Archives pour avril 2020

Un OVNI à Cahors : même les extra-terrestres en ont marre de Luraghi…

Aussi, ils sont venus examiner le phénomène de plus près… là où a exercé jusqu’à sa retraite, au Commissariat de Cahors, un policier comptant parmi les meilleurs amis du trafiquant de drogue et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi…

 

https://www.ladepeche.fr/2020/04/16/un-ovni-au-dessus-du-college-une-photo-et-de-nombreux-temoins-oculaires,8848893.php

Cahors. Un Ovni au-dessus du collège, une photo et de nombreux témoins oculaires

 

  • L’objet de forme ovoïde s’est immobilisé un court instant, puis est reparti vers le haut à une vitesse vertigineuse.

    L’objet de forme ovoïde s’est immobilisé un court instant, puis est reparti vers le haut à une vitesse vertigineuse.
Publié le 16/04/2020 à 05:07 , mis à jour à 09:41

l’essentiel

Le confinement et ses effets insolites ! Exemple ici. Confinés, les Cadurciens passent beaucoup de temps à leur fenêtre le soir. Certains ont vu un étrange objet dans le ciel au-dessus du collège Gambetta. Sûrs de ce qu’ils ont observé, ils témoignent.

David Vincent les a vus ! De nombreux habitants de Cahors aussi.

Pour le héros de la série « Les Envahisseurs » c’est en cherchant « un raccourci que jamais il ne trouva » qu’il est tombé nez à nez avec une soucoupe volante. « Pour lui tout a commencé par une nuit sombre, le long d’une route solitaire de campagne ». Pour au moins une dizaine de Cadurciens qui commentaient samedi sur le marché une étrange observation dans le ciel, survenue deux jours auparavant, tout a commencé au-dessus du collège Gambetta. Étrange et troublante comme en témoigne cette photo prise dans le ciel nocturne dégagé de toute pollution. « Jeudi, j’étais à ma fenêtre. En ces moments de confinement j’y passe de longues heures pour flâner ou fumer. Je regarde le ciel. J’ai vu cette chose. Pour moi, il s’agissait bien d’un objet et sûrement pas de l’étoile du berger, ni de la station orbitale ISS que l’on peut voir parfois à l’œil nu tellement le ciel est limpide en ce moment. C’était un engin. Pas une étoile filante non plus. Une étoile filante tombe. Cette chose étrange est restée un moment immobile, puis a effectué un léger déplacement sur la gauche avant de prendre soudain une trajectoire ascendante à une très grande vitesse. Cela ne pouvait pas être non plus un avion ou un ballon-sonde. Je suis certaine de ce que j’ai vu » affirmait Géraldine sur le marché où l’apparition de cet Ovni a longuement alimenté les conversations.

« Il avait une forme ovale »

Frédéric, un autre habitant, livre son propre témoignage qui vient étayer celui de Géraldine.

« Il avait une forme ovale. Je n’ai aucun doute là-dessus. Il ne dégageait aucune traînée et n’émettait aucun son. C’est difficile d’évaluer sa taille. Je l’ai vu prendre de la vitesse et disparaître en s’élevant très haut » décrit-il.

Le lendemain, six avions de chasse ont été aperçus dans le ciel lotois. Cet inhabituel ballet aérien a été très commenté sur les réseaux sociaux. De là à dire que ces appareils étaient en quête d’un signe après l’observation de l’Ovni, il n’y a qu’un pas que certains n’hésitent pas à franchir. L’armée, quant à elle, ne commente pas. Bref, quelque chose est apparu dans le ciel. C’est certain. Quelque chose d’extraordinaire qui n’a rien livré de son mystère. L’Ovni a disparu, mais le doute plane toujours. Était-ce humain ou bien…

L’éclairage de Pierre Lasvènes

Connu sur la place de Cahors, au même titre que son confrère et ami Claude Méric, lui aussi fin observateur du ciel et des étoiles, Pierre Lasvènes est « Le » photographe que nous devions appeler pour un éclairage technique avisé sur cette apparition. Pierre, en véritable extraterrestre de l’humour, est resté très sérieux… au début. « Si cette chose a été vue par plusieurs personnes, il faut se poser des questions. Le mieux pour réaliser des photos du ciel nocturne, c’est d’avoir un pied et de faire une pause relativement longue sans avoir à trop augmenter la sensibilité. Là on ne cherche pas à avoir le tracé de l’objet qui va tenir compte de la rotation de la Terre. Ces photos sont faites à main levée. C’est un geste rapide. Cela peut être trompeur et difficile à interpréter. Mas on peut s’interroger » admet l’homme qui a photographié bien d’autres phénomènes comme de doux agneaux au dernier Salon de l’agriculture. Il parachève son commentaire par une boutade : « Il pourrait s’agir d’agneaux du Quercy ». Des agneaux qui volent ! Bien sûr Pierre, nous allons suggérer cette hypothèse aux scientifiques.

Jean-Luc Garcia

Voir les commentaires (2)

 

https://www.ladepeche.fr/2020/04/16/lenquetrice-ce-nest-pas-un-phenomene-naturel,8848894.php

Cahors. L’enquêtrice : « Ce n’est pas un phénomène naturel »

 

  • L’Ovni qui avait été observé en 1990 à Sauzet par un Cadurcien était de très grande taille.

    L’Ovni qui avait été observé en 1990 à Sauzet par un Cadurcien était de très grande taille.
Publié le 16/04/2020 à 05:07 , mis à jour à 09:42

 

Pour la Cadurcienne Isabelle Deléry « ils ont vu le Petit Prince et son étoile. Les étoiles sont éclairées pour que chacun puisse un jour retrouver la sienne » ajoute-t-elle en citant Saint-Exupéry.

La poésie s’invite dans notre récit argumenté par les témoignages de l’observation de l’étrange objet dans le ciel de Cahors. Le phénomène Ovni a toujours fasciné et continuera tant qu’il y aura des apparitions inexpliquées, des scientifiques qui buteront sur la question, l’armée avare de réponses et des poètes qui considéreront finalement toujours que derrière chaque étoile peut se cacher un Ovni. Quelle que soit la catégorie dans laquelle on se trouve, le phénomène interpelle. Dans le Lot, à Albas, Monique Gabrielli, enquêtrice spécialisée dans le domaine des phénomènes spatiaux, a eu le temps d’analyser la photographie ou apparaît la mystérieuse forme lumineuse.

« Pour moi, c’est certain, ce n’est pas un phénomène naturel. Il faut écarter cette idée. Il ne peut pas s’agir d’une étoile, c’est une certitude. Ce n’est pas l’étoile du berger. En ce moment, elle est plein ouest dans la constellation du Taureau. Ce ne peut pas être elle. Cette forme est immobile. Ce ne peut donc pas être une comète non plus. Certaines sont annoncées d’ailleurs. Puisque c’était fixe et qu’ensuite cela a filé vers le haut sans un bruit, ce n’est pas une fusée, un explosif, ni un feu d’artifice. L’apparition soudaine suivie d’une accélération dans le ciel, ce n’est pas une chose logique » insiste l’enquêtrice lotoise. Monique Gabrielli a longtemps collaboré pour la revue « Lumière dans la nuit » qui recense l’ensemble des observations ufologiques. Observations qui sont ensuite portées à la connaissance du CNES à Toulouse (Centre national d’études spatiales).

Monique Gabrielli avait recueilli le très intrigant récit relatif à un objet présent dans le ciel lotois en novembre 1990.

« Un informaticien cadurcien rentre chez lui. Il est un peu moins de 19 heures.

À l’entrée de Trespoux-Rassiels il découvre en face de lui, vers le sud-ouest, des lumières blanches qui se déplacent très lentement, assez bas dans le ciel. Il poursuit son chemin. La route étant sinueuse, il voit ses lumières apparaître tantôt face à lui, tantôt sur sa droite.

Dans la ligne droite, après Villesèque, les lumières se trouvent face à lui, ou légèrement sur sa gauche. Arrivant à Sauzet, il voit une masse énorme passer au-dessus de lui. La masse gigantesque se stabilise à droite de la route, entre l’église et le carrefour. Il sort de sa voiture et traverse la route de Luzech. Une lumière orangée, ronde, s’allume, puis une seconde, identique et de même couleur, un peu plus à gauche. Ces lumières sont parfaitement statiques. La masse est toujours stationnaire, entre la route de Luzech et celle d’Albas » conclut-elle.

