La gauche dénonce la « dérive » de Jean-Luc Mélenchon, en forte baisse dans les sondages
11/01/2019 à 11h24
Selon un récent sondage, le leader de la France insoumise connaît ces dernières semaines une forte baisse de sa cote de popularité.
Jean-Luc Mélenchon est-il en train de perdre du terrain sur ses concurrents à quelques mois des élections européennes? Selon le tout dernier baromètre Elabe pour Les Echos et Radio Classique, l’homme fort de la France insoumise connaît un net recul puisque depuis trois mois, ce dernier a perdu pas moins de 18 points.
A l’heure actuelle, le député des Bouches-du-Rhône se retrouve ainsi à une inconfortable 18e place du classement, juste derrière l’ancien président François Hollande.
Au sein même de la gauche, les critiques fusent. Plus tôt cette semaine, c’est le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui a dénoncé sa « dérive insupportable, il a quitté les rives de la gauche » a-t-il lancé sur FranceInfo. Est notamment pointé du doigt ici le soutien de Jean-Luc Mélenchon à Eric Drouet, l’un des leaders des gilets jaunes.
Du côté de la France insoumise, c’est Manon Aubry qui a été intronisée comme tête de liste pour la prochaine échéance électorale. Pour Bernard Sananès, président de l’institut Elabe, Jean-Luc Mélenchon donne toutefois l’impression »de se recroqueviller », de limiter « sa capacité à rassembler ».
Elle n’existe que depuis 2013 et s’appelle l’OLA – tiens, comme Lola, la jeune femme condamnée pour l’assassinat de Jean-Jacques Le Page à Plougonvelin le 24 juillet 2009…
Ses cibles ou les motivations de ses attentats sont les mêmes que celles de ses homologues de la bande des terroristes Pascal Edouard Cyprien Luraghi, de Puy-l’évêque, Jean-Marc Donnadieu, de Béziers, et Josette Brenterch, du NPA de Brest, à savoir : presse ou liberté de la presse, et justice, à travers au moins une cour d’appel le 22 décembre 2017, et un magistrat de cour de cassation le 13 novembre 2018.
Deux différences notables, toutefois :
1°/ elle ne sous-traite pas ses attentats et les revendique clairement, même si un peu timidement… avec près d’un mois de retard sur les faits ;
2°/ elle n’a semble-t-il encore tué ni blessé personne.
Grèce: une organisation d’extrême gauche revendique un attentat contre un groupe de médias
Publié le mercredi 09 janvier 2019 à 15h58 à Athènes (AFP)
Un groupe d’extrême gauche a revendiqué mercredi un attentat à la bombe perpétré le mois dernier à Athènes contre un des principaux groupes de médias grecs.
L’explosion de l’engin artisanal, qui visait un bâtiment abritant le siège de la radiotélévision privée Skaï, dans la banlieue balnéaire d’Athènes, n’avait pas fait de victime. Mais elle avait provoqué des dégâts sur la façade de l’immeuble qui héberge également le quotidien Kathimérini, principal journal de centre-droit d’opposition.
Dans sa revendication, le Groupe des combattants populaires (OLA, extrême gauche) a dénoncé les liens corrompus prévalant selon lui entre les médias et la classe politique. L’OLA avait déjà revendiqué au moins cinq attentats similaires depuis son apparition en 2013.
Le gouvernement du Premier ministre Alexis Tsipras avait aussitôt fustigé un « attentat contre la démocratie » tandis que la Commission européenne condamnait « toutes les attaques contre la liberté d’expression et la liberté de la presse ».
Les attentats visant des radiotélévisions, banques, établissements publics ou représentations diplomatiques sont récurrents en Grèce depuis des années, imputés à des groupes anarchistes ou d’extrême gauche.
Grèce : une bombe explose devant le siège d’une chaîne de télévision, sans faire de victime
Le groupe de radiotélévision privé Skai, dont le siège est à Athènes, a déploré d’importants dégâts matériels.
Le Monde avec AFP Publié le 17 décembre 2018 à 16h32 – Mis à jour le 17 décembre 2018 à 16h32
Une bombe artisanale a explosé dans la nuit de dimanche à lundi 17 décembre, devant le bâtiment où siège le groupe de radiotélévision privée Skai, dans la banlieue balnéaire d’Athènes, sans faire de victime.
Le gouvernement a condamné cet « acte terroriste », le premier ministre Alexis Tsipras dénonçant un « attentat contre la démocratie ». La police antiterroriste a ouvert une enquête, privilégiant la piste des groupes extrémistes grecs.
La bombe artisanale de « grande puissance » a explosé vers 2 h 30, heure locale (00 h 30 GMT), quarante minutes après un appel téléphonique anonyme à une autre chaîne de télévision et à un site d’information pour prévenir de l’imminence de l’explosion, selon une source policière.
Après cet appel, la police a aussitôt bouclé les rues avoisinantes et évacué l’immeuble où siège la radiotélévision Skai, l’une des plus importantes du pays, appartenant à la famille d’armateurs Alafouzos.
Selon la police, la bombe a été placée dans une rue étroite près de la clôture entourant l’immeuble, ce qui a causé une « grosse déflagration ». Les vitres de la façade du bâtiment de Skai ont volé en éclat, provoquant « d’importants dégâts », selon un communiqué de la station.
« Un attentat contre la démocratie »
Les attentats visant des radiotélévisions, banques, établissements publics ou représentations diplomatiques sont récurrents en Grèce depuis des années, et sont imputés à des groupes anarchistes ou d’extrême gauche.
Le 13 novembre, une tentative d’attentat à l’engin incendiaire avait eu lieu devant le domicile d’un vice-procureur de la Cour de cassation, à Athènes. Le dispositif avait été découvert par la police et désamorcé à la suite de deux appels téléphoniques anonymes d’avertissement à deux médias.
