Et concernant les chapitres les plus récents, qui est-ce qui s’y colle ?
Là encore, ça ne manque pas de sel : la haine des ingénieurs, l’assassinat de familles entières d’ingénieurs, surtout quand elles sont issues des fondateurs… d’où l’on déduit, pour le moins, quelques renversements de tendances…
Les francs maçons sont à Brest depuis 1745, un ouvrage raconte leur histoire Réservé aux abonnés
Publié le 30 juillet 2022 à 15h04 Jean-Yves Guengant présente son dernier livre consacré à la franc-maçonnerie maritime. (Le Télégramme/Valérie Gozdik)
Les premiers francs maçons étaient des marins et la première loge brestoise, Heureuse Rencontre, a été créée en 1745. Elle donne son nom au dernier ouvrage que l’historien Jean-Yves Guengant consacre au sujet.
1 La franc-maçonnerie est arrivée à Brest par la mer
Au XVIIIe siècle, Brest est une ville construite autour d’un arsenal. Les carrières maritimes ou militaires sont les seules qui font voyager et les loges se développent sur la façade atlantique. Après la création des loges de Lorient ou Bordeaux, celle de Brest, Heureuse rencontre, s’organise en 1745. Les francs maçons sont loyaux au roi, plus qu’à la religion et ils veulent pratiquer la vertu. Lorsqu’ils voyagent, les officiers de marine souhaitent rencontrer des semblables dans les ports qu’ils visitent. Le passeport maçonnique facilite ces rencontres dans les ports.
2 Les francs maçons, corsaires ou négriers selon les périodes
Beaucoup de Nantais participent au banquet d’inauguration de la loge brestoise car leurs bateaux sont dans le port. Certains sont des corsaires du roi et en dehors des guerres, ils reprennent leurs activités maritimes habituelles comme la traite des esclaves. Le 15 mai 1768, l’Étourdie part de Brest pour rejoindre Saint-Domingue afin d’y embarquer une cargaison humaine. L’expédition sera un désastre. Dès 1823, les esprits ont évolué et les maçons brestois sont les premiers à défendre des hommes de couleur aux Antilles qui doivent être envoyés au bagne après une révolte.
Le comte de La Pérouse, franc maçon initié à l’Heureuse rencontre a été très actif dans sa loge. C’est là qu’il se lie sans doute à Fleuriot de Langle, un frère, qui sera son second de sa fameuse et fatale expédition. Après une longue carrière militaire en France, Jacques Boux, retourne à son premier métier d’architecte naval et conçoit le premier navire de la marine américaine. Choderlos de Laclos, secrétaire de la loge des élus de Sully (qui doit s’installer à Brest) ne vient pas immédiatement car il doit terminer son roman Les liaisons dangereuses. Les amis de Sully sont les descendants de cette loge toujours active à Brest.
Jean-Yves Guengant, ancien professeur d’histoire et actuel proviseur du lycée de l’Iroise, publie son premier livre, un véritable fonds d’archives sur Brest et ses francs-maçons, aux éditions Armeline.
Jean-Yves Guengant, ancien professeur d’histoire et actuel proviseur du lycée de l’Iroise, publie son premier livre, un véritable fonds d’archives sur Brest et ses francs-maçons, aux éditions Armeline. Il était présent à la librairie Dialogues, le 11 juin. L’historien de formation a voulu décomplexer les Brestois sur leur histoire en leur offrant un point de vue unique sur le passé de la ville. « Ce n’est pas seulement une ville de guerre ou du bout du monde. Brest est aussi un lieu de frontières, ouvert sur le monde depuis des siècles ». C’est en voulant aider un ami à sauvegarder les archives des « Amis de Sully » que Jean-Yves Guengant a débuté ses recherches sur la franc-maçonnerie. Pour l’auteur, il était important de souligner « l’aspect durable de la confrérie, à travers toutes les époques et tous les milieux, grâce aux valeurs de fraternité et de solidarité qui ont, par exemple, permis de créer des écoles ou attribuer des bourses aux jeunes filles… ».
Des parcours étonnants
Dans son livre, Jean-Yves Guengant dresse la liste des francs-maçons qui se sont distingués par leurs ambitions ou leur esprit libertaire : « Bougainville (le navigateur du XVIII e ), entre autres, s’est démarqué du groupe par son parcours étonnant, tout comme le général de Trobriand, héros de la guerre de Sécession ». L’auteur présente ainsi les parcours atypiques de ces francs-maçons qui ont « participé à l’Histoire politique et sociale de la ville ». Le livre « Brest et la franc-maçonnerie » contient, par ailleurs, de nombreux documents jamais publiés auparavant.
Franc-maçonnerie. La Bretagne aux premières loges Réservé aux abonnés
Publié le 17 novembre 2019 à 08h59 Modifié le 17 novembre 2019 à 09h00 Maîtresse du roi d’Angleterre, la jolie aristocrate bretonne, Louise de Keroual, avec qui elle aura un fils, est très proche des milieux francs-maçons. Ses descendants figurent d’ailleurs parmi les hauts grades de la franc-maçonnerie britannique. (Photo Arnaud d’Apremont )
Née officiellement en 1717, la franc-maçonnerie puise dans des racines plus anciennes et notamment dans l’histoire politique des îles Britanniques, entre partisans des Stuart ou des princes protestants, histoire à laquelle la Bretagne a fortement été liée.
Depuis la création officielle d’une première loge, à Londres, en 1717, la franc-maçonnerie a suscité bien des questions, voire des fantasmes. « La franc-maçonnerie est universelle », proclame le rituel de ce mouvement spirituel au fonctionnement parfois secret, qui s’est ensuite développé dans plusieurs pays et s’est divisé en de nombreuses branches aux conceptions parfois très opposées. Ainsi, si la franc-maçonnerie en France a été, à l’époque contemporaine, plutôt associée à une défense sourcilleuse de la laïcité, dans les pays anglo-saxons, elle est étroitement liée au christianisme.
Origines britanniques
Plusieurs historiens ont également mis en évidence que la franc-maçonnerie, née dans les îles Britanniques, s’est rapidement implantée en Bretagne, particulièrement dans les ports, où résidaient des personnes originaires des îles Britanniques depuis le Moyen Âge. Si les francs-maçons se réfèrent volontiers à Hiram, architecte du temple de Salomon, l’origine de leur mouvement se situe plutôt dans l’Angleterre et l’Écosse de la Renaissance. La franc-maçonnerie semble, en effet, se rattacher aux mouvements de tolérance religieuse et politique qui se développent dans l’Europe médiévale et utilisent, pour se dissimuler et éviter les persécutions, des symboles et des allégories. Ils recrutent notamment chez les bâtisseurs de cathédrales et d’églises, organisés en puissantes corporations.
Si l’une des premières mentions de « free massons » remonte à 1356 en Angleterre, on en retrouve également de multiples traces dans l’Écosse des XVIe et XVIIe siècles. Les Stuart, qui règnent sur le pays, et qui monteront sur le trône d’Angleterre, oscillent, en effet, entre catholicisme et protestantisme. Leurs partisans dans les îles Britanniques comptent de nombreux francs-maçons qui se cachent notamment des protestants les plus radicaux.
Les jacobites bretons
En 1690, les Stuart sont définitivement chassés du trône par Guillaume d’Orange. Nombre de leurs partisans, particulièrement en Irlande et en Écosse, quittent les îles Britanniques. Plusieurs milliers d’entre eux s’installent ainsi en Bretagne. Baptisés « jacobites », ils rejoignent leurs compatriotes qui ont fait souche lors d’une première vague en 1644, après la défaite des Stuart face à Cromwell. En 1660, Charles II Stuart remonte sur le trône. Il a notamment le soutien de Louis XIV qui lui envoie une jolie aristocrate bretonne, Louise de Keroual. Maîtresse du roi d’Angleterre, auquel elle donnera un fils, elle est très proche des milieux francs-maçons. Ses descendants figurent d’ailleurs parmi les hauts grades de la franc-maçonnerie britannique.