Encore aujourd’hui, cette affaire reste classée dans les dossiers inexpliqués des phénomènes spatiaux en France.

 

https://www.ladepeche.fr/2020/04/17/ovni-observe-a-cahors-dans-la-peau-de-mulder-et-scully-les-internautes-se-lachent-sur-la-toile,8851602.php

Ovni observé à Cahors : dans la peau de Mulder et Scully, les internautes se lâchent sur la toile

 

  • L'observation du ciel passionne  et intriguera toujours. Y découvrir d'éventuelles formes de vie fascine.

    L’observation du ciel passionne et intriguera toujours. Y découvrir d’éventuelles formes de vie fascine. Photo DDM
Publié le 17/04/2020 à 19:50

l’essentiel

L’Ovni observé à Cahors la semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, continue à faire parler de lui et à enflammer les réseaux sociaux. Les internautes se métamorphosent parfois en agents du FBI et plus particulièrement les fameux Fox Mulder et Dana Scully (X-Files). Que pensent les Lotois de cette étrange apparition dans le ciel de Cahors ? Des étoiles à la toile, ils se lâchent.

Un Ovni à Cahors. Le fait est assez rare et ne manque pas de faire réagir les Lotois sur Facebook et Twitter où ils s’en donnent à cœur joie. Il y a ceux qui prennent l’affaire très au sérieux, tandis que d’autres se laissent aller à des commentaires ironiques ou empreints de poésie avec finesse. Voici un florilège de réactions.

Sandrine Delcayre : « Et bien en tout cas, ça donne à réfléchir ».

Véronique Gardes-Nougaret : « Nous avons été intrigués et filmé le point très lumineux que nous avons regardé longuement. parfois il y en avait deux ! ».

Peter Tierrie : « Il faut appeler les Men in black ! ».

Isabelle Garcia : « L’autre soir, le lendemain de la pleine lune, mon frère m’a appelé pour sortir et voir dans le ciel pendant une demi-heure des points lumineux qui se suivaient, en direction la Grande Ourse. Sur Saint-Céré, une amie a vu un point lumineux en plein jour ».

André Tremeau : « Téléphoner maison ! ».
Ah, nous voici donc ici carrément dans l’univers… du cinéma. Restons-y.

A lire aussi : Un mystérieux ovni aperçu dans le ciel de Cahors, des témoins racontent

De l’enthousiasme et de la curiosité d’abord

Ovni : Objet volant non invité ? Faux ! En 1977 la sonde Voyager 2 a lancé une invitation gravée sur un disque d’or où les mots « Je vous salue » sont prononcés dans 54 langues à l’attention d’éventuels êtres voisins de notre galaxie.

Sur le disque figurent également des images résumant l’histoire de l’humanité. John Carpenter a fait de cette invitation réelle le socle de son excellent film « Starman » (1984) méconnu, mais pourtant très bon au moins pour le message qu’il véhicule : un message de fraternité. Le film montre à quel point l’accueil que réservent les terriens à Scott (alias Jeff Bridges) a juste zappé la notion de chaleur humaine.

Le Covid-19 est peu à peu en train de démonter le contraire avec des actes solidaires exemplaires. Que penser définitivement de l’Ovni de Cahors ?

Ni avion, ni drone, ni ballon-sonde, ni étoile filante ou du berger. Alors quoi ? « Je l’ai vu aussi, le même soir, j’ai pris des photos » ; « J’ai bien vu quelque chose » lancent encore les internautes sur la toile et un peu dans les étoiles surtout lorsque les commentaires deviennent carrément poétiques avec « Le Petit Prince » en toile de fond.

En résumé, cela traduit de l’enthousiasme et de la curiosité. Deux valeurs qu’il sera alors facile, normalement, de convertir en hospitalité. Oui, normalement si jamais un jour, ou peut-être une nuit un visiteur d’une autre galaxie décide de venir nous dire : « Je vous salue ».

 

https://www.ladepeche.fr/2020/04/18/ovni-les-internautes-dans-la-peau-de-mulder-et-scully,8852100.php

Ovni : les internautes dans la peau de Mulder et Scully

 

  • L’observation du ciel passionne. Y découvrir des formes de vie fascine.

    L’observation du ciel passionne. Y découvrir des formes de vie fascine.
Publié le 18/04/2020 à 05:06 , mis à jour à 10:05

 

L’Ovni observé à Cahors la semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, continue à faire parler de lui dans le Lot et à enflammer les réseaux sociaux.

En effet, sur Facebook et Twitter notamment, les internautes se sont emparés de l’affaire pour, parfois, se métamorphoser en agents du FBI et plus particulièrement ceux du département des affaires non-classées (X-Files). Les fameux Fox Mulder et Dana Scully. Que pensent les Lotois de cette étrange apparition dans le ciel de Cahors ?

Il y a ceux qui prennent l’affaire très au sérieux, tandis que d’autres se laissent aller à des commentaires ironiques ou empreints de poésie avec finesse. Voici un florilège de réactions. Sandrine Delcayre : « Et bien en tout cas, ça donne à réfléchir » ; Véronique Gardes-Nougaret : « Nous avons été intrigués et filmé le point très lumineux que nous avons regardé longuement. parfois il y en avait deux ! » ; Peter Tierrie : « Il faut appeler les Men in black ! » ; Isabelle Garcia : « L’autre soir, le lendemain de la pleine lune, mon frère m’a appelé pour sortir et voir dans le ciel pendant une demi-heure des points lumineux qui se suivaient, en direction la Grande Ourse. Sur Saint-Céré, une amie a vu un point lumineux en plein jour » ; André Tremeau : « Téléphoner maison ! ». Ah, nous voici donc ici carrément dans l’univers… du cinéma. Restons-y.

De l’enthousiasme et de la curiosité d’abord

Ovni : Objet volant non invité ? Faux ! En 1977 la sonde Voyager 2 a lancé une invitation gravée sur un disque d’or où les mots « Je vous salue » sont prononcés dans 54 langues à l’attention d’éventuels êtres voisins de notre galaxie. Sur le disque figurent également des images résumant l’histoire de l’humanité. John Carpenter a fait de cette invitation réelle le socle de son excellent film « Starman » (1 984) méconnu, mais pourtant très bon au moins pour le message qu’il véhicule : un message de fraternité. Le film montre à quel point l’accueil que réservent les terriens à Scott (alias Jeff Bridges) a juste zappé la notion de chaleur humaine.

Le Covid-19 est peu à peu en train de démonter le contraire avec des actes solidaires exemplaires. Que penser définitivement de l’Ovni de Cahors ?

Ni avion, ni drone, ni ballon-sonde, ni étoile filante ou du berger. Alors quoi ? « Je l’ai vu aussi, le même soir, j’ai pris des photos » ; « J’ai bien vu quelque chose » lancent encore les internautes sur la toile et un peu dans les étoiles surtout lorsque les commentaires deviennent carrément poétiques avec « Le Petit Prince » en toile de fond.

En résumé, cela traduit de l’enthousiasme et de la curiosité. Deux valeurs qu’il sera alors facile, normalement, de convertir en hospitalité. Oui, normalement si jamais un jour, ou peut-être une nuit un visiteur d’une autre galaxie décide de venir nous dire : « Je vous salue ».

J.-L.G.

 

OVNIs : le Pentagone rend publiques trois vidéos de l’US Navy

Cette communication au public fait suite à celle-ci, d’il y a deux semaines :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/14/le-phenomene-ovnis-est-trop-serieux-pour-etre-laisse-aux-sceptiques-dogmatiques/

… ainsi qu’aux nouvelles velléités de mes harceleurs de me faire condamner pour avoir dit la vérité sur ce que je suis et avoir aussi évoqué le cas de leur ami pédophile Serge Rodallec dans des commentaires publics anonymes sur le site Rue89 en 2008 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/09/ufoscepticisme-sale-temps-pour-les-menteurs-et-cela-va-continuer/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/28/comment-le-negationniste-patrice-seray-defend-le-pedophile-serge-rodallec/

J’invite mes lecteurs à visiter l’un des nombreux sites qui republient actuellement ces trois vidéos afin de les visionner, par exemple celui de Paris Match dont l’article à ce sujet est recopié ci-dessous.

