L’une des caractéristiques du Verseau est son universalisme. Aussi, il ne va pas particulièrement se focaliser sur les enfants, les femmes, les hommes ou les vieillards, d’autant que les humains l’intéressent vraiment très peu en tant que tels, il saute sur tout ce qui bouge.
Bien évidemment, c’est encore le cas du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui s’affiche de lui-même bisexuel et pédophile, tout comme Nordahl Lelandais. Il ne résiste pas davantage à l’attrait d’un jeune éphèbe qu’à celui d’une fillette sans défense, il l’a dit dans certains de ses écrits publics.
Notons encore comme traits communs entre François Vérove et Cyprien Luraghi leurs petits jeux littéraires à la con, qui ne seront jamais l’oeuvre, par exemple, d’un Bélier, lequel attaque de manière directe sinon impulsive, et sans aucune forme de distanciation.
Avec le Verseau, nous avons un pervers qui va prendre le temps de jouer avec sa proie ou de la « calculer » avant d’en faire ce qu’il veut et peut aussi tout simplement s’exercer, s’entraîner de manière tout à fait consciente et volontaire sur certaines de ses victimes. Même complètement fêlé et avec de graves déficiences mentales, il reste un signe de tête, peu primaire, qui ne cède pas à des « pulsions » et manque singulièrement d’instinct. En fait, il connaît tellement peu ou mal les humains (c’est un handicapé du coeur) qu’il ne peut même pas les considérer comme étant de la même espèce que lui, d’où sa tendance à jouer avec ses proies comme un chat avec les souris, en « intellectuel », car il se vit et agit comme tel même lorsqu’il est réellement débile (et plus son QI est bas, plus l’intelligence lui fait défaut, plus il s’estime supérieur aux autres).
Par contre, il est tout à fait capable de véritables explosions de violence, et toute explosion évoque d’ailleurs automatiquement le Verseau comme étant caractéristique de ce signe. Je pense par exemple, non seulement aux explosions « islamistes » qui m’ont poursuivie dans Paris en 1995 et 1996, mais également à l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 à Bouloc, dont le commanditaire était le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et l’auteur, s’il n’est pas Laurent Dejean, pourrait, pourquoi pas, avoir été François Vérove : emploi d’une clé particulière pour briser la nuque de la victime, clé habituellement utilisée par des professionnels entraînés comme il l’était, et du pseudonyme « Marcel Duchamp », nom d’un artiste très connu dans le 13ème arrondissement de Paris où une rue porte son nom, dans le quartier chinois, non loin de la place de Vénétie où le « grêlé » a commis au moins deux agressions, et à proximité, entre autres, de locaux de la Police Judiciaire et de la Préfecture de Police de Paris (Wikipédia : « Créé par un arrêté municipal du 13 décembre 1994, la rue Marcel-Duchamp a été la seule voie de Paris, et probablement de France, dont le nom a été choisi par ses propres habitants. Selon Alexina Duchamp, la veuve de l’artiste qui avait soutenu l’initiative, elle a été en outre la première au monde à porter officiellement ce nom. »). De surcroît, l’assassin de Patricia Bouchon s’excitait aussi sur l’oeuvre de Marcel Proust « Sodome et Gomorrhe ».
Comme déjà dit, ses choix peuvent être très politiques, à tous points de vue : choix de la cible, choix des effets produits bien au-delà de celle-ci.
J’ai déjà parlé à de multiples reprises des différents objectifs poursuivis simultanément par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à partir du moment où il m’est tombé dessus, en 2008, alors qu’il me piratait déjà depuis très certainement au moins plusieurs mois en relation avec la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest.
Je redis ici que l’assassinat de Cécile Bloch en 1986 à Paris m’interpelle tout particulièrement comme faisant écho à la haine que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest me portait déjà depuis plusieurs années, sans compter que je suis bien convaincue que François Vérove a participé à l’organisation d’un certain nombre de ses attentats « islamistes ».
La carte des agressions qui ont pu être imputées à ce dernier dans Paris en fait ressortir plusieurs dans le même secteur (voir ci-dessous).
Il est probable qu’il ait eu un complice dans l’ensemble d’immeubles de la rue Petit, chez qui il aura peut-être passé la nuit, mais pas forcément (le lundi matin à la première heure, il reprend son service, tout simplement), et aura pu se changer (certains témoins l’ont vu avec un blouson en cuir, d’autres avec un blouson en popeline), peut-être aussi se laver un peu après le crime. Les policiers de la Crim’ ont certainement envisagé cette hypothèse, mais elle les dérange.
Avec le Verseau, on peut s’attendre à tout, y compris au cannibalisme – le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi affiche ce fantasme depuis très longtemps et à mon avis il est aussi depuis très longtemps passé à l’acte; pour le comprendre il suffit de voir ce qu’il disait au cours de l’été 2020 des jeunes humanitaires qu’il a fait assassiner au Niger le 9 août de cette année-là : étant tous diplômés de l’enseignement supérieur français (lui a quitté l’école à 14 ans en situation d’échec scolaire et sans aucun diplôme), il les traitait de « no life » totalement vides, comme des moutons, qu’il considère comme tellement cons que pour lui ils ne sont même pas du monde animal et peuvent être décapités exactement comme on arrache des « betteraves », dont par ailleurs il a toujours dit qu’il raffole… En corollaire : il n’y aucun mal à décapiter des diplômés, ce ne sont même pas des êtres vivants… mais comme en plus il compare leurs têtes décapitées (contenant leurs cerveaux tellement différents du sien) à des betteraves dont il dit se régaler, on voit bien ce qu’il a très envie d’en faire et a probablement déjà fait.
Le Verseau expérimente des tas de choses totalement dingues, la plupart du temps entouré de sa bande de copains.
Mais le pire des criminels est du signe suivant, les Poissons, dernier des douze signes astrologiques, à travers lesquels, de strate en strate, du Bélier jusqu’aux Poissons, on passe à des choses de plus en plus élaborées, jusqu’à la toute dernière qui est celle de l’organisation criminelle la plus aboutie, dont les soldats sont tous drogués (Josette Brenterch du NPA de Brest et son armée de psychopathes tous toxicomanes).
J’en retiens que la victime de Mitry-Mory évoque un énorme trousseau de clés (au moins une vingtaine de clés) en possession de son agresseur.
J’ai vu le même accroché à la ceinture d’un type qui ressemblait énormément à François Vérove. Une fois de plus, je ne peux pas dire si c’était bien lui, il avait en tous les cas même taille même corpulence et même apparence.
Et cette fois, ce n’est pas à Paris en 1994, mais à Brest vers la fin des années 1990 ou le début des années 2000.
Je l’ai surpris sortant de chez moi alors que je rentrais et ne me trouvais plus qu’à quelques mètres de mon domicile.
En 2002, après l’épisode de l’empoisonnement criminel dont j’ai été victime cette année-là, j’ai encore été suivie notamment en voiture par un type qui lui ressemblait et m’a en fait toujours semblé être le même que j’avais déjà vu sortir de chez moi muni de cet énorme trousseau de clés, sans en être outre mesure surprise, vu que je m’étais déjà bien rendu compte de visites de mon domicile en mon absence.
Question : François Vérove a-t-il eu l’occasion de venir à Brest à cette époque, ou bien n’était-ce qu’un sosie du tueur en série ?
N.B. : Je ne contacte pas les responsables de l’enquête en cours pour mes petites interrogations à ce sujet, sachant que c’est parfaitement inutile, étant donné que toute investigation susceptible de me concerner est systématiquement bloquée par les magistrats de la Mafia, notamment les deux criminelles Céline Verdier et Isabelle Johanny.
Ah tiens, c’est amusant, le FBI a établi un classement des signes astrologiques en fonction de la dangerosité qu’il en connaît. Précisons qu’il n’y a pas forcément de corrélation entre le taux d’arrestations et la dangerosité réelle des criminels ou psychopathes de chaque signe, les plus astucieux se faisant à l’évidence bien moins arrêter que les plus balourds.
Or, le Verseau fait bien partie des criminels les plus astucieux, les plus malins.
Il est d’ailleurs connu comme manipulateur et pirate informatique, ce qui correspond bien à la manière dont se présente le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi en tout premier lieu. Ensuite, comme avec d’autres psychopathes du même signe, par exemple François Vérove ou Nordhal Lelandais, ou bien encore Emile Louis né le 21 janvier 1934 à Pontigny, on va de découvertes en découvertes toutes plus horrifiques les unes que les autres.
Concernant le signe opposé, le Lion (Jean-Marc Donnadieu), signe par excellence des dominateurs qui peuvent tuer quand on leur résiste, il est noté qu’il commettrait des crimes surtout par recherche de la célébrité. Oui, bien sûr, il cherche la célébrité, pas forcément à travers le crime, mais il admet très mal la concurrence et peut tuer ceux qui lui feraient de l’ombre. Très jaloux, il ne supporte pas de voir briller d’autres soleils que le sien. En ce qui concerne toutes les exactions du malade mental Jean-Marc Donnadieu à mon encontre à compter de l’année 2010, nous l’avons bien vu en permanence en recherche de célébrité à travers une victoire judiciaire contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog et moi-même, victoire obtenue au prix de très nombreuses infractions pénales : piratages informatiques et autres viols de l’intimité de la vie privée, harcèlements, dénonciations calomnieuses, tromperie, escroquerie, mais aussi assassinat de personnes qui menaçaient de faire capoter son entreprise en le dénonçant avec des éléments probants (il en attendait quand même une certaine somme d’argent, et certainement pas de finir en prison), et bien sûr, le tout au détriment de ses cibles initiales, qu’il a aussi toujours menacées de mort, en annonçant dès le départ qu’il allait les « pulvériser » (sic). Il recherchait en fait une double victoire : l’escroquerie au jugement qu’il a effectivement réalisée, et ma destruction, comme annoncé dès le départ, du fait que je lui avais résisté après sa première intervention pour le compte de son ami et complice le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ainsi qu’auparavant à ce dernier et ses autres complices cybercriminels. Noter qu’il se vantait d’avoir déjà obtenu une certaine notoriété en piratant le JT de France3 dans sa région lors d’un départ du Tour de France. Sa motivation pour ce piratage était bien la recherche de célébrité.
Les problématiques du Verseau sont en fait les mêmes que celles du Lion, mais à un niveau supérieur, plus complexe. Celui-là est obsédé par l’idée d’enculer les Dieux, voyez-vous, c’est assez spécial, il vise vraiment très haut. Et pour y parvenir, il utilise des humains qu’il manipule et qui ne sont pour lui que des objets.