En Bretagne et en France, les partisans des Stuart créent les premières loges. Elles puisent ainsi dans les régiments irlandais et écossais au service du roi de France. Ils suivent un rite dit « écossais ». À l’inverse, ceux de Guillaume d’Orange puis de la dynastie des Hanovre en Grande-Bretagne forment la grande loge unie d’Angleterre. En 1738, en réaction, le pape Clément XII signe une première bulle contre la franc-maçonnerie, du moins dans sa dimension « anglaise » et donc protestante. Le Vatican soutient en revanche les Stuart, dont beaucoup de francs-maçons exilés à Rome. En 1746, la défaite des Écossais à Culloden, condamne les espoirs des Stuart. Leur chef, Bonnie Prince Charlie, est récupéré par des navires partis de Bretagne.
(Photo Arnaud d’Appremont )
Jésuites et officiers de Marine
Outre les jacobites, certains historiens envisagent une autre filiation aux francs-maçons bretons, celle singulière des Jésuites. Arnaud d’Apremont remarque ainsi que de nombreux maçons bretons, au XVIIIe siècle, ont été formés dans les collèges jésuites, particulièrement celui de Quimper. Ces établissements prônent, en effet, une pédagogie basée sur la libre-pensée. Il voit aussi des similitudes méthodologiques dans l’emploi des symboles entre les pères Le Nobletz et Maunoir dans leurs fameux tableaux de mission, les taolennoù, et les premiers tableaux maçonniques.
Officiellement les premières loges bretonnes naissent dans les ports bretons et à Rennes, tout au long du XVIIIe, comme en 1744, l’Union à Lorient, en 1745, l’Heureuse rencontre à Brest, en 1746, la Noble amitié à Morlaix. En 1763, le plus célèbre maçon de Quimper est Elie Freron, adversaire acharné de Voltaire. En 1767, on ne compte pas moins de dix-neuf loges en Bretagne où elles jouent parfois un rôle non négligeable. Les maçons recrutent en masse chez les officiers de Marine, que ce soit dans la Royale ou dans la compagnie des Indes. Avant la Révolution, ces premiers maçons bretons se font les diffuseurs des idées des Lumière, ce qui ne les empêche pas, souvent, de s’opposer à un certain centralisme des grandes loges françaises vers Paris.
Nombre des députés bretons qui rejoignent les États généraux du royaume en 1789, sont des francs-maçons. Ils se réunissent au café Amaury, à Versailles. Leur « club breton » sera pourtant paradoxalement à l’origine de celui des Jacobins, artisan de l’abrogation des privilèges le 4 août 1789, mais aussi des droits et constitutions des provinces, anticipant le virage centralisateur de la Révolution.
Pour en savoir plus
Arnaud d’Apremont, « Le compas et l’hermine, un regard sur la franc-maçonnerie aujourd’hui en Bretagne », Coop Breizh, 2019.François Labbé, « Les débuts de la franc-maçonnerie en Bretagne », Centre d’histoire de Bretagne, Porspoder, 2017.
Encore un qui ne dira plus rien et ne trahira pas l’immonde salope Josette Brenterch du NPA de Brest s’il n’a pas pris ses précautions avant de partir.
C’est quand même un peu gênant, tous ces décès prématurés de complices de cette criminelle, non ?
On compte déjà au moins trois magistrats entre 2015 et 2019, tous les trois bien avant la retraite, ainsi que les deux principaux acteurs de l’affaire « Vivre à Brest », Alain Masson le 4 novembre 2020 à 66 ans quelques jours après avoir été admis à l’hôpital, et maintenant Jean-Luc Polard, 71 ans, des suites d’une longue maladie, le premier ayant, de mon point de vue, vraisemblablement été corrompu par le second, eu égard à ses pouvoirs occultes de grand maître maçon (Grand Orient de France) – sait-on seulement ce qu’il a fait de l’argent ? a-t-il tout gardé pour lui, ou en a-t-il redistribué une partie, par exemple à quelques fonctionnaires de l’ordre judiciaire, ou bien encore à d’autres décideurs ?
Mis en examen dans l’affaire Vivre à Brest, l’ancien élu PS Jean-Luc Polard est décédé Réservé aux abonnés
Publié le 29 juillet 2022 à 15h17
Depuis quatre ans, Jean-Luc Polard avait quitté la vie politique suite à l’affaire Vivre à Brest. (Le Télégramme/Le Télégramme)
Ancienne figure du PS Brestois, mis en cause dans l‘affaire Vivre à Brest, Jean-Luc Polard est décédé ce vendredi 29 juillet 2022, à l’âge de 71 ans.
Quatre ans après son retrait de la vie politique brestoise, Jean-Luc Polard, 71 ans, est décédé, ce vendredi 29 juillet 2022, des suites d’une longue maladie. Ex-membre de la garde rapprochée du maire et président de la métropole François Cuillandre, le Landernéen, élu socialiste depuis 1989, aura occupé des postes clés au fil de deux décennies d’action publique : adjoint aux finances, à la cohésion sociale, vice-président de l’agglomération en charge des services à la population… De 1995 à 2001, le petit homme à la fine moustache aura aussi présidé la Sopab, devenue aujourd’hui Brest’aim.
Un itinéraire riche qui s‘est achevé brutalement en 2018, suite à l’affaire Vivre à Brest.
Réputé pour son humour, qu’il utilisait souvent pour déminer des situations périlleuses, Jean-Luc Polard avait posé ses valises à Bellevue, il y a près d’un demi-siècle. Un quartier qu’il ne quittera plus. Militant CFDT dès 1972, il avait adhéré en 1974 au Parti socialiste, dont il aura été le secrétaire du comité de ville de 1985 à 1989.
Comme Alain Masson, c’est par un simple communiqué que Jean-Luc Polard avait fait connaître son retrait de la vie politique, en plein scandale. « J’ai consacré une grande partie de ma vie à défendre les intérêts de ce territoire, c’est avec regret et tristesse que je quitte mes fonctions », écrivait-il. À l’époque, il se disait n’avoir « aucunement perçu d’indemnités au-delà de celles qui (lui) étaient dues. Bien au contraire, dans notre objectif de mutualisation entre élus, je percevais bien moins que le montant des indemnités prévues par la loi ». Il expliquait « démissionner » pour » pouvoir (se) défendre librement » et « pour que l’équipe municipale puisse continuer à mener efficacement son travail ».
Malade, Jean-Luc Polard s’est éteint avant la tenue d’un éventuel procès.
Décès de Jean-Luc Polard : François Cuillandre, maire de Brest, salue un « travailleur acharné »
Publié le 29 juillet 2022 à 16h12
François Cuillandre, le maire de Brest, salue la mémoire de Jean-Luc Polard, « un homme de gauche aux fortes convictions ». (Photo Archives/Le Télégramme)
François Cuillandre réagit au décès de son ancien adjoint, Jean-Luc Polard, disparu ce vendredi 29 juillet 2022.
François Cuillandre, le maire de Brest et président de Brest Métropole réagit au décès de Jean-Luc Polard, qui fût l’un de ses plus proches alliés. « La nouvelle du décès prématuré de Jean-Luc Polard m’attriste profondément. Homme de gauche aux fortes convictions, connu de beaucoup pour ses engagements et son dévouement, durant de longues années, au service des autres, il a donné son énergie aux Brestoises et aux Brestois et aux habitants de la métropole, sans compter ses heures. Travailleur acharné, il a contribué à remettre sur les rails le dossier des Halles Saint-Louis. Il est aussi celui qui est à l’origine des assises du commerce. Investi pour le département, il a également présidé le conseil d’administration de Sotraval durant de nombreuses années. J’adresse à sa famille et à ses proches mes plus sincères condoléances ».
Décès de Jean-Luc Polard : Kévin Faure retient « la détermination et l’engagement »
Publié le 29 juillet 2022 à 16h53
(Photo Archives Le Télégramme/Eugene Le Droff)
Kévin Faure, conseiller départemental du canton de Brest-1, réagit au décès de Jean-Luc Polard, ancien élu PS brestois, ce vendredi 29 juillet.