Quant à la réaction hilarante du négationniste et comploteur complotiste Patrice Seray à cette nouvelle communication, elle se trouve ici et date d’hier :

 

https://www.facebook.com/groups/UFOSCEPTICISME/

    • Patrice Seray
      Patrice Seray Je pense qu’il convient à ne pas prendre à la légère ces « nouvelles » révélations. Certes elles ne prouvent aucunement quelque chose d’exotique mais peut-être une démarche plus ou moins officielle ne fermant aucune porte afin de préserver un test, des essais, (hypothèse) d’un système d’acquisition plus sophistiqué de radar embarqué. ce qui pose problème dans toute cette histoire c’est la manière dont sont sorties ces vidéos, pourquoi, comment, qui est le ou les responsables? Il est inutile de voir LA révélation des OVNIs’ ici.

 

Je rappelle que j’avais prévenu dès le mercredi 2 juin 2010 tous mes harceleurs de sa bande de « déconnologues » et « ufosceptiques » des problèmes que posaient toutes leurs publications délictueuses me concernant (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes) :

 

2010-06-02 A tous ceux qui s'obstinent à m'injurier, me diffamer, me calomnier - Un petit coucou

 

Cela ne les a malheureusement jamais arrêtés…

Compte tenu de l’énormité des dégâts produits, comprenant non seulement l’ensemble des exactions dont mes proches et moi-même avons été victimes depuis 2008, mais également tous les attentats islamistes commis en Europe, et notamment en France, depuis mars 2012, il est certain que les magistrats du Finistère et de l’Hérault qu’ils ont achetés finiront par payer toutes leurs saloperies après avoir été révoqués de la fonction publique et non plus seulement mutés de tribunal en tribunal à l’instar de l’ancienne juge d’instruction de Brest Muriel Corre.

Cependant, le degré d’impunité des magistrats français est tel que cela prend du temps, beaucoup de temps…

En attendant, après qu’en 2015 j’aie dû écrire aux responsables de l’Armée de l’Air française en raison des incroyables difficultés que je rencontrais avec la magistrature brestoise, des frappes aériennes avaient été décidées contre leurs complices en Syrie, et maintenant le Pentagone publie ces vidéos perturbantes pour les « ufosceptiques » de la bande qui cette année ont décidé de m’attaquer en justice comme précédemment la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et son complice le pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque…

 

https://www.parismatch.com/Actu/Insolite/OVNIS-le-Pentagone-publie-des-videos-de-phenomenes-aeriens-non-identifies-1683553

OVNIS: le Pentagone publie des vidéos de « phénomènes aériens non identifiés »

 

Paris Match | Publié le 28/04/2020 à 15h51

La Rédaction avec AFP
Capture d'écran d'une vidéo du Pentagone.

Capture d’écran d’une vidéo du Pentagone. DR
Le Département américain de la Défense a expliqué lundi dans un communiqué qu’il avait décidé de diffuser officiellement des vidéos montrant des rencontres en vol avec ce qui semble être des ovnis.

Le Pentagone a officiellement diffusé trois vidéos prises par des pilotes de la Marine américaine montrant des rencontres en vol avec ce qui semble être des ovnis. Une de ces vidéos, toutes en noir et blanc, date de novembre 2004 et les deux autres de janvier 2015. Elles circulaient déjà, après avoir été notamment rendues publiques par le New York Times

Le Département américain de la Défense a expliqué lundi dans un communiqué qu’il avait décidé de les diffuser officiellement « de manière à dissiper toute idée fausse du public sur sur la véracité ou non des images qui ont été propagées ou sur le fait de savoir s’il y en avait ou non davantage ». « Le phénomène aérien observé dans les vidéos reste qualifié de +non identifié+ », a ajouté le Pentagone.

Sur une de ces vidéos, on peut voir un objet de forme oblongue se déplaçant rapidement qui, quelques secondes après avoir été repéré par un des capteurs à bord de l’appareil de l’US Navy, disparaît sur la gauche à la suite d’une soudaine accélération.

Dans une autre vidéo, on distingue un objet au-dessus des nuages, le pilote se demandant s’il s’agit d’un drone.

« Il y en a tout un essaim (…) La vache, ils vont tous contre le vent ! Un vent d’ouest de 120 noeuds ! », lâche son compagnon de vol. « Regarde cette chose ! », enchaîne son interlocuteur au moment où l’objet commence à effectuer une rotation.

« Les Etats-Unis doivent jeter un regard sérieux et scientifique à ceci »

Le pilote de la Marine aujourd’hui à la retraite David Fravor, qui a rencontré un de ces « ovnis » en 2004, avait raconté en 2017 à la chaîne de télévision américaine CNN que cet objet se déplaçait de façon erratique. « Alors que je m’approchais de lui (…), il a rapidement accéléré en direction du sud et a disparu en moins de deux secondes », c’était « comme une balle de ping-pong rebondissant sur un mur », avait-il alors résumé.

De son côté, Harry Reid, un ex-sénateur du Nevada, où se trouvent les installations ultra-secrètes Zone 51 de l’Armée de l’air, s’est dit dans un tweet « content que le Pentagone diffuse finalement ces images », tout en déplorant que « cela ne fasse qu’égratigner la surface des recherches et de la documentation disponibles ». « Les Etats-Unis doivent jeter un regard sérieux et scientifique à ceci et à toutes les implications potentielles sur la sécurité nationale. Le peuple américain mérite d’être informé », a-t-il poursuivi.

A lire :Alain Juillet; « Le phénomène ovni échappe à la dimension terrestre »

En décembre 2017, le Département de la Défense a reconnu avoir financé jusqu’en 2012, date officielle de son achèvement, un programme secret d’un coût de plusieurs millions de dollars destiné à enquêter sur les observations d’ovnis.

Les trois vidéos « FLIR, » « GOFAST » et « GIMBAL » peuvent être téléchargées à partir du site internet du « Naval Air Systems Command ».

Comment le négationniste Patrice Seray défend le pédophile Serge Rodallec

Je viens de trouver tout un dégueulis public de Patrice Seray me concernant sur sa page Facebook associée à son forum « Ufo Scepticisme » (voir copies ci-dessous).

Il est suivi de commentaires de sa clique de « sceptiques » où l’on retrouve bien entendu Jean-Marc Donnadieu, qui encore une fois me menace d’une expédition meurtrière à mon domicile avec son ami Michel Piccin, comme il l’a déjà fait à maintes reprises depuis l’été dernier.

Patrice Seray explique assez clairement ses motivations pour ces nouveaux propos publics diffamatoires à mon encontre, du 24 avril 2020 : il s’agit d’un lien hypertexte menant vers mon blog et ses contenus qu’il qualifie mensongèrement de diffamatoires à son égard et celui de ses divers complices, mais principalement ceux de la sphère prétendument « sceptique », ce lien ayant été inclus dans un commentaire d’un ufologue de Metz sur un forum d’ufologie dénommé « Les Mystères des Ovnis ».

Manifestement, il a demandé à l’administratrice de ce forum la suppression du lien hypertexte qui le dérangeait et ne l’a pas obtenue avant d’avoir publié ce gros dégueulis.

Aussi, il l’a menacée de plainte à la gendarmerie, sachant qu’il avait déjà déposé une plainte pour diffamation visant mon blog.

Cette plainte existe réellement, j’en ai été informée par sa gendarmerie le 10 février dernier et en ai déjà parlé, en précisant que son auteur avait menti aux gendarmes à plus d’un titre, ce qui est grave.

Entre autres choses, je ne l’ai jamais diffamé, ni lui ni sa compagne ni aucun de ses amis ou complices « sceptiques » ou autres.

