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Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011

Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/07/la-fille-dans-le-cercueil-ou-le-sadisme-du-scorpion/

Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.

Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.

Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.

Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).

Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.

Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.

Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.

Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.

Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.

Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.

Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.

Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.

Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…

A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.

C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.

Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.

En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.

C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.

Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).

Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.

En voici une copie :

 

Visite à Brest de Frédéric Mitterrand le 9 juin 2011 dans AC ! Brest 2011%2005%2025%20-%20'Chez%20Cyprien%20Luraghi%20%E2%88%92%20En%20ligne%20et%20%C3%A0%20l'%C5%93il%20depuis%202001'%20-%20icyp.fr

 

 

Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.

J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2011-06-10 Frédéric Mitterrand en visite dans le Finistère - Un petit coucou

 

En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.

De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.

Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).

Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.

Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :

 

Cavalier législatif au profil de LVMH

Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.

En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.

 

Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.

On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/linconnu-de-vanikoro-inhume-au-chateau-de-brest-468057

« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest

Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ».
Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, prend connaissance du projet destiné à donner une dernière demeure à Brest à « l’inconnu de Vanikoro ». | OUEST-FRANCE

Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00

Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.

Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.

L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Mitterrand

Frédéric Mitterrand

  1. « Le parcours de créateur de Frédéric Mitterrand [archive] », NouvelObs.com, 9 octobre 2009

Bibliographie

      • Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

:

 

Une non attaque terroriste hier à Grenoble

De toute façon, officiellement, il n’y a aucune menace particulière en ce moment. Donc il ne peut pas s’agir d’un acte terroriste.

Rappel : le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a bien relancé une nouvelle série de fêtes islamistes fin mai dernier et il a sûrement préparé un gros coup pour le 14 juillet. Il adore faire la fête à sa manière ce jour-là, et cette année comme en 2016 et précédemment en 2011 (il s’était alors contenté d’attaquer par piratage informatique et faire tomber la plateforme de blogs Overblog pour obliger ses informaticiens à bosser le jour de la Fête nationale), cela coïncide parfaitement avec son calendrier festif habituel lorsqu’il attend que toutes ses saloperies à mon encontre portent enfin leurs fruits.

 

Lire ou relire à ce sujet :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

 

 

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2022/07/08/grenoble-un-homme-arme-abattu-par-la-police-en-centre-ville_6133941_1653578.html

Grenoble : un homme armé abattu par la police en centre-ville

 

Les faits sont survenus quand le passager d’un scooter, en possession d’une « arme longue » a « braqué son arme en direction de policiers ». Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».

Le Monde avec AFP

Publié aujourd’hui à 10h19, mis à jour à 11h09

Les faits ont eu lieu en plein centre-ville de Grenoble jeudi 7 juillet en fin d’après-midi. Un homme de 24 ans, qui circulait à scooter avec un passager armé, a été tué par la police, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources concordantes.Une source policière a précisé à l’AFP que le conducteur du scooter, vêtu d’un gilet pare-balles, circulait en compagnie d’un passager armé d’une « arme longue ». Ce dernier a « commencé à braquer son arme en direction de policiers », qui ont tiré à deux reprises, touchant le conducteur à la tête.

Le parquet a précisé que les occupants du scooter avaient croisé la route de deux fonctionnaires de police qui effectuaient une patrouille à pied vers 18 h 15, et qu’un jeune homme âgé de 24 ans, « connu des services de police », était mort « sur place malgré les soins prodigués rapidement par les secours ». L’autre occupant du scooter est lui parvenu « à prendre la fuite ».

Lire aussi : En Saône-et-Loire, un adolescent de 14 ans mis en examen et écroué après avoir tué sa petite amie

Deux enquêtes ouvertes

Une arme, « de type kalachnikov, chargée a été retrouvée sur les lieux », dans le secteur du quartier Hoche, a encore précisé dans un communiqué le procureur adjoint de Grenoble, Boris Duffau.

Deux enquêtes ont été ouvertes. La première sur les faits de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique », confiée au service de police judiciaire de Grenoble, et la seconde a été confiée à l’IGPN, la « police des polices » sur les faits de coups mortels. « Le policier qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue et devrait être entendu dans la soirée par des enquêteurs de l’IGPN », a ajouté M. Duffau, lequel précise qu’une autopsie serait réalisée vendredi matin.

Une autre source policière contactée par l’AFP a expliqué que, selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».

Lire aussi : Deux enseignants tués par balle à Pouyastruc, dans les Hautes-Pyrénées, l’auteur présumé recherché

Le Monde avec AFP

 

La fille dans le cercueil ou le sadisme du Scorpion

 

 

 

Voilà un très bel exemple de pur sadisme.

Naturellement, le sadique est encore un natif du signe du Scorpion, comme Isabelle Johanny, vice-procureur du TJ de Brest.

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/21/les-signes-astrologiques-les-plus-dangereux-selon-le-fbi/

Jusqu’à présent, à peu de choses près, je me suis contentée de parler du seul signe de naissance pour dégrossir un peu le sujet du profilage des tarés par l’astrologie.

Cependant, il est évident que bien d’autres paramètres entrent en ligne de compte de manières diverses pour faire de chaque individu un être unique, quoiqu’il puisse présenter des traits de caractère ou de personnalité communs à de nombreux individus.

Avec le cas de John Edward Robinson, tueur en série d’Internet, le premier connu du FBI, j’ai déjà montré que ce Capricorne ressemblant assez au malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont tout le monde sait qu’il va lui aussi sur Internet à la recherche de proies, notamment pour alimenter ses « bouquins » en « personnages », comme il l’a fait à compter de 2008 sur le site Rue89, est en fait très proche d’un Verseau, comme l’est effectivement le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/04/john-edward-robinson-premier-tueur-en-serie-dinternet/

Mais ces deux-là sont également des sadiques, ce qui relève du signe du Scorpion et se retrouve effectivement dans leurs thèmes respectifs avec ce signe et son maître Pluton en relief et viciés.

Pour John Edward Robinson, il s’agit de Vénus en Scorpion au carré de Jupiter en Lion avec son maître Pluton.

Et pour ce qui est du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je l’avais déjà quelque peu montré le 24 janvier 2011 sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur la plateforme de blogs Overblog, ce dont l’intéressé s’était plaint à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 en expliquant aussi avoir constitué avec plusieurs amis internautes un groupe de « déconnologues » revendiquant « donner de la bonne humeur aux gens » en se « moquant » tous ensemble sur le site Rue89 de femmes qui s’y disaient victimes de harcèlement moral dans le travail. En général, les gens paient pour avoir leur thème astral, moi je le lui fais gratis, et il en va s’en plaindre en réponse à ma plainte parfaitement justifiée pour de déjà très nombreuses infractions pénales avérées dont il reconnaît bien une partie… Par ailleurs, la criminelle sadique Isabelle Johanny avait trouvé absolument génial son cyberharcèlement en bande organisée clairement revendiqué à l’égard de femmes déjà victimes de harcèlement moral dans le travail, elle l’a écrit dans un des faux criminels qu’elle a produits par la suite pour le disculper entièrement et tous ses complices avec lui.

Comme je ne connais toujours pas l’heure de naissance du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le 7 février 1958 à Strasbourg, je ne peux toujours pas en dire beaucoup plus et ne sais en particulier s’il n’aurait pas un ascendant Scorpion mettant encore davantage l’accent sur ce signe dans son thème astral.

Je fais seulement observer que sa moitié Annie Belléculée épouse Luraghi est elle bel et bien du signe du Scorpion, ce qui prouve l’importance de ce signe dans son thème à lui aussi. A l’évidence, c’est celui de leur couple, aussi pervers que les Fourniret ou Dutroux, dont on ne s’étonnera pas d’apprendre que Cyprien Luraghi avait âprement défendu l’épouse Michelle Martin sur Internet lors de sa libération conditionnelle en 2012. Notons que le signe du Scorpion est encore très présent dans ces deux autres couples de criminels sadiques, Marc Dutroux né le 6 novembre 1956 à Ixelles en Belgique et Monique Olivier née le 31 octobre 1948 à Tours en France étant tous deux natifs du Scorpion.

A ce stade, certains pourraient peut-être m’objecter que je suis moi aussi quelque part un gros Scorpion, ce qui saute aux yeux quand on dresse ma carte de ciel, mais il s’agit dans ce cas de toutes les violences que j’ai pu subir et subis encore, de tous les renoncements ou morts qui m’ont été imposés par des criminels. Le sadisme indiqué par le Scorpion peut en effet être aussi bien subi qu’infligé à des tiers. En général, les femmes en sont victimes tandis que les hommes en sont eux-mêmes acteurs. Un même sujet peut également être tour à tour victime ou acteur, c’est typiquement le cas des enfants maltraités ou victimes de pédocriminels qui reproduisent à l’âge adulte ce qu’ils ont subi enfants.

Revenons au cas de la fille dans le cercueil et tout ce qu’elle a subi de la part du dénommé Cameron Hooker, né le 5 novembre 1953 (voir ci-dessous), dont bien évidemment elle n’a jamais été amoureuse – il ne s’agit même pas de syndrome de Stockholm, mais simplement de l’instinct de survie comme elle l’explique très bien elle-même, en association à la proximité que ce criminel lui a imposée au quotidien durant sept ans en la privant de toute relation normale avec qui que ce soit.

Ce que je subis moi-même de la part de la sadique Isabelle Johanny depuis des années y ressemble quand même un peu.

Entre autres, elle m’a toujours fait porter la boîte de tête, conformément aux exigences de son donneur d’ordres le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’il avait bien exprimées publiquement sur son blog lorsqu’ont débuté les procédures judiciaires consécutives à ses « révélations » me concernant à compter du mois de juin 2010, lesquelles constituent dès le départ une mise en danger très grave de nombreuses personnes et ont toujours été associées à de multiples menaces de mort, des appels publics au meurtre ou à l’assassinat, exprimés par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi jusque sur une multitude de sites islamistes et fréquentés par des voyous (ce que savait déjà l’ultra corrompue Céline Verdier la première fois qu’elle m’a auditionnée, et elle l’a toujours approuvé).

Je ne dois donc jamais rien voir ni savoir de tout ce que ce malade mental et ses divers complices inventent sur mon compte et complotent contre mes proches et moi-même, et ne dois non plus surtout pas être entendue par qui que ce soit, car ce sont les conditions de la réussite de tous les projets criminels qui nous concernent.

En effet, assassiner des gens, même ingénieurs, cela ne se fait pas, c’est criminel.

Tout ce que font les magistrats brestois pour obtenir ces assassinats, cela ne se fait pas non plus, c’est toujours illégal et criminel.

Ainsi, par exemple, n’ai-je jamais pu obtenir une seule copie du PV d’audition du 14 mars 2011 du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avant l’été 2014, car il ne fallait surtout pas que je sache ce qu’il avait pu déclarer à cette date et qui depuis était utilisé comme « témoignage » à charge contre moi. Pour commencer, aucun de mes avocats n’a jamais pu obtenir de copie du dossier de procédure correspondant après le classement sans suite de ma plainte au printemps 2011 alors que se préparait la visite à Brest du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, qui n’avait pas mis les pieds dans la région depuis au moins trente ans.

Même dans le cadre de l’information judiciaire ouverte sur ma plainte avec constitution de partie civile portant sur les mêmes faits, nous n’avons jamais pu obtenir la communication de ce dossier, quoique ses contenus jamais précisés m’étaient opposés pour motiver un refus catégorique d’informer. Même chose en ce qui concerne les interrogatoires de Josette Brenterch de mars 2011 et de Jean-Marc Donnadieu de juillet 2011. Il ne fallait surtout pas que je sache ce que ces trois-là avaient pu raconter (bien sûr, ils avaient tous les trois menti), et mes avocats non plus. A cet effet, la juge d’instruction ultra corrompue Céline Verdier, recrutée à demi-bac + école de cul pour devenir magistrate et jouir d’un véritable droit de mise à mort de qui lui déplaît, notamment de titulaires de baccalauréats complets et d’autres diplômes qui ne se délivrent pas davantage en échange de parties de jambes en l’air, s’est tout simplement toujours abstenue de coter toutes ces pièces de procédures préliminaires au dossier de l’information judiciaire durant tout le temps de son ouverture, de manière à nous rendre cette partie du dossier de l’information judiciaire, pourtant essentielle, totalement inaccessible durant l’information, ce qui bien évidemment est totalement illégal.

Et cela ressemble beaucoup au principe ayant présidé à toutes les procédures que les trois mêmes ont engagées en parallèle à mon encontre ou contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog, à savoir, le vice de procédure systématique, toujours dans le but d’interdire tout débat contradictoire sur le fond pour me priver à chaque fois de toute possibilité de défense au fond (car bien évidemment toutes leurs accusations à mon encontre ont toujours été mensongères), sans compter que pour la procédure brestoise, celle de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, je n’ai enfin eu la totalité du dossier de l’information judiciaire qu’une semaine avant l’audience programmée le 9 avril 2013 devant le tribunal correctionnel de Brest, une première partie de ce dossier ne m’ayant été communiquée qu’au cours de l’été 2012, après la fin de l’information judiciaire où j’avais pourtant été auditionnée et mise en examen deux fois, les 19 janvier et 25 avril 2012, tandis que Josette Brenterch, elle, y avait accès quand elle voulait depuis le début et ne se privait pas, d’audition en audition, de continuer à m’accuser mensongèrement de n’importe quoi.

Les faux en écriture publique que produisent également systématiquement dans tous les dossiers qui me concernent les mêmes magistrats sont des faux criminels.

La sadique Isabelle Johanny est encore complice du système mis en place en 2013 par le pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour pouvoir poursuivre toutes ses malfaisances tout en étant « protégé » de toute nouvelle plainte de ses victimes, j’en ai eu confirmation assez récemment.

Bien évidemment, tout comme les autres magistrats locaux, elle sait aussi qu’il rédige ou a déjà rédigé et cherche à faire publier une version de ma « biographie » susceptible de déplaire très fortement à toutes les personnes qui me connaissent ou m’ont connue, puisque, notamment, tout mon passé professionnel et mes deux années d’activité bénévole dans l’association AC ! Brest en 2004 et 2005 y sont remplacés par des histoires de cul complètement débiles avec les divers messieurs que j’ai eu l’occasion de côtoyer ou de croiser dans ces deux cadres-là, et que j’y suis tout aussi mensongèrement présentée comme une prostituée débile mentale et folle à lier alors qu’en réalité je suis ingénieur en informatique.

Nous en avions eu un premier échantillon dès l’été 2010 avec le cas du dénommé Joël Roma qui, contrairement aux prétentions du mythomane et de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, n’a jamais été ni mon amant ni mon ami. Cela a toujours continué tant que le blog principal du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi était entièrement public, et je suppose qu’il y en a encore des tonnes depuis qu’en 2013 il est devenu pour l’essentiel « privé ». Le pervers, qui en fait s’est toujours montré assez bavard sur ses méthodes et ses projets, avait bien indiqué dès le début qu’il savait que pour ridiculiser les ingénieurs ou les faire passer pour des fous ou des débiles, il faut leur inventer des tas d’histoires de cul débiles. C’est en effet l’une des méthodes habituellement suivies par les professionnels du harcèlement moral en entreprise, dont il fait bien lui-même partie, même s’il n’attaque toujours qu’en étant à l’extérieur de l’entreprise, tout comme sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, dont quelques-unes des lettres de dénonciations calomnieuses dont elle est coutumière m’avaient été communiquées dès 2005.

