l’a écrit dans un des faux criminels qu’elle a produits par la suite pour le disculper entièrement et tous ses complices avec lui.
Comme je ne connais toujours pas l’heure de naissance du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le 7 février 1958 à Strasbourg, je ne peux toujours pas en dire beaucoup plus et ne sais en particulier s’il n’aurait pas un ascendant Scorpion mettant encore davantage l’accent sur ce signe dans son thème astral.
Je fais seulement observer que sa moitié Annie Belléculée épouse Luraghi est elle bel et bien du signe du Scorpion, ce qui prouve l’importance de ce signe dans son thème à lui aussi. A l’évidence, c’est celui de leur couple, aussi pervers que les Fourniret ou Dutroux, dont on ne s’étonnera pas d’apprendre que Cyprien Luraghi avait âprement défendu l’épouse Michelle Martin sur Internet lors de sa libération conditionnelle en 2012. Notons que le signe du Scorpion est encore très présent dans ces deux autres couples de criminels sadiques, Marc Dutroux né le 6 novembre 1956 à Ixelles en Belgique et Monique Olivier née le 31 octobre 1948 à Tours en France étant tous deux natifs du Scorpion.
A ce stade, certains pourraient peut-être m’objecter que je suis moi aussi quelque part un gros Scorpion, ce qui saute aux yeux quand on dresse ma carte de ciel, mais il s’agit dans ce cas de toutes les violences que j’ai pu subir et subis encore, de tous les renoncements ou morts qui m’ont été imposés par des criminels. Le sadisme indiqué par le Scorpion peut en effet être aussi bien subi qu’infligé à des tiers. En général, les femmes en sont victimes tandis que les hommes en sont eux-mêmes acteurs. Un même sujet peut également être tour à tour victime ou acteur, c’est typiquement le cas des enfants maltraités ou victimes de pédocriminels qui reproduisent à l’âge adulte ce qu’ils ont subi enfants.
Revenons au cas de la fille dans le cercueil et tout ce qu’elle a subi de la part du dénommé Cameron Hooker, né le 5 novembre 1953 (voir ci-dessous), dont bien évidemment elle n’a jamais été amoureuse – il ne s’agit même pas de syndrome de Stockholm, mais simplement de l’instinct de survie comme elle l’explique très bien elle-même, en association à la proximité que ce criminel lui a imposée au quotidien durant sept ans en la privant de toute relation normale avec qui que ce soit.
Ce que je subis moi-même de la part de la sadique Isabelle Johanny depuis des années y ressemble quand même un peu.
Entre autres, elle m’a toujours fait porter la boîte de tête, conformément aux exigences de son donneur d’ordres le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’il avait bien exprimées publiquement sur son blog lorsqu’ont débuté les procédures judiciaires consécutives à ses « révélations » me concernant à compter du mois de juin 2010, lesquelles constituent dès le départ une mise en danger très grave de nombreuses personnes et ont toujours été associées à de multiples menaces de mort, des appels publics au meurtre ou à l’assassinat, exprimés par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi jusque sur une multitude de sites islamistes et fréquentés par des voyous (ce que savait déjà l’ultra corrompue Céline Verdier la première fois qu’elle m’a auditionnée, et elle l’a toujours approuvé).
Je ne dois donc jamais rien voir ni savoir de tout ce que ce malade mental et ses divers complices inventent sur mon compte et complotent contre mes proches et moi-même, et ne dois non plus surtout pas être entendue par qui que ce soit, car ce sont les conditions de la réussite de tous les projets criminels qui nous concernent.
En effet, assassiner des gens, même ingénieurs, cela ne se fait pas, c’est criminel.
Tout ce que font les magistrats brestois pour obtenir ces assassinats, cela ne se fait pas non plus, c’est toujours illégal et criminel.
Ainsi, par exemple, n’ai-je jamais pu obtenir une seule copie du PV d’audition du 14 mars 2011 du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avant l’été 2014, car il ne fallait surtout pas que je sache ce qu’il avait pu déclarer à cette date et qui depuis était utilisé comme « témoignage » à charge contre moi. Pour commencer, aucun de mes avocats n’a jamais pu obtenir de copie du dossier de procédure correspondant après le classement sans suite de ma plainte au printemps 2011 alors que se préparait la visite à Brest du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, qui n’avait pas mis les pieds dans la région depuis au moins trente ans.