La recherche de célébrité est également bien présente. Elle a toujours été exprimée très clairement par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et ce dès ses premières interventions totalement démentes sur le site Rue89 en 2008 : il cherchait à se faire reconnaître comme « génie littéraire », meilleur que tous les autres, le plus grand de tous les temps. C’est son unique but dans la vie et il ne recule vraiment devant rien pour l’atteindre. Cela dit, tout comme son complice Jean-Marc Donnadieu, il veut aussi du fric. L’un et l’autre ont bien toujours exprimé publiquement cette double recherche : devenir riches et célèbres, se couvrir de gloire et de richesses… toujours au détriment de personnes jalousées, qui leur font de l’ombre et ont en plus le tort de leur résister…
Venons-en aux plus dangereux selon le FBI.
En tête de liste, loin devant les autres si j’ai bien compris, figurent le Cancer et le Scorpion.
Ah ça, c’est mon duo de cinglées du TJ de Brest, les deux faussaires criminelles et terroristes Céline Verdier et Isabelle Johanny, qui l’une et l’autre s’affichent sur Copains d’avant :
La première est donc née le 5 juillet 1979 (Cancer) et la seconde le 9 novembre 1965 (Scorpion).
Soulignons ce qu’en dit le FBI, à partir de données qui ne sont quand même pas négligeables :
1 – Cancer (du 22 juin au 22 juillet)
Le Cancer prend la première place. Il a le caractère le plus dangereux et meurtrier de tous les autres signes astrologiques. Les personnes sous le signe du Cancer sont instables mentalement. Ils peuvent commettre des crimes impensables, par sautes d’humeur et jalousies. Les crimes passionnels sont très fréquents chez le Cancer. Ce dernier marque souvent ses victimes.
2 – Scorpion (du 23 octobre au 22 novembre)
Le Scorpion est connu pour son déséquilibre mental, ses actions, son audace et son comportement mystérieux. Aucun signe ne peut le rivaliser sur ces domaines. Il est particulièrement rancunier et très violent. Les criminels Scorpion commettent des meurtres avec sadismes vis-à-vis de leurs victimes.
Voilà, nous avons bien là deux malades mentales extrêmement graves : crimes impensables pour l’une et sadisme avéré pour l’autre.
Avec leur copine la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, née le 23 février 1952 à Aunay-sur-Odon dans le Calvados, sous le signe des Poissons, elles constituent la trilogie des signes d’eau, gouvernés par leurs émotions, leurs désirs, leurs émois sexuels, leurs fantasmes. Ces gens-là ne vivent pas dans le réel et ne réfléchissent pas, ils préfèrent mentir, affabuler, produire des tas d’inventions délirantes, avec ou sans prise d’alccol ou de stupéfiants. Vice, mauvaise foi et irresponsabilité totale les caractérisent.
Et moi, alors ?
Eh bien, le FBI a tout bien vu, je ne suis motivée que par la justice mais n’ai encore tué personne. Je me contente de déposer des plaintes qui toutes finissent au broyeur – parce qu’il est essentiel que le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi puisse tranquillement poursuivre toutes ses recherches concernant mes anciennes connaissances, afin de toutes les éliminer.
Classement : les signes astrologiques les plus dangereux
LINFO.RE – créé le 21.10.2018 à 16h23 – La rédaction
RICHARD B. LEVINE/NEWSCOM/SIPA
Découvrez ci-après le classement des signes zodiaques, du plus criminel au moins déséquilibré ! Cette classification puise sa source d’un rapport rédigé par CNN, version turque, et des dernières statistiques du FBI (Federal Bureau of Investigation).
1 – Cancer (du 22 juin au 22 juillet)
Le Cancer prend la première place. Il a le caractère le plus dangereux et meurtrier de tous les autres signes astrologiques. Les personnes sous le signe du Cancer sont instables mentalement. Ils peuvent commettre des crimes impensables, par sautes d’humeur et jalousies. Les crimes passionnels sont très fréquents chez le Cancer. Ce dernier marque souvent ses victimes.
2 – Scorpion (du 23 octobre au 22 novembre)
Le Scorpion est connu pour son déséquilibre mental, ses actions, son audace et son comportement mystérieux. Aucun signe ne peut le rivaliser sur ces domaines. Il est particulièrement rancunier et très violent. Les criminels Scorpion commettent des meurtres avec sadismes vis-à-vis de leurs victimes.
3 – Sagittaire (du 23 novembre au 21 décembre)
Le Sagittaire ne fait jamais dans la demi-mesure. Ceux ou celles qui sont nés sous ce signe sont connus pour leurs crimes de masse. La police a du mal à les mettre en prison puisqu’ils ne commettent jamais des crimes. Ils sont souvent les cerveaux qui se cachent derrière les plus grands criminels du monde.
4 – Taureau (du 21 avril au 20 mai)
Le Taureau est célèbre pour sa rage, sa force et son ambition. Il est classé dans le Top « Five » des meurtriers les plus dangereux. Sa particularité est de satisfaire ses intérêts et buts personnels quoiqu’il en coute. Très souvent, ses crimes sont motivés par le mal absolu.
5 – Bélier (du 21 mars au 20 avril)
Le Bélier a un caractère colérique et entêté. Il est aussi connu pour sa rébellion. Il commet la plupart de ses crimes dans un moment chaud, mais regrette par la suite.
6 – Capricorne (du 22 décembre au 20 janvier)
Les tueurs sous le signe Capricorne sont ceux qui s’assument le plus. Ils n’ont pas peur d’avouer leurs crimes ni les conséquences qui vont avec. Capricorne a le plus de probabilité de devenir un « serial killer » (tueur en série)
7 – Poissons (du 20 février au 20 mars)
Les Poissons sont très émotionnels, ils sont de bons cœurs. Toutefois, ils ne sont pas si innocents que l’on pense. Ils commettent généralement les meurtres les plus spectaculaires. Et pour preuve : les tueurs en série les plus célèbres, dont Francis Heaulme, Dennis Rader, Richard Ramirez et Aileen Wuornos, sont des Poissons.
8 – Vierge (du 23 août au 22 septembre)
La Vierge est considérée comme habile à dissimuler des preuves, à réfléchir aux détails et à ne jamais être capturée. Elle est célèbre pour son ordre et sa précision. Elle est la plus apte à commettre le crime parfait.
9 – Balance (du 23 septembre au 22 octobre)
La Balance est considérée comme la personne la plus patiente et loyale de tous les signes. Elle commet des crimes seulement pour rétablir la justice.
10 – Lion (du 23 juillet au 22 août)
Le Lion aime attirer l’attention des autres. Souvent les criminels qui portent ce signe commettent leurs crimes afin d’attirer l’attention du public à leurs égards et devenir célèbres.
11 – Verseau (du 21 janvier au 19 février)
Le Verseau sait se comporter avec les gens. Il a une finesse, savoir-faire et une intelligence incroyable. Les criminels sous le signe Verseau ont souvent un art de la manipulation. Il pourrait nous faire penser à John le rouge de la série « Le mentaliste« .
12- Gémeaux (du 21 mai au 20 juin)
Le Gémeaux est le signe le moins déséquilibré mentalement. Toutefois, son dédoublement de personnalité peut le faire classer au sommet de la liste.
Les signes astro les plus psychopathes selon le FBI
Baptiste – mise à jour le 23 octobre 2020
Les nouvelles statistiques du FBI exposent les signes les plus dangereux du zodiaque
Certains signes du zodiaque sont particulièrement sensibles, d’autres plutôt froids ou égoïstes… Jusque là, rien de bien méchant. Mais il y a aussi des signes astrologiques plus aptes à commettre des meurtres que d’autres.
Selon plusieurs articles parus aux États-Unis, le FBI aurait partagé les dates de naissance des tueurs en série et de personnes ayant des tendances psychopathiques. Il s’agit donc de véritables statistiques !
Dans cet article nous vous révélerons les annotations et le classement du FBI qui a distingué les signes selon leur degré potentiel à devenir un meurtrier du dernier au premier. Nous nous sommes aussi amusés à décerner un personnage de fiction pour chacun des signes, en essayant de décrire quel côté de leur caractère astral pourrait les pousser au crime.
Quels sont les signes les plus psychopathes en astrologie ?
12 – Gémeau ou le dédoublement de la personnalité
Ce que dit le rapport du FBI sur le Gémeau :
Selon les statistiques du FBI, il s’avère que les Gémeaux ont le moins de sang sur leurs mains que les autres signes astrologiques. Ce sont apparemment les personnes les moins enclins à être poussées au meurtre. Cependant, c’est le signe sous lequel sont nés le plus de tueurs en série connus.
Serial killer né sous le signe du Gémeau :
Peter Sutcliffe, Peter Kurten, Anthony Hardy “Camden Ripper”, David Berkowitz, Jeffrey Dahmer, Arthur Shawcross, Richard Chase, Kenneth Bianchi, Catherine Birnie, Trevor Hardy, Ted Kaczynski et Dr Thomas Neill Cream
Comment la rédaction voit le Gémeau psychopathe :
Avec leurs double personnalité, on pourrait plutôt penser que les Gémeaux auraient des tendances à la Schizophrénie meurtrière, genre un mélange entre Gollum du film « Le Seigneur des anneaux » et Tyler Durden du film « Fight club » avec une petite pointe de Keyser Söze du film «Usual Suspects».
11 – Le Verseau ou l’art de la manipulation
Ce que dit le rapport du FBI :
Les personnes du signe du Verseau ont une forte tendance à commettre des crimes pour se venger. Ils sont également connus pour être des pirates informatiques, des arnaqueurs et des personnes manipulatrices.
Serial killer né sous le signe du Verseau :
Joel Rifkin, John Bodkin Adams, Luis Alfredo Garavito, Gary Ridgway, David Birnie et Lee Boyd Malvo
Comment la rédaction voit le Verseau Psychopathe :
Selon l’Astrologie, le Verseau est émotionnellement distant, intelligent et maîtrise l’art de la manipulation. Il pourrait nous faire penser à John le rouge de la série « Le mentaliste ».
10 – Le Lion ou la soif de célébrité
Ce que dit le rapport du FBI :
Les Lions sont habituellement dangereux et connus pour leurs activités criminelles complexes. Mais apparemment, selon le rapport, lorsque les Lions commettent un meurtre, ce serait surtout pour être au centre de l’attention et devenir célèbre.