En l’occurrence, toutes leurs affabulations calomnieuses me concernant peuvent bien faire réagir comme en étant potentiellement atteintes elles aussi quelques centaines de personnes. Il y en a encore autant pour chacun de mes proches, et pour mon père qui est assez connu dans certains milieux, les témoins gênants de nos vraies vies, tous susceptibles de faire des histoires à ce pauvre Cyprien Luraghi s’il publie sa version entièrement fausse et hautement délirante de ma « biographie », se comptent plutôt par milliers ou dizaines de milliers.

Toutes ces personnes sont donc activement recherchées depuis maintenant une douzaine d’années pour être toutes éliminées, comme le savent bien, aussi, depuis le début, les magistrats brestois, lesquels ont toujours adhéré à tous les projets du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre en toute connaissance de cause, puisqu’ils savaient déjà absolument tout de ma famille et de moi-même depuis fort longtemps lorsqu’ont débuté ses cyberharcèlements à mon encontre, en 2008.

A combien d’assassinats ces criminels en sont-ils aujourd’hui, uniquement pour pouvoir tranquillement publier une montagne d’inventions calomnieuses sur mon compte ? Eux seuls le savent.

Enfin, je rappelle que la « Compagnie » de la criminelle Isabelle Johanny n’a vraiment rien de fictif.

Elle en a même plusieurs à sa disposition, toutes plus réelles les unes que les autres :

- la police,

- la gendarmerie,

- l’Union syndicale des magistrats,

- l’hypersyndicat de la fonction publique NPA, anciennement LCR,

- l’armée occulte de psychopathes toxicomanes du même NPA,

- etc…

- etc…

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Hooker

Affaire Hooker

L’affaire Hooker, qui était appelée affaire Colleen Stan avant que l’auteur de ce crime soit condamné, est une affaire criminelle américaine dans laquelle Colleen Stan, 20 ans, a été enlevée le 19 mai 1977 par Cameron et Janice Hooker. Ils la séquestrent dans leur maison à Red Bluff, en Californie, jusqu’en 1984. Ils l’ont utilisée comme esclave sexuelle. Lors du procès de Cameron Hooker, cette affaire est décrite comme sans précédent dans l’histoire du FBI1. Son cas a fait l’objet d’une médiatisation internationale et a fait l’objet de nombreux livres, films et séries télévisées.

Biographie

Colleen J. Stan est une Américaine née le 31 décembre 19562,3.

Enlèvement

Le 19 mai 1977, Colleen Stan faisait de l’auto-stop de chez elle à Eugene, en Oregon, à la maison d’un ami dans le nord de la Californie, où elle se rendait à une fête d’anniversaire4. Cameron Hooker (né le 5 novembre 1953) a enlevé Stan, âgée de 20 ans5. Stan a déclaré qu’elle était une auto-stoppeuse expérimentée et qu’elle avait laissé passer deux conducteurs avant d’accepter le trajet avec Hooker. Elle se serait « sentie en confiance en montant dans le fourgon bleu »6, parce que la femme de Hooker, Janice, et leur bébé étaient dans la voiture7. Quand ils se sont arrêtés à une station-service en cours de route, Stan est allée aux toilettes. « Une voix m’a dit de courir et de sauter par la fenêtre et de ne jamais regarder en arrière », se souvient-elle, mais elle a calmé ses peurs et est retournée à la voiture. Selon les témoignages de Stan et Janice Hooker, une fois seuls dans un endroit isolé, Hooker a quitté l’autoroute et a mis un couteau sous la gorge de Stan8, qui a ensuite été enfermée dans une « boîte de tête » en bois conçue pour empêcher la lumière, le son et l’air frais de pénétrer9. Durant ces 7 années de captivité, Colleen sera enfermée 22h sur 24 dans un cercueil sous le lit de Cameron Hooker.

Emprisonnement

En 1985, Hooker est condamné à 104 années de prison ferme.

Conséquences et séquelles

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Colleen aimait son agresseur au moment de témoigner à la cour. C’est ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm. Colleen reprend peu à peu une vie normale, autant que faire se peut, après un tel traumatisme. Elle a réussi à obtenir une licence universitaire et à se reconstruire grâce à un mariage et une petite fille.

Notes et références

  1. Green 2009, p. 23.

Bibliographie

  • Jim B. Green, Colleen Stan: The Simple Gifts of Life. Dubbed by the Media « The Girl in the Box » and « The Sex Slave », iUniverse, 2009 (ISBN 978-1-4401-1837-1)
  • (en) Michael Newton, « Stan, Colleen », dans The Encyclopedia of Kidnappings, 2002 (lire en ligne [archive]), p. 293

Documentaires télévisés

  • « Colleen, séquestrée dans une boîte » (troisième reportage) le 7 et le 14 décembre 2013 et le 5, le 12 et le 20 avril 2014 dans Chroniques criminelles sur NT1.

 

Remaniement ministériel, Damien Abad viré, les autres toujours là

Deux écoles de cul, c’est décidément beaucoup trop…

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/29/ouverture-dune-enquete-contre-damien-abad-pour-tentative-de-viol/

Quant à Elisabeth Borne qui était déjà « épuisée » le 29 juin, on commence à se demander combien de temps elle va pouvoir rester en poste, car elle n’a pas fini d’en voir.

Le 14 juillet approche maintenant à grands pas et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi va encore tenter d’en faire une grande fête islamiste, comme en 2016 pour sa procédure parisienne à mon encontre (il s’agissait alors de fêter mon assignation devant le TGI de Paris, du 12 juillet 2016).

Et cela ne va pas s’arrêter là, sauf bien sûr si les autorités se décident enfin à mettre ce malade et sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » hors d’état de nuire.

Cependant, depuis le temps que ça dure, avec toujours la même complicité active des magistrats ultra corrompus du TJ de Brest, qui dès l’été 2010 savaient très bien ce qui allait se passer s’ils ne réagissaient pas en urgence aux exactions d’alors et en ont été réinformés à plusieurs reprises au cours des années suivantes, on doute très fortement d’une quelconque volonté d’empêcher de nouveaux massacres.

Notons au passage qu’Elisabeth Borne est une femme ingénieur qui n’est jamais sortie du cocon extrêmement protecteur de la fonction publique, n’a donc jamais connu les maltraitances que subissent régulièrement les ingénieurs du privé, particulièrement lorsqu’il s’agit de femmes, et par voie de conséquence n’en a pas non plus la résistance.

Pour l’exemple, je reprends mon cas personnel : les patrons voyous ayant besoin de coincer pour « faute » les ingénieurs qu’ils emploient afin de pouvoir ensuite en obtenir tout ce qu’ils veulent, mes anciens employeurs harceleurs ont à plusieurs reprises tenté de m’y conduire en me confiant des travaux jugés techniquement infaisables, à réaliser de plus sous des délais extrêmement tronqués ou même déjà dépassés lors de mon arrivée sur les projets dont il s’agissait. Or, à chaque fois, j’ai bien trouvé des solutions et réalisé tous les travaux demandés en un temps record. Résultat : en guise de « récompense », à chaque fois j’ai eu droit à de nouvelles violences physiques du fait que l’opération dite de « harcèlement moral » avait échoué. Mais pour les magistrats, toutes ces violences n’ont jamais été suffisantes, une femme ingénieur ne « mérite », comme dira l’un d’entre eux, que d’être torturée à mort et de voir aussi mourir tous les siens de même, tant qu’à faire, car tous les proches d’une femme ingénieur en sont eux-mêmes fautifs ou coupables, surtout ceux qui ont mis au monde un tel monstre.

 

 

https://www.ouest-france.fr/politique/gouvernement/remaniement/remaniement-vise-par-une-enquete-pour-tentative-de-viol-damien-abad-quitte-le-gouvernement-2b97469a-fb5e-11ec-aa76-377ec44ae1a3

Remaniement. Damien Abad dénonce des « calomnies ignobles » en quittant le gouvernement

 

Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et du Handicap, Damien Abad, qui fait l’objet d’une enquête pour tentative de viol, n’a pas été reconduit dans le nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Lors de la passation de pouvoir, le député a jugé « préférable, face aux calomnies ignobles dont (il est) la cible », de pouvoir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».

 

Damien Abad, à Paris, le 3 mai 2022.
Damien Abad, à Paris, le 3 mai 2022. | STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Ouest-France Publié le 04/07/2022 à 10h53

Visé par une enquête pour tentative de viol, Damien Abad ne fait pas partie du nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées a été écarté lors du remaniement annoncé ce lundi 4 juillet. Il est remplacé par Jean-Christophe Combe, directeur général de la Croix-Rouge.

Accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes, l’ancien patron des députés LR nie les faits. S’il n’est plus ministre, Damien Abad ne quitte pas la vie politique pour autant. Il siégera à l’Assemblée nationale, après sa réélection dans la 5e circonscription de l’Ain aux dernières législatives.

Retrouvez notre direct consacré à l’annonce de la composition du nouveau gouvernement

« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret »

« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret […] on ne m’aura pas laissé le temps », a-t-il déclaré lors de la passation de pouvoir au ministère des Solidarités. « Je vais poursuivre mon action dans ma circonscription et à l’Assemblée nationale », a assuré le député.

À propos des accusations de tentative de viols, l’ancien patron de LR a dénoncé des « calomnies ignobles » et dit vouloir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».

« La calomnie est devenue une arme politique […] Je me battrai contre ce mouvement qui relègue la présomption d’innocence au rang de vieillerie sans importance », a-t-il dit encore

Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement

La secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats, Chrysoula Zacharopoulou, accusée de viols, est quant à elle reconduite.

La gynécologue de 46 ans, qui dément toutes les accusations, est visée par deux plaintes pour viol et une troisième plainte pour violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public. Le parquet de Paris a ouvert une enquête.

 

 

https://www.liberation.fr/politique/remaniement-la-secretaire-detat-chrysoula-zacharopoulou-accusee-de-viol-conservee-au-gouvernement-20220704_EZ5WOMACDBEGHAB2X7SQNDQZHU/

Remaniement: la secrétaire d’Etat Chrysoula Zacharopoulou, accusée de viol, conservée au gouvernement

 

Le gouvernement d’Elisabeth Bornedossier

 

Le gouvernement d’Elisabeth Borne

Contrairement à Damien Abad, l’ancienne députée européenne, accusée par plusieurs anciennes patientes de viol dans le cadre de ses activités de gynécologue est maintenue au gouvernement.

Remaniement ministériel, Damien Abad viré, les autres toujours là dans AC ! Brest TD6PECDEU5HUBNDZGL6G5CQFMA
Chrysoula Zacharopoulou, à la sortie de l’Elysée. ( Xose Bouzas/Hans Lucas / AFP)

par Sacha Nelken

publié le 4 juillet 2022 à 10h58

 

Contrairement à Damien Abad, Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement. Un peu plus d’un mois après avoir été nommée secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Affaires étrangères chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, la Franco-Grecque a été reconduite dans le second gouvernement d’Elisabeth Borne. Et ce, malgré, des accusations de viols qui auraient été perpétrés durant l’exercice de sa profession de gynécologue dans les années 2010.Le 22 juin dernier, le magazine Marianne révèle qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Paris le 27 mai après deux plaintes déposées contre la secrétaire d’Etat pour des viols supposés intervenues dans le cadre de ses fonctions de gynécologue à Paris pour «déterminer si les faits sont susceptibles de tomber sous le coup d’une qualification pénale». Il s’agirait de pénétrations lors d’examens médicaux sans avoir obtenu le consentement des patientes, pourtant consacré par la loi dite Kouchner du 4 mars 2002.

Deux jours plus tard, une troisième femme porte plainte contre l’ex-députée européenne spécialiste de l’endométriose, pour «violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public». Dans la foulée des plaintes, les témoignages contre la secrétaire d’Etat s’accumulent. Auprès de Libération, deux anciennes patientes font état de rendez-vous «traumatisants». «J’ai hurlé de douleur et pleuré», [après un toucher vaginal fait sans prévenir ndlr], raconte par exemple, Nina. Ce à quoi la médecin aurait répondu : «arrêtez de faire votre chochotte.»

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Chrysoula Zacharopoulou accusée de violences gynécologiques: un nouveau témoignage d’une patiente mineure

25 juin 2022abonnés

Mise en cause, Chrysoula Zacharopoulou s’est défendue dans un communiqué le 24 juin dernier. «Les accusations graves à mon encontre, portant sur des examens cliniques médicaux réalisés afin de diagnostiquer et de soigner la maladie de mes patientes, sont inacceptables et révoltantes», écrit-elle. La macroniste qui affirme n’avoir «jamais imposé le moindre examen à aucune de mes patientes sans leur consentement» souligne que les plaintes «ont été déposées dans les jours qui ont suivi [sa] nomination au gouvernement et qui concernent des consultations qui seraient intervenues il y a plusieurs années». Comprendre : il s’agirait d’une cabale à but politique.

A son tour interrogée sur LCI, la Première ministre Elisabeth Borne a assuré que Chrysoula Zacharopoulou lui «a dit qu’elle était très surprise, voire choquée, qu’on puisse questionner sa pratique médicale». «Mais je pense que les plaintes sont déposées, la justice va faire son travail» et sa secrétaire d’Etat «aura l’occasion de s’expliquer», a poursuivi la cheffe du gouvernement qualifiant de «débat important» celui «du consentement quand on fait des examens».

 

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elisabeth-borne-deja-epuisee-ces-conneries-quelle-ne-supporte-plus_496942

Elisabeth Borne déjà épuisée : ces “conneries” qu’elle ne supporte plus

 

Nina Siahpoush-Royoux | mer. 29 juin 2022 à 12h53

@ Eliot Blondet / Pool / Bestimage

Selon les informations du Canard Enchaîné, dévoilées ce mercredi 29 juin, Elisabeth Borne perdrait patience. La raison ? La médiatisation de plusieurs graves accusations de viols visant des membres de son gouvernement.

A propos de


Le lundi 16 mai, après plusieurs jours interminables de réflexion, Emmanuel Macron dévoilait enfin le nom de sa Première ministre : Elisabeth Borne. Un choix réalisé sans grande surprise puisque cette diplômée de l’École Polytechnique a été un véritable pilier du gouvernement durant le premier quinquennat du président de la République, qui souhaitait voir une femme devenir son bras droit. Ministre chargée des Transports, puis de la Transition écologique et finalement du Travail, Elisabeth Borne a donc succédé à Jean Castex, pour le meilleur et pour le pire. Et actuellement, surtout pour le pire…

Comme le révèlent nos confrères du Canard Enchaîné, ce mercredi 29 juin, la Première ministre aurait quelque peu déchanté depuis ses prises de fonction à Matignon. Lassée par les polémiques qui éclaboussent les nouveaux arrivants au sein de son gouvernement, en plus de devoir gérer les critiques la concernant, notamment après la claque de la Macronie lors des législatives, Elisabeth Borne aurait lâché, auprès de son entourage : « Je commence à être fatiguée des conneries relayées par la presse. Chaque semaine, je me tape un nouveau truc sexuel sur Damien Abad. » Et les accusations qui pèsent contre le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées ne semblent pas être les seules à lui donner un coup au moral.