Kévin Faure, conseiller départemental du canton de Brest-1, réagit au décès de Jean-Luc Polard, ancien élu PS de la ville de Brest et de Brest métropole. « C’est avec tristesse que j’apprends la disparition de Jean-Luc Polard ce vendredi 29 juillet. Militant socialiste engagé dans la vie locale, Jean-Luc aura exercé plusieurs mandats locaux au service des Brestoises et des Brestois mais également en tant que conseiller général du canton de Bellevue. Il aura donc œuvré au service du plus grand nombre, à Brest, à Quimper, avec engagement et détermination et souvent avec humour. Une génération nous séparait mais j’ai souvenir de ses anecdotes et son soutien lors des élections départementales de 2015 avec Franck Respriget, Bernadette Abiven, Sylvie Jestin et les camarades socialistes engagés dans la campagne. Jean-Luc aimait ce temps des campagnes pour le débat d’idées qu’elles provoquaient et menait son action publique avec comme seule boussole : ses valeurs socialistes. Je salue aujourd’hui son action assurément tournée vers l’intérêt collectif dans ses mandats exercés, et j’adresse à sa famille et à ceux qui lui étaient proches mes sincères condoléances ».
Brest : Jean-Luc Polard, « un homme délicieux » selon le maire de Gouesnou Réservé aux abonnés
Publié le 29 juillet 2022 à 18h28
« Il est regrettable que cette affaire (Vivre à Brest, NDLR) ait totalement éclipsé son action pour la Ville de Brest et la Métropole car il n’aurait pas démérité de suivre un destin national » réagit le maire de Gouesnou, Stéphane Roudaut, à l’annonce du décès de l’ex-élu PS brestois Jean-Luc Polard.
Stéphane Roudaut, maire de Gouesnou, rend hommage à Jean-Luc Polard, « adversaire politique » mais « homme délicieux », qui ne mérite pas d’être résumé à la seule affaire « Vivre à Brest », estime l’élu.
« C’est avec tristesse et une certaine amertume que j’ai appris ce vendredi la disparition de Jean-Luc Polard des suites d’une longue maladie. Brest et la Métropole perdent un personnage incontournable, une figure, et je n’ai pas de mots pour vous dire combien j’appréciais l’homme, son humour, et débattre avec lui », a réagit dans un communiqué Stéphane Roudaut, maire de Gouesnou. « Je sais qu’il traversait une période difficile après avoir tant donné pour son territoire. Et il est regrettable que cette affaire (Vivre à Brest, NDLR) ait totalement éclipsé son action pour la Ville de Brest et la Métropole car il n’aurait pas démérité de suivre un destin national », poursuit le 1er vice-président de Brest métropole.
« Je retiens donc de Jean-Luc Polard ces dix années à nous côtoyer, d’abord en adversaires. Nous avions de vraies divergences, une vision parfois opposée des choses. Lui était socialiste et moi chiraquien. Et il faut dire que je le trouvais parfois pétri de certitudes ! Mais les désaccords d’un jour n’ébranlaient en rien le respect et la confiance que nous nous portions. Et je me souviens de ces années – jeune élu – où il venait sans « paternalisme » ni aucune once d’arrogance apporter son expérience, sa connaissance fine du territoire et son conseil ».
« L’homme des dossiers »
« J’aimais déjeuner avec lui, j’aimais prendre un verre avec lui, j’aimais sa compagnie tout simplement, poursuit Stéphane Roudaut. Il connaissait une partie de mon histoire familiale en écho à ses confidences sur la sienne et sa jeunesse landernéenne.
Jean-Luc Polard était un homme délicieux, à l’humour décapant, mais c’était également « l’homme » des dossiers difficiles. Sans doute son image a pu en pâtir, et quelque part, je trouve cela injuste. Il était enfin un de mes prédécesseurs à Brest’aim, du temps où elle s’appelait SOPAB, et je crois pouvoir dire qu’il a été un bon président.
Assurément, je suis triste aujourd’hui et j’adresse toutes mes pensées les plus sincères à ses proches », termine le président de Brest’aim.
Décès de Jean-Luc Polard à Brest : « Un élu compétent et engagé » pour les élus du Gica
Publié le 30 juillet 2022 à 10h11
Ancien élu PS à la ville et à la métropole, Jean-Luc Polard est décédé le vendredi 29 juillet. (Photo d’archives Le Télégramme)
Les maires du groupe d’élus du Gica à Brest Métropole ont réagi, ce vendredi 29 juillet, au décès de l’ancien élu PS, Jean-Luc Polard.
Les six maires du groupe d’élus du Gica, de la métropole brestoise, ont réagi, vendredi 29 juillet dans la soirée, au décès de Jean-Luc Polard, ancien élu PS à Brest. ?« Jean-Luc Polard fut un élu impliqué fortement pour son territoire. Parfois un opposant politique farouche, toujours un élu compétent et engagé, et une personnalité pleine d’humour et de finesse. Jean-Luc était une personne qui aimait Brest et sa région, toujours humble et respectueux des élus et des agents. La fin de sa vie fut difficile et pas méritée. Repose en paix, Jean-Luc… ». Un message exprimé par Dominique Cap, maire de Plougastel-Daoulas et président de l’association des maires du Finistère ; Pierre Ogor, maire de Guilers ; Yves du Buit, maire de Plouzané ; Stéphane Roudaut, maire de Gouesnou ; Armel Gourvil, maire de Bohars ; et Fabrice Jacob, maire de Guipavas.
Commençons par l’Indien, un de mes plus vieux lecteurs. Il a pour habitude de venir applaudir à chaque fois qu’il pense que j’ai fait un carton. Cette fois-ci, les 7 et 8 juillet, donc très probablement pour mes publications des 4 et 7 juillet sur John Edward Robinson et la fille dans le cercueil :
J’ai eu aussi une visite de Google le 5 juin à 11:37:32, très probablement à la suite d’une nouvelle demande de suppression de mon blog – aucune n’a jamais produit effet.
Notons que je n’ai actuellement plus aucun lecteur russe, alors que j’en ai eu de manière assez régulière par le passé, notamment à l’époque des raids aériens russes en Syrie.
Aujourd’hui, ce sont les Américains qui interviennent en Syrie en cas de menace d’attentat (voir article ci-dessous).
Et l’autre article consulté par mon lecteur pakistanais, le 21 juillet, est donc celui-ci, se référant à une série de clics provenant de Chicago, le 4 mars 2020 :
Enfin, durant ces deux derniers mois, j’ai eu aussi quelques visites en provenance d’Indonésie et des Philippines que je vous laisse découvrir ci-dessous :
Le chef du groupe Etat islamique en Syrie tué par une frappe de drone, selon le Pentagone
Selon l’armée américaine, Maher Al-Agal était notamment chargé de développer les réseaux de l’EI en dehors d’Irak et de Syrie.
Le Monde avec AP, AFP et Reuters
Publié le 12 juillet 2022 à 17h31 – Mis à jour le 12 juillet 2022 à 21h59Temps de Lecture 1 min.
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Il existe peu d’informations sur lui, mais il est présenté comme « l’un des cinq plus hauts dirigeants » de l’Etat islamique (EI). Maher Al-Agal, le chef du groupe EI en Syrie, a été tué mardi 12 juillet dans une frappe de drone américaine dans le nord-ouest du pays, a annoncé le commandement central du Pentagone (Centcom) dans un communiqué.
U.S. Central Command Forces conducted a UAS strike outside Jindayris, northwest Syria targeting two senior ISIS off… https://t.co/aX3PkLYeu4
— CENTCOM (@U.S. Central Command)
Maher Al-Agal a été tué alors qu’il roulait à moto près de la ville de Jandairis, dans le nord-ouest de la Syrie, et son plus proche conseiller a été « gravement blessé », a précisé le Centcom dans un communiqué. Le Pentagone affirme qu’il n’y a pas eu de victimes civiles, même si l’information n’est pas vérifiée.
Maher Al-Agal était « chargé de poursuivre de façon agressive le développement des réseaux de l’EI hors d’Irak et de Syrie », et « l’élimination de ces dirigeants de l’EI va perturber les capacités de l’organisation terroriste à préparer et perpétrer des attentats dans le monde », a affirmé le porte-parole du Centcom, le colonel Joe Buccino.
Le président américain, Joe Biden, s’est félicité dans un communiqué du succès de l’opération qui « élimine un terroriste-clé » et « affaiblit de façon considérable la capacité de l’EI de préparer, financer et conduire ses opérations dans la région ».