L’attentat contre Skai est « un attentat des puissances lâches et obscures contre la démocratie ; elles ne vont pas toutefois réussir leur objectif, de terroriser ou de désorienter », a déclaré Alexis Tsipras, cité dans un communiqué de ses services.
Le chef du gouvernement de coalition, menée par son parti de gauche Syriza et le petit parti souverainiste de droite Anel, a exprimé « son soutien sincère aux journalistes et à tous ceux qui travaillent à la chaîne ».
Menaces récurrentes contre la station
Kyriakos Mitsotakis, le chef du parti de droite Nouvelle Démocratie, principal parti d’opposition, s’est rendu sur place pour exprimer « son soutien aux employés ». « La démocratie et la pluralité ne peuvent être muselées », a-t-il déclaré.
L’immeuble de plusieurs étages de Skai abrite également le quotidien Kathimerini, principal journal de centre droit d’opposition, comme la radiotélévision.
« L’attentat terroriste ne va pas nous décourager (…). Nous allons continuer à faire notre travail en surveillant le pouvoir avec indépendance », a indiqué Skai dans un communiqué, accusant le gouvernement de ne pas protéger suffisamment les médias malgré « les menaces récurrentes contre la station ». « Certains cadres gouvernementaux et des mécanismes de propagande ont transformé la station en une cible », poursuit ce communiqué.
Le porte-parole du gouvernement, Dimitris Tzanakopoulos, a rejeté ces accusations et « toute tentative de lier cet acte terroriste à la confrontation politique ».
L’attentat n’a pas été pour le moment revendiqué mais, selon certains experts, le mode d’action renverrait au groupe grec d’extrême gauche OLA (Groupe des combattants populaires), qui a revendiqué au moins cinq attentats similaires, sans victime, depuis son apparition en 2013. Son dernier attentat à la bombe avait eu lieu le 22 décembre 2017 contre la cour d’appel d’Athènes, provoquant des dégâts matériels.
A l’époque, j’avais souligné son caractère typiquement brestois, puis ne m’en suis plus occupée.
Aujourd’hui, l’instruction de cette affaire est toujours en cours, et n’a pas permis de rapporter beaucoup plus d’éléments qu’à ses débuts.
Sa fiche Wikipédia s’en est toutefois bien allongée.
Et le mobile du crime est désormais bien établi : il s’agit, comme en témoignent très vite des proches des victimes, de la jalousie du meurtrier à leur égard à propos d’un hypothétique héritage de 50 kg de pièces et lingots d’or.
C’est exactement la même rapacité motivant aussi toutes les exactions dont je suis victime depuis des lustres de la part de Brestois, la perverse Josette Brenterch du NPA de Brest en tête.
Mais elle sous-tend de même très puissamment celles de ses complices « déconnologues » Pascal Edouard Cyprien Luraghi, de Puy-l’Evêque, et Jean-Marc Donnadieu, de Béziers.
Hubert Caouissin, qui a avoué avoir tué les membres de la famille Troadec dans la nuit du 16 au 17 février 2017, souffrait d’une abolition partielle du discernement au moment des faits, selon des experts psychiatres. Les parties civiles ont demandé une contre-expertise. Plus de 18 mois après les faits, les enquêteurs n’ont pas trouvé de trace du trésor évoqué par l’accusé pour expliquer son geste.
Depuis un an et demi, les enquêteurs cherchent à résoudre l’énigme de l’affaire Troadec, du nom de cette famille – Pascal et Brigitte, les parents, Charlotte et Sébastien, les enfants – massacrée à Orvault, près de Nantes, dans la nuit du 16 au 17 février 2017. Et l’une des réponses pourrait se trouver du côté des expertises psychiatriques. Selon son avocat maître Patrick Larvor, Hubert Caoussin – qui a avoué avoir tué les Troadec et qui était en couple avec la sœur du père de famille, Lydie -, souffrait en effet d’une abolition partielle du discernement au moment des faits, selon Le Télégramme. Une conclusion qui pourrait éventuellement avoir pour conséquence d’atténuer sa peine, lors de son procès devant la cour d’assises, pas prévu avant 2020.
Une hypothèse rejetée par les parties civiles, qui ont aussitôt demandé une contre-expertise psychiatrique. « Il est difficile de parler d’un dossier en cours d’instruction aussi complexe et dans lequel de nombreux éléments restent à établir », a simplement commenté maître Cécile De Oliveira, l’avocate des deux sœurs et de la mère de Brigitte Troadec. « Dans les dossiers criminels, il y a une expertise psychiatrique et une expertise psychologique. Cette dernière n’est pas encore arrivée », a pour sa part déclaré maître Patrick Larvor, la qualifiant « d’importante ».
Plusieurs éléments manquants compliquent l’affaire
Car plus de 18 mois après les faits, les enquêteurs ont du mal à démêler les fils de l’histoire et à établir un scénario précis du drame. Leur tâche est rendue compliquée par plusieurs éléments :
Le pied de biche, qu’Hubert Caouissin dit avoir utilisé pour tuer la famille, n’a jamais été retrouvé. Lui assure l’avoir jeté par-dessus un pont. Malgré les fouilles, l’arme n’a pas été retrouvée.
Les corps des quatre victimes n’ont pas été retrouvés entiers. Hubert Caouissin a en effet raconté les avoir démembrés, puis d’en avoir dispersé une partie dans le vaste terrain de sa propriété de Pont-de-Buis-lès-Quimerch, dans le Finistère. Il aurait, selon ses dires, brûlé une autre partie dans le four de sa propriété. Les crânes n’ont jamais été retrouvés.
Malgré leurs recherches, les enquêteurs n’ont pas trouvé trace du trésor évoqué par Hubert Caouissin pour expliquer son geste.
L’affaire du « trésor » de famille
Toute l’affaire se situe dans ce dernier point. Passé aux aveux le 6 mars 2017, après avoir dans un premier temps assuré aux enquêteurs qu’il n’était plus en contact avec sa belle-famille, Hubert Caouissin a en effet expliqué q’un trésor était au coeur des tensions familiales.