Tout ce que je publie les concernant n’est que stricte vérité, ce qui ne les empêche pas de déposer à mon encontre des plaintes mensongères, toujours dans le but de tenter de me faire taire et de réaliser au passage des escroqueries au jugement similaires à celles que Jean-Marc Donnadieu a déjà réussies à l’encontre de mon ancien hébergeur de blog OverBlog à compter de l’année 2011.

L’ufologue de Metz auquel ils reprochent d’avoir cité mon blog, et avec lequel je n’ai aucune relation, aurait écrit :

« Je vous conseille un blog régulièrement alimenté… Ou l’on retrouve une sorte de vengeur masqué qui dévoile au grand jour comment fonctionne la nébuleuse extrémiste pseudo-sceptique. Le moteur de recherche intégré permet de rentrer vos requêtes en tapant les nom et pseudo notamment de trois individus d’US. (nomdublog).com (à recopier dans votre navigateur) ».

Non, je ne suis pas une sorte de vengeur masqué, je suis victime d’une quantité hallucinante d’infractions pénales commises en bande organisée par les personnes que je cite, et contre lesquelles, tout simplement, je me défends publiquement, sachant qu’elles répandent toutes leurs calomnies à mon encontre auprès d’innombrables autres personnes qui me sont totalement inconnues.

Toutes ces personnes, pour peu qu’elles soient à la recherche de la vérité, peuvent ainsi très facilement en prendre connaissance dans mes textes publics, à l’aide desquels je me lave donc quelque peu de toutes les inventions calomnieuses que ces harceleurs d’habitude diffusent très largement à mon encontre.

Quand, comment et pourquoi tout cela a-t-il commencé ?

Je l’explique dans de nombreux textes :

M’étant inscrite sous pseudonyme parfaitement anonyme sur le site Rue89 en 2007 pour y commenter quelques articles d’actualité, j’ai eu le malheur dans l’un de mes commentaires de 2008 d’évoquer l’affaire de l’ancien psychiatre brestois et pédophile notoire Serge Rodallec en y incluant des liens hypertextes menant vers les articles des deux journaux locaux (Ouest France et Le Télégramme) qui en fin d’année 2007 avaient publié des comptes rendus d’audiences lors de ses premiers procès pour des viols et agressions sexuelles de nature pédophile commis sur plusieurs de ses anciens patients handicapés mentaux, de jeunes garçons.

Le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque m’était alors tombé dessus avec toute sa clique de « déconnologues », comprenant notamment Jean-Marc Donnadieu et ses amis « sceptiques », et tous ces gens-là ne m’ont depuis lors jamais lâchée, m’accusant d’avoir « diffamé » leur ami Serge Rodallec en l’accusant de pédophilie, mais il avait déjà fait l’objet de plusieurs condamnations pour de tels faits et je me contentais de relayer des articles de presse les relatant. A cette époque, l’intéressé était en cavale depuis l’automne 2005. Il sera retrouvé en Thaïlande sous une fausse identité au mois de janvier 2010, puis ramené en France, rejugé et recondamné aux assises et en correctionnelle, en première instance et en appel. Lors de ces nouveaux procès, clamant son « innocence » en dépit de tous les éléments de preuve accumulés à son encontre, il s’est bien plaint d’avoir été selon lui « diffamé » par les articles de la presse locale qui jusqu’en 2007 avaient évoqué les premières procédures engagées à son encontre. C’est donc bien sa plainte que relayaient tous ses amis de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis 2008, lorsqu’ils m’accusaient de l’avoir « diffamé » en relayant sur le site Rue89 en 2008, puis sur le site le Post en 2010, et enfin sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, tous ces articles de presse prétendument « diffamatoires » à son égard.

Or, c’est bien encore ce dont m’accuse aujourd’hui Patrice Seray, quoique Serge Rodallec ait bien été recondamné lors de tous ses nouveaux procès depuis son retour en France :

« Il est nécessaire de dire que le blog cité dans le texte vomitif du quidam est tenu par une personne qui, non contente de s’en prendre à des gens d’obédience sceptique, (mais pas que) les qualifie de tellement de comportements condamnables que cela en devient risible pour toute personne équilibrée. Même la présidence et le personnel du Tribunal dont elle dépend est accusé de faits graves, tout comme des médecins notamment ceux d’un service de psychiatrie. Elle raconte en outre que plus aucun avocat ne veut la défendre. »

Non, je n’accuse pas plusieurs médecins, notamment ceux d’un service de psychiatrie, de « comportements condamnables », il n’y a guère que l’ancien psychiatre brestois et pédophile notoire Serge Rodallec que j’aurais soi-disant « diffamé » dans les conditions qui viennent d’être rappelées ci-avant.

Par ailleurs, j’accuse effectivement des magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest – mais pas tous – de comportements hautement condamnables, puisque j’affirme notamment, preuves à l’appui, d’une part, qu’ils multiplient les faux en écriture publique à mon encontre au profit et/ou sur ordre de mes harceleurs de la bande du pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis que ceux-ci ont commencé à me harceler en 2008 et qu’en conséquence j’ai dû porter plainte contre eux à de multiples reprises, et d’autre part, qu’ils interdisent aux avocats du Barreau de Brest de me défendre contre cette bande de malfrats, allant à cet effet jusqu’à harceler ceux qui acceptent néanmoins de le faire, et ce, jusqu’à ce qu’ils cèdent et me laissent choir.

En revanche, je n’ai jamais dit que plus aucun avocat ne voulait me défendre et rappelle à cet égard avoir été bien défendue à Rennes et à Paris, c’est-à-dire hors d’atteinte des magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest.

Enfin, Patrice Seray prétend que les quatre « ufosceptiques » que je cite dans mes textes publics, à savoir lui-même, sa compagne et ses amis et complices Jean-Marc Donnadieu et Michel Piccin, travailleraient tous pour des organismes de l’Etat, ce qui rendrait impossible ou mensongère toute accusation à leur encontre pour des faits délictueux ou criminels…

Je suis désolée mais tout cela est encore totalement faux et ne vise à l’évidence qu’à impressionner ou intimider les esprits faibles ou simples d’esprit qui constituent l’auditoire habituel des quatre compères « ufosceptiques », dont aucun ne brille, ni par l’intellect, ni par une grande moralité.

D’une part, tout fonctionnaire commettant un crime ou un délit reste bien évidemment toujours passible de poursuites et condamnations pénales à raison de tels faits et doit même être poursuivi et condamné en cas de charges suffisantes à cet effet, comme tout autre citoyen.

Et d’autre part, ces quatre personnes, soit n’ont jamais été, soit ne sont plus fonctionnaires depuis longtemps.

En effet, pour autant que je sache, le seul d’entre eux qui ne soit pas encore en retraite est le plus jeune, Jean-Marc Donnadieu, lequel ne travaille plus pour aucun service public depuis qu’il a quitté son ancien emploi de brancardier et agent des services hospitaliers de l’hôpital de Béziers, en juin 2004 selon le CV qu’il a mis en ligne en 2013, ou en 2002 à en croire ce qu’il a récemment écrit à ce sujet sur sa page Facebook – j’ignore quand il a menti dans ce cas précis.

 

N.B. : Etant encore calomniée publiquement par ces crapules qui de surcroît ne cessent de me menacer de mort, j’exerce ici mon droit de réponse le plus légitime.