L’EI repoussé par deux offensives successives
L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG disposant d’un vaste réseau de sources en Syrie, a confirmé la mort de Maher Al-Agal, présenté par l’OSDH comme « le gouverneur pour le Levant » de l’organisation djihadiste, dans une frappe de drone. Les Forces démocratiques syriennes, alliance de combattants kurdes et arabes soutenue par Washington, ont pour leur part annoncé qu’une personne avait été tuée et une autre blessée dans une frappe aérienne visant une moto dans la région d’Alep, sans identifier les victimes.
Après une montée en puissance fulgurante, en 2014, en Irak et en Syrie voisine et la conquête de vastes territoires, l’EI a vu son « califat » autoproclamé être renversé sous le coup d’offensives successives dans ces deux pays, respectivement en 2017 et 2019.
En février, le président américain, Joe Biden, avait annoncé la mort de l’ancien dirigeant de l’EI, Abou Ibrahim Al-Hachimi Al-Qourachi, qui s’est fait exploser au cours d’une opération des forces spéciales américaines dans le nord-ouest de la Syrie, région sous contrôle de djihadistes. Abou Bakr Al-Baghdadi, chef et fondateur de l’organisation Etat islamique avait été tué en octobre 2019, dans un raid des forces spéciales américaines.
Personnellement, je ne peux pas comprendre que police et justice acceptent d’être « aidées » dans une enquête criminelle ou autre par des gens qui à cet effet commettent des infractions pénales (en l’occurrence, et pour le moins, des piratages informatiques, puisqu’il y a eu aussi violation du secret de l’instruction) et pourraient en être eux-mêmes les coupables ou de leurs complices.
Je rappelle que le cybercriminel, psychopathe et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours revendiqué depuis 2008 au moins le droit de violer l’intimité de la vie privée de ses cibles par piratages informatiques et écoutes illégales pour « se documenter » sur des personnes bien réelles afin d’en faire les « personnages » de ses « romans ». Il affirme que cette activité illégale qu’il pratique depuis de nombreuses années à l’encontre de nombreuses personnes relèverait de son « droit d’auteur ». Contrairement à d’autres, dit-il, il est incapable de faire oeuvre de fiction, il ne sait que raconter, et son « métier » d’ « écrivain » l’obligerait à écrire, pas seulement sur les personnes de son entourage, dont la vie n’intéresse pas grand monde hors le cas de sa soeur qu’il a exploité dans le cadre d’un « polar » de la collection Le Poulpe des éditions Baleine (et qui se plaint d’ailleurs comme toutes ses autres victimes d’être calomniée par son frère qui n’en a pas dressé un portrait exact mais a fait en sorte d’anéantir par avance toutes ses velléités de plaintes à raison de ses exactions, graves, contre ses filles et elle-même), mais également sur des personnes qu’il ne connaît pas, n’a jamais croisées nulle part dans la « vraie vie », et dont les « biographies » entièrement refaites par ses soins et autres « révélations » publiques les concernant pourraient de son point de vue s’avérer vendeuses, comme dans mon cas, testé avec sa « série de l’été 2010 » sur son blog Tique Toc, qui avait connu un bien plus gros succès que toutes ses précédentes publications, du fait de toutes ses « révélations » concernant ma vie privée, consistant en fait en l’affichage de mon nom et de mes coordonnées avec une montagne d’inventions calomnieuses à mon encontre et moult menaces de mort ou de viol ainsi que de récurrents appels au meurtre et au viol.
Je rappelle aussi au passage que les magistrats brestois (corrompus) qui ont décidé de blanchir complètement ce malade mental et tous ses complices pour toutes leurs exactions à mon encontre ont bien eu à compter de l’année 2010 tous ces textes sous les yeux, et bien d’autres encore, avec également des preuves formelles de leurs piratages informatiques à mon encontre…
Mais ils le suivent en toutes ses élucubrations délirantes, non seulement en ce qui me concerne, mais également en matière législative sur Internet. Or, bien avant de devenir comme ses amis et complices Jean-Marc Donnadieu et autres pirate informatique, il a été technicien de radios pirates qui par la suite ont été légalisées et voit les choses exactement de la même manière concernant tous ses viols de l’intimité de la vie privée des uns et des autres : lui en a besoin pour vivre (en l’occurrence, pour pouvoir écrire des « bouquins »), donc c’est normal et il n’est pas normal que ce soit interdit, et un jour ce sera légal. Même chose, d’ailleurs, pour le commerce et la consommation de drogues comme le cannabis, il soutient tous ceux qui en demandent la légalisation, car ce sont eux qui ne voient aucun mal dans sa principale activité lucrative depuis toujours ou presque, la tolèrent, y participent pour certains, et en tous les cas ne le dénoncent pas. Et même chose encore concernant la pédophilie et toutes les activités qui s’y rapportent : recherche et trafic d’enfants au Népal ou ailleurs, production d’images pédopornographiques, traque acharnée des antipédos sur la toile comme dans la « vraie vie », assassinat de divers témoins et autres gêneurs, etc…
Tout ce qui fait sa vie de hors-la-loi depuis qu’à l’âge de 14 ans il a quitté l’école et sa famille devrait être légalisé, car ce n’est pas mal, c’est bien, c’est normal, c’est ce qui le fait vivre et il ne serait pas normal qu’il aille en prison pour cela – il est mentalement tellement atteint qu’il ne mesure même pas qu’une fois légalisées toutes ses activités lucratives, il n’y aurait plus sa place, n’étant lui-même qu’un sociopathe…
En outre, en ce qui me concerne, on ne sait comment ni pourquoi, il s’était mis en tête qu’il ferait tomber Nicolas Sarkozy en m’attaquant, et tous ceux qui le suivaient et/ou toléraient toutes ses exactions contre divers internautes, notamment d’anonymes commentateurs du site Rue89 à compter de 2008, louaient également celles-ci comme relevant d’une militance extrême-gauchiste et prétendument antifasciste.
A lire ou à relire sur les cyberharcèlements organisés par le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre divers riverains du site Rue89, dès son arrivée sur ce site en 2008 :
Enfin, toujours en ce qui me concerne, circulait réellement chez les cybercriminels de la bande de ce hors-la-loi de longue date l’idée que j’aurais été un agent de l’Etat infiltré parmi ces valeureux militants de l’extrême-gauche s’affichant tous comme des héros de la lutte en faveur des sans-papiers.
Dès le départ, en 2008, il y a parmi eux des membres de la famille ou de l’entourage de l’ancien caïd marseillais Farid Berrahma.
Et à compter du printemps 2010, il y aura aussi un membre de la famille des Cuntrera-Caruana.
Donc, si je suis bien harcelée par les mêmes cybercriminels qui vont se jeter sur l’affaire Dupont de Ligonnès dès qu’elle éclate au mois d’avril 2011, comme s’ils n’y étaient pas totalement étrangers, et il semble bien que ce soit le cas au moins pour certains d’entre eux, les contenus de la lettre « Coucou tout le monde » du 8 avril 2011 ne sont peut-être pas aussi farfelus qu’ils n’en ont l’air de prime abord, puisqu’on y retrouve bien des éléments tout à fait réels de mon affaire, lesquels pourraient d’ailleurs, tout simplement, avoir inspiré Xavier Dupont de Ligonnès pour justifier auprès de ses proches la disparition subite de toute sa famille, si d’une manière ou d’une autre il a suivi ce qui se passait sur Internet me concernant, sinon depuis 2008, au moins depuis le printemps ou l’été 2010.
Je rappelle ici que Jean-Marc Donnadieu de Béziers a commencé à m’attaquer sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur la plateforme OverBlog au mois d’avril 2010 sur ordre de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi avec un programme assez simple répondant au même schéma que celui des harcèlements précédents de toute la bande sur les sites Rue89 puis Le Post : me harceler jusqu’à m’obliger à me défendre contre leurs agressions quotidiennes et multiformes, et dès la première réplique de ma part, en appeler à l’autorité pour me faire sanctionner, soit par la suppression de tous mes écrits publics et mon interdiction de toute nouvelle expression publique, soit par des poursuites et condamnations pénales faisant l’impasse sur l’ensemble des harcèlements dont je suis moi-même victime de leur part, bien avant d’être amenée à y répondre, et encore après – il s’agit alors d’escroquerie au jugement.
D’autres personnes ont été harcelées de même par cette bande, mais sans doute pas autant.