Selon lui, l’histoire commence quand le père de Pascal Troadec découvre, en faisant des travaux dans un logement qui lui appartient dans le quartier de Recouvrance, à Brest, des lingots et des pièces d’or. Il s’en serait emparé et aurait dissimulé ce trésor dans le garage de la maison familiale. Gravement malade, il aurait confié à son fils, Pascal, l’existence et le lieu de ce trésor, juste avant de mourir, en 2010. La femme du défunt, Renée, a témoigné dans les médias pour confirmer l’existence de ce trésor, tout en disant ne l’avoir jamais vu elle-même. Elle avait même raconté que son fils Pascal avait profité de son absence pour récupérer le trésor, sans le partager avec sa soeur, Lydie.
Une histoire qui aurait provoqué de vives tensions dans la famille. Hubert Caouissin, en couple avec Lydie Troadec, n’aurait pas supporté que sa compagne soit ainsi flouée par son frère. Selon son récit, c’est pour espionner la famille Troadec et trouver des preuves de l’existence de ce trésor qu’Hubert Caouissin se serait rendu à Orvault la nuit du drame. Il s’était, à cet effet, muni d’un stéthoscope à l’aide duquel il espérait les écouter à travers les murs. C’est alors que le couple l’aurait surpris, qu’il aurait saisi un pied de biche et massacré toute la famille.
Il assure donc que son geste n’était pas prémédité. Ce que refusent de croire les sœurs de Brigitte Troadec, qui évoquent la haine que vouait, selon elles, Hubert Caouissin à Pascal Troadec, et qui l’accusent d’avoir organisé « le crime parfait ». Elles racontent notamment que Hubert Caouissin avait fait supprimer le nom Troadec de sa boîte aux lettres, pour faire seulement apparaître le prénom de sa compagne, Lydie.
Le trésor reste introuvable… mais un trésor a bien disparu à Brest
Les enquêteurs ont fait de nombreuses recherches pour retrouver la trace de ce trésor. Ils se sont notamment rendus à Monaco et en Andorre. Les Troadec s’étaient rendus à plusieurs reprises à Perpignan avant le drame, et les enquêteurs ont cherché à savoir s’ils n’avaient pas ouvert un compte dans le micro-Etat voisin. Ils ont également étudié le train de vie des Troadec, afin de voir s’il avait changé après la découverte de ce trésor, ce qu’assurent par exemple Hubert Caouissin et Renée Troadec. Mais rien n’a permis de faire ce constat.
Cette affaire a eu une résonance particulière parce qu’un trésor constitué de lingots d’or a bel et bien disparu à Brest. En 1940, face à l’arrivée des Allemands, le ministre des Finances de l’époque, Lucien Lamoureux, décide en effet d’évacuer en urgence l’or de la Banque de France vers l’étranger. Partis en train, les lingots et les pièces d’or transitent par Brest avant d’être embarqués sur des bateaux. Mais un paquet contenant 50 kilos d’or tombe à l’eau au moment du chargement et n’a jamais été officiellement retrouvé.
A l’époque du drame d’Orvault, une habitante du Finistère avait témoigné de l’existence de cet or dans Le Télégramme. Elle avait ainsi raconté que son père, en juin 1940, avait plongé dans le port de Brest et découvert, avec trois amis, la caisse d’or. Il l’avait conservée, dans le but de la soustraire aux Allemands. Après la libération, pris de panique à l’idée d’être condamné pour ce « vol », il l’aurait dissimulée dans un immeuble abandonné du quartier brestois de Recouvrance.
L’accusé a exprimé des remords
Les parties civiles, elles, ne croient pas à l’existence de ce trésor. « Qu’on arrête avec cet or! C’est n’importe quoi! Il n’y en a pas. Il n’y en a jamais eu », a ainsi témoigné l’une de sœurs de Brigitte, Hélène. Même la mère d’Hubert Caouissin n’y croit pas. « Encore les lingots d’or? Mais c’est vraiment n’importe quoi! », avait-elle dit au début de l’enquête. Toujours est-il que si Pascal Troadec possédait bel et bien ce trésor, nulle trace n’a été trouvée. Par ailleurs, il n’aurait pas pu utiliser cet argent, les lingots étant marqués et impossible à écouler.
Qu’il ait existé ou non, il est établi que ce trésor était à l’origine des tensions dans la famille, et du ressentiment de Hubert Caouissin envers Pascal Troadec, ayant mené, d’une certaine façon, à son geste fatal. L’avocate de la famille de Brigitte Troadec estime ainsi que l’accusé « harcelait » la famille. Depuis son incarcération, le suspect a exprimé des regrets. Mais il n’en démord pas : pour lui, Pascal Troadec a bien privé sa compagne Lydie du trésor familial.
Cet article est lié à une affaire judiciaireen cours.Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer à l’écriture de synthèse de manière neutre et objective, en citant vos sources et en suivant le conseil suivant :N’oubliez pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
La dernière modification de cette page a été faite le 24 octobre 2018 à 23:12. → Sur Wikinews, voir aussi : France : le beau-frère de Pascal Troadec avoue avoir tué la famille.
Affaire Troadec
Façade du 24 rue d’Auteuil, à Orvault. Scène de crime dans l’affaire Troadec
L’affaire Troadec (parfois appelée affaire d’Orvault) concerne l’assassinat, dans la nuit du 16 au 17 février 2017, des quatre membres de la famille Troadec à Orvault, commune de l’agglomération nantaise, en Loire-Atlantique. Dans un premier temps, une alerte pour disparition inquiétante a été émise le 23 février 20171. Le 5 mars, Hubert Caouissin, ex-beau-frère du père de la famille, déclare avoir commis le quadruple meurtre et fait disparaître les corps en les démembrant puis en les brûlant ou en les enterrant.