Découvrez l’évolution physique d’Elisabeth Borne

Des affaires qu’elle ne pensait pas avoir à gérer publiquement

D’après les informations de nos confrères, Elisabeth Borne aurait poursuivi, avec agacement : « Et, quand ça commence à se calmer, on me sort une histoire de viol gynécologique de Chrysoula Zacharopoulou [qui a été nommée Secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux à la place de Jean-Baptiste Lemoyne, NDLR].«  Visiblement pas du tout prête à devoir s’exprimer sur de telles accusations qui font tache au sein de son gouvernement, la Première ministre aurait ajouté, dépitée : « Je n’avais pas signé pour gérer ce genre d’affaires. » De quoi inspirer Le Canard Enchaîné, qui a supposé que la femme politique avait probablement accepté ses nouvelles fonctions « pour tenter de faire avaler, avec le moins de dégâts possible, la réforme des retraites »… sans vraiment réaliser la « variété » de ses missions.

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Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Eliot Blondet / Pool / Bestimage

 

 

https://www.nouvelobs.com/politique/20220623.OBS60083/darmanin-abad-zacharopoulou-ces-ministres-qui-ont-des-demeles-avec-la-justice.html

Darmanin, Abad, Zacharopoulou… Ces ministres qui ont des démêlés avec la justice

Les ministres Damien Abad (en haut à gauche), Eric Dupond-Moretti (en haut à droite), Catherine Colonna (en bas à gauche) et Gérald Darmanin (en bas à droite). ((Montage « Obs » : Michel Spingler/AP/SIPA-Jacques Witt/SIPA))
Les ministres Damien Abad (en haut à gauche), Eric Dupond-Moretti (en haut à droite), Catherine Colonna (en bas à gauche) et Gérald Darmanin (en bas à droite). ((Montage « Obs » : Michel Spingler/AP/SIPA-Jacques Witt/SIPA))

 

Viols, harcèlement, prise illégale d’intérêts… Huit ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne ont été épinglés ou sont mis en cause par la justice.

Temps de lecture 5 min

Durant la campagne présidentielle de 2017, Emmanuel Macron promettait une « République exemplaire » en cas d’élection. Cinq ans plus tard, en plus des candidats investis par la majorité aux législatives malgré leurs problèmes judiciaires, le gouvernement d’Elisabeth Borne ne compte pas moins de huit ministres et secrétaires d’Etat (sur 27, soit près de 30 % du gouvernement) épinglés, mis en cause ou poursuivis par la justice. Dernières en date : la secrétaire d’Etat à la Francophonie Chrysoula Zacharopoulou, visée par une enquête après deux plaintes pour viol, et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, nommée malgré plusieurs signalements pour son management.

Cela reflète la position d’Emmanuel Macron qui, quelques semaines après son élection en mai 2017, avait appelé à « en finir avec le viol permanent de la présomption d’innocence ». Pour le chef de l’Etat : pas de condamnation, donc pas coupable. En 2017, François Bayrou et Marielle de Sarnez, alors ministre de la Justice et ministre des Affaires européennes, avaient pourtant dû démissionner un mois après leurs nominations, car visés par une enquête préliminaire pour des soupçons d’emplois fictifs. « L’Obs » fait le point sur l’activité judiciaire de l’actuel gouvernement.

  • Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’Etat à la Francophonie, visée par une enquête pour viol

Nommée en mai secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Chrysoula Zacharopoulou est visée par une enquête après le dépôt de deux plaintes pour viol. Selon les informations de « Marianne », les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de sa profession de gynécologue.

La première plainte dénonçant des faits de viol a été déposée le 25 mai et l’enquête ouverte deux jours plus tard, a précisé le parquet. Concernant la deuxième plainte, les faits imputés se seraient déroulés « dans un cadre médical » en 2016 et concerneraient une femme majeure. L’enquête a été confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP).

  • Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, visée par plusieurs signalements pour harcèlement

La nomination de Catherine Colonna au Quai d’Orsay a été actée malgré plusieurs signalements pour harcèlement, selon les informations de Mediapart. Alors ambassadrice de France au Royaume-Uni, Catherine Colonna a été visée par plusieurs signalements adressés à la cellule « tolérance zéro » du Quai d’Orsay au début de l’année 2022. Des témoignages qui devaient donner lieu à une inspection générale, suspendue après sa nomination au gouvernement.

Selon le média d’investigation, un signalement avait même déjà été effectué à la suite d’une inspection menée à l’ambassade d’Italie à Rome à l’époque où Catherine Colonna y était, entre 2014 et 2017. Les témoignages décrivent des faits s’apparentant à du harcèlement moral. « Il est connu que Mme Colonna a des pratiques consistant à briser les gens », rapporte un diplomate à « Libération ». D’après lui, « Emmanuel Macron a nommé ministre la diplomate la plus détestée du réseau diplomatique ».

  • Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, accusé de viol

Plusieurs ministres sont accusés de violences sexuelles, à l’instar du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, visé par une accusation de viol et de trafic d’influence qui émanent de deux femmes différentes.

Il est accusé d’avoir promis un « service » à une femme en échange de faveurs sexuelles en 2009. Deux plaintes simples déposées en juin 2017 et janvier 2018 avaient été classées sans suite. Une troisième plainte déposée en mars 2018 par la même plaignante avec constitution de partie civile avait été classée sans suite dans un premier temps, puis relancée par la cour d’appel de Paris en juin 2020. Le parquet de Paris a requis un non-lieu début 2022.

Une autre femme avait porté plainte en février 2018, disant s’être « sentie obligée » d’avoir des relations sexuelles avec le ministre, alors maire de Tourcoing, pour obtenir logement et emploi. L’enquête préliminaire pour « abus de faiblesse » avait été classée sans suite en mai de la même année.

  • Damien Abad, ministre des Solidarités, accusé de viol

Au lendemain de sa nomination au gouvernement, le ministre des Solidarités Damien Abad a été accusé de viol par deux femmes. Selon les informations de Mediapart, les faits présumés remontent à 2010 et 2011 : la première femme, âgée de 41 ans, a adressé une lettre à l’Observatoire des Violences sexistes et sexuelles en Politique le 13 mai, dans laquelle elle « souhaite témoigner des faits de viol concernant Damien Abad », alors pressenti pour entrer au gouvernement. La seconde femme a pour sa part porté plainte pour « viol » en 2017, classée sans suite.

Le site d’investigation avait publié le 14 juin de nouvelles accusations de la part d’une « élue centriste » qui dit avoir subi une tentative de viol en 2010. Le parquet de Paris avait finalement indiqué le 25 mai qu’il n’ouvrait pas d’enquête préliminaire « en l’état », estimant ne pas disposer « d’élément permettant d’identifier la victime des faits dénoncés ».

  • Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, soupçonné de « prise illégale d’intérêts »

Elle est connue comme étant « l’affaire Dupond-Moretti » et remonte à janvier 2021 quand la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) ouvre une information judiciaire pour « prise illégale d’intérêts » dans deux dossiers. Le garde des Sceaux, mis en examen en juillet 2021, est soupçonné d’avoir profité de sa fonction gouvernementale pour régler des comptes avec trois magistrats du Parquet national financier (PNF) qui avaient fait éplucher ses relevés téléphoniques détaillés (fadettes) quand il était encore avocat.

Le ministre est également accusé d’avoir diligenté des poursuites administratives contre un ancien juge d’instruction qui avait mis en examen un de ses ex-clients. Le 10 mai, le ministère public de la CJR a jugé qu’il existait des « charges suffisantes » contre le ministre pour le renvoyer en procès devant la Cour. La commission d’instruction de la CJR a ensuite rejeté la demande d’annulation de la mise en examen formulée par les avocats du ministre.

  • Sébastien Lecornu, ministre des Armées, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts »

Promu dans le nouveau gouvernement, l’ex-ministre des Outre-mer est visé depuis mars 2019 par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la HATVP », la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique. Dans sa déclaration, Sébastien Lecornue mentionnait avoir touché 7 874 euros brut de « jetons de présence » en tant qu’administrateur de la Société des Autoroutes Paris Normandie (SAPN) entre 2016 et 2017. Le problème : il présidait alors le département de l’Eure et a approuvé plusieurs délibérations en lien avec la SAPN, dont l’une d’elles concernerait un projet pour lequel le département de l’Eure a déboursé un million d’euros, selon « le Canard Enchaîné ». Il a été entendu en avril par la police anticorruption lors d’une audition libre et l’enquête suit son cours.

  • Olivier Dussopt, ministre du Travail, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption »

Autre promu du gouvernement Borne, Olivier Dussopt est visé par une enquête préliminaire du Parquet national financier pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption », selon les informations de Mediapart en juin 2020. Alors qu’il était député et maire d’Annonay (Ardèche) en janvier 2017, il avait accepté deux lithographies en cadeau par la société de traitement de l’eau Saur. Six mois après la réception des œuvres, l’ex-ministre de l’Action et des Comptes publics avait signé un contrat entre l’entreprise et sa commune. Après une perquisition au domicile du ministre par l’Office central de Lutte contre la Corruption et les Infractions financières et fiscales en août 2020, l’enquête est toujours en cours.

  • Justine Benin, secrétaire d’Etat chargée de la Mer, accusée de clientélisme

Défaite lors des législatives, Justine Benin devrait quitter prochainement le gouvernement. Pour autant, elle est accusée par Mediapart d’avoir, en tant que députée, utilisé l’argent du MoDem pour arroser les associations de sa commune du Moule en Guadeloupe, alors qu’elle était candidate à la mairie.

Dans les comptes du parti centriste des années 2019 et 2020, le média d’investigation a repéré pas moins de 37 000 euros qui ont été versés à 14 organisations locales. L’argent ayant été versé en pleine période électorale, certaines dépenses auraient dû apparaître sur le compte de campagne du MoDem. Pour Mediapart, « la visée électorale est transparente ». Traduction : il s’agit de « clientélisme ».

Par Richard Godin

 

John Edward Robinson, premier tueur en série d’Internet

 

 

 

Son terrain de chasse favori à compter des débuts d’Internet fut aussi celui du criminel multidisciplinaire Pascal Edouard Luraghi, dit Cyprien Luraghi, à savoir les sites de rencontres des amateurs de BDSM, où le second a trouvé le texte qui l’a fait connaître des milieux sado-masochistes français après qu’il l’eût traduit en français.

L’un et l’autre sont toujours motivés par l’argent, leurs crimes sont avant tout crapuleux.

Tous deux menteurs, affabulateurs, escrocs et manipulateurs, ils font également preuve de sadisme et d’une perversité qui les conduit à se faire tout spécialement reconnaître comme « humanistes » ou individus de grands mérites par ceux-là même qu’ils prennent plaisir à tromper.

Pour ce qui concerne le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il s’agit depuis les années 2010 à 2012 des autorités judiciaires françaises, qu’auparavant il n’avait jamais pensé pouvoir un jour berner au point où il le fait avec tout ce qui me concerne. Mais il n’avait non plus jamais rencontré de magistrats comme ceux de Brest. Il l’a écrit sur son blog aux tout débuts. Avant, pour la justice, c’était toujours lui le coupable – forcément, il a toujours été hors la loi depuis son adolescence. Et là, pour la première fois de sa vie, il était considéré comme quelqu’un de bien, assez pour que les autorités judiciaires puissent le croire sur parole, sans jamais en exiger de justifier quoi que ce soit, lui que même ses proches qualifient de mythomane, et mieux encore, comme la victime de femmes qu’en réalité il harcelait comme un malade avec toute sa bande de « déconnologues » quasiment depuis son arrivée sur le site Rue89 en 2008. Il n’en revenait pas lui-même, laissait éclater sa joie, exultait, appelait même la juge brestoise ultra corrompue qui violait la loi pour le satisfaire son « bon Dieu ». Me harcelant, se rendant coupable à mon encontre de très nombreux faits répréhensibles depuis 2008, non seulement il a toujours été totalement « blanchi » par cette « justice » brestoise incarnée par des magistrats qui à cet effet ont systématiquement produit des faux en écriture publique, mais de plus, il se voyait offrir la possibilité de tenter de me faire condamner, moi sa victime, à payer très cher pour des infractions pénales tout droit sorties de son imagination et il ne s’en est pas privé. Il n’a finalement pas réussi à obtenir la moindre condamnation à mon encontre, mais a bien convaincu nombre de ses complices harceleurs de prolonger eux aussi leurs cyberharcèlements à mon encontre par le même type de harcèlement judiciaire à base de dénonciations calomnieuses et de procédures abusives, les uns après les autres. Pour l’heure, aucun n’est parvenu à me faire condamner, mais le jeu n’est toujours pas terminé, il est sans fin et chaque nouvelle procédure produit toujours les mêmes espoirs de réussite chez le pervers en chef qui se plaît alors à faire connaître sa très grande joie avec de nouveaux attentats islamistes annonciateurs des explosions bien plus dévastatrices qui surviendront du jour où il aura enfin atteint son but, ou plus exactement, le premier de ses buts, un tremplin pour la suite de ses projets criminels et terroristes, qu’il avait annoncés eux aussi dès le départ, en 2008 – à travers moi, il vise en fait l’Etat français, pour lequel j’ai jadis travaillé.

Passons maintenant au thème astral de John Edward Robinson, né le 27 décembre 1943.

Ne connaissant pas son heure de naissance, je ne peux le dresser entièrement et ne m’arrête qu’aux positions planétaires indiquées dans la carte reproduite ci-dessous, l’ascendant et la domification correspondant à une heure de naissance arbitrairement fixée à 12h00.

 

John Edward Robinson, premier tueur en série d'Internet dans AC ! Brest

 

Contrairement au psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, John Edward Robinson n’est pas né sous le signe de Verseau mais sous celui du Capricorne qui le précède.

Ses maîtres sont Saturne et Mars, tous deux en Gémeaux avec Uranus maître du Verseau.

Ce Capricorne est donc en fait très proche d’un Verseau.