Les mêmes harceleurs se sont aussi toujours attaqués à tous ceux qui pouvaient les déranger dans leurs entreprises criminelles à mon encontre : des tiers tentant de les modérer, parfois des leurs estimant qu’ils allaient beaucoup trop loin et qui ne voulaient plus les suivre, également des gens qui pouvaient me connaître et leur faire savoir que tout ce qu’ils racontaient ou répétaient à mon sujet était entièrement faux.
Le chef de bande Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours pratiqué le chantage contre les uns et les autres, les menaçant pour la plupart de leur faire subir le même sort qu’à moi, un genre de « pilori » internétique ultra-violent notamment alimenté par les produits de ses piratages informatiques.
Toujours la même erreur d’aiguillage façon boomerang dans le peu de cerveau qui lui reste après plusieurs décennies de toxicomanie et d’alcoolisme invétéré…
« Tu connais un peu mon histoire, donc tu sais tout le mal que je pense de la liberté d’expression des ordures et autres psychos craignos. »
Oh la, oui, on la connaît, son histoire, c’est celle d’un type qui se prend pour un écrivain de génie (un « génie littéraire », pas moins) et s’est mis à écrire dans les colonnes de commentaires du site Rue89 en 2008 dans le but de s’y faire reconnaître comme tel.
Très vite, il se met à injurier tous ceux qui refusent de reconnaître son « génie littéraire » ou ne le remarquent même pas, à l’instar des journalistes du site eux-mêmes qui ont pour manie de valoriser dans leurs sélections de commentaires ceux de gens comme moi, qui non seulement écrivent mieux lui sans jamais injurier ni diffamer qui que ce soit mais de plus font des commentaires intéressants ou pertinents sur les sujets proposés quand lui est constamment hors sujet avec toutes ses débilités, ses papotages et radotages personnels qui n’intéressent personne ou, pire encore, ses attaques perpétuelles contre les uns ou les autres, ceux qu’ils jalousent et appellent les « premiers de la classe » du fait que leurs commentaires sont fréquemment sélectionnés, et pas les siens, ceux qui n’apprécient pas sa prose et encore moins toutes ses attaques contre les autres intervenants, ceux qui ne la remarquent même pas comme moi avant qu’il ne commence à m’attaquer, ou bien encore ceux qui tiennent des propos ou fournissent des témoignages non conformes aux idéologies extrême-gauchistes qu’il défend par opportunisme ou cirage de bottes – il est très lèche-cul, en fait, il le fait constamment pour s’attirer les bonnes grâces de tous ceux dont il attend de l’aide pour parvenir à ses buts ultimes, c’est-à-dire être enfin reconnu comme un « génie littéraire » et obtenir tout ce qui va avec : gloire et richesse.
Dès 2008, il instaure le « pilori » internétique pour tous ces gens-là tout en réclamant constamment leur interdiction de toute expression publique, d’abord sur le site Rue89 où il les rencontre à compter de 2008 et harcèle aussi les journalistes modérateurs jusqu’à en obtenir la suppression des commentaires et leurs bannissements respectifs, puis bien au-delà, sur tous les autres sites où ils tentent de s’exprimer et où il continue à les traquer quels que soient les pseudonymes qu’ils utilisent.
Mais comment fait-il pour toujours savoir sous quels pseudonymes écrivent ses cibles et sur quels sites ?
Ses victimes vont-elles gentiment les lui fournir d’elles-mêmes pour qu’il puisse continuer à les harceler ?
Bien sûr que non, il les pirate pour ne jamais rien rater de leurs productions sur Internet.
Ah voilà, il ne peut pas du tout s’en empêcher, il revient très régulièrement sur tous ses exploits des années 2008 et suivantes, toujours avec les mêmes mensonges.
Concernant l’ancien riverain de Rue89 qui utilisait le pseudonyme de Pierrrrre dit P5R, et qui effectivement faisait partie de ses têtes de turc, il ne s’est jamais rendu compte qu’il était bien ce qu’il disait en le lisant, mais en le violant, comme pour tous les autres : piratages informatiques, écoutes illégales, et pas seulement téléphoniques, puisque qu’il sonorise aussi les domiciles de ses cibles.
Il y en a même une dont il était tombé en amour en la violant comme tous les autres 24h sur 24, celle-là en raison de ses interventions récurrentes sur le conflit Israël-Palestine, toujours à l’opposé de celles de son groupe d’extrême-gauchistes pro-palestiniens.
Du coup, il avait cessé de la harceler tandis que ses amis « déconnologues » continuaient à lui tomber dessus à bras raccourcis à chacune de ses apparitions sur le site Rue89.
Il faut bien comprendre que ce taré n’est ni un intellectuel ni un idéologue de l’extrême-gauche. C’est juste un opportuniste qui cherche à tout prix et par tous les moyens de se faire reconnaître comme « écrivain » et sait qu’il n’a strictement aucune chance d’y parvenir auprès de gens un minimum éduqués et instruits. Voilà pourquoi il joue habituellement la carte rouge de l’extrême-gauche qu’il brandit partout autant comme une espèce de laisser-passer ou de passeport diplomatique que pour obtenir des ralliements à sa cause très personnelle… sans jamais craindre de retourner sa veste en cas de besoin…
Je sais depuis son irruption dans les médias au mois d’avril 2011 qu’il existe un rapport entre cette affaire et la mienne, sans pouvoir être très précise à ce sujet. Cependant, comme j’ai eu l’occasion de l’exposer à plusieurs reprises, est déjà extrêmement troublant le fait que mes harceleurs s’intéressent de très près à cette affaire, beaucoup trop, anormalement, en commettant même de tels abus que certains ont été sanctionnés par la justice (cf. ci-dessous la liste des articles de ce blog où le nom de Ligonnès apparaît, sans qu’ils lui soient tous consacrés).
Je rappelle notamment que les victimes des cybercriminels de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, traquées sur toute la toile par ce malade et tous ses complices depuis qu’elles ont croisé leur route sur le site Rue89 en 2008, ont été harcelées par un inconnu ou un anonyme de cette bande de malfrats signant « La Vérité », tout comme le hacker dit « Christophe La Vérité », lequel s’est illustré à la même époque par ses recherches de traces laissées sur Internet par Xavier Dupont de Ligonnès et sa femme sur des sites de discussion où l’un et l’autre se confiaient sur leur vie privée, intime.
Le malade mental et néanmoins cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait d’ailleurs lui-même participé à cette traque de leurs confidences publiques sous divers pseudonymes et publié tout un article à ce sujet, mettant en exergue le fait religieux, pour lequel il affirmait XDDL malade mental, tout comme il l’a toujours fait également pour Patricia Bouchon en raison de sa fréquentation passée d’un groupe d’évangéliques – une femme qu’il avait fait assassiner au mois de février 2011 à Bouloc près de Toulouse car il la soupçonnait de pouvoir ou de vouloir le dénoncer aux autorités judiciaires pour toutes ses exactions à mon encontre.
Ces cybercriminels auraient bien pu aussi faire quelques recherches sur les différents sites dont XDDL était lui-même l’auteur dans le cadre de ses activités commerciales à la limite de l’escroquerie ou carrément qualifiées d’ « arnaques » par certains, ainsi que sur lesdites activités de XDDL, mais non, seule sa vie privée réduite à son mysticisme avéré semble les avoir jamais intéressés.
Or, d’une part, le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi a pour habitude d’écrire sur ses victimes, et d’autre part, son complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers se positionnait comme auto-entrepreneur sur le même secteur de services que XDDL avec un site à destination des commerçants de Béziers – en aurait-il été concurrent, partenaire ou collaborateur ?
Notons que le hacker « Chris La Vérité » lui-même était également auto-entrepreneur dans le domaine du web et a par ailleurs donné en 2012 une interview aux Inrockuptibles, magazine auquel collaborait depuis fin 2009 Arnaud Aubron, l’un des fondateurs de Rue89, où tout commence en 2008. A cette occasion, il avait révélé que ce sont en fait une quarantaine de personnes qui avec lui avaient épluché et piraté des sites Internet pour en apprendre plus sur XDDL, ce qui correspond à peu près au contingent de violeurs qu’en cette année 2011 je voyais régulièrement arriver sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en provenance du blog Tique Toc du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi devenu privé à la fin de l’été 2010, à chacune de ses nouvelles publications privées me concernant, avec toujours de nouvelles révélations croustillantes qu’il n’était plus possible de publier sans en trahir les sources et faire connaître au public tous les complots dont mes proches et moi-même étions victimes (j’en comptais en fait un peu plus, une bonne cinquantaine début janvier 2011, ce nombre ayant tendance à croître avec le temps).