Hélène M., une des deux sœurs de Brigitte Troadec, s’inquiète du silence inhabituel de sa sœur, de son beau-frère et de leurs enfants. En effet aucun membre de la famille n’a donné signe de vie depuis le 16février2017 à leur domicile de la rue d’Auteuil, un secteur plutôt résidentiel et pavillonnaire, situé non loin du centre d’Orvault2,3.
Toujours sans nouvelle à la date du 23février2017, cette sœur de Madame Troadec décide, ce jour-là, d’alerter les autorités compétentes.
Les personnes disparues4 sont les suivantes : Pascal, le père, né le 12 septembre 1967 (49 ans), plasturgiste dans l’entreprise Arlux-Visotec (PME spécialisée dans la fabrication d’enseignes lumineuses) ; Brigitte, la mère, née le 2 novembre 1967 (49 ans), fonctionnaire du Trésor public à Nantes5 ; Sébastien, leur fils, né le 11 février 1996 (21 ans) et Charlotte, leur fille, née le 29 juin 1998 (18 ans), tous les deux étudiants.
« Si le contexte de violences graves ayant présidé à la disparition de la famille Troadec semble désormais établi ; en revanche les circonstances entourant la commission des faits demeurent indéterminées et ne permettent pas de savoir si nous avons affaire à un drame familial ou à l’intervention d’une ou plusieurs personnes étrangères à la famille6. »
Les enquêteurs ont en effet relevé des éléments inquiétants : des traces de sang identifiées comme appartenant à trois des membres de la famille, hormis le sang de Charlotte, qui n’apparaît nulle part2, et des indices suggérant un départ précipité sans qu’on sache s’il était volontaire ou contraint. Les véhicules des deux parents sont restés dans la propriété de la famille, seule la voiture Peugeot 308 du fils a disparu7.
Le 1ermars, une joggeuse retrouve un pantalon et la carte Vitale de Charlotte8 près de Dirinon, dans le Finistère (département dont sont originaires les parents). Un livre scolaire au nom de Pascal Troadec est également retrouvé en bord de route, ainsi que deux linges semblables à des draps, dans cette même ville de Dirinon7.
Le lendemain 2mars, les policiers retrouvent le véhicule de Sébastien garé sur le parking de l’église Saint-Joseph, dans le quartier de Méan-Penhoët à Saint-Nazaire9,7 .
Boîte aux lettres de la famille Troadec, placée sous scellés
Le 5mars, Lydie Troadec, la sœur de Pascal Troadec et son ex-compagnon, Hubert Caouissin, sont placés en garde à vue au commissariat de Brest. Des traces d’ADN de ce dernier sont retrouvées au domicile des victimes, ainsi que dans le véhicule de Sébastien, alors que le suspect avait déclaré, lors d’une précédente audition, ne plus avoir de contact avec la famille Troadec depuis plusieurs années. Dans la soirée, l’homme avoue être l’auteur du quadruple meurtre. Il est mis en examen et écroué pour « assassinats » et « atteinte à l’intégrité d’un cadavre ». Sa compagne, Lydie Troadec, a, quant à elle, été mise en examen et écrouée pour « modification de l’état des lieux d’un crime et recel de cadavres ». Le mobile serait dû à un différend survenu lors d’un partage d’héritage : le suspect aurait soupçonné Pascal Troadec de s’être approprié, après le décès de son père en 2010, des lingots et pièces d’or que ce dernier aurait détenus. Ces lingots proviendraient d’un trésor découvert en 2006 par le père de Pascal, alors artisan plâtrier, au cours de travaux effectués dans un immeuble ancien du quartier de la Recouvrance, à Brest10. En infraction avec la législation, celui-ci aurait subtilisé la totalité du trésor sans informer de sa trouvaille le propriétaire de l’immeuble ni l’administration11. À ce jour, ce prétendu trésor reste introuvable12.
Le 10 mars, des « fragments de quatre corps humains et des bijoux appartenant à la famille » ont été retrouvés à Pont-de-Buis-lès-Quimerch dans la ferme appartenant au suspect, Ils sont expertisés pour identification ADN 13.
Le 21 mars, l’analyse ADN confirme que les fragments de corps retrouvés appartiennent à Pascal, Brigitte, Sébastien et Charlotte Troadec14.
Le 6 avril 2017, devant le juge d’instruction, Hubert Caouissin passe aux aveux et livre une description détaillée de la nuit du meurtre. Il prétend avoir tué les quatre membres de la famille après avoir été surpris dans la maison le soir du crime, mais cette version ne convainc pas les enquêteurs15,16. Comment un homme seul aurait-il pu tuer quatre adultes simultanément ? Les enquêteurs penchent pour un crime avec préméditation où les victimes auraient été tuées pendant leur sommeil. Au 14 avril, après les aveux détaillés, les résultats d’une analyse morphoanalyse des traces de sang, dans la maison d’Orvault, sont très attendus par la police pour trancher la question : meurtre ou crime avec préméditation17.
Dans son numéro du 13 avril 2017, Le Télégramme révèle que la gendarmerie a été mise sur la piste du beau-frère par une lettre anonyme venant de la famille : « Arrêtez de chercher du côté de Sébastien. Il n’a rien à voir avec tout ça. Allez plutôt voir le beau-frère de Pascal. Il est jaloux de lui à en crever ». Les soupçons au début de l’enquête se sont en effet portés sur Sébastien, étudiant en BTS informatique, décrit comme un geek ayant « souffert de fragilités psychologiques ». Ce sont les traces d’ADN de Hubert Caouissin, retrouvées sur un verre d’eau au domicile des victimes, qui ont persuadé la gendarmerie du sérieux de cette piste18,19.
Obsèques
Les obsèques des quatre membres de la famille Troadec ont lieu le vendredi 19mai2017 dans l’église Saint-Houardon de Landerneau, commune où réside la famille de Brigitte Troadec. Les corps sont inhumés dans le cimetière de cette même commune20.