Serial killer né sous le signe du Lion
John George Haigh, Myra Hindley, Donald Neilson, Raymond Morris, Anatoly Yuriyovych Onoprienko et Faye Copeland.
Comment la rédaction voit le Lion psychopathe :
Les Lions sont connus pour être passionnés et fougueux. Bien que ce soit surtout des traits positifs, les Lions peuvent aller de travers s’ils ont un tempérament psychotique. Les personnes du signe astrologique du Lion aiment être le centre d’attention et comme tout signe de feu, il a aussi un caractère vicieux. Les Lions pourraient être tentés par des activités criminelles pour la célébrité ! Le Lion nous fait penser au tueur en série du film “Zodiac” inspiré de faits réels. En effet, ce tueur a envoyé plusieurs lettres aux services de police et a semé un vent de panique à San Francisco entre la fin des années 60 et le début des années 70. Beaucoup de films et de livres sont parus sur ce serial killer qui n’a jusqu’à aujourd’hui jamais été retrouvé.
9 – Balance ou le sens aiguisé de la justice
Ce que dit le rapport du FBI :
Même le signe le plus pacifiste a ses limites et commet plus de meurtre que le Lion ou le Verseau. Les personnes du signe de la Balances recourent à la violence lorsque des personnes profitent de leur bonne volonté et de leur gentillesse.
Serial killer né sous le signe de la Balance :
Fred West, Derrick Bird, Andrei Chikatilo, Patrick MacKay, Javed Iqbal Mughal, Peter Bryan et Beverly Allitt.
Comment la rédaction voit la Balance psychopathe :
Les Balances sont connues pour être des personnes qui n’aiment pas les problèmes et très diplomates. Cependant la seule chose qui peuvent les faire sortir de leurs gonds et se battre serait qu’ils se retrouvent face à une situation injuste. Leur sens de la justice prédomine sur leurs autres traits. La Balance nous fait penser au personnage de Paul Kersey dans le film «Un justicier dans la ville».
8 – La vierge : tout dans le détail
Ce que dit le rapport du FBI :
Les personnes du signe de la Vierge préfèrent le vol et la fraude plus que le meurtre. Les Vierges sont apparemment connues pour être des pirates informatiques et des cambrioleurs. Leur particularité est qu’elle n’aime pas laisser de désordre (typique Vierge).
Serial killer né sous le signe de la Vierge :
Dr H H Crippin, Ed Gein, Rodney Alcala, Graham Young, Peter Tobin, Carol M. Bundy, Henry Lee Lucas, Paul Bernardo et Albert DeSalvo.
Comment la rédaction voit la Vierge psychopathe :
Comme les discrètes Vierges sont si minutieuses et concentrées sur les petits détails, le FBI a sûrement du avoir du mal à trouver les preuves ou les corps de leurs méfaits. A notre avis ce n’est peut-être seulement que le sommet de l’iceberg. La Vierge nous fait penser au personnage de fiction «Dexter» de la série du même nom.
7 – Poisson ou le piège du rêve qui se transforme en cauchemar
Ce que dit le rapport : les personnes nées sous le signe du Poisson commettent généralement les meurtres les plus spectaculaires. Ils le font souvent sous l’emprise de l’alcool ou de la drogue due à leur tendance à l’addiction. Ce sont des personnes colériques cachant un côté sombre.
Serial killer né sous le signe du Poisson :
John Wayne Gacy, Richard Ramirez, Colin Ireland, Aileen Wuornos, Dennis Rader, Doug Clark, Donald Henry Gaskins, John Straffen, Stephen Port, Robert Napper et Peter Manuel
Comment la rédaction voit le Poisson psychopathe :
Méfiez-vous du poisson qui nage entre deux eaux ! Les Poissons sont durs à cerner. Ils sont constamment dans un conflit intérieur, entre l’imaginaire et la réalité. Connus pour leurs addictions aux drogues ou à l’alcool, leur côté obscure pourrait se dévoiler et les faire passer à l’acte. Même les Poissons tempérés peuvent devenir très dangereux s’ils sont hors de contrôle ! Ils pourraient nous faire penser à un mélange entre Patrick Bateman du film «Américan Psycho» et William Foster du film «Chute libre». Ils sont connus aussi pour être de grands rêveurs et passer plus leur temps dans leurs songes que dans la réalité. Ils pourraient bien rentrer dans la peau du personnage de Freddy Krueger du film «Les griffes de la nuit».
6 – Capricorne, l’inflexible conservateur
Ce que dit le rapport du FBI :
Bien qu’ils soient connus pour leur respect des lois et des règles, les personnes du signe du Capricorne peuvent très vite devenir des criminels. A priori il ne faut pas trop les énerver… Les Capricornes ne tuent pas souvent, mais quand ils le font c’est à fond ! Ils sont connus pour être des criminels assez polyvalents.
Serial killer né sous le signe du Capricorne :
Ian Brady, Harold Shipman, Cynthia Coffman, Dorothea Puente, Jeremy Bamber, Ronald Dominique, Dean Arnold Corll, John Allen Muhammad, Randall Woodfield, Ray Copeland, Stephen Griffiths, George Joseph Smith, Jeremy Bamber et Janie Lou Gibbs
Comment la rédaction voit le Capricorne psychopathe :
Les Capricornes sont connus pour être des personnes très sérieuses, ingénieuses, disciplinées aimant la famille, les traditions, l’ordre et ayant des tendances totalitaire. Mélangez le tout et vous obtenez le fan de la bible John Doe du film «Seven».
5 – Bélier ou le dictateur sanguinaire
Ce que dit le rapport du FBI :
Entêté et ayant soif de pouvoir, leur colère est brutale mais ça ne dure pas longtemps. Et visiblement ils portent des armes tout le temps sur eux. C’est pour cette raison que le signe du Bélier se trouve à la cinquième place de cette liste. Si vous énervez un Bélier, assurez-vous de rester loin d’eux pendant un certain temps. Ensuite, ils oublieront pour quelle raison ils se sont fâchés. Le Bélier est plus susceptible de nier ce qu’on lui reproche.
Serial killer né sous le signe du Bélier :
Henri Desire Landru, Herbert Mullin, Alexander Pichushkin, John Reginald Christie, Judy Buenoano et Gerard John Schaefer
Comment la rédaction voit le Bélier psychopathe :
Le Bélier est un leader naturel. Mais s’il va dans la mauvaise direction, il peut facilement finir comme un dictateur féroce. C’est pour cette raison que le Bélier pourrait facilement incarner Negan de la série «The Walking Dead».
4 – Taureau ou l’effroyable gourmet
Ce que dit le rapport du FBI :
La colère du Taureau est intense! Mais visiblement le blanchiment d’argent ou les crimes financiers est plus fréquente chez ces personnes que le meurtre.
Serial killer né sous le signe du Taureau :
Albert Fish, Orville Lynn Majors, Michael Ryan, Dr H H Holmes, Robert Black, Levi Bellfield, Karla Homolka, Steven Wright and David Copeland
Comment la rédaction voit le Taureau psychopathe :
Les Taureaux sont connus pour être casaniers, possessifs, têtus et peuvent facilement entrer dans une grande colère, ce qui en fait un signe astrologique assez dangereux. Intelligent mais solitaire, le terrible signe du Taureau évite d’avoir à s’engager avec les autres. Son attirance pour la nourriture pourrait lui donner le profil d’Hannibal Lecter du «Silence des Agneaux».
3 – Sagittaire ou le voyage au bout de l’enfer
Ce que dit le rapport du FBI :
Les natifs et natives du signe du Sagittaire ne font pas dans la demi-mesure. Ils sont connus pour commettre des tueries de masse et pour s’autoproclamer « Chef ». Le tristement célèbre baron de la drogue Pablo Escobar était un tyran dans le pire sens du terme, ainsi que Joseph Staline. Il est assez difficile de mettre en prison un Sagittaire. Ils sont apparemment connus pour se faire la belle. Le tueur en série Ted Bundy s’est échappé de prison à deux reprises. Cela dit, selon le rapport et dans la plupart des cas, les Sagittaires sont réticents à blesser les autres et sont plus susceptibles d’être arrêtés pour vol.
Serial killer né sous le signe du Sagittaire :
Dennis Nilsen, Ted Bundy, Edmund Kempner, Steven Grieveson, Larry Eyler, Derrick Bird, Ray Fernandez, Martha Beck, Moses Sithole et Rosemary West.
Comment la rédaction voit le Sagittaire psychopathe :
Un méchant Sagittaire peut être instable et impitoyable. Si le Centaure se met en colère, il faut faire attention ! Ils peuvent être extrêmement cruels. Idéaliste, épris de voyage et d’aventure, le Sagittaire pourrait incarné Mickey Knox du film « Tueur né».
2 – Le Scorpion ou la vengeance dans la peau
Ce que dit le rapport du FBI :
Parce que la plupart des tueurs en série sont nés en Novembre, la majorité d’entre eux est Sagittaire et le reste est du signe du Scorpion. Ils sont connus pour être des meurtriers sadiques.
Serial killer né sous le signe du Scorpion :
Kimberly Clark-Saenz, Fritz Haarmann, David Ray Parker, Robert Pickton, Kristen Gilbert et Velma Barfield.
Comment la rédaction voit le Scorpion psychopathe :
Bizarrement les Scorpions n’ont pas la première place. Les Scorpions n’oublient jamais lorsque quelqu’un les a blessés et leur vengeance peut aller très loin. Méthodique, calme, discipliné avec leur petit côté sado, les Scorpions pourraient bien incarner Clyde Shelton interprété par Gerard Butler dans le film « Que justice soit faite ».
1 – Le Cancer ou la passion à double tranchant
Ce que dit le rapport du FBI :
Les personnes du signe astrologique du Cancer sont les plus meurtrières ! De tous les signes du zodiaque, c’est le signe astrologique le plus arrêté par la police. L’instabilité mentale est un trait négatif du Cancer et cela peut les pousser à passer plusieurs fois à l’acte. Les Cancers sont susceptibles de commettre l’impensable à cause de leur jalousie et leur sautes d’humeur. Les crimes passionnels sont fréquents chez nos amis à pinces. Si le Cancer goûte au goût du meurtre, il risque de recommencer à nouveau en laissant des traces distinctives sur ces victimes.
Serial killer né sous le signe du Cancer :
Robert Maudsley, Glen Edward Rogers, John Reginald Le Monstre de Rillington Place, Gary Heidnik, Genene Jones, Carl Panzram.