Mais depuis environ deux ans, de nouvelles informations sur cette affaire ont été révélées au public et les reportages se sont enchaînés les uns aux autres, livrant toujours plus de détails sur les faits du mois d’avril 2011, notamment sur les contacts et déplacements de Xavier Dupont de Ligonnès et les auditions subséquentes de ses amis, au moins l’un d’eux, le plus proche, Michel Rétif, ayant été soupçonné de complicité.
Or, avec cette hypothèse très sérieuse et fort bien étayée, l’affaire se rapproche encore de mes harceleurs, notamment de Jean-Marc Donnadieu de Béziers, puisque non seulement Michel Rétif, lui aussi commercial, vivait à Lunel dans l’Hérault, mais qu’il avait développé avec le couple Dupont de Ligonnès une relation à trois s’approchant des activités sexuelles très spéciales de Jean-Marc Donnadieu, adepte d’échangisme et de BDSM fréquentant assidûment le Cap d’Agde en soirée.
On notera au passage que Lunel, au Nord de la Grande-Motte et du Grau-du-Roi, est aussi une petite ville très connue depuis les années 2010 pour avoir abrité un foyer d’islamistes à l’origine d’une filière djihadiste.
Les déplacements de XDDL avant son départ de Nantes, notamment dans un quartier sensible, pourraient avoir été nécessités par l’ensemble des faits encore assez mystérieux de ce mois d’avril 2011, tout comme ses déplacements ultérieurs dans le Sud de la France, au moins jusqu’au 26 avril 2011, jour où il est reconnu par deux personnes près de Salon-de-Provence, où Jean-Marc Donnadieu a effectué son service militaire de février 1989 à février 1990 et s’est peut-être lié à l’ancien caïd marseillais Farid Berrahma et son entourage, dont il est toujours très proche lorsqu’il commence à m’attaquer ouvertement au mois d’avril 2010.
Voici son CV, qu’il a lui-même mis en ligne en 2013 :
Il en ressort que son activité d’auto-entrepreneur a pris fin au mois de mai 2011, soit tout de suite après la disparition de XDDL.
La date du 8 avril 2011 est également très importante pour l’un comme pour l’autre : XDDL annonce à plusieurs de ses proches son départ pour les Etats-Unis tandis que Jean-Marc Donnadieu vient de perdre contre OverBlog devant le juge des référés du TGI de Béziers. L’escroquerie au jugement qu’il ne réussira plus tard que grâce à la corruption de magistrats n’a alors pas abouti, il n’a pas obtenu la ou les dizaines de milliers d’euros qu’il attendait pour pouvoir partir en Thaïlande y rejoindre quelques amis pédophiles et proxénètes, dont certains sont originaires de Nantes et d’autres de l’Hérault, comme lui.
Curieusement, lors de l’énorme bévue d’octobre 2019 concernant son identification à Glasgow qui fera tant rire le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi (voir articles listés ci-dessous), XXDL venait d’être possiblement localisé en Thaïlande selon son ami Bruno de Stabenrath.
En 2011, ils étaient des dizaines à jouer les cyber-enquêteurs pour tenter de percer le mystère de l’affaire Dupont de Ligonnès. Cinq ans après, leur passion s’est-elle essouflée ?
Le 21 avril 2011, la découverte des corps d’Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants sonne le début de l’une des plus fascinantes affaires criminelles. Immédiatement, le mystère autour de la disparition du suspect principal, Xavier Dupont de Ligonnès, suscite la curiosité et la mobilisation de dizaines d’internautes, qui vont tenter de mener l’enquête avec leurs propres moyens.
L’implication des internautes. Parmi eux, “Chris La Vérité”, créateur de la page Facebook : “Xavier Dupont de Ligonnès : Enquête et débat”. Groupe de référence sur le sujet, elle recueille plus de 5.000 likes. Technophile, cet Angevin était “auto-entrepreneur dans le domaine du web” lorsque l’affaire a éclaté. Passé par la même université catholique que Thomas, l’un des fils de “XDDL”, le jeune homme a voulu “scruter et fouiller le net, et utiliser Google au maximum de ses capacités”.
Les trouvailles des Sherlock 2.0. A l’époque, il se “consacre à temps plein” aux recherches, mettant tous ses projets de côté. Lui qui devait partir s’installer en Nouvelle-Zélande, reporte son départ. Il n’ira jamais. Autour de “Chris La Vérité” se constitue une équipe d’une quarantaine d’enquêteurs amateurs, qui vont traquer la moindre trace numérique des Dupont de Ligonnès. Très vite, l’investissement des “stalkers” va se révéler fructueux. Ils exhument, sur les forums et profils Facebook d’Agnès et Xavier Dupont de Ligonnès, des photos ou messages postés sous pseudo permettant de dresser un portrait plus nuancé que celui des apparences bourgeoises et traditionnelles que le couple donnait à voir en société.
Lire aussi >> Qui est vraiment Xavier de Ligonnès ?
L’enquête numérique s’est vite épuisée. Aujourd’hui, le trentenaire, condamné en mars dernier pour avoir notamment diffusé sur le groupe d’enquête des notes secrètes du père de famille versées au dossier de l’instruction, a totalement laissé tomber. Les trouvailles se sont épuisées “en deux mois”, explique-t-il. “C’est allé decrescendo. On est très vite arrivés au bout. Difficile d’avoir une piste que d’autres n’auraient pas eue avant quand autant de cerveaux sont mobilisés”, résume celui qui a sauvegardé sur son ordinateur plus de 700 photos, des dizaines de captures d’écran, etc.
Surtout, “Chris La Vérité” a la conviction que “XDDL” s’est suicidé. Pour tenter de percer le secret du père de famille, le jeune homme “a compilé, sur un siècle, les cas de familicides” et lu sur le sujet nombre de bouquins. “Ce qui m’intéressait, c’était de voir le devenir de l’auteur du crime dans ces cas-là, le père en général”, explique-t-il. Réponse ? Le suicide, en large majorité.
“Si je savais où il se planquait, j’irais peut-être le chercher!” Néanmoins, si le dossier Dupont de Ligonnès suscite moins l’engouement des “stalkeurs” jouant les détectives, il continue à captiver certains mordus de la première heure. Et pour cause, personne n’est en mesure de dire si “XDDL” s’est suicidé ou a pris la fuite. “C’est une affaire un peu hors-norme, non pas pas pas le crime en lui-même mais par son auteur qui demeure introuvable depuis bientôt cinq ans”, analyse Alexis, qui reste informé sur le sujet au rythme de deux fois par mois.
Voilà pourquoi, même cinq ans plus tard, il suffit d’un rien pour raviver l’intérêt des internautes, toujours à l’affût du moindre élément d’enquête. En particulier, les défenseurs de la thèse de la cavale. “Je me demande comment ce type fait pour passer entre les mailles du filet”, confie le consultant en affaires de 37 ans, interrogé via Facebook. Car une certitude l’anime, “c’est qu’il est toujours en vie !”. D’ailleurs, “si je savais où il se planquait, j’irais peut-être le chercher!”, lance ce mordu de l’affaire, persuadé qu’il reconnaîtrait Xavier Dupont de Ligonnès. “Son visage est imprimé dans ma tête.”
Le fantasme persiste. Mais où chercher ? Car mort ou vivant, “XDDL” demeure introuvable malgré le mandat international émis à son encontre et les 900 signalements adressés à la police judiciaire de Nantes depuis le début de l’enquête. Le quinquagénaire a été “aperçu” en Italie, en Amérique du Sud, ou encore en Australie… Une absence de certitudes qui continue d’alimenter les théories les plus originales. Certains pensent qu’il pourrait s’être réfugié dans un monastère, d’autres qu’il aurait même tué une personne pour lui usurper son identité….