 

 

https://en.wikipedia.org/wiki/John_Edward_Robinson

John Edward Robinson

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For the Bishop, see John Edward Robinson (bishop).
John Edward Robinson
John Edward Robinson (criminal).png

Robinson’s c. 1985 mug shot, taken by Johnson County Sheriff’s Dept.
Born
John Edward Robinson

December 27, 1943 (age 78)

Other names John Osborne
The Slave Master
Internet Slavemaster
Conviction(s) Kansas
Capital murder (2 counts)
Missouri
First degree murder (5 counts)
Criminal penalty Kansas
Death
Missouri
Life without parole
Details
Victims 8
Span of crimes
1984–2000
Country United States
State(s) Kansas, Missouri
Date apprehended
June 2, 2000

John Edward Robinson (born December 27, 1943) is an American serial killer, con man, embezzler, kidnapper, and forger who was found guilty in 2003 for three murders committed in and around Kansas City, Missouri, receiving the death penalty for two of them. In 2005, he admitted responsibility for five homicides in Missouri as part of a plea bargain to receive multiple life sentences without possibility of parole and avoid more death sentences. Investigators suspect that more victims remain undiscovered.[1]

Because he made contact with most of his post-1993 victims via online chatrooms, Robinson is sometimes referred to as « the Internet’s first serial killer ».[2]

Early life

John Robinson was born in Cicero, Illinois, the third of five children of an alcoholic father and a disciplinarian mother.[2]: 4  In 1957, Robinson became an Eagle Scout and traveled to London with a group of Scouts who performed before Queen Elizabeth II. He enrolled at Quigley Preparatory Seminary in Chicago, a private boys school for aspiring priests, but dropped out after one year due to disciplinary issues.[3][4]

In 1961, Robinson enrolled at Morton Junior College in Cicero to become a medical radiographer, but dropped out after two years. In 1964, he moved to Kansas City and married Nancy Jo Lynch, who gave birth to their first child, John Jr., in 1965, followed by daughter Kimberly in 1967, and twins Christopher and Christine in 1971.

Early crimes

In 1969, Robinson was arrested in Kansas City for embezzling $33,000 from the medical practice of Dr. Wallace Graham, where he worked as a radiographer using forged credentials. He was sentenced to three years’ probation.[3] The following year he violated probation by moving to Chicago without his probation officer’s permission and gained a job as an insurance salesman at the R.B. Jones Company. In 1971, he was arrested for embezzling funds and was ordered back to Kansas City, where his probation was extended. In 1975, Robinson’s probation was extended again after an arrest on charges of securities fraud and mail fraud in connection with a phony medical consulting company he had formed.

Robinson became a Scoutmaster, a baseball coach and a Sunday school teacher. In 1977, he was named to the board of directors of a local charitable organization where he forged letters from its executive director to the mayor of Kansas City and from the mayor to civic leaders, naming him as the organization’s Man of the Year. Under that guise, he hosted an awards luncheon in his honor.[3]

After completing his probation In 1979, Robinson was arrested for embezzlement and check forgery, for which he served sixty days in jail in 1982. After his release, he formed a bogus hydroponics business and stole $25,000 from a friend to whom he promised a fast investment return so the friend could pay for his dying wife’s health care.[2]: 4 

Murders begin

In 1984, having established two more fraudulent shell companies (Equi-Plus and Equi-2), Robinson hired Paula Godfrey, aged 19, ostensibly to work as a sales representative. Godfrey told friends and family that Robinson was sending her away for training. After hearing nothing further from her, Godfrey’s parents filed a missing persons report. Police questioned Robinson, who denied any knowledge of her whereabouts. Several days later her parents received a typewritten letter, with Godfrey’s signature at the bottom, thanking Robinson for his help and asserting that she was « OK » and did not want to see her family. The investigation was terminated, as Godfrey was of legal age and there was no evidence of wrongdoing. No trace of Godfrey has ever been found.[2]

In 1985, using the name John Osborne, Robinson met Lisa Stasi and her four-month-old daughter, Tiffany, at a women’s shelter in Kansas City. He promised Stasi a job in Chicago, an apartment, and daycare for her infant, and asked her to sign several sheets of blank stationery. A few days later, he contacted his brother Don and sister-in-law, Helen, who had been unable to adopt a baby through traditional channels, and informed them that he knew of a baby whose mother had committed suicide. For $5,500 in « legal fees », the couple received Tiffany (whose identity was confirmed by DNA testing in 2000[5]) and a set of authentic-appearing adoption papers with the forged signatures of two lawyers and a judge. Stasi was never heard from again.[2]: 4 

In 1987, Catherine Clampitt, aged 27, left her child with her parents in Wichita Falls, Texas, and moved to Kansas City to find employment. She was hired by Robinson, who reportedly promised her extensive travel and a new wardrobe. She vanished in June of that year. Her missing persons case remains open.[5]

From 1987 to 1993, Robinson was incarcerated, first in Kansas (1987–1991) on multiple fraud convictions and thereafter in Missouri for another fraud conviction and parole violations. At Western Missouri Correctional Facility, he met 49-year-old Beverly Bonner, the prison librarian, who upon his release left her husband, a prison doctor, and moved to Kansas to work for him. After Robinson arranged for Bonner’s alimony checks to be forwarded to a Kansas post office box, her family never heard from her again. For several years, Bonner’s mother continued forwarding her alimony checks and Robinson continued cashing them.[3]

By then, Robinson had discovered the Internet and roamed online chatrooms using the name « Slavemaster », looking for women who enjoyed playing the submissive partner role during sex. An early online correspondent was Sheila Faith, aged 45, whose 15-year-old daughter Debbie was a wheelchair user due to spina bifida. Robinson, portraying himself as a wealthy businessman and philanthropist, offered to pay Debbie’s medical expenses and give Sheila a job. In 1994, the mother and daughter moved from Fullerton, California, to Kansas City and immediately disappeared. Robinson cashed Faith’s pension checks for the next seven years.[2]: 6 

Gradually, Robinson became well known in increasingly popular BDSM chatrooms. In 1999, he offered a job and a bondage relationship to Izabela Lewicka, a 21-year-old Polish immigrant living in Indiana. When she moved to Kansas City, Robinson (who was still married to Nancy) gave Lewicka an engagement ring and brought her to the county registrar, where they paid for a marriage license that was never picked up. It is unclear whether Lewicka believed that she and Robinson were married; she told her parents she had married, but never told them her husband’s name. She did sign a 115-item slave contract that gave Robinson almost total control over every aspect of her life, including her bank accounts. Some time during the summer of 1999, she disappeared. Robinson told a web designer he employed that she had been caught smoking marijuana and deported.[2]: 8 

Around the time of Lewicka’s disappearance, a licensed practical nurse named Suzette Trouten moved from Michigan to Kansas to travel the world with Robinson as his submissive sex slave. Trouten’s mother received several typed letters signed by her daughter and purportedly mailed while the couple was abroad, although the envelopes all bore Kansas City postmarks. The letters were, her mother said, uncharacteristically mistake-free. Later, Robinson told Trouten’s mother that she had run off with an acquaintance after stealing money from him.[2]: 9 

Arrest

Over time, Robinson became increasingly careless, and his ability to avoid detection declined. By 1999, he had attracted the attention of authorities in both Kansas and Missouri as his name frequently came up in missing persons investigations.

Robinson was arrested in June 2000, at his farm near La Cygne, Kansas, after a woman filed a sexual battery complaint against him and another charged him with stealing her sex toys.[1] The theft charge finally gave investigators the probable cause they needed to obtain search warrants. On the farm, a task force found the decaying bodies of two women, later identified as Lewicka and Trouten, in two 85-pound chemical drums.[2]: 9 

Across the state line in Missouri, investigators searched a storage facility where Robinson rented two garages and found three similar chemical drums containing corpses subsequently identified as Bonner, Faith, and Faith’s daughter. All five women were killed in the same way, by one or more blows to the head with a blunt instrument.[2]: 9 

Conviction

In 2002, Robinson stood trial in Kansas for the murders of Trouten, Lewicka and Stasi, and multiple lesser charges. After the longest criminal trial in Kansas history,[6] he was convicted on all counts. He received the death penalty for the murders of Trouten and Lewicka, and life imprisonment for Stasi’s murder because she was killed before Kansas reinstated the death penalty. He received a 5-to-20-year prison sentence for interfering with the parental custody of Stasi’s baby, 20.5 years for kidnapping Trouten, and seven months for theft.[2]: 9 

After his Kansas convictions, Robinson faced murder charges in Missouri, based on the evidence discovered in that state. Missouri is aggressive in its pursuit of capital punishment convictions and Robinson’s attorneys wanted to avoid a trial there.[6] Chris Koster, the Missouri prosecutor, insisted as a condition of any plea bargain that Robinson lead authorities to the bodies of Stasi, Godfrey and Clampitt. Robinson, who has never cooperated in any way with investigators, refused, but Koster still faced pressure to make a deal because his case was not technically airtight⁠ ⁠— among other issues, there was no unequivocal evidence that any of the murders had actually been committed within his jurisdiction. Robinson, on the other hand, faced pressure to plead guilty to avoid an almost certain death sentence in Missouri, and failing that, yet another capital murder trial back in Kansas.[7][unreliable source?]

When it became clear that the women’s remains would never be found without Robinson’s cooperation, a compromise of sorts was reached: in a carefully scripted plea in October 2003, Robinson acknowledged that Koster had enough evidence to convict him of capital murder for the deaths of Godfrey, Clampitt, Bonner and the Faiths. Though his statement was technically a guilty plea, and was accepted as such by the Missouri court, observers remarked that it was notably devoid of any contrition or specific acceptance of responsibility.[2]: 15  Robinson received a life sentence without possibility of parole for each of the five murders.[7]

In November 2015, the Kansas Supreme Court vacated the Trouten and Stasi murder convictions on technicalities, but upheld the Lewicka conviction and its accompanying death sentence. The ruling marked the first time that Kansas’s highest court has upheld a death sentence since reinstatement of capital punishment there in 1994. Robinson currently remains on death row at the El Dorado Correctional Facility in Kansas.[6]

Aftermath

In 2005, Nancy Robinson filed for divorce after 41 years of marriage, citing incompatibility and irreconcilable differences.[7]

In 2006, Stasi’s daughter—known since her (faked) adoption as Heather Robinson—filed a civil suit against Truman Medical Center in Kansas City and social worker Karen Gaddis. The suit accused Gaddis of putting Robinson in contact with Stasi and her newborn daughter in 1984, after he told Gaddis that he ran a charitable organization providing assistance to « unwed mothers of white babies. » In 2007, Heather and the hospital reached a settlement for an undisclosed sum, which Robinson said she would split with her biological grandmother, Patricia Sylvester.[7] Heather won a second judgment, in 2007, preventing Robinson from profiting from any future potential book sales or film rights.[8]

In 2006, the body of a young woman was found in a barrel in an area of rural Iowa where Robinson reportedly had a business partner. She was initially considered a possible victim of Robinson, but was later identified as Lois Tomich, who police believe was killed by her ex-husband.[9][10]

Kansas and Missouri police note that long stretches of Robinson’s time remain unaccounted for, and they fear that there are additional undiscovered victims. « He’s maintained the secrets about what he’s done with the women, he won’t ever tell, it’s the last control that he’s got, » said one investigator. « There are [probably] other barrels waiting to be opened, other bodies waiting to be found. »[1]

Victims

Robinson is known to be responsible for eight homicides, but his total victim tally remains unknown. The following is a chronological summary of the victims identified thus far:

  • 1984: Paula Godfrey (age 19); remains never recovered
  • 1985: Lisa Stasi (age 19); remains never recovered
  • 1987: Catherine Clampitt (age 27); remains never recovered
  • 1993: Beverly Bonner (age 49): remains discovered at storage facility in Raymore, Missouri
  • 1994: Sheila Faith (age 45) and Debbie Faith (15): remains of both discovered at storage facility in Raymore, Missouri
  • 1999: Izabela Lewicka (age 21): remains discovered at Robinson’s ranch near La Cygne, Kansas
  • 2000: Suzette Trouten (age 28): remains discovered at Robinson’s ranch near La Cygne, Kansas

In popular culture

  • A 2001 book by John Glatt, Internet Slave Master (ISBN 0312979274), documented Robinson’s life up to the time of his Kansas trial. A second book by Glatt, Depraved (ISBN 0312936842), published in 2005, focused on the lives of Robinson’s victims and others affected by his crimes.
  • Anyone You Want Me to Be: A True Story of Sex and Death on the Internet (ISBN 1439189471) by John Douglas and Stephen Singular was published in 2003.
  • Sue Wiltz’ book Slave Master was published in 2004.

Robinson’s criminal activities were also profiled on episodes of the A&E series Cold Case Files,[1] Investigation Discovery‘s FBI: Criminal Pursuit, Sins & Secrets, Vanity Fair Confidential, It Takes a Killer, and Deadly Doctors, as well as Forensic Files, and The New Detectives on the Discovery Channel.

See also

General:

References

  • Slave Master (Pinnacle True Crime) by Sue Wiltz and Maurice Godwin. Kensington Books ISBN 978-0-7860-1408-8
  1. « Authorities investigate Tomich for deaths of prostitutes ». Sioux City Journal. Retrieved 2021-05-28.

External links

 

A Reims, des interpellations pour financement du terrorisme

Et à Puy-l’Evêque dans le Lot, toujours rien…

La menace de nouveaux attentats est pourtant très sérieuse comme je l’indiquais dans cet article de lundi dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

Si les attaques terroristes de Mohammed Merah ont pu surprendre beaucoup de monde en mars 2012 (moi très peu, je craignais ce genre de chose depuis juin 2010 et avais compris tout de suite de quoi il retournait le 11 mars 2012 lors de la sortie de la dépêche AFP concernant le premier assassinat de militaire), aujourd’hui nous en sommes quand même à une dizaine d’années d’actes terroristes qui permettent très largement d’analyser le phénomène et de le comprendre suffisamment pour y mettre un terme.

J’en ai déjà parlé à de multiples reprises.

Je rappelle encore ce qui suit :

A chaque fois que j’arrive à faire entendre une part de vérité dans le conflit tout à fait hallucinant qui m’oppose aux criminels de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis les années 2008 à 2010, ça se calme.

Et pourquoi donc ?

Tout simplement parce que le malade mental de Puy-l’Evêque n’a plus de quoi pavoiser et poursuivre sa fête islamiste.

 

 

https://www.lunion.fr/id387571/article/2022-07-02/trois-personnes-interpellees-reims-et-soupconnees-davoir-aide-un-djihadiste-ont

Trois personnes, interpellées à Reims, mises en examen pour «financement du terrorisme»

Mis en ligne le 2/07/2022 à 17:57L’union avec AFP 

Elles sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.

Le RAID était déjà intervenu dans le quartier de Croix-Rouge, en janvier 2015, à la recherche des frères Kouachi. 

Le RAID était déjà intervenu dans le quartier de Croix-Rouge, en janvier 2015, à la recherche des frères Kouachi. – Archives Christian Lantenois

 

Trois personnes ont été mises en examen vendredi pour « financement du terrorisme » et placées sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction antiterroriste parisien. Selon une source proche du dossier, ces personnes sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.

Dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en mars, ces trois personnes avaient été interpellées mardi matin à Reims avec trois autres par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et du Raid.

L’opération avait été menée dans la plus grande discrétion, à Croix-Rouge. Parmi les rares témoins, un homme habitué à se promener dès 6 heures, avait rapporté avoir vu « des flics en planque » dans le secteur de l’allée des Limousins.

Il s’agissait d’une intervention de la DGSI menée avec l’appui du RAID, dans le cadre d’une enquête pilotée depuis Paris. Contacté, le procureur de Reims Matthieu Bourrette n’avait pas confirmé l’information, sans l’infirmer non plus, se contentant d’indiquer que cette enquête n’avait effectivement « rien de local ». Sollicités par L’union, le parquet de Paris et le parquet national antiterroriste n’avaient pas donné suite.