 

https://www.facebook.com/groups/UFOSCEPTICISME/permalink/2185873368226041/

Comment le négationniste Patrice Seray défend le pédophile Serge Rodallec dans AC ! Brest
Petit billet d’humeur en guise de mise au point à propos d’un faquin en mal de reconnaissance :
Il y a des gens particulièrement abjects et ignobles, prêts à répandre des propos diffamatoires simplement parce que vous avez osé émettre une contradiction, un avis divergeant, une approche différente en ufologie. Je vais vous parler ici de cette frange de l’ufologie qui, je le rappelle, n’est pas une science, n’est pas une filière universitaire débouchant sur un diplôme quelconque, non, juste une activité de loisirs. En outre, cette frange de l’ufologie recèle en elle-même énormément de fadaises, concentre tous les biais cognitifs connus, pour bien peu de faits vérifiables et de raisonnements étayés.
Le dernier en date des représentants de cette frange de l’ufologie fut un temps administrateur d’un forum qui se retrouve du coup, entaché de la prose malhonnête du quidam et, de fait, peut avoir une responsabilité pénale pour n’avoir pas supprimé un lien hypertexte vers un blog tenant des propos diffamatoires et objet d’une plainte acceptée pour ce motif avec enquête de gendarmerie en cours. En effet, en matière de responsabilité pénale, l’auteur d’un lien hypertexte peut être condamné s’il a agi en connaissance de cause. Il s’agit d’un délit. Cette responsabilité peut être retenue pour des cas de complicité par aide ou assistance de la réalisation d’un délit tel qu’un délit de diffamation, d’incitation à la haine raciale, etc.
A partir du moment où l’administration du forum a été avertie d’un tel lien hypertexte, il lui appartient soit de le supprimer, soit de le maintenir et ainsi de prendre la responsabilité des suites potentielles juridiques, ce que je regretterais à titre personnel, mais je ne suis pas seul incriminé.
La phrase de l’ufologue, qui est l’objet de ce billet d’humeur est celle-ci :
« Je vous conseille un blog régulièrement alimenté… Ou l’on retrouve une sorte de vengeur masqué qui dévoile au grand jour comment fonctionne la nébuleuse extrémiste pseudo-sceptique. Le moteur de recherche intégré permet de rentrer vos requêtes en tapant les nom et pseudo notamment de trois individus d’US. (nomdublog).com (à recopier dans votre navigateur) ».
Accusé par des propos mensongers me concernant ainsi que ma compagne et deux autres ufo-sceptiques, de faits délictueux infâmes, l’ufologue, par cette phrase, atteste de la véracité de ce qui devrait nous valoir d’être emprisonnés, tout simplement, et pourtant, ce n’est pas le cas. L’ufologue en question, mettant souvent son intelligence en avant, n’aurait pas pensé un seul instant à ça ? Il n’aurait pas pensé que, plusieurs des personnes citées dont moi, travaillant pour des organismes d’Etat, nos casiers judiciaires devaient et doivent être vierges des exactions reprochées ? S’il avait ne serait-ce qu’un doute, (ce qui aurait déjà été vexant) pourquoi ne nous a-t-il pas demandé un extrait de ces casiers judiciaires ? Pour ma part, je me serais fait un plaisir de le lui transmettre ! Je ne parle qu’en mon nom. Mes « co-accusés » n’ont peut-être pas mon approche apaisante eu égard à la nature des propos diffamatoires.
Mais non, cet ufologue se vautre dans la même fange que beaucoup de l’ufologie française et il le fait de façon pernicieuse. Il est nécessaire de dire que le blog cité dans le texte vomitif du quidam est tenu par une personne qui, non contente de s’en prendre à des gens d’obédience sceptique, (mais pas que) les qualifie de tellement de comportements condamnables que cela en devient risible pour toute personne équilibrée. Même la présidence et le personnel du Tribunal dont elle dépend est accusé de faits graves, tout comme des médecins notamment ceux d’un service de psychiatrie. Elle raconte en outre que plus aucun avocat ne veut la défendre. Plus d’avocat mais des ufologues oui à partir du moment où ses propos sont de nature à discréditer des ufo-sceptiques, voire tous ceux susceptibles de les empêcher de se hisser à la place de leaders de l’ufologie. C’est mon avis au vus de la lecture de leurs productions sur internet.
En ufologie, les exoticiens parlent souvent d’un état particulier de conscience et bien en voilà un ! La « bonne » conscience est mise au rebut bien loin pour laisser la place à ce qu’il y a de plus vil chez un individu.
Je l’ai souvent dénoncé et je le recommencerai à chaque occasion : Pour une partie de la lunatic-fringe, les OVNIs’ c’est vital. Par ce sujet ils existent, pensent avoir une certaine importance, une aura, une existence valorisante, être supérieurs à ceux qui doutent, à ceux qui n’adhèrent pas aux hypothèses exotiques qu’ils promeuvent. Si en effet ce sujet est tout à fait intéressant, doit-on en arriver à salir par mensonges interposés, diffamations, attaques ad-personam, quelqu’un dont on ignore tout en dehors du champ de l’ufologie ? Ces ufologues-là sont peu nombreux je les compare à des pitbulls enragés (pardon aux pitbulls) s’ils pensent que le scepticisme peut leur faire de l’ombre (à eux et à leurs hypothèses). Pour moi, c’est peut-être maladif lorsque je vois ce que vient de faire cet ufologue qui a quasiment dépassé le pire produit par les ufologues.
J’espère pour le monde ufologique que ceux qui ont lu les nombreux messages de ce Monsieur, qui est allé jusqu’à proposer une pétition pour faire cesser l’activité du GEIPAN et a vomi sa haine en de multiples messages, se poseront la question de la valeur de ces arguments quand il en présentait.
Je demande ici, toujours à titre personnel puisque je rappelle que je ne suis pas le seul mis en cause par des propos diffamants et par le relai de ceux-ci grâce à un lien hypertexte, de ne pas condamner la totalité du forum en question, qui est connu du monde des sceptiques et des tenants-croyants pour des raisons diverses et variées. Les membres n’y sont pour rien même si certains ne contestent pas les messages orduriers. Je refuse de faire l’amalgame qui est trop souvent de mise lorsqu’un membre d’un « clan » est attaqué. Pour ma part, je ne dénonce que l’attitude infâme, dégradante, honteuse, méprisable et basse du sieur qui fut un temps administrateur du dit forum et qui ne l’est plus depuis quelques semaines mais apparait toujours comme membre « titré ». Jamais je n’ai vu un sceptique s’abaisser aussi salement pour tenter de détruire sans aucune espèce de procès et de preuve un tenant-croyant (non péjoratif je le redis encore). Ce billet d’humeur est fait ici par obligation. J’ai pris contact avec une administratrice afin de faire cesser cela et d’ôter les propos concernés de leur forum en consultation avec son administration et de faire un rappel à l’ordre. J’ai peu de doute sur une saine réaction car cette personne, croyante certes, n’est pas dans ce type de comportement.
Commentaires
  • Michel Piccin
    Michel Piccin Il est pas brestois celui là aussi ? Moi je dis ça c’est juste pour savoir s’il n’y a pas un « nid » de ce côté là.
    Au fait, ça fait quel effet d’être devenu la cible de comploteux à deux balles ?
    Moi je m’en fous puissance 10… Pour l’instant.
    Après…
  • Patrice Seray
    Patrice Seray Le fait d’être une cible ne me gêne aucunement à partir du moment ou les faquins respectent au moins ton intégrité, ce qui n’est pas le cas de celui-là. Dans son message (vomir) il parle même de « pizza » en relation avec des lieux de pédophilie ! Le Pizzagate est une théorie conspirationniste prétendant qu’il existe un réseau de pédophilie autour de John Podesta, l’ancien directeur de campagne d’Hillary Clinton, par le biais de diverses interprétations et constructions, notamment en rapport avec une pizzeria et des courriels privés divulgués par WikiLeaks1. Cette théorie du complot a émergé sur internet, et particulièrement sur les sites 4chan et Reddit, en novembre 2016.Cette théorie a rapidement été démontée par les services de police, et les médias américains. Ces derniers ont par ailleurs souligné la rapidité et l’emprise que peuvent avoir des constructions collectives comme le Pizzagate sur le rapport qu’entretiennent les individus avec les faits et la vérité. Tu comprends pourquoi j’ai fais ce billet.
  • Patrice Seray
    Patrice Seray Finalement le membre a été banni mais pour d’autres raisons que celle-ci, du moins pas que pour celle-ci ! Je considère que ce forum a bien fait son travail, il faut le reconnaître. Souhaitons qu’il retrouve à présent la place qu’il mérite. Clos pour moi.
  • Francine Cordier
    Francine Cordier oui, bof, j’apprends que le membre banni prétend qu’il l’a été pour cette unique raison. Ce serait bien que l’administration du forum fasse une mise au point publiquement, même sans le citer, en expliquant que le membre dernièrement banni a contrevenu à diverses reprises aux règles du forum, depuis des mois et qu’il a été prévenu par l’administration plusieurs fois. Sans quoi, il ne va pas se gêner pour répandre ses accusations mensongères.
  • Val Tony
    Val Tony Francine franchement les admins n’ont pas forcément le temps de rentrer dans tant de détails…Le gars est banni, de toute façon nous étions pas mal à ne pas être du tout d’accord avec sa façon de faire, même s’il faisait bcp de post qui animaient le forum, Loreline à été très patiente et pedago… Maintenant c’est fait, Loreline à tout effacé et je penses que vous savez très bien que ce gars ne représentait pas le forum dans sa grande globalité, maintenant je penses que c’est une affaire qui ne concerne plus le forum MO… Repartons sur la base du respect mutuel avec nos opinions différentes sur le sujet certes mais un échange (qd cela est nécessaire ou souhaité) constructif. Nous savons de tte façon que sur quelques points clef nous ne nous entendrons jamais…tant qu à ne pas être d accord soyons le avec bon humeur et avec le moins de sarcasmes possibles !!
  • Patrice Seray
    Patrice Seray Je comprends Francine qui a lu le message du membre en question. C’est en effet… heu ? particulier, disons le comme ça. Je suis pour clore le débat et rester sur une ligne constructive. Et, qui sait, avec des débats en effet où le respect malgré les convictions reste le maître mot. Si je réagis de manière systématique aux attaques sur nos personnes c’est juste parce que je n’aime pas les mensonges et sous-entendus. C’est peut-être pas la manière idoine, mais j’ai le sang chaud enveloppé d’une grande gentillesse. J’accepte la contradiction, si on me montre mes erreurs, sans être pris pour un con. Merci Val Tony.
  • Patrice Seray
    Patrice Seray Je cloture le fil. Si quelqu’un veut dire quelque chose, un Mp et je l’ouvre si c’est dans le respect.