Comment la rédaction voit le Cancer psychopathe :
Le Cancer est connu pour être très attaché à sa famille et à ses proches. Mais aussi pour leur sautes d’humeur, pour être hypersensible et émotionnellement excessifs lorsqu’il s’agit de relations amoureuses. C’est pour cette raison que nous le voyons très bien entrer dans la peau du personnage de Norman Bates du film «Psychose».
Nous espérons que cet article vous a plu et que vous avez passé un bon moment en le lisant. Nous serons heureux que vous participiez à notre sondage ci-dessous en votant pour le signe astrologique le plus psychopathe que vous ayez rencontré ou que vous nous laissiez vos avis dans un commentaire comme par exemple quel personnage incarnerait bien tel signe ou tel signe.
Nous venons d’aborder le cas de François Vérove, né sous le signe du Verseau, le 22 janvier 1962 à Gravelines.
Tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, né le 7 février 1958 à Strasbourg, c’est un exemple tout à fait représentatif de la criminalité du Verseau.
Bien entendu, tous les individus nés sous le signe du Verseau ne sont pas pour autant des criminels.
Cependant, on en retrouve beaucoup parmi les pires.
Leurs caractéristiques communes relèvent de la personnalité particulière du Verseau, signe dont les deux planètes quelque peu antagonistes Uranus et Saturne ont la maîtrise.
Saturne n’est ni drôle ni jeune ni particulièrement affable, il est sérieux comme un pape et très sévère, austère, réducteur, contraignant, c’est la police ou le conservatisme des vieux psychorigides et de la droite la plus dure, ce sont aussi l’effort physique ou intellectuel à fournir dans le travail, les mathématiques, la mélancolie, la misanthropie, etc…
A l’inverse, Uranus s’affranchit de toute limite, tout carcan, c’est l’insolent Prométhée ayant volé par ruse le feu sacré des Dieux… ou François Vérove et d’autres criminels s’autorisant eux-mêmes à ôter la vie de qui ils veulent quand ils veulent comme ils veulent.
Le Verseau, contestataire né, anti-conformiste, et en même temps conservateur à l’extrême, ne lâchant jamais rien, d’une grande rigidité, préférant rompre que plier ou céder, brutal, violent, radical, foudroyant ou sidérant toutes ses victimes, est ainsi le signe de la schizophrénie, de la paranoïa, de toutes les maladies mentales, tous les dérèglements, toutes les démesures, toutes les libertés et révolutions – il se prend pour Dieu lui-même et vous instaure sa dictature dans le sang et la fureur.
C’est également le signe de la fameuse et fumeuse « indépendance » du juge d’instruction français, lui aussi bien trop souvent un dangereux malade mental en roue libre.
La Loi, c’est lui, le hors-la-loi par excellence.
Individualiste à l’extrême, totalement inhumain, sans aucune sensibilité, à l’image de Prométhée ayant volé le feu des Dieux pour le rendre aux humains, paradoxalement, il se signale aussi comme un champion de l’amitié et de l’humanité – il va par exemple militer contre la peine de mort ou toute peine d’emprisonnement en oubliant le sort des victimes de ses chers protégés ou complices du crime organisé. Bien évidemment, il n’y a pas là la moindre générosité de sa part, il est sec, très sec, calculateur et très intéressé, rusé.
Tout en étant singulier, marginal, il est donc néanmoins très entouré, intégré dans un grand cercle amical, comme un syndicat, une confrérie quelconque, une secte, un parti politique ou un réseau criminel.
Ce n’est pas un loup solitaire, il chasse plus volontiers en meute, étant toujours à la recherche d’une certaine respectabilité, de l’accord du nombre, même dans le crime, c’est-à-dire qu’il va toujours chercher à imposer toutes ses déviances comme nouvelles normalités.
Autre exemple notable : Nordahl Lelandais, né le 18 février 1983 à Boulogne-Billancourt.
Bien sûr, comme déjà dit, tous les individus nés sous le signe du Verseau n’en sont pas là. Lorsqu’ils sont dotés d’une intelligence normale, ce qui n’a jamais été le cas des criminels précités, ils s’orientent généralement avec succès vers les sciences et techniques, font preuve d’ingéniosité, d’originalité, de créativité, innovent, au lieu d’être simplement d’excentriques destructeurs.
Pour être un inventeur ou un créateur digne de tous les honneurs, un « génie », littéraire ou autre, il ne suffit pas d’être capable d’inventer absolument n’importe quoi ou les pires saloperies pour nuire à autrui, et tout spécialement à ceux qui semblent promis à un très bel avenir de véritables ingénieurs ou créateurs.
Là, je dois dire que je suis quand même assez frappée par le profil de Cécile Bloch et son assassinat.
L’assassin n’avait pas repéré juste sa future victime, mais toute sa famille avec elle, et il s’est plu à narguer le père, la mère et le frère aîné (déjà engagé dans des études scientifiques de haut niveau) avant de fondre sur sa proie et la torturer à mort. Il me semble évident qu’il a voulu détruire toute une famille, qui ne le connaissait pas, et qu’il ne connaissait donc pas lui-même, et n’avait peut-être même pas repérée lui-même. Les précédentes agressions du mois d’avril 1986 peuvent être des essais, afin de s’assurer de ne pas rater la cible principale, lorsque son heure sera venue. A mon avis, Cécile Bloch n’a pas commis l’imprudence de prendre l’ascenseur avec un inconnu, il devait l’attendre dans le noir sur son palier et ne lui a pas laissé le choix. Pour cette fois-là, tout avait été bien calculé. Lui le cancre n’ayant probablement pu faire ce qu’il voulait parce qu’il était trop mauvais en tout ou presque a tout spécialement visé, peut-être aiguillé en cela par un tiers, une famille dont les enfants, contrairement à lui, ne manquaient pas d’intelligence.
Cela ressemble beaucoup à ce que je subis moi-même depuis des décennies. Or, j’ai été repérée par des individus qui haïssaient mon père (non pas comme « truand bien connu du Milieu brestois », comme ils le diront plus tard mensongèrement pour me calomnier, mais au contraire comme un genre de chevalier blanc dérangeant très sérieusement tous les truands de la région), très précisément à l’âge de onze ans, parce qu’en classe de 6ème où nous commencions à être notés, je m’avérais excellente élève (ce n’est pas mon mot mais celui le plus fréquemment utilisé par mes professeurs pour me qualifier), au collège comme à l’Ecole de Musique où j’obtenais aussi des mentions très bien en solfège et en violon.
Qui plus est, la folledingue qui depuis toujours organise, initie ou ordonne toutes les violences dont mes proches et moi-même sommes victimes, à savoir la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, a toujours obtenu tout ce qu’elle voulait de ses deux grandes familles d’appartenance, la politique et la gendarmerie.
Et l’assassinat très particulier de Cécile Bloch, qui manifestement n’était pas destiné à passer inaperçu, a effectivement connu un très fort retentissement médiatique.
S’agit-il vraiment de coïncidences, ou non ?
En 1986, il y avait déjà beaucoup de monde à me haïr, mais uniquement par jalousie. Je n’avais pas encore eu le temps de déranger qui que ce soit par mon travail, sauf, bien sûr, durant ma scolarité et mes études, depuis la classe de 6ème. Il y avait donc la folledingue Josette Brenterch et tout son entourage politique, amical et familial, dont le futur juge Raymond André, qui haïssait déjà toute ma famille dans les années 1980, ce que je n’apprendrai que de manière tardive (nous ne le connaissions pas). Arrivé au TGI de Brest en 1989 comme juge d’instruction et anciennement commissaire de police, ce type est un vrai dingue anormalement intéressé par la gent féminine.
Où était-il en 1986 ? N’aurait-il pas débuté sa carrière avec un poste à Paris ?
Le Verseau est parfaitement capable de commettre des crimes pour gagner l’amitié d’un individu ou d’un groupe d’individus, lorsqu’il estime qu’elle va servir ses ambitions.
Ce sont plusieurs interviews de Patricia Tourancheau, qui est l’auteur d’un des deux ouvrages parus cette année sur cette affaire, des émissions de RTL et Infocrimes, et pour finir, l’annonce d’un dépôt de plainte contre l’Etat, il y a tout juste deux jours. Le plaignant a bien raison. Une fois de plus, sauf en ce qui concerne la juge d’instruction Nathalie Turquey à partir de sa saisine en 2014, ce sont bien les juges qui refusaient de travailler sérieusement ou ont pourri les enquêtes autant que possible.
Qu’un juge d’instruction français puisse s’avérer d’une quelconque utilité publique reste l’exception qui confirme la règle.
Pour la plupart, ce ne sont toujours que des malfaisants obsédés par une défense jusqu’au-boutiste des pires criminels, ayant même conduit certains d’entre eux à participer eux aussi à l’organisation d’attentats « islamistes ».
Pour en revenir au « grêlé », il résidait donc à la caserne des Célestins, au 18 boulevard Henri IV, dans le 4ème arrondissement de Paris, pas dans le 13ème où se trouve la caserne du 56, boulevard Kellermann.
Par ailleurs, le voir en mouvement est intéressant. C’est là que je me rends compte avoir été suivie par un type qui lui ressemblait, en 1994. Quant à dire si c’était bien lui ou non, cela m’est impossible.
Et là, je viens de trouver ces deux vidéos dont l’auteur a bien travaillé : il nous rapporte quantité d’informations qui pour l’heure ne se trouvent pas réunies dans un autre documentaire consacré à ce sujet.
Je recolle aussi sa fiche Wikipédia ci-dessous.
François Vérove a quitté la gendarmerie pour la police en 1988 mais se présente déjà comme policier auprès de ses victimes avant d’en être un, à l’occasion des premières agressions qui lui sont attribuées, en 1986 et 1987.
Cécile Bloch habite dans un immeuble où logent de nombreux policiers (au numéro voisin, si je me souviens bien; cette information est fournie par un policier dans un des nombreux reportages disponibles sur cette affaire).
S’étant présenté à Irmgard Müller sous un faux nom, mais aussi comme photographe, le tueur a donné à cette jeune Allemande une adresse qui correspond à celle d’un ancien laboratoire photographique de la police, rue Rubens, dans le 13ème arrondissement de Paris, à proximité immédiate du Commissariat Central et de la Mairie, ainsi que de la place d’Italie où il a commis l’une de ses premières agressions, en avril 1986, l’autre ayant été commise également dans cet arrondissement, dans le quartier chinois, place de Vénétie.