Sur la page “Xavier Dupont de Ligonnès : Enquête et Débat”, un message posté le 3 avril, date à laquelle Agnès et ses enfants ont pu être tués, sème le trouble parmi les internautes. Longue démonstration à l’appui, un certain “Hervé Spets” persuadé du suicide du père de famille appelle les volontaires à se manifester pour localiser, puis aller déterrer le corps : “Alors pourquoi ne pas participer à l’enquête, par exemple en procédant au repérage des sites possibles ?” Ce fameux “Hervé Spets”, que nous avons tenté de contacter – en vain -, est soupçonné par certains internautes… d’être Xavier Dupont de Ligonnès lui-même.
Suspendus à l’enquête. Au fond, tous restent en attente d’une nouvelle avancée significative dans l’enquête, au point mort depuis plusieurs années. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un policier dédié à ce dossier tentaculaire, notamment charger de vérifier les signalements. Et si un peu plus de 900 ont été transmis à la police judiciaire de Nantes, plus de la moitié l’ont été durant l’année suivant le quintuple meurtre.
« Un homme ordinaire » sur M6: Chris la Vérité, le hackeur qui a inspiré le personnage d’Emilie Dequenne
La série en 4 épisodes, librement inspirée de l’histoire de Xavier Dupont de Ligonnès, évoque notamment le rôle des cyber-enquêteurs adeptes du web sleuthing via le personnage d’Anna Rose.
Emilie Dequenne dans un rôle inspiré du hackeur Chris la vérité dans la minisérie « Un homme ordinaire » sur M6, les 15 et 22 septembre 2020
TÉLÉVISION – Il s’appelle Christophe de Salin et l’histoire se déroule à Lyon. Mais les téléspectateurs ne s’y tromperont pas, la minisérie “Un homme ordinaire”, en 4 épisodes, diffusée à partir de ce mardi 15 septembre sur M6, est bel et bien “librement inspirée de l’affaire Dupont de Ligonnès”. Dans cette fiction écrite par Pierre Aknine et Anne Badel, c’est Arnaud Ducret qui se glisse dans la peau du père de famille tandis qu’Émilie Duquenne incarne Anna-Rose, hackeuse fascinée par ce fait divers qui mène sa propre enquête.
Et ce personnage n’est pas sorti de l’imagination des scénaristes. Après plus d’un an et demi de recherches (de la lecture de lettres et mails à des entretiens avec des protagonistes concernés), les créateurs de la série ont imaginé leur propre version de cette histoire en donnant une large place au web sleuthing, ces communautés d’enquêteurs amateurs qui s’emparent de faits divers et mènent des recherches en parallèle de celles de la police.
Un hacker condamné
Le rôle d’Anna-Rose est ainsi inspiré du hackeur Chris la vérité, créateur de la page Facebook “Xavier Dupont de Ligonnès: Enquête et Débat” qui avait mené des investigations officieuses en 2011. C’est notamment lui qui “a trouvé la photo de XDDL dans le sud de la France”, précisent les notes de production. Il a ensuite été condamné à 1000 euros d’amende avec sursis pour “recel de violation du secret de l’instruction” au printemps 2016, pour avoir publié en ligne des documents de l’enquête transmis par un policier.
“Ce hackeur il s’appelle Christophe (…) et il fait ce qu’on appelle du web sleuthing. Le web sleuthing aux États-Unis ce sont des groupes de hackeurs qui s’occupent d’aller trouver les coupables”, explique Pierre Aknine, créateur et réalisateur de la minisérie “Un homme ordinaire”, à l’antenne d’Europe 1 ce lundi 14 septembre.
“En 2011, pour la première fois en France, un hackeur a commencé à ouvrir un compte sur Facebook qui s’appelait Christophe la vérité, et là ça a été la ruée”, rappelle-t-il. “Ils s’y sont tous mis, avec des choses abominables et des choses intéressantes. Et ils ont trouvé des choses”, parmi lesquelles des messages postés sous pseudo par l’épouse de Xavier, Agnès Dupont de Ligonnès, sur des forums en ligne où elle décrit sa détresse.
Policier et proches de XDDL impliqués
Christophe, alias Chris la vérité, à l’époque trentenaire vivant à Angers, s’est confié aux Inrocks en 2012. Il racontait comment il avait mené pendant plusieurs mois l’enquête avec l’aide d’autres internautes sur sa page Facebook puis au sein d’un groupe privé. “Des proches d’Agnès et Xavier”, une “amie des enfants” mais aussi “un enquêteur de l’office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC)” participaient à leurs recherches.
“Au début on stalkait [traquait, NDLR]. Il y a eu un peu de hacking aussi. On a trouvé plein de petites choses et puis ensuite ça a été donnant-donnant dans une sorte de triptyque internautes-famille-enquêteurs”, décrivait Chris la vérité. “Comme notre contact enquêteur n’avait pas accès à l’intégralité du dossier, il a été ravi qu’on lui transmette certains documents et comptes-rendus sur Xavier Dupont de Ligonnès et sur son entourage, qui provenaient de la famille. Du coup il nous a transmis dès le mois de juillet 2011 les fameuses ‘notes secrètes’ que Dupont de Ligonnès avait stockées sur ses serveurs, ainsi que plein d’autres informations.”
Pour Pierre Aknine, ces cyber-enquêteurs ont indéniablement “aidé l’enquête policière” quand d’autres ont soutenu qu’ils l’avaient entravée. Mais là où les deux hommes ne sont plus d’accord, c’est sur l’issue de ce fait divers non résolu. Si Chris la vérité a la conviction que XDDL s’est suicidé, confiait-il à Europe 1 après sa condamnation en 2016, le créateur d’“Un homme ordinaire” fait lui l’hypothèse que Xavier Dupont de Ligonnès est toujours en vie.
Après le docu-fiction “Dans la tête du suspect” sur M6, le téléfilm “La part du soupçon” avec Kad Merad sur TF1 ou le film “Paul Sanchez est revenu!” avec Laurent Lafitte, sans oublier le succès estival phénoménal rencontré par le magazine Society et ses deux volets d’une enquête-fleuve écoulée à 350.000 exemplaires, la “tuerie de Nantes” et le sort de Xavier Dupont de Ligonnès seront à nouveau au cœur de toutes les discussions ce mardi 15 septembre. De quoi relancer, aussi, la fougue des cyber-enquêteurs?
Comme celui de la série My Holo Love, Holo le journaliste se fait discret. Il observe l’actualité mode, musique et sport, et l’analyse dans les moindres détails…
Publié le 22 Septembre 2020 – 21h09
Dans la mini-série « Un homme ordinaire » diffusée sur M6, Emilie Dequenne incarne une hackeuse passionnée par l’affaire Dupont de Ligonnès. Son personnage est inspiré d’un vrai pirate informatique qui a enquêté sur la tuerie. Chris La Vérité a créé une page Facebook qui compte aujourd’hui plus de 10 000 abonnés.
La série événement de la rentrée, inspirée de l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès, est déjà presque finie ! Les deux derniers épisodes d’Un homme ordinaire sont diffusés ce mardi 22 septembre 2020. Emilie Dequenne y incarne un rôle très important. Son personnage de hackeuse a réellement existé…
Dans Un homme ordinaire, dont Arnaud Ducret est le héros, Emilie Dequenne interprète Anna-Rose Cagnière, une pirate informatique qui mène également une enquête sur la tuerie de Nantes. En réalité, ce hackeur répondait au pseudo de « Chris La Vérité ». L’homme a créé, le 26 avril 2011 (5 jours après la découverte des corps de l’épouse de Xavier Dupont de Ligonnès, Agnès, et de leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît) une page Facebook intitulé Xavier Dupont de Ligonnès : Enquête et Débat, consacrée à ce crime commis en avril 2011.
La communauté rassemble plus de 10 000 utilisateurs.
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Chris La Vérité a notamment collaboré avec des anonymes, des proches des époux Dupont de Ligonnès ainsi qu’un enquêteur, tous en quête de la vérité. Des informations échangées dans des groupes privés ont été divulguées. Chris La Vérité s’est confié lui-même à la presse, en accordant une interview aux Inrockuptibles en 2012. Il a notamment révélé au magazine qu’une quarantaine de personnes ont épluché et piraté des sites Internet pour en apprendre plus sur Xavier Dupont de Ligonnès, toujours porté disparu et principal suspect des meurtres de son épouse et de leurs enfants.