 

Busset en 1995 et Ille-sur-Têt en 2022 : des femmes équarrisseuses…

 

 

 

Cold case ou hot case, même solution à quelques heures d’intervalle, c’est la compagne qui a tué et découpé…

Les deux femmes sont actuellement « dans le Jubillar » (dixit le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi), elles ont été écrouées quasi simultanément.

Depuis le temps que Luraghi exigeait qu’on accuse des femmes… cette fois, il est servi.

 

https://www.lamontagne.fr/busset-03270/actualites/27-ans-apres-la-decouverte-d-un-corps-decapite-a-busset-allier-l-affaire-doire-est-relancee-notre-grand-format_14153321/

27 ans après la découverte d’un corps décapité à Busset (Allier), l’affaire Doire est relancée : notre grand format

 

Publié le 30/06/2022 à 11h03

27 ans après la découverte d'un corps décapité à Busset (Allier), l'affaire Doire est relancée : notre grand format 

Près de 27 ans après la découverte du corps du chasseur décapité à Busset (Allier), l’affaire Christophe Doire est relancée.

Près de 27 ans après la découverte du corps du chasseur décapité à Busset (Allier), l’affaire Christophe Doire est relancée. Une garde à vue est en cours depuis mardi. Alors que le parquet de Cusset doit s’exprimer ce jeudi soir, retrouvez notre grand format.

Deux mois après que le corps de Christophe Doire a été exhumé, une personne a été placée en garde à vue, mardi. Un rebondissement majeur 27 ans après la mort de cet homme retrouvé décapité dans un fossé sur la commune de Busset (Allier) le 25 décembre 1995.

27 ans après la découverte d’un corps décapité à Busset (Allier), une personne placée en garde à vue

Le parquet de Cusset, il y a deux ans, avait décidé de relancer ce « cold case » qui n’a jamais livré ses mystères, ni aucune réponse à cette question : qui a pu tuer Christophe Doire, ce Cussétois employé à la société alimentaire et diététique de Vichy, dont le corps avait été retrouvé sans tête dans un fossé de la commune de Busset, le matin du 25 décembre 1995 ?

Le parquet doit s’exprimer ce jeudi soir

Depuis ce mardi, une garde à vue est donc en cours, précise le parquet de Cusset qui, pour l’heure, ne divulgue pas davantage d’informations. Le parquet doit toutefois s’exprimer ce jeudi soir.

Affaire Christophe Doire dans l’Allier : la douleur d’un frère 24 ans après les faits

En 2019, deux journalistes de La Montagne, Sophie Leclanché et Stéphanie Delannes, avaient réalisé un long format sur cette affaire hors norme. Récit des faits, témoignages de proches, pistes explorées… Retrouvez ce long format en cliquant ici.

 

https://www.bfmtv.com/police-justice/affaire-christophe-doire-la-veuve-a-ete-placee-en-detention-provisoire-mais-continue-de-nier-le-meurtre_AV-202206300723.html

Affaire Christophe Doire: la veuve a été placée en détention provisoire mais continue de nier le meurtre

 

Elisa Fernandez
Le 30/06/2022 à 20:44

 

Busset en 1995 et Ille-sur-Têt en 2022 : des femmes équarisseuses... dans Crime banniere_default_rubrique_banner_1656592159732_1656592203156
L’épouse d’un homme retrouvé décapité en 1995 à Busset, dans l’Allier, a été placée en garde à vue mardi. Elle continue de nier, indique ce jeudi le procureur de la République, Eric Neveu.

Alors que la veuve de Christophe Doire, un homme retrouvé décapité en 1995 à Busset, dans l’Allier, a été placée en garde à vue mardi, le procureur de la République de Cusset, Éric Neveu, annonce ce jeudi qu’elle a été mise en exament et placée en détention provisoire.

Le magistrat a expliqué que depuis novembre 2021, de nouvelles investigations ont été menées en secret, pour tenter de résoudre ce cas, classé à plusieurs reprises. Après l’exhumation du corps de Christophe Doire notamment, Éric Neveu estime avoir trouvé des « indices graves et concordants » mettant en avant le rôle de la femme dans la mort de son époux.

« Lors de son interrogatoire de première comparution, elle a continué à nier », a assuré le procureur de la République, ajoutant que sa version avait évolué avec le temps.

Aucun suspect réel jusque-là

Christophe Doire, un père de famille de 28 ans, amateur de chasse, a été vu vivant pour la dernière fois le 16 décembre 1995, partant de chez son frère, chez qui il avait passé la soirée. Avant de prendre la route, il indique à ce dernier qu’il compte aller chasser le lendemain. Il ne donne ensuite plus signe de vie.

Seule sa voiture est retrouvée, deux jours plus tard, à Cusset, non loin de Busset. Son corps finira par être découvert par un promeneur, le 25 décembre au matin. Sa tête est manquante; à la place gît l’une des bottes du chasseur.

Jusqu’ici, l’enquête n’avait pas permis d’identifier un réel suspect, tournant autour de l’hypothèse d’une vengeance entre chasseurs. Elle a cependant été rouverte sous l’impulsion du procureur Éric Neveu, en 2020.

Elisa Fernandez

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/pyrenees-orientales/prades/disparition-dans-les-pyrenees-orientales-le-corps-du-quinquagenaire-retrouve-decoupe-dans-des-sacs-poubelles-2568708.html

Disparition dans les Pyrénées-Orientales : le corps du quinquagénaire retrouvé découpé dans des sacs poubelles

 

Publié le 22/06/2022 à 18h32 • Mis à jour le 23/06/2022 à 11h10
Écrit par Fabrice Dubault avec AFP
Pyrénées-Orientales - le cadavre du disparu a été retrouvé en contrebas d'une route, à proximité du site touristique des Orgues d'Ille-sur-Têt - 22 juin 2022.
Pyrénées-Orientales – le cadavre du disparu a été retrouvé en contrebas d’une route, à proximité du site touristique des Orgues d’Ille-sur-Têt – 22 juin 2022. • © FTV

 

Le cadavre mutilé et démembré, retrouvé le 1er juin par un promeneur à Ille-sur-Têt, a été identifié. Il s’agit du quinquagénaire porté disparu depuis le 26 mai dernier. Une enquête criminelle pour meurtre a été ouverte par le parquet de Perpignan, elle est confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales et la section de recherches de Montpellier.

Trois semaines après la découverte du cadavre découpé, le mystère reste entier autour de cette macabre affaire. Seule certitude, le corps a pu être identifié, c’est bien celui de l’homme de 57 ans, disparu d’Ille-sur-Têt le 26 mai 2022.

Le corps a été découvert le 1er juin par un promeneur dans une zone escarpée, non loin du site touristique des Orgues d’Ille-sur-Têt.

Le parquet de Perpignan indique ce mercredi que le cadavre a été mutilé, découpé, puis placé dans deux sacs et abandonné en contrebas d’une route départementale au nord de la commune catalane.

On se sent mal. C’est l’horreur cette affaire pour notre village. Moi, je le connaissais peu. C’était quelqu’un de tranquille, un homme sans histoires sur la commune.

William Burghoffer, maire d’Ille-sur-Têt.

Le quinquagénaire porté disparu le 26 mai

Rapidement, la disparition de François Vigouroux est qualifiée d’inquiétante par les gendarmes des Pyrénées-Orientales. Un appel à témoins est d’ailleurs lancé dès le lendemain par la gendarmerie d’Ille-sur-Têt.

L’homme de 57 ans a quitté son domicile avec un vélo électrique vers 17h30, pour une promenade en direction de Thuir, à une quinzaine de kilomètres de là. Il n’est jamais arrivé.

Son corps est retrouvé le 1er juin, dans un fossé, à l’intersection des départementales 2 et 21.

Appel à témoins de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales.
Appel à témoins de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales. • © Gendarmerie des Pyrénées-Orientales

 

Le parquet de Perpignan n’a pour l’instant pas donné d’indications sur les circonstances et causes du décès.

 

https://www.lindependant.fr/2022/06/30/pyrenees-orientales-une-femme-de-58-ans-interpellee-dans-lenquete-pour-le-meurtre-du-cycliste-demembre-retrouve-a-ille-sur-tet-10407532.php

Pyrénées-Orientales : une femme de 58 ans interpellée dans l’enquête pour le meurtre du cycliste démembré retrouvé à Ille-sur-Têt

 

  • François Vigouroux a été retrouvé en contrebas de cette route.
    François Vigouroux a été retrouvé en contrebas de cette route. Nicolas Parent – L’Indépendant
Publié le 30/06/2022 à 20:00 , mis à jour le 01/07/2022 à 09:26

 

00:00/01:43

Le 1er juin dernier, le corps d’un homme était découvert par un promeneur. L’enquête vient de connaître une avancée significative.

Le 1er juin, un promeneur faisait une macabre découverte, en contrebas de la route départementale D2. Le corps d’un homme, qui aurait été découpé au niveau du tronc, était retrouvé dans deux sacs. Une enquête pour « meurtre » était ouverte par le parquet de Perpignan. Il aura fallu trois semaines pour s’assurer de l’identité de la victime : François Vigouroux, un homme de 57 ans, parti faire du vélo une semaine plus tôt et qui n’est jamais rentré.

Ce mercredi 29 juin, une femme née en 1964 a été interpellée et placée en garde à vue, où elle était toujours ce jeudi, une information confirmée par le procureur de la République Jean-David Cavaillé.

À Ille-sur-Têt, l’émoi était vif après l’annonce de la découverte macabre puis de l’identité du corps, d’autant plus que François Vigouroux était un homme décrit comme sans histoires. Séparé de la mère de son fils, il avait depuis refait sa vie. Pour les Illois qui la connaissaient, la victime était une personne discrète : « Il était réservé. Sympathique oui, mais il ne parlait pas beaucoup », confiait l’un d’eux, au lendemain de l’identification du corps. Selon nos informations, François Vigouroux travaillait comme électricien sur la station de ski de Granvalira en Andorre.

On n’en sait pour l’heure pas beaucoup plus sur le profil de la suspecte âgée de 58 ans, si ce n’est qu’elle est jusque-là inconnue de la justice : s’agit-il d’une proche de François Vigouroux ? Que sait-elle de cette affaire ? À quel point est-elle impliquée ? Est-ce elle qui a tué et placé la victime dans des sacs ? Et si oui, pourquoi ? S’agit-il d’un mobile en lien avec l’argent ? Avec une affaire de cœur ? L’enquête se poursuit pour tenter de déterminer les réponses à ces questions.

 

 

https://www.lindependant.fr/2022/07/01/cycliste-demembre-a-ille-sur-tet-la-suspecte-une-proche-de-la-victime-mise-en-examen-pour-meurtre-10409472.php

Cycliste démembré à Ille-sur-Têt : la suspecte, une proche de la victime, mise en examen pour « meurtre »

 

  • Le corps mutilé de François Vigouroux avait été découvert en contrebas de la route menant aux Orgues d'Ille le 1er juin dernier.
    Le corps mutilé de François Vigouroux avait été découvert en contrebas de la route menant aux Orgues d’Ille le 1er juin dernier. Charles Baron – L’Indépendant
Publié le 01/07/2022 à 17:33 , mis à jour à 19:56

 

00:00/02:31

La femme, âgée de 58 ans, qui a été interpellée voilà deux jours pour le meurtre de François Vigouroux, a été déférée ce vendredi 1er juillet 2022 au palais de justice de Perpignan.

Le 26 mai dernier, les proches de François Vigouroux, un habitant d’Ille-sur-Têt âgé de 57 ans, signalaient sa disparition auprès des forces de l’ordre. Selon les premières déclarations, l’homme était parti de chez lui le jour même en fin d’après-midi pour une promenade à vélo en direction de Thuir et devait rentrer dîner avec son fils pour 19 h 30. Or, il n’était jamais réapparu à son domicile.

Malgré les recherches entreprises, François Vigouroux, décrit comme « sympathique » et « sans histoire », demeurait introuvable jusqu’à ce qu’une semaine plus tard, le 1er juin précisément, son cadavre était découvert par un promeneur en contrebas de la chaussée, au niveau de l’embranchement des routes D2 et D21 à proximité du site des Orgues d’Ille.

Son corps présentait alors des sévices graves et aurait été découpé au niveau du tronc avant d’être abandonné dans deux sacs distincts. Le mystère le plus épais entourait alors cette affaire et les investigations suivaient leurs cours, menées par les gendarmes de la section de recherches de Montpellier en quête d’une piste.

« Jamais condamnée par le passé »

Or, un mois après la macabre découverte, les enquêteurs sont parvenus à identifier une suspecte. Une femme, âgée de 58 ans, qui a été interpellée ce mercredi 29 juin et placée immédiatement en garde à vue.

A lire aussi : Pyrénées-Orientales : une femme de 58 ans interpellée dans l’enquête pour le meurtre du cycliste démembré retrouvé à Ille-sur-Têt

À l’issue de son audition, elle a été déférée au parquet de Perpignan ce vendredi 1er juillet au matin. Elle « a été mise en examen pour meurtre » confirme le procureur de la République de Perpignan Jean-David Cavaillé, puis aussitôt  »écrouée« .  Il s’agit d’une proche de la victime, « de l’entourage familial », ajoute le parquet sans vouloir fournir plus d’éléments qui pourraient nuire à la poursuite de l’enquête.

Car de nombreuses zones d’ombre et d’interrogations subsistent dans ce dossier. À commencer par le mobile de ce crime. Une affaire sentimentale ? Une vengeance ?  Pourquoi cette femme, « jamais condamnée par le passé » précise le procureur, aurait-elle tué François Vigouroux avec un tel acharnement sur sa dépouille ? Quelle est la cause exacte du décès de François Vigouroux ? Aurait-elle pu avoir agi seule, notamment au vu de la forte corpulence de la victime ? Lui aurait-elle donné rendez-vous ou l’aurait-elle surpris sur son parcours ? Quel est le degré d’implication véritable de cette femme dans ce meurtre ? On est encore loin, semble-t-il de connaître toutes les réponses à cette multitude de questions.

Laure Moysset

 

 

https://www.lamontagne.fr/gf/LM_cold-case-affaire-doire/index.html?fbclid=IwAR1F4f3I1y5y9pxYxLBcWaaPt6W4vhS77DrZGH4Kb39t3OOVtUjcOFhky6g

Cold Case #4

L’affaire Doire

Par Sophie Leclanché & Stéphanie Delannes
Lundi 25 décembre 1995. Dans le matin installé, une ombre assombrit le bas côté à peine enneigé de la route qui serpente entre Busset et Saint-Yorre. C’est un corps qui gît à plat ventre. Celui d’un jeune homme décapité.

Dans un fossé, un corps décapité

La départementale 121, cette petite route qui serpente au pied de la Montagne Bourbonnaise est déserte. Normal, nous sommes le 25 décembre au matin. Dans la nuit, il a neigeoté, il fait à peine 3 degrés, c’est un temps de saison mais qui n’invite pas particulièrement à la balade.

Comme la plupart des hommes du canton de Cusset, le jeune Romain*, un Bussétois d’une vingtaine d’années, est chasseur. Noël ou pas, il part inspecter les lieux où il sait pouvoir pister le gibier. D’ailleurs, la veille, d’autres chasseurs ont fait le pied dans le secteur ; ils sont même passés sur cette route.