En 1994, habitant lui-même à Longperrier en Seine-et-Marne, il enlève une petite fille à Mitry-Mory, soit à 13 km de chez lui, emprunte des chemins qui ne sont connus que des personnes habituées de ce secteur, et l’emmène jusqu’à Saclay dans l’Essonne, à plus de 60 km de là, dans une vieille ferme désaffectée qui a servi de lieu d’entraînement pour des policiers et des gendarmes, notamment ceux du GIGN.
Pour plusieurs de ses agressions, il est évident qu’il avait bien repéré sa victime au préalable et préparé son passage à l’acte.
Les profileuses indiquent que pour ses premières agressions, soit, a priori, dans le 13ème arrondissement de Paris, il doit se situer dans sa zone de confort, donc habiter ou travailler à proximité des lieux d’agression.
Dans un forum de discussion lui étant consacré, l’un des intervenants indiquait aussi en 2015 :
Bonjour , l’environnement proche de l’individu dans les années 80 , de forte chance que ce fut le 13 eme , pour être plus précis probablement dans un rayon de 500 m de la rue Rubens , à priori dans un bâtiments de grand ensemble . La station de métro de prédilection , celle de la place d’Italie , pour deux raisons , la proximité et le fait qu’elle comporte trois ligne , la 5, 6 et 7 . La ligne 7 mène à la station Choisy, en face de la place de Vénétie ou fut perpétré une agression 7 avril 1986 .La ligne 5 en direction du nord ,dessert la station porte de Pantin proche de la rue Petit ou fut commis un meurtre le lundi 5 mai 1986 .La ligne 6 vers l’ouest donne sur Raspail, Montparnasse bienvenue des secteurs que l’individu a fréquenté . Juillet 1982 une jeune martiniquaise de 11 ans disparaît Quai de la Rapée , son corps sans vie sera découvert rue Bruneseau , Le quai de la Rapée se situe à 4 station de la place d’Italie , de plus même à pieds la distance n’est pas tirés grande depuis le secteur de la rue Rubens .Quand au lieu ou fut retrouvé le cadavre il est distant de seulement 4 minutes à pied de la station porte d’Ivry ligne 7 . Juillet 1982 un des premiers crime de l’individu ou ne sont ce là que de simple coïncidences ?
Bonjour , 13 juillet 1983 vers midi disparaissait la petite G.P depuis une aire de jeux face à un bâtiment de grand ensemble situé à Bobigny . Ses parents résidaient à une cinquantaine de mètres de là, rue du lieutenant Lebrun dans un petit pavillon . Son corps sans vie sera retrouvé 4 jours plus tard à une quarantaine de km, en bordure de la départementale 96 entre la nationale 4 et Chatres . On ne peut s’empêcher de faire le rapprochement avec le meurtre de M.A un an auparavant quasiment jour pour jour le 10 juillet 1982 . La tentation de mettre au crédit du g. cet acte est bien réelle ,depuis aucun suspect n’a fait surface , au risque de rabâcher, cette donnée n’est pas négligeable ,le facteur espace temps concorde . De plus un élément vient renforcé cette hypothèse , 900 m séparent le lieu
de l’enlèvement de la station de métro Pablo Picasso , qui dépens de la ligne 5 incluant sur le trajet les stations porte de pantin et quai de la râpée et dont le terminus et la place d’ Italie . A l’évidence
s’il apparaît que l’individu était probablement véhiculé ce jour , un repérage préalable s’est éventuellement effectué par ce biais .
Nous savons désormais qu’à cette époque le tueur est l’un des motocyclistes de la Garde républicaine (voir ci-dessous). Son lieu de résidence dans les années 1980 n’a pas encore été divulgué. Et il doit aussi, déjà, être très proche d’au moins un policier, exerçant peut-être dans le 13ème arrondissement de Paris.
Le président de la République qu’il escorte régulièrement dans ses déplacements officiels est François Mitterrand.
Le maire de Paris est alors Jacques Chirac et le maire de son 13ème arrondissement Jacques Toubon.
En 1988, François Vérove intègre la Préfecture de Police de Paris.
De 1994 à 1999, il est en poste à Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine.
Le maire de cette ville est alors Jean-Frantz Taittinger, maître de conférences à l’école de cul de Paris :
Ce dernier est originaire de Reims (voir ci-dessous).
Nous savons aussi que François Vérove se trouve désormais et enfin dans une zone de très grand confort professionnel, puisqu’il est délégué syndical, chez Alliance, syndicat policier classé à droite (voir ci-dessous).
L’utilisation de la preuve ADN dans les enquêtes criminelles à compter de l’année 1996 a cependant pu l’inquiéter.
A la même époque se développent aussi réseaux informatiques et téléphonie mobile qui viendront rapidement modifier, autant les conditions de commission d’agressions diverses et variées que toutes les enquêtes subséquentes.
Il est établi que François Vérove n’a pas cessé de faire des victimes en 1997, comme il l’a prétendu dans sa dernière lettre.
En revanche, il a bien dû changer de mode opératoire, mais il en avait déjà plus d’un dans les années 1980.
Tout comme le père de Cécile Bloch, je suis persuadée qu’il a été protégé et a pu faire partie d’un réseau criminel.
Je suis même convaincue qu’il peut avoir participé à l’organisation d’attentats « islamistes ».
François Vérove échappe aux autorités pendant près de 35 ans, bien que les enquêteurs disposent rapidement dès la fin des années 80 de son groupe sanguin, de plusieurs portraits-robots et de description précises de sa physionomie. À partir de 1996, est déterminé son profil génétique. Le tueur est surnommé le « Grêlé » par la police et les médias en raison d’une peau marquée par des cicatrices de boutons selon des témoins, stigmates qui s’atténuent au fil des années.
Le « Grêlé » possède un profil criminel atypique qui intrigue longtemps la police judiciaire. D’abord tueur et violeur d’enfants avec le meurtre de Cécile Bloch en 1986, il tue ensuite deux adultes dans le 4e arrondissement de Paris en 1987 (Affaire Politi-Müller) puis disparaît pendant plusieurs années. La police établit plus tard son implication dans un enlèvement et viol d’enfant initié en 1994 à Mitry-Mory, en Seine-et-Marne, avant de perdre définitivement sa trace. À plusieurs reprises au cours de son parcours criminel, il présente une carte de police à ses victimes afin de tromper leur vigilance.
Ce n’est qu’en 2021 que la police judiciaire remonte finalement à lui en décidant d’interroger près de 750 gendarmes ayant opéré en région parisienne au moment des faits, dont François Vérove. Comprenant qu’il est sur le point d’être démasqué, celui-ci disparaît et se suicide le 27septembre2021 au Grau-du-Roi dans le Gard, après avoir confessé ses crimes dans une lettre. Son corps est retrouvé deux jours plus tard, le 29septembre2021.
Biographie
Jeunesse
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
François Vérove naît le 22 janvier 1962 à Gravelines dans le Nord1. Enfant unique, il perd sa mère à l’âge de dix ans2. Il déménage alors à Marcq-en-Barœul, une commune chic de l’agglomération lilloise, et cohabite avec la nouvelle épouse de son père ainsi que ses deux filles nées d’une précédente union3. François Vérove subit une éducation stricte imposée par son père. Il développe à l’adolescence une passion pour la moto qui le pousse plus tard à rejoindre la gendarmerie.
Dès cet âge-là, Vérove est décrit par certains témoins comme un adolescent mélancolique qui évoque même des pensées suicidaires. Plus tard, pour les quinze ans de l’une de ses demi-sœurs, il les emmène dans un club échangiste.[réf. nécessaire]
En 1983, François Vérove entre dans la gendarmerie et intègre l’escadron motocycliste de la Garde républicaine. Son parcours est chaotique : d’abord apprécié de sa hiérarchie, il enchaîne ensuite les arrêts maladie et se montre de plus en plus incapable de réaliser les tâches qui lui sont confiées. Il quitte la gendarmerie en 1988 pour une raison encore obscure et rejoint, fait rare à l’époque, la Police nationale. Il intègre alors la préfecture de police de Paris. En parallèle il devient père de deux enfants, nés en 1988 et 1991.
En 2011, il est victime d’un accident de moto qui lui cause des séquelles définitives à la jambe. Il prend finalement une retraite anticipée et devient conseiller municipal de la commune de Prades-le-Lez16 de 2019 à 202017,18,19.
Denis Jacob, fondateur du syndicat Alternative Police et ancien membre du syndicat Alliance Police nationale, responsable du département des Hauts-de-Seine entre 1995 et 1999, a côtoyé pendant quatre ans François Vérove. Celui-ci était en effet délégué pour les motards de la police nationale à la même époque20. Il le décrit comme « un monsieur tout le monde », d’une « gentillesse absolue », toujours « prêt à servir » et à se rendre disponible pour leur activité syndicale. Néanmoins, il le dépeint aussi comme un individu capable de « s’énerver facilement ». Dépressif, sous traitement médicamenteux, François Vérove aurait connu à cette époque d’importantes souffrances psychologiques et se serait arrêté de nombreux mois en maladie21. Denis Jacob fêtait tous les ans le Nouvel An avec François Vérove au Paradis Latin.
Parcours criminel
Crimes attestés par l’ADN
Agression dans le 13e arrondissement et meurtre de Cécile Bloch
Le parcours criminel connu du tueur commence le 7avril1986 dans le 13e arrondissement de Paris. Une fillette de huit ans qui se rend à l’école croise sa route dans l’ascenseur de son immeuble. Vérove l’entraîne de force au sous-sol où il la viole, avant de l’étrangler avec une cordelette. Croyant probablement l’avoir tuée, l’agresseur prend la fuite. La victime survit cependant à l’agression et donne l’alerte.
Façade d’un immeuble de la cité Fontainebleau au 116 rue Petit, vue de la rue Eugène-Jumin, lieu du viol et assassinat de Cécile Bloch.
Le prédateur récidive, dans le 19e arrondissement, moins d’un mois plus tard le 5mai1986, au 116 rue Petit. Cécile Bloch, onze ans, est agressée dans son ascenseur alors qu’elle se rend au collège. Vérove l’emmène dans un local situé au 3e sous-sol de la résidence et la tue après l’avoir violée. Vers 15 h, Cécile est retrouvée poignardée, étranglée, la colonne vertébrale brisée. Son corps est enroulé dans un morceau de moquette. Il s’agit du premier meurtre officiellement attribué à celui que la presse va surnommer le « tueur au visage grêlé ». Les témoins qui l’avaient croisé dans l’ascenseur le matin du meurtre, dont le demi-frère et les parents de la victime, dressent en effet le portrait d’un jeune homme avec un visage à la peau irrégulière22,23.