Les recherches de Chris la Vérité ont été fructueuses et lui ont valu des ennuis avec la justice. Il a été condamné en 2016 à 1000 euros d’amende avec sursis pour recel de violation du secret professionnel et atteinte au secret des correspondances, après avoir publié 39 notes secrètes de Xavier Dupont de Ligonnès.
Neuf ans après les faits, l’affaire suscite toujours autant d’intérêt.
Le magasine Society publie ce jeudi une longue enquête sur la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès soupçonné d’avoir tué sa femme et ses enfants avant de disparaître en 2011. On découvre les liens étranges qu’il entretenait avec son ami Michel Rétif à Lunel, un homme aujourd’hui décédé.
L’ami lunellois de Xavier Dupont de Ligonnès a t-il joué un rôle dans sa disparition ? Le magasine bi-mensuel Society sort cette semaine une grande enquête sur cet homme soupçonné d’avoir assassiné sa femme et ses 4 enfants en 2011 à Nantes. Une enquête qui retrace notamment les amitiés du père de famille. Des amitiés très équivoques.
On apprend ainsi que Michel Rétif, un habitant de Lunel a été entendu à plusieurs reprises par les enquêteurs et même soupçonné d’avoir couvert la fuite de Xavier Dupont de Ligonnès.
Dupont de Ligonnès propose à son épouse et son meilleur ami une relation à trois
Michel Rétif est un ami de Xavier Dupont de Ligonnès, un ami intime. Mais cette amitié de longue date avait pris une autre tournure. L’épouse, Agnès de Ligonnès, et Michel Rétif entretenaient une relation épistolaire très équivoque. En le découvrant, le mari propose à son épouse et son meilleur ami une relation à trois. Ils passent ainsi deux jours et deux nuits tous les trois dans un hôtel de Nantes, puis en Bourgogne et même au domicile familial, des vidéos en témoignent.
Cela, Michel Rétif ne le raconte pas aux enquêteurs lors des premières auditions. Il ne leur dit pas non plus qu’il a réussi à joindre Xavier Dupont de Ligonnès au téléphone après sa fuite avant la découverte des corps, il est le seul à avoir pu le joindre, tous les autres tombaient directement sur la messagerie. De Ligonnès n’a rallumé son portable que pour cet appel, comme si les deux hommes avaient pris rendez-vous.
Ce qui intrigue aussi beaucoup les enquêteurs, c’est ce déplacement professionnel de Michel Rétif dans le Var (il est alors commercial), là où justement s’arrête le parcours du père de famille, au même endroit au même moment.
Maxime Chamoux du magazine Sociéty
Michel Rétif soupçonné d’avoir couvert la fuite du père de famille ? Les enquêteurs n’ont aucune preuve formelle et aucun aveu. Dans leur enquête, les journalistes du magasine Society ont rencontré la dernière compagne de Michel Rétif. Ils dressent le portait d’un homme brisé par cette histoire qui sombre dans l’alcool, il refuse de soigner un cancer avant de se suicider en mars 2018 chez lui à Lunel.
Les journalistes ne veulent plus s’attarder sur leurs révélations sur la vie intime du couple de Ligonnès
9 ans après la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, soupçonné d’avoir assassiné sa femme et ses 4 enfants, Society dévoile, à l’occasion d’une nouvelle enquête, l’existence de l’un de ses amis les plus proches : Michel Rétif, aujourd’hui décédé, qui vivait à Lunel, dans l’Hérault.
« Au début du mois d’avril 2011, un homme de 50 ans assassinait sa femme, leurs quatre enfants et leurs deux chiens avant de les enterrer sous la terrasse de leur maison nantaise, puis de disparaître sans laisser de traces. »…
Pour la deuxième fois, le magazine Society revient sur l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès. A l’occasion d’une nouvelle enquête de plus de quatre ans, Maxime Chamoux, Sylvain Gouverneur, Thibault Raisse et Pierre Boisson reviennent, entre autres, sur les amitiés de l’un des hommes les plus recherchés de France.
Parmi les amis de Xavier Dupont de Ligonnès : le Lunellois Michel Rétif, aujourd’hui décédé. « Il est l’un des amis clé de son environnement » témoigne l’un des journalistes et rédacteurs en chef de Society, Pierre Boisson.
De l’amitié au trio amoureux
Les deux hommes, tous les deux commerciaux, se rencontrent dans les années 80, dans le Sud de la France. « C’est un voyage aux Etats-Unis qui va sceller leur amitié entre 1989 et 1990« .
Ensemble, les deux amis visitent 48 des 50 Etats américains. Puis, dans les années 2000, un cap est franchi entre les deux hommes. « A partir de 2005, il y a des troubles dans le couple Dupont de Ligonnès » précise Pierre Boisson.
En effet, Xavier Dupont de Ligonnès consacre peu d’attention à Agnès, sa femme. Cette dernière est en contact avec Michel Rétif : une relation naîtra entre eux, d’abord virtuelle puis concrète. Plus tard, avec Xavier Dupont de Ligonnès, ils formeront un triangle amoureux pendant quelques mois, de quoi « transformer la nature de leur relation » ajoute le journaliste.
A la vie, à la mort… le mystère Michel Rétif
Dès la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, les policiers ont rapidement examiné lesquels de ses relations pourraient l’avoir aidé dans sa cavale. Naturellement, ils s’intéressent à ses meilleurs amis, dont fait partie Michel Rétif.
Il se trouve que Michel Rétif a appelé Xavier Dupont de Ligonnès le 6 avril, un jour après le meurtre du dernier membre de la famille. Ce jour-là, le téléphone de Xavier Dupont de Ligonnès était éteint toute la journée sauf pendant cette demi-heure d’appel.
Fait troublant, de quoi éveiller les soupçons des enquêteurs qui vont le surveiller, l’interroger. « Rien ne prouve la culpabilité de Michel Rétif » insiste Pierre Boisson.
Pourtant, un déplacement de Michel Rétif intrigue. Le 14 avril, Xavier Dupont de Ligonnès passe sa dernière nuit « connue » à Roquebrune-sur-Argens. « Ce même jour, Michel Rétif est à moins de 10 kilomètres de là, à vol d’oiseau » confirme Pierre Boisson.
Que ces deux amis passent cette dernière nuit spéciale à quelques kilomètres l’un de l’autre, c’est forcément suspicieux.
Michel Rétif aurait-il couvert la fuite de Xavier Dupont de Ligonnès ? Au nom de l’amitié et de sa phrase fétiche : à la vie, à la mort. L’hypothèse est plausible. Cette question reste pour l’instant sans réponse.
Atteint d’un cancer, Michel Rétif s’est suicidé en 2018, à Lunel-Viel, dans l’Hérault, à l’âge de 53 ans en emportant avec lui tous ses secrets. « Dans cette enquête, nous avons voulu montrer que les amis, la famille, les proches liés à cette enquête ont souffert de tous les soupçons qui ont pu peser sur eux » : pour la rédaction de Society, une chose est sûre : Michel Rétif tentait par tous les moyens d’oublier cette affaire.
Une affaire sordide, toute une famille décimée
En 2011, Agnès et les quatre enfants du couple sont retrouvés enterrés à Nantes. Xavier Dupont de Ligonnès prend la fuite. Depuis, il s’est volatilisé. On l’a vu partout sur la planète mais il reste introuvable.
En 2019, nos confrères de France 3 Pays de la Loire consacrait un reportage à cette affaire, toujours non élucidée.
Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.
Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.
Avis du 24 janvier 2015
Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né.
En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées.
Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.
Avis du 26 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.
Avis du 31 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.
Avis du 1er février 2015
Retour de mes statistiques "basiques".
Avis du 3 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.
Avis du 6 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.
Avis du 11 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.
Avis du 26 février 2015
Statistiques "basiques" enfin débloquées !
Avis du 27 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt...
Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
Avis du 4 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.
Avis du 7 mars 2015
Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.
Avis du 25 mars 2015
Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.
Avis du 2 avril 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour.
Avis du 26 avril 2015
Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.
Avis du 28 avril 2015
Statistiques de retour. Merci.
Avis du 7 mai 2015
Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.
Avis du 10 mai 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".
Avis du 14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
Avis du 3 octobre 2015
Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.
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