Même dans le cadre de l’information judiciaire ouverte sur ma plainte avec constitution de partie civile portant sur les mêmes faits, nous n’avons jamais pu obtenir la communication de ce dossier, quoique ses contenus jamais précisés m’étaient opposés pour motiver un refus catégorique d’informer. Même chose en ce qui concerne les interrogatoires de Josette Brenterch de mars 2011 et de Jean-Marc Donnadieu de juillet 2011. Il ne fallait surtout pas que je sache ce que ces trois-là avaient pu raconter (bien sûr, ils avaient tous les trois menti), et mes avocats non plus. A cet effet, la juge d’instruction ultra corrompue Céline Verdier, recrutée à demi-bac + école de cul pour devenir magistrate et jouir d’un véritable droit de mise à mort de qui lui déplaît, notamment de titulaires de baccalauréats complets et d’autres diplômes qui ne se délivrent pas davantage en échange de parties de jambes en l’air, s’est tout simplement toujours abstenue de coter toutes ces pièces de procédures préliminaires au dossier de l’information judiciaire durant tout le temps de son ouverture, de manière à nous rendre cette partie du dossier de l’information judiciaire, pourtant essentielle, totalement inaccessible durant l’information, ce qui bien évidemment est totalement illégal.
Et cela ressemble beaucoup au principe ayant présidé à toutes les procédures que les trois mêmes ont engagées en parallèle à mon encontre ou contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog, à savoir, le vice de procédure systématique, toujours dans le but d’interdire tout débat contradictoire sur le fond pour me priver à chaque fois de toute possibilité de défense au fond (car bien évidemment toutes leurs accusations à mon encontre ont toujours été mensongères), sans compter que pour la procédure brestoise, celle de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, je n’ai enfin eu la totalité du dossier de l’information judiciaire qu’une semaine avant l’audience programmée le 9 avril 2013 devant le tribunal correctionnel de Brest, une première partie de ce dossier ne m’ayant été communiquée qu’au cours de l’été 2012, après la fin de l’information judiciaire où j’avais pourtant été auditionnée et mise en examen deux fois, les 19 janvier et 25 avril 2012, tandis que Josette Brenterch, elle, y avait accès quand elle voulait depuis le début et ne se privait pas, d’audition en audition, de continuer à m’accuser mensongèrement de n’importe quoi.
Les faux en écriture publique que produisent également systématiquement dans tous les dossiers qui me concernent les mêmes magistrats sont des faux criminels.
La sadique Isabelle Johanny est encore complice du système mis en place en 2013 par le pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour pouvoir poursuivre toutes ses malfaisances tout en étant « protégé » de toute nouvelle plainte de ses victimes, j’en ai eu confirmation assez récemment.
Bien évidemment, tout comme les autres magistrats locaux, elle sait aussi qu’il rédige ou a déjà rédigé et cherche à faire publier une version de ma « biographie » susceptible de déplaire très fortement à toutes les personnes qui me connaissent ou m’ont connue, puisque, notamment, tout mon passé professionnel et mes deux années d’activité bénévole dans l’association AC ! Brest en 2004 et 2005 y sont remplacés par des histoires de cul complètement débiles avec les divers messieurs que j’ai eu l’occasion de côtoyer ou de croiser dans ces deux cadres-là, et que j’y suis tout aussi mensongèrement présentée comme une prostituée débile mentale et folle à lier alors qu’en réalité je suis ingénieur en informatique.
Nous en avions eu un premier échantillon dès l’été 2010 avec le cas du dénommé Joël Roma qui, contrairement aux prétentions du mythomane et de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, n’a jamais été ni mon amant ni mon ami. Cela a toujours continué tant que le blog principal du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi était entièrement public, et je suppose qu’il y en a encore des tonnes depuis qu’en 2013 il est devenu pour l’essentiel « privé ». Le pervers, qui en fait s’est toujours montré assez bavard sur ses méthodes et ses projets, avait bien indiqué dès le début qu’il savait que pour ridiculiser les ingénieurs ou les faire passer pour des fous ou des débiles, il faut leur inventer des tas d’histoires de cul débiles. C’est en effet l’une des méthodes habituellement suivies par les professionnels du harcèlement moral en entreprise, dont il fait bien lui-même partie, même s’il n’attaque toujours qu’en étant à l’extérieur de l’entreprise, tout comme sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, dont quelques-unes des lettres de dénonciations calomnieuses dont elle est coutumière m’avaient été communiquées dès 2005.
En l’occurrence, toutes leurs affabulations calomnieuses me concernant peuvent bien faire réagir comme en étant potentiellement atteintes elles aussi quelques centaines de personnes. Il y en a encore autant pour chacun de mes proches, et pour mon père qui est assez connu dans certains milieux, les témoins gênants de nos vraies vies, tous susceptibles de faire des histoires à ce pauvre Cyprien Luraghi s’il publie sa version entièrement fausse et hautement délirante de ma « biographie », se comptent plutôt par milliers ou dizaines de milliers.
Toutes ces personnes sont donc activement recherchées depuis maintenant une douzaine d’années pour être toutes éliminées, comme le savent bien, aussi, depuis le début, les magistrats brestois, lesquels ont toujours adhéré à tous les projets du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre en toute connaissance de cause, puisqu’ils savaient déjà absolument tout de ma famille et de moi-même depuis fort longtemps lorsqu’ont débuté ses cyberharcèlements à mon encontre, en 2008.