Affaire Politi-Müller
Cette affaire, qui débute le 28avril1987 dans le quartier du Marais à Paris, constitue un cas à part dans le parcours criminel de François Vérove. Les victimes ne sont plus des enfants mais deux adultes, retrouvés morts dans un appartement de la rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie dans des conditions particulièrement sordides. Gilles Politi, technicien aérien de trente-huit ans, gît nu dans une position singulière : allongé sur le ventre, il a les jambes et les bras attachés dans le dos. Il a été étranglé selon une technique baptisée le « garrot espagnol », habituellement maîtrisée par les militaires. Irmgard Müller, jeune fille au pair allemande de vingt ans employée par la famille Politi, est accrochée par les bras aux montants d’un lit superposé, ses cordes vocales tranchées à l’arme blanche. Les deux victimes ont subi des brûlures de cigarette24,25.
L’enquête démontre que l’assassin connaissait la jeune allemande, avec qui il avait entretenu une relation. Un nom retrouvé dans le carnet de contacts d’Irmgard Müller, « Élie Lauringe », n’existe en effet pas à l’état civil, ce qui suggère aux enquêteurs qu’il pourrait s’agir d’un pseudonyme utilisé par le tueur. Les témoins relatent par ailleurs que la veille du meurtre, un jeune homme athlétique d’une vingtaine d’années était rentré dans l’appartement de la jeune fille situé rue de Sévigné. Le lendemain matin, juste avant l’heure présumée du crime, le même individu avait été vu négociant à l’interphone avec Irmgard Müller avant de se faire ouvrir à la porte26. L’autopsie révèle en outre que dans les heures précédant sa mort, Irmgard Müller avait eu un rapport sexuel consenti avec un homme dont le sperme était resté sur un tampon.
À l’époque, la police judiciaire ne dispose pas des empreintes ADN et ne soupçonne pas que le meurtrier du Marais puisse également être le prédateur recherché pour le meurtre de Cécile Bloch. Ce n’est qu’en 2001, quatorze ans après les faits, qu’une analyse génétique révèle que le sperme retrouvé sur le corps d’Irmgard est celui du « tueur au visage grêlé » recherché depuis 1986. La même empreinte ADN est présente sur les mégots de cigarette retrouvés à proximité des corps, ce qui confirme que François Vérove est bien l’amant d’Irmgard Müller ainsi que l’assassin de la jeune fille au pair et de son employeur9.
Agression et viol dans le 14e arrondissement (1987)
Le 27octobre1987, la police judiciaire retrouve la trace de François Vérove dans le 14e arrondissement de Paris. Aux alentours de midi, une collégienne de quatorze ans qui rentre chez elle est abordée par un jeune homme se prétendant policier qui l’interpelle sous le prétexte de mener une enquête. Une fois dans son appartement il lui passe les menottes et la viole, mais lui laisse la vie sauve. Il abandonne finalement sa victime après avoir cambriolé l’appartement. À l’époque les enquêteurs soupçonnent déjà le Grêlé d’être l’auteur de cette agression, mais ce n’est qu’en 1996 que sa culpabilité est démontrée par l’ADN.
Il s’agit de la dernière agression connue de François Vérove avant une période de silence de presque sept ans.
Enlèvement et viol d’Ingrid G. initié à Mitry-Mory (1994)
Le 29juin1994, l’ex-garde républicain frappe à nouveau à Mitry-Mory en Seine-et-Marne. Une fillette de onze ans se déplaçant à vélo le long de la ligne à grande vitesse est abordée par un homme qui se dit policier et lui ordonne de monter dans sa voiture sous prétexte de l’emmener au commissariat. La victime obtempère et subit alors un enlèvement. Vérove roule pendant plus d’une heure, trajet durant lequel il discute avec la fillette. Parvenu à Saclay, dans l’Essonne, il emmène sa victime dans une ferme abandonnée. Il l’attache et la viole pendant plusieurs heures, avant de s’enfuir sans l’avoir tuée.
Vérove laisse derrière lui des traces ADN qui permettront de relier cette affaire aux autres crimes du tueur à la peau grêlée.
Mort et identification
L’enquête de la brigade criminelle, reprise ensuite au sein de cette brigade par l’unité d’analyse criminelle et des affaires classées, s’était orientée vers un criminel issu des forces de l’ordre en activité à l’époque des faits à cause de plusieurs éléments qui s’accumulaient pourtant depuis des décennies : utilisation à plusieurs reprises d’une carte professionnelle de policier ou de gendarme sur laquelle figurait la mention « sous officier » (utilisation lors de laquelle il avait même donné son véritable prénom lors d’une fête dans les années 1980), d’un talkie-walkie, de menottes professionnelles, maîtrise du jargon policier (corroboré par plusieurs témoins), soupçon de connaissance précise des procédures et manières d’opérer des enquêteurs par sa capacité à échapper à une enquête très serrée9.
Dans l’affaire du double meurtre du Marais en 1987 (Affaire Politi-Müller), il avait probablement donné à Irmgard Müller une fausse identité, Elie Lauringe, avec une fausse adresse dans le 13e arrondissement de Paris qui correspondait à un ancien local de la police. En outre, la dernière affaire imputée au « Grêlé » avait eu lieu à Saclay près d’un centre d’entraînement de la gendarmerie.
En 2021, la nouvelle juge d’instruction sur ce dossier depuis décembre 2014, Nathalie Turquey, avait demandé la convocation de 750 gendarmes présents en Île-de-France à l’époque des faits dont François Vérove9. Il se suicide avec un mélange d’alcool et de barbituriques antidouleurs27 dans un appartement loué pour quelques jours au Grau-du-Roi dans le Gard le 29 septembre 2021, après une convocation reçue par téléphone le 24 septembre 202110,28. Cet appel, passé par une policière de la DTPJ (direction territoriale de la police judiciaire) de Montpellier, lui adressait une convocation pour le 6 octobre 2021, pour être auditionné dans le cadre d’une vieille affaire criminelle des années 1980, à l’époque où il exerçait à Paris, sans lui donner de précision autre qu’à l’issue de l’interrogatoire son ADN serait prélevé29,28.
Dans une lettre laissée dans l’appartement, il reconnaît « être un grand criminel qui a commis des faits impardonnables jusqu’à la fin des années 1990 ». Cette lettre est adressée à sa femme, à laquelle il confie : « Tu avais décelé des choses chez moi quand j’étais plus jeune. […] J’ai fait du mal à des gens, j’ai tué des innocents. Je pense à vous [sa compagne et ses enfants], et aux familles des victimes ». Il ne donne le nom d’aucune de ses victimes et ne détaille pas les circonstances de ses exactions. Il affirme avoir agi sous le coup de « pulsions », les expliquant par une enfance difficile ; il affirme que celles-ci auraient été apaisées par son mariage et la naissance de ses enfants et qu’il se serait alors « pris en main » et n’aurait « rien fait depuis 1997 »10, sous-entendant ainsi l’existence de crimes autres que ceux connus par la police, qui ne lui attribue des actes criminels avec certitude que jusqu’en 199430Interprétation abusive ?. Dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre 2021, le parquet de Paris annonce qu’une « comparaison ADN [a] établi ce jour une correspondance entre le profil génétique retrouvé sur plusieurs scènes de crime et celui de l’homme décédé »9.
Autres affaires
Après son identification, en septembre2021, François Vérove est suspecté d’être l’auteur d’autres agressions et crimes. Spécialisée dans les plus vieux « cold-cases », la criminologue Corinne Herrmann avance l’hypothèse que le « Grêlé » pourrait potentiellement être impliqué dans les meurtres de :
Sophie Narme23, 23 ans, stagiaire au sein d’une agence immobilière et tuée dans un appartement qu’elle faisait visiter dans le 19e arrondissement de Paris, le 5décembre1991.
Karine Leroy31, 19 ans, disparue à Meaux (Seine-et-Marne) le 9juin1994 et dont le corps fut retrouvé dans une forêt de la région un mois plus tard9.
En mars2022, deux ouvrages, consacrés aux crimes de François Vérove, sont publiés afin d’envisager la possibilité que Vérove ait pu faire davantage de victimes. Brendan Kemmet et Stéphane Sellami, deux journalistes d’investigation, sortent La Traque du Grêlé. La journaliste Patricia Tourancheau, qui se penche également sur le cas de François Vérove, publie un ouvrage intitulé Le Grêlé. Le tueur était un flic. C’est dans ce contexte que les enquêteurs de l’affaire du « Grêlé » travaillent sur 31 victimes imputables à Vérove, dont 9 meurtres32.
Brendan Kemmet et Stéphane Sellami, La Traque du Grêlé : au coeur du plus vieux cold case de la police parisienne, Paris, R. Laffont, 2022, 223 p. (ISBN978-2-221-26071-5)
Patricia Tourancheau, Le Grêlé : le tueur était un flic, Paris, Seuil, 2022, 192 p. (ISBN978-2-02-150714-0)
« «Ma chérie, je vais t’expliquer» : nos révélations sur les derniers jours du «Grêlé» et sa lettre d’adieu », Le Parisien, 6 décembre 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 17 février 2022).
« Affaire Le Grêlé. « Mytho », « dépressif », « nostalgique de l’Algérie française »: qui était vraiment François Vérove? », Le Progrès, 22 novembre 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 17 février 2022).
Aziz Zemouri, « L’épouse et les enfants du « Grêlé » entendus par la brigade criminelle », Le Point, 7 octobre 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 17 février 2022).
L’escadron motocycliste de la Garde républicaine est une unité de la Garde républicaine chargée de missions de sécurité et de représentation.
Elle assure les escortes protocolaires et de sécurité réservées au président de la République et aux souverains et chefs d’État étrangers en visite en France. L’escadron effectue également des d’escortes sensibles et participe à la sécurisation d’épreuves sportives se déroulant sur la voie publique, notamment le Tour de France depuis 19531.
En 1935, le Groupe spécial de la garde républicaine mobile de Satory met en œuvre un peloton de motocyclistes chargé d’assurer l’escorte du président de la République et des hautes personnalités françaises et étrangères. À la suite de l’armistice, la Garde personnelle du chef de l’État (le Maréchal Pétain) est créée à partir de personnels de la Gendarmerie nationale au sein de la 13e Légion de Clermont-Ferrand. Un peloton de 40 motocyclistes est mis sur pied et assure la sécurité du chef de l’État jusqu’à sa dissolution, en septembre 1944.