Au lieu-dit Les Corres, un peu avant la menuiserie, en direction de Saint-Yorre, Romain connaît un passage emprunté par les animaux. Dans une courbe, à droite, il se gare à l’entrée d’un champ. Aussitôt il aperçoit une forme sombre dans le fossé.

C’est un corps. Il gît sur le ventre. Un corps décapité. L’horreur rentre en scène. Elle est à son paroxysme lorsque le jeune homme s’aperçoit qu’à la place de la tête qui a disparu, on a déposé une des bottes en caoutchouc de la victime.

La victime est identifiée mais le mystère reste entier

La victime de ce crime à l’effroyable mise en scène est rapidement identifiée. Il s’agit d’un jeune père de famille de 28 ans, Christophe Doire, très connu dans le secteur, et plus particulièrement dans le milieu de chasseurs. Il est diversement apprécié. Son côté tête-brûlée, irrespectueux des règles et son penchant pour l’alcool ont terni son image au point qu’il peut même faire peur à certains de ses concitoyens.

Sa mère est la présidente de la société de chasse du Vernet, le village voisin de Busset. Son père est boucher, il a travaillé aux abattoirs pendant plusieurs décennies. Dans la lignée familiale, Christophe est chasseur et… il travaille aussi aux abattoirs de Vichy.

 dans Folie
Article de La Montagne du 26 décembre 1995

La victime est en tenue de chasse. La veille de sa mort, le samedi soir 17 décembre, le jeune homme est allé regarder la télévision chez son frère cadet, à Vichy. Puis il a regagné sont domicile à Cusset.

Il s’est changé, a mangé une côtelette de porc ou de sanglier comme en attestera l’autopsie puis est ressorti de chez lui vers 4h30 du matin, selon son épouse. D’après les indications du légiste, sa mort serait survenue vers 5h.

Une sorte de rite macabre

Lorsque son corps a été découvert le matin de Noël, il ne portait aucune trace de violence mais il était, selon sa famille, totalement exsangue. Détail sordide évoqué par sa mère : le corps ne contenait plus une goutte de sang « comme si on l’avait pendu par les pieds pour qu’il se vide complètement ». Où et comment ailleurs que dans une chambre froide peut on opérer de la sorte ? D’ailleurs, la décollation, nette et précise, a été vraisemblablement été pratiquée par un professionnel…

 dans Insolent - Insolite
Article de La Montagne du 27 décembre 1995

Celui ou ceux qui l’ont tué n’ont pas cherché à empêcher ou à retarder son identification. Si la tête a disparu, c’est manifestement pour une tout autre raison : ne pas mettre les enquêteurs sur la piste balistique d’une arme à feu particulière.

A moins qu’il ne s’agisse d’une sorte de rite macabre. Ou d’un avertissement. Pourquoi ? Pour qui ? Près d’un quart de siècle plus tard, le mystère reste entier.

Une plaie toujours ouverte

Françoise Doire est ce que l’on appelle une femme de caractère. Intelligente, le verbe précis, elle dépeint son fils, Christophe, celui dont elle est « la plus proche », avec lucidité. Christophe était « un excellent suiveur de chiens », il était souvent sollicité pour cela. Et c’est également cela qui avait excité « les jalousies ».

Parce que Mme Doire est affirmative : la mort de Christophe, c’est « une vengeance de chasse ». Ou pour le moins, une affaire liée à la chasse. Peut-être Christophe a-t-il participé à ces « chasses pas très catholiques » auxquelles participaient « des pontes » du côté de Vendat ? A moins qu’il ne s’agisse de ses faits de braconnage…

 

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Lieu où le corps a été découvert

Certes, Christophe n’était pas un ange. Mais cela ne mérite pas la mort. Et encore moins la mise en scène macabre qui a l’a accompagnée. Une mère peut-elle jamais oublier cela ? La découverte du corps décapité de son fils le jour de Noël. Et sa tête disparue à jamais. « Cela fait 24 ans que je suis insomniaque », explique la mère endeuillée, « je n’ai pas pu reconnaître le corps de mon fils ; je ne sais pas ce qui a été enterré exactement ; est-ce que c’est bien lui ? ».

C’est à cause de la chienne Flora

Près d’un quart de siècle après les faits, Françoise Doire relate les faits comme s’ils s’étaient déroulés la veille. Le film de ce jour où elle a vu pour la dernière fois le second de ses trois enfants est intact. Il s’achève sur l’histoire de Flora, la chienne préférée de Christophe. C’est le 16 décembre, que ce griffon connu pour ses performances à la chasse, s’est volatilisé. Au Vernet, un témoin affirme avoir vu un homme embarquer l’animal dans son 4X4.

Françoise en est certaine, puisque c’est lui qui a volé l’animal, c’est lui qui a assassiné son fils. Parce que celui-ci l’avait démasqué. Le mobile est-il suffisant pour tuer ? Et mutiler ? Françoise Doire n’en démord pas.

Ce fameux chasseur qui restituera la chienne le 19 décembre selon Mme Doire, Christophe, exclu pour ses frasques de la société de chasse du Vernet, l’a rejoint pour mieux pratiquer son art. Entre eux, « ce n’est pas le grand amour ». Mais c’est grâce à lui que le fils Doire est régulièrement invité par ce groupement de chasseurs constitué en association pour avoir des bracelets supplémentaires.

Un mois après sa disparition, des centaines de personnes assistent aux obsèques du jeune père de famille. Dans la foule, de nombreux chasseurs, des proches de la famille éprouvée et des curieux attirés par le mystère. Le suspect numéro 1, ce quadragénaire plusieurs fois placé en garde-à-vue mais jamais mis en examen pour le crime, n’est pas présent. Car autour du zinc de chez Doudou, au Vernet et dans l’univers des chasseurs, la rumeur a fait son office. Se montrer aux funérailles, c’est le lynchage assuré…

Omerta dans le Bourbonnais

Plus de vingt ans après les faits, l’évocation du meurtre de Christophe Doire crée toujours un certain malaise. Rares sont les témoins qui acceptent de parler à visage découvert.Et du côté des autorités judiciaires, « aucun souvenir intéressant » ne remonte à la surface, affirme le procureur de l’époque tandis que le juge d’instruction semble aux abonnés absents. Tout comme le patron du bar qui était à l’époque le rendez-vous des chasseurs au Vernet…Un maire du secteur, qui parle sous couvert d’anonymat, plante le décor de cette période, au début des années 90. Il raconte que pour se faire admettre et ne pas se voir reprocher d’être un opposant, il avait dû passer son permis de chasse, un loisir auquel a priori il n’aurait jamais songé à s’adonner.

L’affaire de la SOBOVIDE

A Vichy et dans ces alentours, plusieurs affaires avaient défrayé la chronique. Il y avait eu cet important trafic de viandes à la SOBOVIDÉ au cours de laquelle un syndicaliste un peu trop zélé aux yeux de son employeur délinquant, avait échappé de peu à la mort frappé par des inconnus à coup de feuille de boucher.

Il y avait eu aussi du côté de Varennes, l’histoire, jamais conclue, relatée par un témoin de l’époque, de ce chasseur qui « avait été écrasé contre un pylône par un conducteur qui avait pris la fuite. »Et aussi, celle de ce garde-chasse de la société privée Champoux-Lourdy, Georges Vigier, 42 ans, qui avait été retrouvé dans la forêt de Vendat, « suicidé de deux balles dans la tête ». Incroyable maladresse pour un garde-chasse dont « le fusil avait été retrouvé accroché à une branche d’arbre », selon la presse du moment. Plusieurs mois plus tard, l’enquête s’orientera vers un homicide dont le ou les auteurs ne seront pas identifiés.

Des chasses très particulières

Plane enfin l’ombre du président des chasses présidentielles, François de Grossouvre, l’ex- grand ami de François Mitterrand qui avait, qui plus est, une gentilhommière du côté de Lusigny au nord est de l’Allier.

Ce même François de Grossouvre qui s’était donné la mort dans son bureau élyséen quelques mois plus tôt. Non pas qu’on lui attribua ces méfaits mais le pouvoir nourrissant le fantasme, certains avaient imaginé que Georges Vigier ou Christophe Doire auraient pu être associés à des parties de chasse particulières, en présence de hautes personnalités…

La douleur d’un frère

« Le 16 décembre 1995, j’ai refermé la porte derrière lui et plus jamais personne ne l’a revu vivant. Sauf son assassin ». Olivier Doire a seize mois de moins que son frère Christophe mais il était néanmoins son « confident ». Rien de la vie de Christophe n’est étranger à Olivier.Sauf peut-être cette journée du 11 décembre 1995, durant laquelle Christophe, qui avait dûment prévenu son employeur, a totalement disparu des radars. C’était 14 jours avant la découverte de son corps et nul ne sait où il était et ce qu’il a fait ce jour là.

Comme deux frères presque jumeaux, avec leur père, Daniel, Christophe et Olivier ont battu la campagne bourbonnaise. Et beaucoup chassé. Sauf en 1995. Cette année-là, Olivier n’a pas renouvelé ses cotisations. Christophe a chassé sans lui, avec d’autres parmi lesquels un certain Denis*.

« J’ai cherché mon frère, puis son assassin »

Ce Denis, 24 ans après les faits, Olivier ne le comprend toujours pas. Pourquoi, a-t-il nié avoir « emprunté » les chiens de la victime ? Alors même qu’il a été vu, dans le Cher, chassant avec l’un d’eux, la très réputée Flora, le lendemain de la disparition de Christophe ? Pourquoi a-t-il menti, alors que tout l’accusait dans ce vol ?

A ce moment-là, se souvient Olivier, « je cherchais mon frère disparu » car son corps n’avait pas été retrouvé. Denis, alors, ne pouvait pas être suspecté de ce crime. « Ce n’est qu’après, le 25 décembre, là j’ai commencé à chercher son assassin ».

Harcèlement

Ainsi est-il retourné voir Denis « sans aucune animosité » précise-t-il. Surprise : Denis a alors reconnu s’être emparé des chiens de Christophe.

Pourquoi un tel revirement ? Sinon la peur de se voir imputé le meurtre de Christophe Doire. Au cours de l’enquête, il a longtemps, souvent été question de ce Denis. Certains ont laissé entendre qu’il connaissait le meurtrier du jeune père de famille. Olivier, lui, assure encore qu’il « ne le voit pas faire ça ».

Qui, alors et pourquoi avec une telle sauvagerie ? Y a-t-il un lien avec toutes les femmes que Christophe importunait dans sa sphère professionnelle. Allant, dit l’enquête, jusqu’au harcèlement ?

« Cela a anéanti ma vie »

24 ans après les faits, Olivier Doire, jeune et sportif quinquagénaire, ne peut retenir son émotion à l’évocation de son frère. Malgré des années de suivi psychologique, la tragédie a « anéanti sa vie, détruit son couple ».

À la souffrance de la perte d’un proche est venue s’ajouter l’abyssale douleur de la plaie qui ne se refermera pas parce qu’aucune réponse n’a été apportée. Pour lui, partie civile depuis presque 25 ans, c’est aujourd’hui « le plus choquant ». Se dire qu’« il n’y a pas de coupable, pas de procès, et pas de deuil possible ».

Pourquoi ? Peut-être parce que « mon frère ce n’était pas une personnalité, c’était un fils de rien ».

fouilles
Investigations pendant l’enquête dans le puits d’une ancienne propriété du principal suspect, en 2002.

Beaucoup ont cru, en 2014, que l’épilogue se profilait lorsque, le 23 mars, un crâne a été découvert par les nouveaux occupants d’une maison à Saint-Pourçain-sur-Sioule. Hélas, selon la médecine légale, l’ossement aurait appartenu à une personne décédée depuis plusieurs dizaines d’années.

En 2020, cela fera un quart de siècle qu’il attend des explications. Olivier Doire espère encore. Que « quelqu’un parle », qu’un juge reprenne l’affaire. « Avec les nouveaux moyens d’investigations on pourrait sans doute retrouver de l’ADN sur les scellés » argumente-t-il.

Le frère de la victime pourrait bien être entendu. Le parquet de Cusset vient de ressortir le dossier Doire. Une nouvelle enquête pourrait bien être ouverte. L’espoir, à nouveau, pour toute une famille de trouver la paix. Et pour la société, de savoir que le crime ne reste pas impuni.

Une mémoire à l’encre rouge

Il est des lieux marqués malgré eux à l’encre rouge.

D’un rouge sang qui tranche singulièrement avec la quiétude des paysages environnants. C’est le cas de Busset, dont on préfère garder l’image d’un village de pierre blonde ceinturant la majestueuse forteresse surplombant la vallée du Sichon, dans l’Allier.

C’est pourtant là qu’avait sévi l’un des premiers tueurs en série connu en France. Ce fameux Joseph Vacher surnommé le « Jack l’éventreur du Sud Est », auquel la justice avait attribué une trentaine de crimes tous plus violents les uns que les autres.

Dont celui, à l’orée de Busset, de la jeune Marie Loussier-Lorut. C’était en 1896 et contrairement aux autres victimes de Vacher, Marie, 19 ans, n’avait pas été mutilée.

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Joseph Vacher

Un siècle plus tard, le meurtre de Christophe Doire a lui aussi défrayé la chronique bien au-delà du Bourbonnais. Les Bussétois de longue date n’oublieront jamais ce jour de Noël 1995 où le corps mutilé de Christophe Doire a été découvert.

* Les prénoms ont été modifiés.

 

Ouverture d’une enquête contre Damien Abad pour tentative de viol

Ce sont désormais trois femmes qui l’accusent de viol ou tentative de viol.

Damien Abad est né le 5 avril 1980 à Nïmes, dans le Gard.

Bélier, donc.

Simple et direct, il n’y va pas par quatre chemins : drogue du violeur et hop ! l’affaire est faite. Pas de repérages longs et fastidieux, pas d’ascenseur bloqué ni d’autres préparatifs extraordinaires, il ne prend même pas la peine de s’assurer qu’il ne sera pas dérangé… preuve d’un dérangement mental assez prononcé.

Sa défense est du même acabit : faisant fi de tous les témoins qui ont d’ores et déjà affirmé le contraire, il prétend qu’il ne connaissait même pas ses présumées victimes et nie tout en bloc – aurait-il lui-même abusé de benzodiazépines ou de telles pertes de mémoire pourraient-elles être pathologiques ?

Bien sûr, tous les hommes du signe du Bélier n’en sont pas là…

Mais lui a quand même fait deux écoles de cul, ça marque… enfin, il est clair qu’il aimait ça, il en redemandait et est même revenu dans la seconde comme chargé de cours pour des vacations.

Notons pour finir que l’arthrogrypose n’empêche pas le viol, tout comme le pied bot n’empêche pas la production sadique de faux en écriture publique.

De même, de graves déficiences mentales n’empêchent pas de sortir major de Sciences Po Bordeaux pour rempiler aussi sec à Sciences Po Paris, mais nous connaissions déjà le niveau de recrutement de cette fameuse école de cul – cf. le cas de sa copine Céline Verdier de Brest, née le 5 juillet 1979 et sortie diplômée de cette école en l’an 2000 pour intégrer alors, non pas Sciences Po Paris, mais l’ENM, qui ne semble fondamentalement pas très différente.