Conjectures initiales sur le déroulement des faits
Localisation des lieux cités : Lieux des évènements. Autres villes importantes.
Le 16 février, l’ex-beau-frère de Pascal Troadec, Hubert C., 46 ans, serait venu au domicile des Troadec avec un stéthoscope qu’il aurait appliqué aux fenêtres pour tenter de savoir ce qui se serait dit à l’intérieur. Il aurait espionné ainsi la famille une bonne partie de la soirée et serait ensuite entré au domicile des victimes par le garage. Il semblerait peut-être que Pascal Troadec et sa femme, ayant entendu du bruit, soient descendus au rez-de-chaussée. Selon les déclarations de Hubert C., le père de famille muni d’un pied-de-biche aurait eu une altercation avec lui. Hubert C. se serait alors emparé du pied-de-biche pour frapper et tuer les parents puis leurs enfants21.
Selon les aveux d’Hubert C., il serait alors resté dans la maison jusqu’au petit matin puis serait rentré à son domicile en Bretagne. Le 17 au soir, il serait retourné à Orvault pour effectuer un nettoyage de la maison. Dans la soirée du 18, il serait revenu à Orvault et y aurait rentré la voiture de Sébastien dans le garage pour y mettre les cadavres et les transporter dans sa ferme du Stang de Pont-de-Buis.
Dans la ferme, Caouissin démembre les corps à l’aide d’une hache et des tenailles à métaux22. Certaines parties de corps sont enterrées dans les vasières de l’Aulne maritime, et d’autres brûlées dans la chaudière à bois de sa ferme23. Avec l’aide de sa compagne, il nettoie le véhicule puis la dépose à Saint-Nazaire, au hasard, pour faire diversion24.
Conjectures sur le mobile supposé
Dans un entretien au quotidien Le Parisien, jeudi 9 mars, la mère de Pascal Troadec explique qu’un trésor « de lingots et de pièces d’or », découvert par son époux, est à l’origine de la tragédie25. Un or « volé peut-être », croit-elle savoir, « à la Banque de France » lors de la Seconde Guerre mondiale. Elle ajoute que son mari, ex-artisan plâtrier, a récupéré cet or en 2006, lorsqu’il a effectué des travaux dans un immeuble datant de 1907 du vieux quartier de Recouvrance, à BrestNotes 1. Il l’aurait ensuite caché dans le garage de leur maison26.
Le 10 mars, le journal régional Le Télégramme publie le témoignage d’une femme qui déclare : « c’est mon père avec trois amis qui ont remonté du fond du port de Brest les lingots tombés à l’eau, lors du chargement du trésor de la Banque de France, en juin 1940, pour le soustraire aux mains des Allemands ». Ce témoignage précise les circonstances de cette « subtilisation » et le devenir du trésor par la suite27. S’il est vrai que ces témoignages sont sans preuve, ils s’appuient toutefois sur une anecdote historique et véridique de la débâcle française de 1940 : l’évacuation par bateau de 750 tonnes d’or appartenant à la Banque de France et chargées à Brest le 14 juin 194028.
Trois mois après le début de l’enquête, la police recherche toujours activement cet hypothétique trésor. La police judiciaire a mis la main dans la maison d’Orvault, un paquet de lettres écrites par Renée Troadec, la mère de Pascal, dans lesquelles elle reproche à son fils d’avoir volé «l’héritage». Toutefois elle ne fait pas référence directement à cet or qui n’aurait jamais été déclaré. Un magot qui, selon elle, aurait dû être partagé avec Lydie, la sœur de Pascal et compagne d’Hubert Caouissin. La justice délivre, fin avril, des commissions rogatoires internationales (CRI) pour tenter de retrouver la trace de cet or éventuel dans les principautés d’Andorre et de Monaco, où Pascal et Brigitte se seraient targués d’avoir mis à l’abri le pactole29.
Aveux détaillés des suspects
Hubert Caouissin, a longuement détaillé aux enquêteurs ce qu’il s’est passé dans la nuit du 16 au 17 février, lorsqu’il s’est introduit dans la maison familiale d’Orvault (Loire-Atlantique) et aurait tué ses occupants. Ses aveux qui tiennent sur dix-sept pages et sont largement publiés dans la presse locale le jeudi 13 avril par Le Télégramme qui reprend les PV d’audition du suspect et ce qu’il a déclaré aux enquêteurs le 5 mars, lors de sa garde à vue15,30.
Le 9 juin 2017, Hubert Caouissin est à nouveau entendu par les juges d’instruction sur le transport des corps jusqu’à la ferme d’Hubert Caouissin, à Pont-de-Buis-lès-Quimerch (Finistère) et sur le nettoyage de la maison des Troadec, à Orvault (Loire-Atlantique)31.
Le 6 février 2018, Hubert Caouissin est à nouveau entendu par le juge d’instruction sur ses relations avec les membres de la famille Troadec avant les faits32.
Polémique sur le traitement médiatique
Dans les premiers jours de l’affaire, un emballement médiatique a conduit certains médias, liés aux chaines d’informations en direct, à présenter à tort Sébastien Troadec, l’une des victimes, comme l’assassin potentiel33. Ils vont même enquêter eux-mêmes en recherchant sur internet les commentaires, ou autres posts du fils pour y trouver des traces de culpabilité. Cette accusation et ce manque de déontologie ont été dénoncés par leurs confrères34,35.
Par la suite, l’affaire Troadec a donné lieu à des investigations très complètes de la part de certains hebdomadaires qui en rendent compte dans des articles détaillés36.
Expertise psychiatrique
Hubert Caouissin a été confronté à des psychiatres depuis son incarcération. Le compte-rendu de ces entrevues a été rendu public. Dans un rapport à l’automne 2017, remis aux juges d’instructions, l’expertise conclut à «une altération du discernement». Cependant en septembre 2018 une contre-expertise va être menée afin de vérifier les conclusions d’une première expertise37.