A combien d’assassinats ces criminels en sont-ils aujourd’hui, uniquement pour pouvoir tranquillement publier une montagne d’inventions calomnieuses sur mon compte ? Eux seuls le savent.
Enfin, je rappelle que la « Compagnie » de la criminelle Isabelle Johanny n’a vraiment rien de fictif.
Elle en a même plusieurs à sa disposition, toutes plus réelles les unes que les autres :
- la police,
- la gendarmerie,
- l’Union syndicale des magistrats,
- l’hypersyndicat de la fonction publique NPA, anciennement LCR,
- l’armée occulte de psychopathes toxicomanes du même NPA,
L’affaire Hooker, qui était appelée affaire Colleen Stan avant que l’auteur de ce crime soit condamné, est une affaire criminelle américaine dans laquelle Colleen Stan, 20 ans, a été enlevée le 19 mai 1977 par Cameron et Janice Hooker. Ils la séquestrent dans leur maison à Red Bluff, en Californie, jusqu’en 1984. Ils l’ont utilisée comme esclave sexuelle. Lors du procès de Cameron Hooker, cette affaire est décrite comme sans précédent dans l’histoire du FBI1. Son cas a fait l’objet d’une médiatisation internationale et a fait l’objet de nombreux livres, films et séries télévisées.
Biographie
Colleen J. Stan est une Américaine née le 31 décembre 19562,3.
Enlèvement
Le 19 mai 1977, Colleen Stan faisait de l’auto-stop de chez elle à Eugene, en Oregon, à la maison d’un ami dans le nord de la Californie, où elle se rendait à une fête d’anniversaire4. Cameron Hooker (né le 5 novembre 1953) a enlevé Stan, âgée de 20 ans5. Stan a déclaré qu’elle était une auto-stoppeuse expérimentée et qu’elle avait laissé passer deux conducteurs avant d’accepter le trajet avec Hooker. Elle se serait « sentie en confiance en montant dans le fourgon bleu »6, parce que la femme de Hooker, Janice, et leur bébé étaient dans la voiture7. Quand ils se sont arrêtés à une station-service en cours de route, Stan est allée aux toilettes. « Une voix m’a dit de courir et de sauter par la fenêtre et de ne jamais regarder en arrière », se souvient-elle, mais elle a calmé ses peurs et est retournée à la voiture. Selon les témoignages de Stan et Janice Hooker, une fois seuls dans un endroit isolé, Hooker a quitté l’autoroute et a mis un couteau sous la gorge de Stan8, qui a ensuite été enfermée dans une « boîte de tête » en bois conçue pour empêcher la lumière, le son et l’air frais de pénétrer9. Durant ces 7 années de captivité, Colleen sera enfermée 22h sur 24 dans un cercueil sous le lit de Cameron Hooker.
Emprisonnement
En 1985, Hooker est condamné à 104 années de prison ferme.
Conséquences et séquelles
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Colleen aimait son agresseur au moment de témoigner à la cour. C’est ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm. Colleen reprend peu à peu une vie normale, autant que faire se peut, après un tel traumatisme. Elle a réussi à obtenir une licence universitaire et à se reconstruire grâce à un mariage et une petite fille.
« Colleen J Stan, Residence, Burney, California, United States », ‘United States Public Records, 1970-2009,’ database, FamilySearch (A third party aggregator of publicly available information), 23 mai 2014
Egan, Nicole Weisensee, « The ‘Girl in the Box’ Speaks: How I Survived Being Held Captive for 7 Years », People: Crime Series, 7 septembre 2016 (lire en ligne [archive], consulté le 22 janvier 2017)
Jim B. Green, Colleen Stan: The Simple Gifts of Life. Dubbed by the Media « The Girl in the Box » and « The Sex Slave », iUniverse, 2009 (ISBN978-1-4401-1837-1)
(en) Michael Newton, « Stan, Colleen », dans The Encyclopedia of Kidnappings, 2002 (lire en ligne [archive]), p. 293
Documentaires télévisés
« Colleen, séquestrée dans une boîte » (troisième reportage) le 7 et le 14 décembre 2013 et le 5, le 12 et le 20 avril 2014 dans Chroniques criminelles sur NT1.
Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.
Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.
Avis du 24 janvier 2015
Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né.
En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées.
Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.
Avis du 26 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.
Avis du 31 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.
Avis du 1er février 2015
Retour de mes statistiques "basiques".
Avis du 3 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.
Avis du 6 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.
Avis du 11 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.
Avis du 26 février 2015
Statistiques "basiques" enfin débloquées !
Avis du 27 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt...
Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
Avis du 4 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.
Avis du 7 mars 2015
Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.
Avis du 25 mars 2015
Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.
Avis du 2 avril 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour.
Avis du 26 avril 2015
Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.
Avis du 28 avril 2015
Statistiques de retour. Merci.
Avis du 7 mai 2015
Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.
Avis du 10 mai 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".
Avis du 14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
Avis du 3 octobre 2015
Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.
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