Damien Abad présumé violeur de femmes et du secret de l’instruction -> patrons n’hésitant pas à commanditer l’assassinat d’un salarié qui les dérange -> tueurs francs-maçons de la loge Athanor qui se prétendent agents de la DGSE -> Alain Pougetoux, Cyprien Luraghi, fans de Napoléon et de l’émission Affaire conclue, dont Jacques Fornès du Finistère et des Lyonnais tous proches de la famille Le Pen -> Josette Brenterch du NPA de Brest -> Isabelle Johanny -> Céline Verdier -> Damien Abad…

On y vient… ouais !

 

 

https://www.francetvinfo.fr/politique/accusations-de-viols-contre-damien-abad/affaire-damien-abad-le-parquet-de-paris-ouvre-une-enquete-contre-le-ministre-des-solidarites-pour-tentative-de-viol_5227387.html

Affaire Damien Abad : le parquet de Paris ouvre une enquête contre le ministre des Solidarités pour « tentative de viol »

 

Une plainte avait été déposée contre le ministre par une ancienne élue centriste, lundi 27 juin, pour des faits remontant à 2010.

Article rédigé par

Ouverture d'une enquête contre Damien Abad pour tentative de viol  dans Crime 61b8b98ead35d_francetv-info
France Télévisions
Publié le 29/06/2022 19:14 Mis à jour il y a 37 minutes
Temps de lecture : 1 min.
Damien Abad, ministre des Solidarités, à Paris, le 27 juin 2022. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

Damien Abad, ministre des Solidarités, à Paris, le 27 juin 2022. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

 

Une enquête a été ouverte contre Damien Abad pour « tentative de viol », selon le parquet de Paris à franceinfo, confirmant une information de l’AFP, mercredi 29 juin. Cette enquête fait suite à la plainte déposée par une élue centriste pour « tentative de viol » concernant des faits remontant à 2010, lundi 27 juin.

D’après son avocate, la plaignante accuse Damien Abad, à l’époque fraîchement élu eurodéputé, d’avoir tenté de lui imposer une fellation au cours d’une soirée dans son domicile parisien. Elle affirme également que l’élu se frottait à sa poitrine dès qu’il l’a croisait, et l’accuse d’avoir eu un comportement très insistant et grossier lors d’un mariage organisé fin juillet 2010.

 

Trois femmes accusent le ministre

 

« Ma cliente a foi en la justice. Elle sait qu’elle va faire son œuvre », a réagi à franceinfo l’avocate de la plaignante, Raphaële Bialkiewicz. Les avocats de Damien Abad répondent à France Télévisions que l’élu « prend donc acte de cette suite logique et pourra rapidement démontrer son innocence ».

Les investigations ont été confiées à la Brigade de la répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Depuis sa nomination au sein du gouvernement de la Première ministre Elisabeth Borne, le ministre des Solidarités a été accusé de viol ou de tentative de viol par trois femmes dont les témoignages ont été révélés par Mediapart. Une femme a porté plainte deux fois pour un viol qu’elle dit avoir subi en 2011, plaintes qui ont été classées sans suite par le parquet de Paris en 2012 et 2017. Une autre femme dit avoir été violée en 2010, mais n’a pas porté plainte.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Damien_Abad

Damien Abad

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Ressources relatives à la vie publique

:

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthrogrypose

Arthrogrypose

L’arthrogrypose est une maladie congénitale se manifestant essentiellement par une raideur au niveau de différentes articulations. Il peut s’agir d’une maladie autonome ou faisant partie d’un syndrome associant d’autres signes.

Épidémiologie

La prévalence est comprise entre un sur 3 300 et un sur 56 0001.

Description

L’arthrogrypose se manifeste par des raideurs articulaires présentes dès la naissance et touchant, de façon variable, les quatre membres. Il peut exister un faciès particulier ainsi que des anomalies cutanées.

Elle peut être isolée ou s’accompagner d’autres signes, squelettiques, viscéraux ou neurologiques.

Les arthrogryposes entrent dans le vaste cadre de ce qu’il est convenu d’appeler les syndromes d’immobilité fœtale qui regroupent une multitude d’anomalies neurologiques et musculaires dont l’inventaire est en cours.

Diagnostic

Le diagnostic prénatal est difficile et souvent manqué. Il peut être suspecté devant une diminution de la mobilité du fœtus ressentie par la mère. Le signe le plus évocateur est la découverte, à l’échographie d’un pied bot bilatéral2.

Évolution

La mortalité peut atteindre 40 % au cours de la première année de vie1. Passé ce cap, la durée de vie peut être normale, avec toutefois un handicap3.

Traitement

Le choix du traitement est des plus difficiles. Le but est avant tout d’essayer d’améliorer la fonction et l’autonomie des patients (rééducation fonctionnelle).

Formes cliniques

Plus de 150 types ont été décrits, comprenant près de 400 anomalies génétiques4.

Un syndrome associant une arthrogrypose, une atteinte rénale et une cholestase hépatique, secondaire à une mutation sur le gène VPS33B. Une autre forme constitue le syndrome de Freeman-Sheldon par mutation du gène MYH35.

Personnes célèbres

Notes et références

Liens externes et références

Voir aussi

François Vigouroux d’Ille-sur-Têt connaissait-il Jean-Marc Donnadieu ?

La question se pose, sachant, d’une part, que Jean-Marc Donnadieu fait bien partie des cybercriminels et terroristes « islamistes » de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et d’autre part, que François Vigouroux travaillait en Andorre, où il était chef électricien chez Saetde depuis 1999 (voir ci-dessous son compte Viadéo et la publication d’une offre d’emploi dont il est l’auteur).

Car en effet, comme de nombreux Toulousains, Jean-Marc Donnadieu de Béziers allait très régulièrement faire ses courses en Andorre ou en Espagne jusqu’au premier confinement de 2020 – ensuite, je ne sais pas; il s’était plaint publiquement de ne plus pouvoir y aller en mars 2020, et je ne me souviens pas de l’avoir vu en reparler par la suite. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’était plus possible de franchir la frontière espagnole et qu’il ne restait donc qu’Andorre pour aller faire ses courses à bas prix. Or, le m’as-tu-vu extrême-gauchiste Jean-Marc Donnadieu, qui aime à se faire remarquer et jouer les chefs partout où il passe, a aussi une fâcheuse tendance à s’y créer des conflits, notamment avec d’autres chefs.

Par ailleurs, il existe déjà d’autres victimes de faits similaires dont Jean-Marc Donnadieu aurait bien pu, aussi, croiser la route, il s’agit du couple de policiers assassinés à Magnanville le 13 juin 2016 (début de la série d’attentats islamistes liée à la procédure parisienne de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre) et dont l’un était originaire de Pézenas, où Jean-Marc Donnadieu lui aussi a passé beaucoup de temps avec sa copine habitant dans cette commune (il m’en parlait déjà dans ses commentaires sur mon blog en 2010 et l’évoque encore dans une plainte délirante qu’il a déposée en 2012 et dont copie ci-dessous), sans compter que ce policier, Jean-Baptiste Salvaing, avait par le passé occupé un poste dans l’Hérault, au Cap d’Agde, autre lieu très régulièrement fréquenté par l’échangiste et amateur de BDSM Jean-Marc Donnadieu, plutôt en soirée selon ses dires. N’y auraient-ils pas eu des mots ? C’est très possible.

Il est également certain que les attentats « islamistes » ne sont pas tous aveugles et cachent parfois des assassinats commis contre des cibles délibérées et désignées par les commanditaires de ces actes terroristes.

En l’occurrence, autant ces policiers assassinés le 13 juin 2016 au tout début de la série d’attentats liée à la procédure parisienne de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre (qui a perdu les deux procès qu’il m’a faits à Paris, en première instance le 5 janvier 2017 et en appel le 11 avril 2018), que François Vigouroux le 26 mai dernier alors que débutait une nouvelle série d’attentats « islamistes » au déclencheur tout à fait similaire aux précédents (comme j’ai désormais le calendrier de cette nouvelle série, je suis en mesure d’affirmer que l’arrestation du 25 mai s’est bien produite alors que le passage à l’acte était effectivement imminent), pourraient avoir été victimes de règlements de comptes du psychopathe Jean-Marc Donnadieu de Béziers.

Par ailleurs, nous connaissons déjà le motif de l’assassinat de Patricia Bouchon par les mêmes le 14 février 2011 à Bouloc, ils la soupçonnaient de vouloir les dénoncer pour toutes leurs exactions à mon encontre alors qu’ils s’apprêtaient à engager contre mon ancien hébergeur de blog Overblog une procédure en référé devant le TGI de Béziers via l’unique Jean-Marc Donnadieu de Béziers, le seul de la bande à pouvoir faire payer par l’Etat tous ses frais de procédure, au moyen d’une aide juridictionnelle totale qu’il avait déjà obtenue grâce à une dénonciation calomnieuse et la présentation de faux :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/25/affaire-patricia-bouchon-toute-la-verite-a-t-elle-ete-dite/

Or, en date du 6 mai 2022, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi indiquait publiquement qu’il était encore, selon lui, victime d’« un max de tentatives d’intrusions depuis quelques semaines » :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/14/des-tentatives-dintrusion-chez-les-cybercriminels-de-la-bande-luraghi/

Rappelons que la plainte délirante de Jean-Marc Donnadieu du 3 février 2012 portait également sur ce type de « faits » dont il accusait nommément un ufologue du nom de Christian Comtesse qu’il harcelait depuis de nombreuses années et avec qui il a publiquement réglé quelques comptes en 2018, sur Facebook, d’où, alors, la publication de cette plainte par l’un et l’autre, le premier sans aucun cache et le second en en masquant l’identité et les coordonnées de son harceleur (voir copies ci-dessous). Violant quotidiennement l’intimité de ma vie privée avec ses complices de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, notamment au moyen de piratages informatiques, Jean-Marc Donnadieu s’était plaint que Christian Comtesse ayant vu le commentaire public par lequel il avait donné à ses amis ufosceptiques ses codes d’accès aux blogs secrets de son complice Luraghi me concernant, ainsi qu’à leurs échanges de mails à propos de leurs piratages informatiques et autres exactions à mon encontre, aurait tenté d’utiliser ces codes d’accès pour voir ce qu’ils étaient tous en train de comploter.

Oui, c’est bien ça : le criminel Jean-Marc Donnadieu se plaint que l’ufologue Christian Comtesse, sans jamais avoir commis la moindre infraction pénale, ait pu tenter d’accéder à ses échanges privés avec ses complices concernant de multiples infractions pénales dont ils sont les auteurs, et du même coup en obtenir des preuves. Il va d’abord s’en plaindre aux policiers du commissariat de Béziers qui lui font remarquer qu’il n’y a là aucune infraction pénale, puisqu’il a lui-même fourni ses codes d’accès, et refusent par conséquent de prendre sa plainte, ce en quoi il s’en plaint très amèrement au procureur de la République de Béziers dans la plainte qu’il a déposée le 3 février 2012.

Dans son esprit, c’est très clair : policiers et magistrats sont bien là pour « protéger » les délinquants et criminels contre leurs victimes, surtout lorsque celles-ci tentent de se défendre, d’obtenir des preuves, de dénoncer.

Jean-Marc Donnadieu est un débile mental, comme tous les psychopathes qu’utilise la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest pour toutes ses entreprises criminelles.

En faisant partie depuis de très nombreuses années, il n’a toujours connu que ce mode-là de fonctionnement de la « justice » et s’imagine vraiment être dans son bon droit ou au moins dans le vrai (ça va marcher…) lorsqu’il demande à la justice de le protéger contre ses victimes et de les faire poursuivre et condamner. Il sait par expérience qu’il ne tombera pas « dans le Jubillar » (= en détention préventive), comme dit son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, s’il évite de dire qu’il me pirate, qu’il assassine des gens, etc, etc… bref s’il continue à nier fermement être l’auteur de crimes ou délits comme il l’a toujours fait… et à mentir et affabuler comme il l’a aussi toujours fait…

Au passage, il se plaint aussi que le policier qui l’a reçu au Commissariat de Béziers le 20 janvier 2012 n’a pas décliné son identité…

Je ne sais pas pour vous, mais moi, quand je vais dans un commissariat, je ne demande pas aux policiers qu’ils me déclinent leurs identités respectives, c’est exactement l’inverse qui se passe…

Les malades mentaux de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi se trouvent tous tellement imprégnés du procédé extrême-gauchiste et pervers d’inversion totale de tout (faits, personnalités, valeurs, etc…) qu’ils peuvent même le faire ainsi de manière systématique et quasi réflexe, gratuite, et même au risque qu’il desserve leurs intérêts (cette plainte grandement délirante aura tout de même donné lieu à une enquête préliminaire et a finalement été classée sans suite après que le mis en cause se fût expliqué sur les « faits » qui lui étaient reprochés).

Je rappelle aussi que Jean-Marc Donnadieu en tant que fer de lance de toute la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi a réussi à faire condamner mon ancien hébergeur de blog OverBlog à lui verser une grosse somme d’argent en dommages et intérêts (7500,00 € comme il me le rappelait le 18 avril dernier, sans compter les sommes allouées au titre de l’article 700 du Code de procédure civile pour deux procès, alors qu’en réalité il n’avait rien déboursé, bénéficiant d’une aide juridictionnelle totale) au motif de révélations que j’aurais faites concernant son identité et sa vie privée alors qu’en réalité il en était lui-même l’auteur, non seulement sur mon blog mais également sur de très nombreux autres sites, dont les siens, tandis que lui-même et ses complices de la bande Luraghi se rendaient, eux, effectivement coupables à mon encontre de telles atteintes à l’intimité de le vie privée depuis juin 2010. Et de façon à s’éviter toute contradiction de ma part, il m’avait exclue de toutes ses procédures contre OverBlog qui aurait dû être entendu en sa défense en appel à Montpellier comme en première instance à Béziers.

 

A lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/27/terrorisme-islamiste-debut-dune-nouvelle-vague-dattentats-en-france/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/24/cyprien-luraghi-se-moque-des-gendarmes/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/24/un-crime-tres-inquietant-a-ille-sur-tet-pres-de-perpignan/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/26/du-luraghi-dans-le-texte/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/26/ces-delires-publics-de-cyprien-luraghi-sont-ils-encore-ceux-dun-tueur/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/25/affaire-patricia-bouchon-toute-la-verite-a-t-elle-ete-dite/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/14/des-tentatives-dintrusion-chez-les-cybercriminels-de-la-bande-luraghi/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/06/retour-de-jean-marc-donnadieu-sur-les-blogs/

 

 

https://viadeo.journaldunet.com/p/francois-vigouroux-7208403

Francois VIGOUROUX

ANDORRE-LA-VIEILLE

En résumé

Pas de description

Entreprises

  • SAETDE - Chef de service

    1999 – maintenant

 

 

https://www.skipass.com/forums/divers/emplois_montagne/sujet-142340.html

Electricien remontÉe mÉcaniques – saetde grandvalira (andorre)

 

François Vigouroux de l'Ille-sur-Têt connaissait-il Jean-Marc Donnadieu ? dans AC ! Brest
phil6611
phil6611

Le 1 mai 2019 – 18:34
SAETDE exploitant des secteurs Pas de la Casa – Grau Roig – Funicamp dans le domaine Grandvalira à Andorre recherche recrute électricien remontées mécaniques en CDI.La station de Grandvalira a été crée en 2003 à l’issue de la fusion des plus anciennes stations des Pyrénées : Pas de la Casa-Grau Roig (1956) et Soldeu-El Tarter (1964). Cette fusion a donné lieu à la plus grande station des Pyrénées et l’une des plus grandes d’Europe, avec 210 kilomètres de pistes sous un forfait unique donnant accès à tout le domaine skiable.Poste :Au sein du service électrique de la station, vous serez amené à effectuer la maintenance préventive et curative du parc de remontées mécaniques (1 Funitel, 1 TC10, 7TSD, 7TSF, 11TK)

Poste à pourvoir rapidement.