Notes et références
Notes
↑ Cette version reste plausible, car le vieux quartier historique de Recouvrance à Brest est le seul à avoir échappé en partie à la destruction totale lors des bombardements alliés de la Seconde Guerre mondiale.
↑ Vincent Monnier, « Affaire Troadec : le poison du doute », L’Obs, no 2731, 9 mars 2017, p. 62 (lire en ligne [archive]).
Article initialement publié le 7 mars 2017, sous le titre « Affaire Troadec : comment les médias se sont emballés », sur le site tempsreel.nouvelobs.com, où il est ensuite devenu consultable en accès payant.
Les revendications publiques des commanditaires de l’attentat n’ayant jamais été aussi claires que cette fois-ci, comme je l’ai déjà fait remarquer à plusieurs reprises à mes trop rares lecteurs, nombre de leurs complices, notamment ceux de l’extrême-gauche, sont évidemment tentés de noyer la réalité sous un déluge de rumeurs et fake-news à l’usage tout à fait semblable à celles auxquelles je suis moi-même confrontée de leur part depuis qu’en 2008 je me suis révélée comme victime de harcèlement moral en entreprise dans quelques commentaires anonymes assez vagues sur le site Rue89 : l’intégralité de mon passé professionnel est depuis totalement niée par tous ceux qui ont intérêt à soutenir que je n’aurais jamais été harcelée dans le travail, tout comme l’est aussi par les mêmes criminels la réalité de ma personnalité.
Même chose pour l’attentat de Strasbourg, donc : si ce n’est pas un attentat, il n’a évidemment aucun commanditaire…
Près d’un mois après l’attaque du 11 décembre, l’instruction se poursuit. Plusieurs éléments indiquent qu’il s’agit bel et bien d’un attentat mais des rumeurs insistantes, notamment sur les réseaux sociaux, évoquent plutôt un règlement de comptes.
Strasbourg, France
Tous les éléments semblent aujourd’hui tendre vers la thèse de l’attentat selon des sources proches de l’enquête : le mode opératoire, le contexte du marché de Noël, la diversité des victimes, un serment d’allégeance à l’état islamique retrouvé sur une clé USB de l’assaillant qui a hurlé « Allahu Akbar » en ouvrant le feu, cela n’empêche pas les rumeurs de grossir.
La dernière en date : il ne s’agirait pas d’un attentat mais d’un règlement de comptes entre l’assaillant et l’une des cinq victimes décédées, un strasbourgeois d’origine afghane. Des rumeurs qui pour le sociologue des médias, Pascal Froissart, n’ont rien d’anormal, puisque l’instruction n’est pas close.
« L’enquête est encore en cours, le temps judiciaire est toujours en décalage avec le temps médiatique, ce qui laisse place à des tas de suppositions et cela donne naissance à un certain nombre de théories alternatives, de rumeurs, de fake-news » explique Pascal Froissart.
Pour le maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, enseignant à l’université de Paris 8, ces informations n’apparaissent pas au hasard, elle circulent dans des réseaux balisés, politiques, syndicaux ou gilets jaunes par exemple. D’ailleurs au lendemain du 11 décembre, sur les réseaux dits sociaux, certains gilets jaunes avaient accusé Emmanuel Macron d’avoir organisé l’attaque.
Son équation personnelle est bien connue depuis 2010, lorsqu’il a déboulé sur mon ancien blog « Un petit coucou » en hurlant qu’il était divorcé…
Je ne vais pas m’étendre ici à ce sujet, il a déjà fait payer à OverBlog tous les commentaires dans lesquels il venait de lui-même raconter sa vie sur ce blog en publiant identités et coordonnées, celles de son avocat comme les siennes.
L’espèce de dialogue assez surréaliste que nous avons engagé sur la toile, lui le terroriste qui se prétend le chef mais est quand même tenu par quelques Konducators qui lui interdisent de me harceler comme il l’a fait par le passé durant plusieurs années, et reste donc cantonné sur son mur Facebook, et moi sa victime depuis une bonne dizaine d’années (car en réalité, il était bien associé à tous les autres dès 2008), n’ayant plus depuis 2010 que mes propres blogs comme supports d’expression, les modérateurs des autres sites ou blogs où j’ai tenté de m’exprimer depuis 2008 ayant tous été systématiquement harcelés de demandes de suppressions de posts et comptes ou de bannissements à mon encontre par le susdénommé et ses complices « déconnologues », jusqu’à satisfaction, cette suite d’échanges portant « en direct live » sur le sujet quand même assez sensible des attentats islamistes commis en France et ailleurs depuis 2012 se poursuit.
Il y a une heure, Jean-Marc Donnadieu s’exprimant cette fois sans plus aucune pointe de ce qu’il appelle à tort de « l’humour », a posté ceci, tendant à justifier ses attentats islamistes, notamment ceux de la période de Noël, ayant visé dès décembre 2014 à Nantes comme le mois dernier à Strasbourg des marchés de Noël, et toux ceux ayant directement frappé des Chrétiens :
Mais… euh… il n’y a strictement aucun rapport entre les différents faits de violences exposés et « l’extrême droite catholique intégriste » qu’il accuse d’en être responsable…
Il ne pédale plus dans la semoule, il est en train de perdre les pédales.
C’est en effet tout ce que son père décédé alors qu’il avait tout juste un an a pu lui laisser.
Pour le reste, son omniprésence de mort prématuré auprès de sa mère a généré chez lui une énorme frustration, celle de ne pouvoir le tuer pour évacuer tous ses complexes… notamment construits sur l’image masculine proposée par les films pornos qu’il regardait avec sa tante quand il était petit…
Du coup, voilà ce qu’il fait de tous ceux qui « donnent à Dieu », les « croyants » ou supposés tels dans son esprit malade :
Il les tue vraiment, surtout lorsqu’il s’agit de Chrétiens, comme Patricia Bouchon, haïe à la folie par ses assassins entre autres choses pour avoir fréquenté un groupe d’Evangélistes.