Patrice Seray a désactivé les commentaires pour cette publication.

 

UFO%2BSCEPTICISME%2BSeray%2Bd%25C3%25A9gueulis%2B-%2Bwww.facebook.com dans Calomnie

Affaires Epstein et Matzneff : des procédures toujours en cours…

… et qui viennent de faire reparler d’elles…

Du coup, mon article le plus lu aujourd’hui est celui-ci, du 1er avril dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/01/affaire-matzneff-lancienne-ministre-michele-barzach-complice-du-pedophile/

En effet, Le Monde a informé ses lecteurs d’un interrogatoire de l’ancienne ministre le 2 mars dernier (voir ci-dessous).

Si les victimes d’Epstein ne lâchent rien outre-Atlantique, il convenait bien de dire deux mots d’une procédure française… quoiqu’elles semblent actuellement toutes au point mort…

Mes harceleurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi – qui s’avère être un fan de longue date de Gabriel Matzneff – ayant toujours agi à mon encontre pour une bonne part au profit de l’ancien psychiatre brestois pédophile Serge Rodallec, je rappelle ici que les faits de pédocriminalité pour lesquels cet individu a été condamné plusieurs fois aux assises et en correctionnelle, à savoir des viols « thérapeutiques » commis sur plusieurs de ses jeunes patients handicapés mentaux, ressemblent étonnamment à ceux de l’affaire du Coral dans laquelle furent notamment cités Gabriel Matzneff et Jack Lang, plusieurs fois ministre de la Culture à compter du 22 mai 1981 alors que le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi dit avoir effectué dans ce ministère un service civil de deux ans comme objecteur de conscience et y avoir toujours conservé de bons amis et complices, notamment le conservateur du patrimoine aujourd’hui à la retraite Alain Pougetoux, ayant longtemps logé au Château de Joséphine de Beauharnais, à Rueil-Malmaison, dont il était conservateur.

Voir ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_Coral

Le psychiatre du Coral s’appelle Alain Chiapello et est âgé de 35 ans en 1982 :

 

https://www.lemonde.fr/archives/article/1982/10/20/trois-responsables-du-coral-ont-ete-ecroues-un-professeur-d-universite-entendu-par-la-police_3106651_1819218.html

Trois responsables du Coral ont été écroués Un professeur d’université entendu par la police

 

Publié le 20 octobre 1982 à 00h00 – Mis à jour le 20 octobre 1982 à 00h00

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Les trois personnes impliquées dans l’affaire de mœurs du centre le Coral à Aimargues (Gard), un  » lieu de vie  » pour enfants et adolescents en difficulté ont été inculpées, lundi 18 octobre, par M. Michel Salzmann, juge d’instruction à Paris, d’  » attentat à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de quinze ans et excitation de mineurs à la débauche « . Elles ont été écrouées. MM. Claude Sigala, trente-neuf ans, codirecteur du centre, Alain Chiapello, trente-cinq ans, médecin psychiatre, et Jean-Noël Bardy, vingt-six ans, avaient été arrêtés mardi 12 octobre par les enquêteurs de la brigade des stupéfiants et du proxénétisme de la préfecture de police de Paris et du S.R.P.J. de Montpellier agissant sur commission rogatoire de M. Salzmann.

Il y a une quinzaine de jours, la B.S.P. interrogeait, à Paris, dans le cadre d’une enquête sur un trafic de revues pornographiques d’enfants entre la France et les Pays-Bas, M. Claude Krief, vingt-cinq ans, qui devait reconnaître, dans un lot de photographies publiées, plusieurs enfants pensionnaires du Coral. Claude Krief décrivait ce  » lieu de vie  » comme l’endroit où des pédophiles venaient régulièrement retrouver des mineurs. Il livrait également aux enquêteurs une liste de noms dans laquelle figuraient plusieurs intellectuels parisiens, un chargé de mission et un ministre de l’actuel gouvernement (le Monde du 19 octobre).

Sur plusieurs de ces photographies, où l’on ne voit que des enfants et dont le caractère pornographique serait évident, on reconnaîtrait le mas le Coral où auraient eu lieu ces rencontres. Les policiers de la B.S.P. se sont alors rendus à Aimargues, où ils ont procédé à une perquisition sans résultat, mais où ils ont pu recueillir des témoignages d’enfants et les aveux de M. Bardy confirmant certaines accusations de M. Krief. M. Bardy aurait toutefois invoqué pour sa défense des méthodes  » thérapeutiques nouvelles « . Lundi 18 octobre, M. René Schérer, professeur de philosophie à l’université de Paris-VIII, a été longuement entendu par les services de la préfecture de police et serait, ce mardi 19 octobre, toujours gardé à vue. De son côté, l’association des parents des enfants pris en charge par le Coral a vivement protesté, lundi 18 octobre, l’arrestation des trois responsables de l’institution et décidé d’organiser, s’ils n’étaient pas libérés rapidement, une manifestation devant les murs de leur prison.

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Est également cité dans cette affaire un magistrat conseiller de la secrétaire d’Etat à la famille Georgina Dufoix :

« Jean-Claude Krief transmet aux policiers une liste de personnalités, politiques ou intellectuelles dont il prétend qu’elles sont liées à l’affaire du Coral. Jack Lang, alors ministre de la Culture, fait partie des personnes citées, de même que le magistrat Jean-Pierre Rosenczveig, conseiller au cabinet de la secrétaire d’État à la famille Georgina Dufoix1,10,11. Jean-Pierre Rosenczveig, connaissance de Claude Sigala, avait, peu de temps auparavant, préparé à l’attention de Georgina Dufoix un dossier proposant la reconnaissance officielle par les DDASS du Coral et des autres lieux de vie du même type7. »

Par ailleurs, l’ancienne ministre de la Santé Michèle Barzac ayant été présidente de l’UNICEF France de 2012 à 2015, on rappelle que cette organisation est également entachée par plusieurs affaires de pédophilie ayant notamment mis en cause le médecin « psychiatre » Michel Mesureur (voir ci-dessous).

 

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/le-prince-andrew-accule-nouveau-rebondissement-dans-laffaire-epstein_447328

Le prince Andrew acculé : nouveau rebondissement dans l’affaire Epstein

 

Voir les photos de Prince Andrew

 

Nouvelle péripétie dans l’affaire Epstein. Les avocats des victimes demandent à ce que leur soient fournis tous les détails des contacts entre le milliardaire américain et le prince Andrew, accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des mineures.