Le 1erjanvier1952, l’escadron motocycliste de la Garde Républicaine 2 est créé à Maisons-Alfort au sein du régiment de cavalerie. Initialement composée de 10 motocyclistes, l’unité apparaît en raison de l’ouverture de l’aéroport international d’Orly, plus distant de Paris que celui du Bourget et donc trop éloigné pour les escortes à cheval traditionnelles.3 Le 20juin1952, Vincent Auriol bénéficiera de la première escorte présidentielle par l’unité, lors de la remise de la Croix de guerre 1939-1945 à l’École des officiers de la Gendarmerie nationale, à Melun.
En 1953, le Tour de France fait appel à l’unité pour sécuriser, tout au long de son périple, les coureurs et la caravane publicitaire. Depuis cette date, la sécurité de cet événement sportif devient l’une des missions annuelles de l’escadron3,1.
En août 1971, l’unité déménage en Seine-Saint-Denis, au Fort de Rosny. Elle ne quittera plus ce département. Le 1eroctobre1978, elle est rattachée au 1er régiment d’infanterie de la Garde républicaine4. Elle prend ses quartiers à Drancy, l’année suivante, en septembre 1979. À partir de 2001, l’escadron est stationné à la caserne de Rose, à Dugny.
L’unité est composée d’environ 90 personnels répartis en un groupe de commandement et trois pelotons 6. Elle comporte également une équipe d’acrobatie qui participe à de nombreuses démonstrations (carrousels, pyramides etc.), tant en France qu’à l’étranger.
Présentation des missions de sécurité de l’escadron motocycliste
Démonstration d’escorte d’autorités
Démonstration d’escorte de convoi sensible
Sécurité de courses cyclistes. Ici, lors du Tour de France 2019
Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.
Matériel
Gardes de l’escadron motocycliste
Depuis 2013, l’escadron est équipé de BMW R 1200 RT pour ses missions quotidiennes. L’équipe d’acrobatie utilise des motos BMW R 100 R, ainsi que des motos de saut Yamaha YZF 450, des motos tout terrain Yamaha Ténéré 700, des motos « échelles » Suzuki TU 250 et une Harley Davidson FLH 80 de 1 300 cm37.
Toutes les motos de l’escadron arborent l’emblème de l’unité. Il s’agit d’une rondache bleue qui comporte une roue dorée crantée sur sa périphérie, le « Bayard » doré de la Gendarmerie avec l’écu de la Garde Républicaine sur sa partie supérieure et l’inscription « gendarmerie » en capitales dorées au centre, ainsi que l’inscription « escorte présidentielle » en capitales dorées sous la roue crantée, entourée de lauriers.
Les motocyclistes de la Garde républicaine se différencient de leurs confrères de la gendarmerie départementale par leur casque blanc avec une flamme jaune sur l’avant et l’inscription « escorte présidentielle » sur l’arrière, et par leurs galons dorés (dans la gendarmerie départementale, ces derniers sont blancs).
Présentations et démonstrations de l’escadron motocycliste
Carrousel motocycliste.
Présentation lors d’une journée portes ouvertes – 29 septembre 2018
Équipe d’acrobatie.
Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.
Recrutement
Le recrutement des personnels de l’escadron est ouvert à tous les sous-officiers et sous officiers, 2 ans de permis moto sont nécessaires pour intégré cette unité. Les sélections s’opèrent à Dugny, au sein de l’escadron.
Les élèves-gendarmes en école de gendarmerie peuvent également, au cours de leur formation, postuler aux tests de pré-sélection.
Depuis la Seconde Guerre mondiale, la Garde républicaine a pris successivement les dénominations officielles de Garde républicaine de Paris en 1945, Légion de la Garde républicaine de Paris en 1952, Garde républicaine de Paris en 1965 et enfin Garde républicaine depuis 1978. Jean-Pierre Bernier, La Garde Républicaine, Grandeur et renommée, Éditions Hervas, 1989, p 62, (ISBN2 903118 49 3)
Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
Frantz, Jean Marie Christian Taittinger est le fils de Jean Taittinger (ancien député-maire de Reims et ancien ministre d’État et Garde des Sceaux sous Georges Pompidou) et de Corinne Deville, artiste peintre.
Carrière de pilote d’avion
De 1976 à 1979, il est pilote professionnel et instructeur de pilotes privés d’avions à l’aéro-club du Mont-Blanc à Sallanches (Haute-Savoie). Il est également pilote de glacier et de voltige ainsi que pilote d’hélicoptère.
En mars 1993, il remporte l’élection législative d’Asnières-sur-Seine contre Georges Tranchant et devient député RPR de la 2e circonscription des Hauts-de-Seine (Asnières-Colombes sud) puis gagne les élections municipales anticipées à Asnières-sur-Seine (80 000 habitants) en 1994. Il est réélu en 1995 et restera maire jusqu’en 1999 et député jusqu’en 2002.
Carrière professionnelle
En 1979, il entre à la société Campanile (hôtellerie 2 étoiles) comme assistant d’exploitation puis successivement directeur du développement, directeur général adjoint, directeur général et président-directeur général. En 1989, il fonde le Groupe Envergure, qui 25 ans après son arrivée comptera plus de 1000 établissements hôteliers regroupant les enseignes Bleu Marine, Kyriad, Campanile, Climat de France, Première classe, Nuit d’Hôtel et les restaurants Côte à Côte.
Il est considéré comme l’« Homme de la semaine » par L’Express en mars 19941.
En 1999, il devient en parallèle du groupe Envergure président de l’hôtel Martinez à Cannes (membre de Leading Hôtels of the World), dont il continue l’embellissement et les rénovations pour en faire un des fleurons de la côte d’Azur. Il sort de l’oubli le mythique palais de la Méditerranée à Nice pour reconstruire en 2004 un hôtel casino de grand standing.
Il est mis en examen en décembre 2003 pour favoritisme concernant l’organisation d’un festival2.
À la suite de la vente du groupe Taittinger-Louvre en 2005 au fonds Starwood Capital, il quitte toutes ses fonctions opérationnelles restant toutefois président du casino du palais de la Méditerranée jusqu’en 2009.
En 2010 il rachète avec sa femme Djamila l’hôtel Mont-Blanc à Chamonix3. L’hôtel est fermé pour rénovations pendant plus de deux ans et rouvre ses portes en novembre 2013. Cet établissement est dirigé par son fils Tarik et sa femme Janina.
En 2015 il devient actionnaire et administrateur du Groupe Hôtelier H8 Collection, H8 est propriétaire d’une dizaine d’établissements hôtelier de luxe.
Depuis 2017 il participe avec son fils Tarik à l’acquisition et à la gestion de petits hôtels parisiens situés notamment dans le 5ème et 17ème arrondissement de Paris.
Il s’adonne également à la musique en jouant de l’accordéon, son instrument favori.
Vie privée
Il est marié depuis 1991 avec Djamila Hachemi. De ce mariage sont issus quatre enfants : Alexandre, agent immobilier, Tessa, directrice associée d’Artheau Aviation, Tarik, directeur d’hôtels et Franz, artiste et graphiste.
Alliance Police nationale est le résultat de la fusion de deux organisations syndicales, le 9 mai 1995 :
Le Syndicat indépendant de la Police nationale (SIPN), représentant les gardiens de la paix (créé en 1951) ;
Le Syndicat national des enquêteurs (SNE), représentant les enquêteurs de police (créé en 1990).
En juin 1997, le Syndicat des gradés de la Police nationale (SGPN) rejoint Alliance Police nationale.
L’union de ces trois organisations est définitivement scellée au cours d’un congrès de fusion qui se déroule à Paris, les 13, 14 et 15 janvier 1998. À l’époque, Alliance Police nationale est le seul syndicat qui rassemble en son sein le corps de maîtrise et d’application. À la suite de ce congrès, Alliance Police nationale obtient son adhésion à la CFE-CGC.
Alliance Police nationale est connue pour sa proximité avec les politiques, particulièrement après l’arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur au début des années 2000. Le syndicat détient deux avantages. D’une part, celui du poids des représentants sur les carrières des policiers : ils influent sur l’avancement et les mutations. Ensuite, celui d’une proximité idéologique avec le RPR puis l’UMP. Ces liens privilégiés, qui perdurent sous la présidence d’Emmanuel Macron, lui permettent de faire approuver par les gouvernements successifs nombre de ses revendications3.
Début décembre 2018, le syndicat est victime d’une cyberattaque au cours de laquelle les données personnelles de 500 policiers ont été dérobées et diffusées par des « Anonymous » se revendiquant solidaires du mouvement des gilets jaunes4.
Fin 2020, Alliance, dans un contexte de mouvement contre les violences policières et la loi sécurité globale, boycotte le « Beauvau de la police » voulu par le président Emmanuel Macron avec les organisations de police. En effet, le syndicat ne s’estime pas satisfait des mesures prises pour assurer la sérénité des fonctionnaires de police dans leurs fonctions. Il considère être jeté en pâture et souhaite la mise en œuvre de plusieurs mesures, notamment le masque flou systématique sur les visages des policiers5.
Le ministre Darmanin accepte les conditions du syndicat, portant sur la gratuité des transports publics, une subvention pour leur mutuelle ou l’instauration de peines minimales dans les cas d’agressions de policiers. Il indique la tenue du Beauvau de la police le 25 janvier 20216.
Alliance Police nationale connait, selon les syndicats policiers concurrents, une radicalisation ces dernières années. Il lui est également reproché de porter des « revendications ultra-catégorielles » sans se préoccuper de l’intérêt de la société par rapport à sa police3.
Organisation
Alliance Police nationale comprend en son sein trois sections spécifiques (SGAP de Paris, Province-Dom/Rom et CRS) chargées à la fois de la tenue et de l’investigation.
Aux élections professionnelles de 2001, Alliance Police nationale réalise un score de 32 %.
En 2003, il devient le syndicat majoritaire sur l’ensemble du territoire8.
Il perd cette position en 2006, au profit de l’UNSA Police qui tire bénéfice de sa fusion avec le SNPT. Alliance Police nationale devient alors le deuxième syndicat des gradés et gardiens de la paix en recueillant 36,47 % des suffrages (4 points de plus par rapport aux élections de 2003, soit 3 500 voix supplémentaires).
Cette deuxième place est confortée en 2010, avec 37,61 % des suffrages, soit 2 000 voix de plus qu’en 20069.