Tenez, il vient encore de poster ceci, il y a tout juste 38 minutes :
Il a de nouveau changé de drapeau hier à 14h45, après la publication de mon précédent article le concernant, hier en fin de matinée, et se balade désormais à New York :
Pour commencer ses nouveaux périples américains, il est allé chercher un article du 12 avril 2014 où j’avais présenté à mes lecteurs le seul type d’humour dont il est vraiment capable : des effets comiques tout à fait involontaires de sa part et qui naturellement déclenchent le fou rire du lecteur plus qu’agacé par ses injures et agressions verbales continuelles, voire ses menaces de mort ou autres également très fréquentes, surtout quand, s’essayant lui-même à faire de l’humour, il se retrouve sous les feux de critiques ayant pour leur part un vrai sens de l’humour… et la tête sur les épaules…
Exemples extraits de la discussion rapportée dans cet article du 12 avril 2014 :
Re:Un peu d’humour
Le type (qui me semble pas spécialement intéressant par ailleurs) dit « Aux USA ils parlent d’OANI depuis 1954″
Et toi tu ponds là dessus un article sur ton site plein d’emotes style html même pas 1.0 ringard et tu appelle ça de l’humour ?
ça te viendrai pas à l’esprit que le gars dans son oralité approximative, et c’est normal rares sont les bons orateurs, ça te viendrai pas à l’idée qu’il veux parler du sens du mot et pas de l’acronyme en lui même ?Est ce que tu comprendra un jour que le niveau de tes réflexions c’est vraiment de la daube ? Que cette existence numérique que tu t’es forgé au fil des ans sent la merde et même carrément la fosse à purin, que si tu avais un minimum de lucidité tu t’interrogerai sur cette espèce de haine que tu évacue par ci par là.
Moi je cause pas beaucoup mais je sais écouter, et ce que j’entends chez toi, c’est une méga-connerie d’un niveau rarissime !
Re:Un peu d’humour
Salut Fanch,
En parlant d’humour, ton post est tout simplement hillarant même si j’avoue ne pas avoir lu son texte.
Mais le comble est de se faire traiter de :
télépathe psy à deux balles
Par un pseudo-socio/psychologue ! lol
Je ne suis pas ufologue, les ufologues me font marrer, je regarde plus les ufologues que l’ufologie
Pas besoin de pouvoirs psy pour déceler et débusquer un tocard. lolz
++
Rufus
Re:Un peu d’humour
ignorer, verbe transitif
Sens 1 Ne pas savoir. Synonyme être Anglais to be unaware
Sens 2 Ne pas avoir l’expérience de. Ex Il ignore ce qu’est d’être malade. Anglais to have no experience of
Sens 3 Mépriser quelqu’un, ne pas y faire attention. Synonyme mépriser Anglais to ignore
Conjugaison voir la conjugaison du verbe ignore
Pas besoin de pouvoirs psy
Les psy(chologues/chiatres) n’ont pas de pouvoirs, les psis eux pensent en avoir…
Et je n’ais pas de diplômes en psy.
Re:Un peu d’humour
Sens 1, « il ignore l’étendue de sa connerie »
Sens 2 « il ignore ce qu’est la mesure »
Sens 3 Je me ralie au choix de Rufus, N@H…etc
Re:Un peu d’humour car il en faut…
Fanch écrit:
Sens 1, « il ignore l’étendue de sa connerie »
Sens 2 « il ignore ce qu’est la mesure »
Sens 3 Je me ralie au choix de Rufus, N@H…etc
Ne cherches pas Fanch, discuter avec quelqu’un qui prétend ne pas être un ufologue alors que lui-même déclarait :
ensuite : « mais que fais tu des milliers de témoignages? »
tu réponds : je les prends pour ce que c’est : la base d’un travail de recherche, parce que si je pensai qu’il n’y a pas d’ovnis, etc etc
et ! je ne m’intéresserai pas à l’ufologie depuis presque 30 ans bientôt .
etc etc etc www.toutelaverite.org/crops-circle/crop-…saison-2008/85/?wap2
C’est quand même le comble de la mauvaise foi, pas besoin de faire partie d’une assoc’ d’ailleurs pour être un ufologue. En attendant et grâce à lui, le topic UFO/UAP News est fermé alors que c’est « nous » qu’il insulte à plusieurs reprises. Perso’, je n’ai aucun camp, je suis « freelance » mais lui doit se réjouir* de penser se trouver du « côté » ufo-sceptique et nous de l’ « autre » dans cette histoire. Alors que dans la réalité, nous sommes tous différents et je n’associe pas Nemrod à la liste des ufo-sceptiques qui m’inspirent de part la pertinence/justesse de leurs propos et leurs compétences.
*Cela doit être rassurant pour lui quand même et le confortera dans sa bêtise.
Pour conclure, tout cela est lié à une histoire d’égo encore une fois. Ne pas reconnaître ses erreurs de jugement en est l’un des symptômes…
Well, that’s ufology comme dirait l’autre… EDIT pour l’autre tâche : www.larousse.fr/dictionnaires/francais/ufologue/80430
Comme si constater de fait qu’il se plante sur toute la ligne dans ses impressions (cas Indiens) faisait de moi ou de nous, un/des voyant psi. Voilà encore un raisonnement fallacieux…
++
Rufus
Un peu d’humour où l’on flingue a tout va !
SALUT TONTON çà Flingue grave par ici !
NEMROD34 Tu devrait monter le site qui délivre des D.U. de foutaisologie !!
çà te détendrait vraiment ….
Re:Un peu d’humour où l’on flingue a tout va !
Le spécialiste des flingues c’est pas moi, même si j’aime beaucoup les armes, et je suis un fana de AUDIARD. Non moi je ventile, je disperse, façon puzzle!
Mais en quoi est ce un argument ?