 

La période de confinement n’empêche pas à la justice américaine de poursuivre son travail. Au grand désespoir du prince Andrew. Le fils cadet d’Elizabeth II est mis en cause dans le cadre de l’enquête sur l’un de ses amis, Jeffrey Epstein, accusé de trafic de mineures et mort en prison en août 2019. Si le duc d’York refuse pour l’instant toute collaboration avec le procureur en charge de l’affaire, les victimes d’Epstein n’ont pas encore dit leur dernier mot. Leurs avocats continuent de rechercher des preuves de son implication. C’est pourquoi ils ont demandé à ce que leur soient fournis les détails des contacts entre le milliardaire américain et le prince Andrew, dévoile le Daily Mirror. Ce nouveau rebondissement pourrait mettre à mal la défense de l’ex-mari de Sarah Ferguson, dont l’un des alibis a déjà été récemment mis en doute.

Dans les documents demandés, l’accusation veut avoir tous « les SMS ou emails » et « les appels entrants et sortants » entre les deux amis, mais également le détail des visites du prince Andrew dans les différentes résidences de Jeffrey Epstein. Objectif : savoir si le fils de la reine a commis des actes sexuels répréhensibles, notamment sur la période durant laquelle il aurait eu des rapports avec Virginia Roberts, alors âgée de 17 ans. Cette dernière affirme que le 11 mars 2001, elle a été contrainte d’avoir des relations sexuelles avec le duc d’York, après avoir été emmenée à Londres par avion.

Une « tentative cynique », selon l’un des amis du prince Andrew

Pour un ami du prince Andrew, interrogé par le tabloïd britannique, cette décision des représentants de l’accusation est une « tentative cynique des avocats américains pour maintenir leur affaire sous les yeux du public ». Les avocats des victimes demandent également les vidéos de caméras surveillance des différentes résidences d’Epstein. De son côté, le duc d’York, contraint de se retirer de la vie publique, continue de nier les faits qui lui sont reprochés et s’est refusé, par l’intermédiaire de son porte-parole, à tout commentaire.

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

 

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/ghislaine-maxwell-ancienne-compagne-de-jeffrey-epstein-attaque-ses-heritiers-20200319

Ghislaine Maxwell, ancienne compagne de Jeffrey Epstein, attaque ses héritiers

 

    • Par Le Figaro avec AFP
      Publié le 19 mars 2020 à 20:06

       

      Ancienne compagne et employée de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell a attaqué en justice les héritiers du financier décédé, affirmant n’avoir rien su des agressions sexuelles dont il était accusé.

       

      Dans un document déposé devant la Cour supérieure des Iles Vierges, territoire américain dans lequel Jeffrey Epstein possédait plusieurs propriétés, Ghislaine Maxwell réclame la prise en charge de ses frais d’avocats, ainsi que des dépenses engagées pour sa protection personnelle et sa mise en sûreté.

      «Maxwell n’avait pas connaissance des infractions supposées de Jeffrey Epstein et n’y a pas pris part», affirme l’assignation, qui a été versée au dossier le 12 mars. Le financier américain s’est suicidé dans sa cellule le 10 août 2019. La fille du magnat des médias Robert Maxwell a été accusée par plusieurs femmes d’avoir joué un rôle important dans le réseau de jeunes filles entretenu par Jeffrey Epstein, qui aurait agressé sexuellement plusieurs d’entre elles.

      La justice américaine s’intéresse à Ghislaine Maxwell, mais ne l’a pas mise en cause formellement jusqu’ici. Dans son assignation, cette femme de 58 ans indique avoir été employée par Jeffrey Epstein de 1999 à 2006 «au moins», à la gestion de plusieurs propriétés du financier américain.

      Elle assure que le New-Yorkais, dont l’origine exacte de la fortune demeure mystérieuse, lui a promis, oralement et par écrit, de continuer à la soutenir financièrement y compris après la fin de leur relation de travail.

      Ghislaine Maxwell affirme que l’administrateur des biens de Jeffrey Epstein l’a également assurée de son soutien financier, notamment pour faire face aux actions en justice intentées par des victimes présumées du financier américain. Elle dit avoir reçu plusieurs menaces de mort, qui l’ont amenée à recourir à un service de protection et à se mettre en lieu sûr. Un courrier à l’administrateur, envoyé en novembre dernier, est resté sans réponse, selon le document de justice.

      Ghislaine Maxwell a notamment été accusée d’avoir contribué à permettre au prince Andrew d’avoir des relations sexuelles contraintes avec une des jeunes filles, alors mineure, du réseau de Jeffrey Epstein. Le procureur fédéral de Manhattan, Geoffrey Berman, a récemment accusé le prince Andrew d’avoir «fermé la porte à toute coopération» avec la justice américaine dans l’enquête sur Jeffrey Epstein.

       

    • Affaire Jeffrey Epstein: la maladroite défense du prince Andrew
    • Le financier Jeffrey Epstein, soupçonné d’agressions sexuelles, s’est suicidé en prison

 

https://www.7sur7.be/show/le-jour-ou-l-amitie-entre-jeffrey-epstein-et-harvey-weinstein-a-vole-en-eclats~a11c77f9/

Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell à la fête d'anniversaire de la princesse britannique Beatrice.

Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell à la fête d’anniversaire de la princesse britannique Beatrice. © The Sun / News Licensing
 
Le jour où l’amitié entre Jeffrey Epstein et Harvey Weinstein a volé en éclats 
 

Pendant des années, Harvey Weinstein et Jeffrey Epstein ont été les meilleurs amis du monde. Puis brusquement, leur amitié a pris fin quand Weinstein s’est entiché d’une des favorites de son ami. C’est du moins ce qu’a écrit l’avocat d’une des victimes de Jeffrey Epstein, Brad Edwards.

Rédaction 31-03-20, 09:02 Dernière mise à jour: 09:39 Source: The Daily Blast, Page Six

 

“Weinstein était dans l’appartement d’Epstein en France”, a écrit l’avocat dans son nouveau livre. “Il se faisait faire un massage par une des filles d’Epstein et, bien entendu, il lui a fait des avances. Mais la jeune fille a refusé et Weinstein l’a insultée. Harvey ne savait pas qu’elle était l’une des favorites d’Epstein et il a considéré que ce refus était un manque de respect. À ce moment-là, Jeffrey est entré dans la pièce. Il a crié sur Harvey et il l’a foutu dehors. Il lui a clairement dit qu’il ne pourrait plus jamais revenir”.

Brad Edwards tiendrait cette histoire de Jean-Luc Brunel, un agent de mannequins français contre qui une plainte pour harcèlement sexuel avait été déposée. “J’ai entendu différentes versions de cette histoire”, poursuit Brad Edwards. “Et des années plus tard, j’ai entendu Epstein lui-même à ce sujet. Il décrivait Harvey comme un porc”.

Jeffrey Epstein et Harvey Weinstein ont été amis pendant des années. Jeffrey Epstein utilisait sa connexion avec le producteur pour impressionner des filles et leur offrir des rôles dans des films, rapporte le Daily Blast. Il aurait notamment permis à une ancienne étudiante en massothérapie d’obtenu un rôle dans le film d’horreur “Feast”.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/jeffrey-epstein-aurait-continue-a-sevir-jusqu-en-2019-16-01-2020-8237253.php

Agressions sexuelles sur mineures : Jeffrey Epstein aurait continué à sévir jusqu’en 2019

 

 

Jusqu’à son arrestation, en juillet dernier, le milliardaire pédophile aurait continué à abuser des jeunes filles, certaines de 12 ans, dans sa résidence des îles Vierges. Il était pourtant inscrit au fichier des délinquants sexuels.

 

 Jeffrey Epstein, photographié le 28 mars 2017 par les services judiciaires de la justice de l’Etat de New York.