Lors des élections professionnelles de 2014, Alliance Police Nationale devient le premier syndicat de police, de même que sa confédération, la CFE-CGC au ministère de l’Intérieur. Le syndicat obtient 41% des voix (4 points de plus qu’en 2010) pour l’élection à la commission administrative paritaire nationale contre 39% des voix (en baisse de 8 points) à Unité SGP Police-Force Ouvrière, 11% à UNSA Police, 5% à FPIP et des chiffres indéterminés aux autres syndicats 10,11.
Sa forte médiatisation en fait un syndicat particulièrement influent. Il comprend plus de 30 000 adhérents en 2022 et représente environ 44% des votants aux élections professionnelles de la police nationale3.
Le délégué général du syndicat indique en mai 2020, à propos d’une proposition de loi déposée par Eric Ciotti et visant à empêcher la diffusion d’images de fonctionnaires de police, que « la liberté de la presse et la sécurité des fonctionnaires sont, malheureusement, deux principes opposés. J’estime que la sécurité des policiers va au-delà de la liberté de la presse »14.
Le vendredi 12 juin 2020, environ cinquante policiers manifestent à l’appel d’Alliance Police nationale et de l’UNSA depuis l’Arc du Triomphe, l’avenue des Champs-Élysées pour finir place Beauvau devant les grilles du ministère de l’Intérieur, et dénoncent « les accusations de racisme portées contre les policiers »15.
Le 19 mai 2021, le syndicat prend part à une manifestation devant l’Assemblée nationale, rejoint par de nombreuses personnalités politiques de bords différents16. Au cours de cette manifestation, Fabien Vanhemelryck, secrétaire général d’Alliance Police nationale, déclare à la tribune que « le problème de la police, c’est la justice »17.
Polémiques
En 2013, des tracts du syndicat Alliance Police nationale ciblaient les représentants du syndicat rival Unité SGP, selon Nicolas Comte son secrétaire national : « Ils ont publié une trentaine de tracts en deux mois nous ciblant, dont l’un nous représente avec un couteau poignardant un flic »18.
En juillet 2013, après la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge, sur son Facebook et sur Europe 1, l’organisation syndicale assure que des cadavres de l’accident ont été dépouillés, une affirmation contestée par le procureur et la préfecture et que le syndicat reconnaît comme erronée quelques jours plus tard 19 : un « dérapage dû à la fatigue » selon Frédéric Lagache, le secrétaire général adjoint du syndicat18.
Le 20 janvier 2015, à la suite de l’attentat contre Charlie Hebdo, Le Canard enchaîné publie un tract que l’organisation syndicale avait distribué en avril 2013 exigeant l’arrêt immédiat de la mission de protection des locaux de la rédaction du journal Charlie Hebdo19.
Le 19 janvier 2019, Stanislas Gaudon, porte parole d’Alliance, défend un policier accusé de violences sur manifestant. Ce dernier affirme que le manifestant (qui conteste les faits) lui avait craché du sang au visage en lui disant : « J’ai le sida, tu vas crever ! ». À cette occasion, il est rappelé dans les médias que la salive ne peut pas transmettre le VIH, de même que le sang à l’air libre ; des scientifiques et des personnalités associatives estiment par ailleurs que « c’est scandaleux de la part de ce syndicat d’utiliser et de relayer dans certains médias cet argument pour légitimer les violences »20,21.
En juin 2019, le syndicat émet un tract menaçant directement le gouvernement et les autorités judiciaires. Le texte affirme ainsi que « si nos collègues venaient à être injustement condamnés, nous saurons ce qu’il nous reste à faire » et que « nous serons attentifs à toute décision arbitraire et nous sommes préparés à réagir au besoin ». Marianne analyse ces propos en se demandant s’il s’agit « de menaces de défection »22.
Durant la campagne présidentielle de 2022, le syndicat invite plusieurs candidats à présenter leurs propositions en matière de sécurité. À cette occasion, le candidat Éric Zemmour affirme vouloir mobiliser les policiers dans un « combat de civilisation » contre les banlieues qui seraient des « enclaves étrangères » abritant « une autre civilisation avec laquelle on ne peut pas coexister pacifiquement ». Ces propos sont applaudis par l’assistance23,24.
Notes et références
Ivanne Trippenbach, « Eric Zemmour veut faire des policiers des « chasseurs » dans sa guerre contre les « racailles » », Le Monde.fr, 4 février 2022 (lire en ligne [archive], consulté le 5 février 2022)
« Le syndicat Alliance Police victime d’une cyberattaque, les données personnelles de 500 policiers dérobées », SudOuest, 12 novembre 2018 (ISSN1760-6454, lire en ligne [archive], consulté le 5 mai 2022)
Juliette Bénézit, « Une proposition de loi d’Eric Ciotti pour empêcher la diffusion d’images de policiers suscite un tollé », Le Monde.fr, 29 mai 2020 (lire en ligne [archive], consulté le 31 mai 2020)
Une fois, j’ai surpris une conversation entre un juge d’instruction et un substitut du procureur de la République, à Brest, à propos d’une affaire assez sensible qui affolait la Chancellerie, laquelle suivait de très près l’évolution des évènements. Je me trouvais dans un bureau voisin du leur et attendais le retour d’une greffière partie me chercher un document quelconque. J’étais donc parfaitement silencieuse et ils ne se sont pas rendu compte que j’étais là, dans la pièce voisine, toutes portes ouvertes, entendant tout ce qu’ils disaient. Leurs échanges portaient sur ce qu’ils allaient pouvoir inventer, une fois de plus pour couvrir des coupables, et je les ai en fait surpris en train de fabriquer leur faux en écriture publique. Peu importe aujourd’hui de quelle affaire ou de quels gros mensonges ou inventions judiciaires il s’agit. Ce que j’avais trouvé de plus sidérant, c’est qu’ils étaient manifestement rodés à l’exercice, auquel ils se prêtaient avec beaucoup de naturel et de décontraction. C’est leur quotidien, ça ne les dérange absolument pas. Quant aux appels de la Chancellerie, ils en riaient aux éclats. Celui qui décide des mensonges et inventions, c’est le juge d’instruction. L’autre n’arrêtait pas de rigoler. Je précise aussi qu’il y avait mort d’homme, quand même. Qu’il s’agisse de viols (qui les font rigoler même en public), ou de meurtres ou assassinats, donc, c’est la même chose, ils se marrent tout autant et se moquent continuellement, non seulement des victimes, mais également des lois de la République, du droit, de la vérité, de la justice, de l’Etat qui les emploie.
En fait, dans ce cas précis, le rapport du légiste ne leur convenant absolument pas, ils avaient inventé une cause de décès très différente de celle établie par ce professionnel, et ne correspondant, bien évidemment, pas du tout à la réalité, de manière à pouvoir disculper complètement les coupables, puis ils ont dû détruire le certificat du médecin qui avait dit la vérité, faisant correctement son métier. Je présume que par la suite ils ont pu demander à un médecin du CHU de Brest de faire un faux corroborant le leur, il y a bien des médecins hospitaliers que cela ne dérange pas non plus de faire des faux, mais je n’étais plus là pour suivre leurs discussions à cette étape de la procédure.
Dans la mesure où à aucun moment aucun d’entre eux ne s’est interrogé sur la question de faire un faux, question qui, entre eux, ne s’est même pas posée (je me souviens très bien d’avoir entendu le juge d’instruction lire le rapport médical, puis ne se poser de questions que sur des éléments de biographie du décédé, afin d’inventer une cause de décès qui puisse paraître plausible au regard de ces éléments, encore que les circonstances du décès entraînaient des impossibilités matérielles auxquelles il ne s’est pas arrêté…), on en déduit sans le moindre doute possible que ces magistrats sont habitués à conclure au suicide ou à un accident quelconque dans bien des cas d’homicides.
Noter à ce propos que dans cette affaire particulière pour laquelle je connais la cause réelle du décès, la presse avait le lendemain évoqué un suicide, ce qui n’était pas le mensonge primitivement arrêté par le juge d’instruction, ni bien sûr la vérité. J’imagine que dans l’intervalle les magistrats avaient peut-être dû changer leur version mensongère après avoir provoqué de grands cris outrés de la Chancellerie, à moins qu’ils n’aient jamais fourni qu’à la presse cette histoire de suicide.
Enfin bref, cherchez bien dans les archives, nous n’avons jamais eu à Brest de gros scandale.
A quelques exceptions près qui ne correspondent toujours qu’à des règlements de comptes entre mafieux locaux (ainsi du cas de l’ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars Christian Barthes qui avait eu pour tort de s’attaquer à son directeur général Louis Rolland et n’aurait sinon jamais été inquiété par la « justice » pour quoi que ce soit), aucun notable, aucun fonctionnaire brestois n’est jamais sorti des clous ou n’a jamais « déconné » un tant soit peu, ils sont tous parfaits, ce sont tous des saints.
Tout est en fait quasiment toujours étouffé de la même manière, par des faux en écriture publique produits par les magistrats eux-mêmes.
C’est le cas, par exemple, dans toutes les affaires qui me concernent, où les magistrats brestois sont systématiquement les auteurs de faux en écriture publique assez incroyables, atterrants : tous les mensonges et inventions calomnieuses des affabulateurs ou mythomanes Josette Brenterch, Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu & Cie à mon encontre, en nombre déjà très considérable, ne leur suffisent même pas, ils en inventent encore plus… toujours dans le même but, qui est de blanchir complètement tous les coupables, tout en calomniant au maximum des victimes en l’occurrence véritablement haïes.
Or, le faux en écriture publique est un faux criminel :
Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l’autorité publique est puni de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende.
L’usage du faux mentionné à l’alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d’amende lorsque le faux ou l’usage de faux est commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public agissant dans l’exercice de ses fonctions ou de sa mission.
Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.
Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.
Avis du 24 janvier 2015
Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né.
En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées.
Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.
Avis du 26 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.
Avis du 31 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.
Avis du 1er février 2015
Retour de mes statistiques "basiques".
Avis du 3 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.
Avis du 6 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.
Avis du 11 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.
Avis du 26 février 2015
Statistiques "basiques" enfin débloquées !
Avis du 27 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt...
Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
Avis du 4 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.
Avis du 7 mars 2015
Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.
Avis du 25 mars 2015
Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.
Avis du 2 avril 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour.
Avis du 26 avril 2015
Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.
Avis du 28 avril 2015
Statistiques de retour. Merci.
Avis du 7 mai 2015
Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.
Avis du 10 mai 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".
Avis du 14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
Avis du 3 octobre 2015
Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.
Commentaires récents