Je vois qu’on pédale toujours dans le semoule, avec beaucoup de conviction certes mais ça reste pédaler dans la semoule …
Re:Un peu d’humour
Bonsoir les gars,
Bon, vu qu’au petit jeu du « qui est le plus con ? », j’ose espérer tous vous battre à plat de couture. On va faire simple :
Nemrod, tu es un monumental con mais moi, j’ai la particularité d’être encore plus con que toi et sur commande.
Alors à partir de là, tout est dit, laissons ce forum tranquille et réglons nos histoires de gamin par mp et merci de respecter/rester sur les sujets du forum par respect pour les membres, les lecteurs et les modos.
++
Rufus
Re:Un peu d’humour
Rufus écrit:
Alors à partir de là, tout est dit, laissons ce forum tranquille et réglons nos histoires de gamin par mp et merci de respecter/rester sur les sujets du forum par respect pour les membres, les lecteurs et les modos.
Merci !Vous devriez vraiment faire une pause pour respirer un peu, ça devient vraiment n’importe quoi… Vous m’obligez à fermer à nouveau un fil de discussion, sérieux… ++
Les posts de NEMROD34 étant comme toujours pour la plupart très longs et très pénibles à lire, je n’en ai rapporté que deux dans les extraits ci-dessus, assez courts, et qui peuvent être lus avec intérêt : d’abord le troisième, où il se plaint d’être « ignoré » et donc « méprisé », lui qui insulte continuellement ses interlocuteurs de la manière la plus grossière sans jamais prêter la moindre attention à aucun de leurs arguments, et l’avant-avant-dernier, où il dit assez clairement comme très souvent « exploser » ou « pulvériser » ses cibles, ce dont il venait me menacer quotidiennement sur mon propre blog en 2010 : « Non moi je ventile, je disperse, façon puzzle! »
Dans cette discussion, il y a donc Fanch et Rufus qui lui répondent, puis deux autres intervenants dans les quatre derniers posts, dont le modérateur qui décide de fermer les bans.
Ce que le psychopathe et pervers narcissique NEMROD34 – qui donne bien son identité véritable et toutes ses coordonnées partout où il s’exprime sous ce pseudonyme-là, et dans cette discussion encore, comme sur mon ancien blog « Un petit coucou » et tous ses sites ou blogs personnels – appelle de l’ »humour », n’est en réalité que « moqueries » ou insultes à profusion contre ses cibles habituelles ou ses victimes, ce qui est particulièrement odieux lorsqu’il est aussi l’auteur ou coauteur de vrais crimes à leur encontre, par exemple de vraies explosions meurtrières résultant de bombes posées ici ou là par ses complices terroristes ou lui-même.
Le documentaire « Les pervers narcissiques: une violence invisible », sur France 5, donne la parole à plusieurs femmes victimes de ces personnes.
PSYCHOLOGIQUE – « Tu es zéro », « grosse », « moche », « bête », « aussi répugnante ou immonde qu’un égout »… Ces insultes ont toutes un point commun: elles ont été proférées par des pervers narcissiques, ces personnes atteints d’un trouble de la personnalité qui font l’objet d’un documentaire diffusé ce mardi 8 janvier sur France 5.
Intitulé « Les pervers narcissiques: une violence invisible« , ce documentaire réalisé par Delphine Dhilly « raconte l’emprise psychologique et la violence verbale exercée par les pervers narcissiques sur leur conjoint ».
Comme on peut le constater dans l’extrait ci-dessous, les insultes sont couramment utilisées par les pervers narcissiques pour les rabaisser.
Il s’agit, comme expliqué dans cet article du HuffPost américain, d’une forme de violence morale, qui peut aussi s’exercer à travers des critiques, des accusations, des humiliations. Elle peut aussi se caractériser par des tentatives de destruction psychologique en rabaissant la personne et en donnant de l’affection au compte-gouttes pour garder le contrôle de la relation. Un pervers narcissique tente également de maîtriser les dépenses d’argent, les déplacements, la tenue et les fréquentations de l’autre.
Ces insultes sont une manière pour le pervers narcissique de prendre sa victime au piège. Constamment rabaissée par des réflexions blessantes, la victime finit par être persuadée qu’elle ne vaut rien sans lui. « Il me fait un lavage de cerveau. Je ne suis plus qu’une marionnette dont il manie les ficelles à sa guise. Je n’ai plus de pensées propres. Je subis sans consentir », racontait ainsi auprès du Monde une victime de pervers narcissique.
Au-delà de la violence verbale, le documentaire de France 5 retrace le parcours de ces femmes victimes, depuis leur enfermement jusqu’à leur reconstruction. Il montre également « la réalité que revêt cette perversion qui reflète un phénomène social très fort et destructeur ».
Dans la journée de samedi, 5 janvier 2019 (ne pas se fier à l’heure qui n’est pas la nôtre), il a publié une image laissant entendre que ses amis terroristes et lui pouvaient se disputer sur le choix de leur prochaine cible, chocolat ou blonde.
Ce fut donc de nouveau l’Egypte, « chocolat », tandis qu’il en voulait une « blonde ».
Et là, il vient d’adopter le drapeau suédois, pouvant signifier qu’il annonce le prochain en attentat en Suède, comme il l’a déjà fait pour d’autres.
Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.
Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.
Avis du 24 janvier 2015
Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né.
En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées.
Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.
Avis du 26 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.
Avis du 31 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.
Avis du 1er février 2015
Retour de mes statistiques "basiques".
Avis du 3 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.
Avis du 6 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.
Avis du 11 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.
Avis du 26 février 2015
Statistiques "basiques" enfin débloquées !
Avis du 27 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt...
Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
Avis du 4 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.
Avis du 7 mars 2015
Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.
Avis du 25 mars 2015
Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.
Avis du 2 avril 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour.
Avis du 26 avril 2015
Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.
Avis du 28 avril 2015
Statistiques de retour. Merci.
Avis du 7 mai 2015
Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.
Avis du 10 mai 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".
Avis du 14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
Avis du 3 octobre 2015
Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.
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