Salaire selon expérience et capacités.

Profil :

De formation BTS Electrotechnique, vous avez de solides connaissances en automatisme, régulation de vitesse, automates de sécurité. La pratique du ski et la capacité au travail en hauteur sont indispensables.

Permis B exigé.

Bon sens du relationnel et travail en équipe.
Contact: VIGOUROUX François
Téléphone : 376.80.10.50
Merci d’adresser votre CV et lettre de motivation par mail à : francoisvigouroux@grandvalira.com

Profil recherché

Formation BTS Electrotechnique

Message modifié 1 fois. Dernière modification par phil6611, 01/05/2019 – 18:35

 

 

https://www.francebleu.fr/infos/international/passer-la-frontiere-pour-des-courses-en-andorre-oui-en-espagne-non-1608065034

Passer la frontière pour des courses : en Andorre oui, en Espagne non

 

Mardi 15 décembre 2020 à 21:43 -

Par , France Bleu Occitanie, France Bleu

 

Si le confinement est levé en France, il ne l’est pas dans certaines régions d’Espagne. Mardi 15 décembre, de nombreux Français ont dû faire demi-tour après la frontière, dans le Val d’Aran.

Dans le Val d'Aran, les policiers catalans ont mené des contrôles mardi matin.

Dans le Val d’Aran, les policiers catalans ont mené des contrôles mardi matin. © Radio France – Sébastien Berriot

 

Peut-on franchir la frontière pour aller faire des courses de Noël ? Vous êtes très nombreux à appeler France Bleu Occitanie depuis le début de la semaine pour avoir une réponse. Pour la Principauté d’Andorre, oui, c’est possible. À condition de revenir à la maison en France avant 20h, à cause du couvre-feu français. Il y a liberté de circulation le jour dans les deux pays.

En revanche pour l’Espagne, pour le Val d’Aran notamment, à la frontière avec la Haute-Garonne, c’est non ! Et on nage en plein paradoxe, car la frontière est bien ouverte, mais il est interdit de la franchir !

Le maire de Bossòst : « il n’est pas possible d’entrer ou de sortir de Catalogne »

« Il y a des contrôles aléatoires » explique le maire de Bossòst, Amador Marqués. Exemple ce mercredi 15 décembre, juste avant le village de Lés, et son supermarché : les policiers catalans, les Mossos d’Esquadra, ont arrêté toutes les voitures immatriculées en France. Pas d’amende (elle est pourtant de 300 euros), mais ordre de faire demi-tour.

 

Fa un mes que demanem a @govern harmonització de mesures en territoris transfronterers. Resposta: control de @mossos a la frontera, el dia en què França aixeca restriccions de mobilitat. No volíem tassa, doncs tassa i mitja. Estem indignats @ajbossost@conselharan@SEGREcompic.twitter.com/taQOR27Dpx— amador (@amrqs) December 15, 2020

Confinement périmétrique dans certaines régions

Explication : la Catalogne, comme l’Aragon, et d’autres régions d’Espagne, sont aujourd’hui placées en « confinement périmétrique ». Il est interdit d’entrer ou de sortir des régions concernées, et ça vaut donc pour la France.

C’est la cacophonie

Mais on se heurte aussi au fonctionnement espagnol : l’Etat central (Madrid) a compétence pour la frontière internationale, laissée ouverte. Mais derrière, chaque région décide des mesures sanitaires. Pour la Catalogne (Barcelone) pour l’instant c’est strict. Et « c’est la cacophonie« , juge Amador Marqués.

Il y a cependant des exceptions : on peut aller en Espagne pour de rares raisons professionnelles, médicales, ou familiales. Mais pas pour une cartouche de cigarettes, une bouteille de pastis, ou un parfum.

En tout cas pour le Val d’Aran ça tombe mal. Les commerçants aranais vivent avec la clientèle française, essentiellement venue de Toulouse ou du Comminges, surtout à Noël. « Pour les commerçants, c’est terrible« , juge Amador Marqués.

Le maire de Bossòst demande depuis des semaines une exception à Barcelone et à Madrid pour les territoires transfrontaliers… il attend toujours.

 

Mathieu Ferri

 

 

https://www.ladepeche.fr/article/2004/02/17/265791-est-il-rentable-de-faire-ses-courses-en-andorre.html

Toulouse. Est-il rentable de faire ses courses en Andorre ?

 

Publié le 17/02/2004 à 00:00

 

Un bus matin et soir pour Andorre-la-Vieille et le Pas-de-la-Case, les mercredi vendredis et dimanches chez Fram. Un allez/retour Toulouse le Pas-de-la-Case dans la journée chaque mercredis et samedis avec Salt. Si on ajoute les cars affrétés chaque année par dizaines par les clubs du 3e âge, on mesure le goût des Toulousains pour les produits détaxés de la principauté (1).

Mercredi 11 février, 8h 30, 48 passagers ont payé 15 euros pour un voyage de 11 heures au pays du beurre, du sucre, de l’alcool et des cigarettes à pas cher. A peine rajeunie par un couple d’amoureux, une femme et ses deux enfants et quelques hommes jeunes et solitaires, la moyenne d’âge frôle la soixantaine. Des habitués se reconnaissent et se saluent avant de s’asseoir. Pomponnées comme des demoiselles, Josephine et sa copine Marie font parti de ces fidèles capables de supporter six heures de bus pour quatre heures de courses dans les supermarchés du Pas. «Je viens une fois par mois. L’été nous faisons la route en voiture. Ca fait une belle promenade». Et que vont acheter nos deux promeneuses? «Rien lance Joséphine, juste deux cartouches de cigarettes et une bouteille de whisky pour faire un cadeau».

Assis seul et silencieux, un jeune homme d’une vingtaine d’années à d’autres préoccupations. «Je monte une fois par mois, pour faire les courses de fond pour la famille», explique-t-il. Au moment de repartir il glisse son gros sac dans la soute à bagages. A l’intérieur: trois kilos de beurre, cinq litres d’huile d’olive, cinq kilos de sucre en poudre et cinq kilos de sucre en morceau (Lire ci dessous le tableau comparatif des prix).

gros fumeur…

Dominique lui a la quarantaine et le visage buriné par la vie. Amoureux du Pas-de-la-Case, ce demandeur d’emploi monte deux à trois fois par semaine passer quelques heures dans les supermarchés. «Je ne prends pas de risque, je redescends toujours avec deux cartouches de cigarettes et deux bouteilles d’alcool car je suis un gros fumeur… Si je monte en voiture je fais le plein , ça me paye le voyage».

Daniel , ne fume pas. Mais il monte tous les quatre mois «pour faire des achats très ciblés». Aujourd’hui il redescends avec un ampli tuner payé en liquide 320 euros. «A Toulouse, le même appareil est vendu 396 euros. Mais si je n’avais pas trouvé la référence exacte que j’ai choisi en ville avant de monter je serai reparti sans rien», précise-t-il satisfait. Au moment de repartir un couple de retraité transporte discrètement dans un sac l’appareil photo numérique dont ils ont parlé pendant la montée. Un monsieur d’une cinquantaine d’années qui se targuait dans le bus d’avoir travaillé pour la police porte un sac photo flambant neuf à l’épaule. Un homme filme ses deux copains qui remontent dans le car avec son tout nouveau caméscope. Il est 15 h 30, le bus redémarre. La douane volante le laisse rentrer à Toulouse sans le moindre contrôle. Ceux qui ont joué, ont gagné.

Bernard Davodeau

(1)Les quantités officiellement autorisées sont de 300 cigarettes, 5 litres de vin ou un litre et demi d’alcool de plus de 22°, ou trois litres d’alcool de moins de 22°. Le beurre est limité à un Kg et le sucre à 5 Kg. La valeur des produits manufacturés ne doit pas dépasser 549 euros par personne.


« L’ANDORRE, C’EST INTÉRESSANT POUR LE CHOIX ET LE COÛT DES PRODUITS.»

Oui. « C’est meilleur marché.»

Cécile Lamarque, 24 ans, étudiante en sociologie.

« Faire ses achats en Andorre, c’est intéressant pour le choix et le coût des produits. C’est bien pour les cigarettes, les CD vierges et l’alcool s’il y a une fête prévue. Je sais que c’est intéressant aussi pour les vêtements, mais je suis étudiante, alors ça passe au second plan. Je n’ai pas le permis de conduire mais ça ne me gênerait pas de faire tous ces kilomètres. En attendant, je passe des commandes auprès d’amis ou j’ai des copains qui m’emmènent. Je leur demande une cartouche de cigarettes. On ne peut pas en ramener trop, c’est tout un calcul. De toute façon, c’est plus intéressant d’y aller à plusieurs. On partage les frais et on ramène plus de marchandises. Même avec les frais du voyage, ça reste malgré tout meilleur marché.»


« QUELQUES PRIX AUGMENTENT, MAIS CERTAINS ARTICLES SONT MOINS CHERS.»

Bof. Ca dépend des produits.

Stéphane Graule, 32 ans, boucher.

« Ce n’est pas intéressant pour tous les produits. Par exemple pour l’alcool, ça ne vaut pas forcément le coup. Ici, il y a des discounters qui font des bons prix. Puis pour les parfums ça devient kif-kif. Et il y a plein d’autres prix qui commencent à monter. Ils essayent de faire de l’Andorre une espèce de Monaco.

J’y vais quand même à l’occasion, parce que ça vaut la peine pour certains produits, comme les cigarettes. Ici à 5 € le paquet, fumer devient un luxe. J’ai aussi des copains qui y vont pour équiper leurs voitures. Les enceintes, les autoradios, tout est à moitié prix. Pour ma moto, c’est pareil, c’est même pas la moitié du prix. Mais je ne descends vraiment qu’à l’occasion. Je n’y suis pas allé depuis un an.»

La Dépêche du Midi

 

 

plainte-le-comtesse-2-1 dans Attentats

 

 dans Calomnie

 

 

Nouvelles menaces d’attentats islamistes

 

En date du 27 mai 2022, j’avais relayé cette information du 25 mai 2022 concernant un attentat qui venait d’être déjoué en m’interrogeant sur la possibilité que nous soyons confrontés à une nouvelle vague d’actes de terrorisme islamiste, après une période de tranquillité d’environ un an et demi :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/27/terrorisme-islamiste-debut-dune-nouvelle-vague-dattentats-en-france/

Je suis au regret d’annoncer que c’était bien le cas, j’en ai eu confirmation au début du mois et dispose même du calendrier approximatif des attentats, que je ne publierai pas pour éviter d’être ensuite accusée de l’avoir moi-même suggéré.

Isabelle Johanny, vice-procureur du TJ de Brest, tentait de relancer le truc avec ses complices habituels, dont le pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, depuis déjà plusieurs mois. J’avais stoppé la balle à plusieurs reprises mais ne peux quand même pas parer à tout, et donc, c’est bien reparti pour un tour.

Simultanément, je constate depuis deux jours que nous avons encore un crime très étrange auquel le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cinglés ne sont peut-être pas étrangers, puisqu’ils y réagissent publiquement comme ils le font habituellement à propos de crimes dont ils sont eux-mêmes les auteurs. C’est celui dont François Vigouroux a été victime à Ille-sur-Têt, près de Perpignan, manifestement le 26 mai dernier.

Et bien sûr, ce qui s’est passé à Oslo hier ne m’a pas non plus échappé.

Enfin, le chef terroriste Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait bien lui aussi annoncé sur Twitter cette nouvelle série et peut-être même revendiqué l’assassinat de François Vigouroux à Ille-sur-Têt à sa manière – voir liste de messages rapportés ci-dessous; en tout dernier lieu, en date du 2 juin 2022, alors que venait d’être découvert le corps dépecé de François Vigouroux, il se disait coupable et se comparait à un gecko fondant sur sa proie « comme la foudre fulminant dans les lointains »…c’est-à-dire à la manière du verseau…

Je rappelle que sa fête islamiste ne dépend ni de mes écrits publics ni de mes plaintes susceptibles de le concerner, mais uniquement des possibilités qu’il entrevoit d’obtenir des condamnations à mon encontre dans le cadre de procédures pour le moins abusives – oui, c’est ainsi, les criminels organisés qui ont déjà assassiné plusieurs membres de ma famille tiennent absolument à faire condamner leur victime par tous les moyens ou n’importe lequel, sans forcément de relation avec mes écrits publics, comme quoi ceux-ci ne sont vraiment pas des déclencheurs, et d’ailleurs leurs obsessions me concernant lors des attentats des années 1990 étaient déjà à peu près les mêmes, alors que je n’avais strictement aucune expression publique.

C’est pourquoi en dépit de menaces perpétuelles de nouveaux faits graves, je continue à alerter au maximum sur la toile, même si ce n’est pas terrible, mais je n’ai toujours pas trouvé mieux – les autorités officielles, ça ne marche absolument pas.

 

 

Nouvelles menaces d'attentats islamistes dans AC ! Brest 2022%2003%2011%20-%20'Cyprien%20Luraghi%20on%20Twitter_%20_Par%20les%20temps%20qui%20courent%20on%20s'en%20rend%20enfin%20compte%20_%20le%20clavier%20peu_'%20-%20twitter.com

 

 

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 dans Calomnie

 

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Yin

cuy gracioso 3

Aime le potage

Avis du 3 février 2015

Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.

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Avis

Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.

Avis du 24 janvier 2015

Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né. En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées. Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.

Avis du 26 janvier 2015

Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.

Avis du 31 janvier 2015

Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.

Avis du 1er février 2015

Retour de mes statistiques "basiques".

Avis du 3 février 2015

Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.

Avis du 6 février 2015

Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.

Avis du 11 février 2015

Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.

Avis du 26 février 2015

Statistiques "basiques" enfin débloquées !

Avis du 27 février 2015

Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !

Avis du 4 mars 2015

Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.

Avis du 7 mars 2015

Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.

Avis du 25 mars 2015

Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.

Avis du 2 avril 2015

Mes statistiques "basiques" sont de retour.

Avis du 26 avril 2015

Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.

Avis du 28 avril 2015

Statistiques de retour. Merci.

Avis du 7 mai 2015

Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.

Avis du 10 mai 2015

Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".

Avis du 14 mai 2015

Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.

Avis du 3 octobre 2015

Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.

Avis du 5 octobre 2015

Statistiques "avancées" de retour ce soir. Merci.

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