Jeffrey Epstein, photographié le 28 mars 2017 par les services judiciaires de la justice de l’Etat de New York. REUTERS/New York State Division of Criminal Justice Services
Par J.Cl.
Le 16 janvier 2020 à 09h03, modifié le 16 janvier 2020 à 11h01 

 

On le savait, Jeffrey Epstein n’avait pas cessé ses agissements après sa condamnation en 2008, pour des accusations minorées d’incitation à la prostitution. Au contraire, le financier américain continuait de rabattre ou faire rabattre par des jeunes filles d’autres adolescentes pour étancher ses pulsions pédophiles. Cela malgré son inscription au registre des délinquants sexuels.

Arrêté au retour d’un séjour à Paris, inculpé en juillet 2019 d’agressions sexuelles par le procureur fédéral de Manhattan, le sexagénaire s’est pendu dans sa cellule le 10 août, à New York.

La procureure des îles Vierges a déposé mercredi une réquisition pour demander la saisie des biens du milliardaire, qu’elle accuse d’avoir agressé sexuellement des mineures dans l’archipel jusqu’en 2019. Epstein possédait deux îles privées dans l’archipel des îles Vierges, Little St. James et Great St. James.

 

Une vue aérienne de Little St. James, la propriété d’Epstein aux îles Vierges. Reuters/Marco Bello

Une vue aérienne de Little St. James, la propriété d’Epstein aux îles Vierges. Reuters/Marco Bello  

 

C’est la première fois que la justice est saisie de faits postérieurs à 2005. Le recours, déposé mercredi et consulté par l’AFP, couvre une période allant de 2001 à 2019.

« Un vaste réseau de traite d’êtres humains »

Lors d’une conférence de presse mercredi, Denise George a indiqué avoir ordonné une enquête sur Jeffrey Epstein peu après sa prise de fonctions, en mai 2019. Celle-ci a montré que le financier avait organisé un « vaste réseau de traite d’être humains, et d’abus sexuels de jeunes femmes et de mineures ici, aux îles Vierges », territoire américain qui ne fait pas officiellement partie des Etats-Unis. Pour cacher ces activités, Jeffrey Epstein aurait utilisé un montage complexe impliquant une série de sociétés et de fondations, toujours selon Denise George. Qui a affirmé que les plus jeunes victimes présumées étaient âgées de 12 ans au moment des faits. Plans de vol à l’appui, Epstein et ses complices faisaient acheminer les jeunes filles, âgées de 12 à 17 pour la plupart, par avion, à bord de son jet cyniquement surnommé « Lolita Express ». Ils leur faisaient miroiter des opportunités de carrière, notamment dans le mannequinat.

Plusieurs jeunes femmes auraient tenté de s’échapper de l’île de Little St. James. L’une, âgée de 15 ans, était partie à la nage. Selon la magistrate, les fugitives étaient récupérées par l’équipe de Jeffrey Epstein.

La procureure demande la saisie de tous les biens ayant pu servir, dans son « entreprise criminelle », à cet homme dont la fortune personnelle, aux origines mystérieuses, atteindrait plus de 570 M$ (520 M€). Plusieurs actions en justice ont déjà été entamées au civil, principalement par des victimes présumées de Jeffrey Epstein, qui réclament des dommages-intérêts. L’ancien financier jet-setteur n’a qu’un héritier connu, son frère Mark.Parallèlement, plusieurs enquêtes sont en cours, aux Etats-Unis et en France notamment pour tenter d’établir d’éventuelles complicités. La justice américaine s’intéresse notamment à l’ancienne compagne de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell, et au Français Jean-Luc Brunel.

 

https://www.dna.fr/faits-divers-justice/2020/04/27/affaire-matzneff-une-ancienne-ministre-entendue-dans-le-cadre-de-l-enquete

Affaire Matzneff : une ancienne ministre entendue dans le cadre de l’enquête

 

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Gabriel Matzneff en juillet 1990. Photo Pierre GUILLAUD/AFP

 

L’ancienne ministre de la Santé de Jacques Chirac, Michèle Barzach (1986-1988), a été entendue début mars comme témoin dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Matzneff, rapporte Le Monde.

Elle aurait, en tant que gynécologue, prescrit la pilule à des adolescentes que l’écrivain lui ramenait à son cabinet.

Gabriel Matzneff parle d’ailleurs plusieurs fois de l’ancienne ministre dans ses ouvrages. Il raconte qu’elle agissait en toute connaissance de cause, comme l’a repéré Le Monde : « Nous y sommes allés avec la crainte d’être critiqués, sermonnés, aussi avons-nous été très agréablement surpris. Michèle Barzach est une jeune femme douce, jolie, attentive, qui à aucun moment n’a cru devoir faire la morale à ce monsieur de 37 ans et à sa maîtresse de 15. Elle a, je pense, tout de suite compris que nous formons un vrai couple, que nous nous aimons. »

L’écrivain Gabriel Matzneff, 83 ans, est visé par une enquête pour « viols sur mineur » de moins de 15 ans, après la parution en janvier du roman autobiographique Le Consentement de Vanessa Springora. Elle y dénonce sa relation sous emprise avec l’écrivain alors qu’elle était mineure. Leur « relation » a débuté alors qu’elle avait 13 ans et lui 49.

Michèle Barzach « agissait en toute conscience »

En mars, une deuxième victime a fait connaître publiquement son histoire : Francesca Gee, 62 ans, a passé trois années auprès de l’écrivain, alors qu’elle avait 15 ans et lui 37. Elle a notamment raconté comment il a utilisé, contre son gré, son image et ses lettres dans ses écrits, y compris son essai défendant la pédophilie Les Moins de seize ans.

Francesca Gee a, selon Le Monde, confirmé aux enquêteurs avoir vu « 5 ou 6 fois en 3 ans » Michèle Barzach en tant que gynécologue, durant les années 1970. C’est d’ailleurs d’elle dont parle Matzneff dans l’extrait cité précédemment.

L’écrivain aurait ramené, dans les années qui ont suivi, d’autres adolescentes au cabinet du Dr Barzach.

Michèle Barzach n’a pas souhaité répondre aux sollicitations du Monde mais, le quotidien du soir précise que l’ancienne ministre a « fait savoir, par ses proches, qu’elle agissait en toute conscience. »

Après avoir géré le début des années Sida en France, Michèle Barzach a notamment été élue en 2012 à la tête d’Unicef France, l’agence des Nations unies chargées de défendre les droits de l’enfant. Elle quittera son fauteuil en 2015.

 

https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/04/27/affaire-matzneff-l-ancienne-ministre-de-la-sante-michele-barzach-entendue-par-la-police_6037931_4500055.html

Affaire Gabriel Matzneff : l’ancienne ministre de la santé Michèle Barzach entendue par la police

 

Selon nos informations, l’ex-ministre de la santé de Jacques Chirac a été auditionnée en tant que gynécologue ayant prescrit la pilule aux jeunes filles que l’écrivain lui amenait dans son cabinet.

Par Stéphanie Marteau et Dominique Perrin Publié hier à 20h45, mis à jour à 08h29

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Michèle Barzach annonce la création d'une fondation sur le SIDA, à Paris, le 27 novembre 1986.

Michèle Barzach annonce la création d’une fondation sur le SIDA, à Paris, le 27 novembre 1986. FREDERIC REGLAIN / GAMMA-RAPHO

 

L’affaire Matzneff n’en finit pas de rattraper les personnalités du monde littéraire et politique, sans épargner les plus solides réputations… En arrivant à Nanterre, le 2 mars dernier, Michèle Barzach, 76 ans, s’est prestement engouffrée dans les locaux de l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), le service de police chargé de l’enquête pour « viols sur mineurs de moins de 15 ans » qui vise l’écrivain Gabriel Matzneff. Le nom de l’ancienne ministre de la santé et de la famille de Jacques Chirac (de 1986 à 1988) est cité à plusieurs reprises dans deux ouvrages du sulfureux auteur, tous minutieusement épluchés par les policiers. Selon nos informations, les enquêteurs ont pourtant attendu quelques semaines avant d’entendre, comme témoin dans l’affaire de pédophilie qui secoue le microcosme parisien, cette ancienne figure de la droite libérale, sociale, auréolée d’un engagement sans faille dans la lutte contre le sida et dans l’humanitaire.

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Le scandale a éclaté en janvier, lors de la parution du livre de Vanessa Springora, Le Consentement (Grasset). La quadragénaire, devenue éditrice, y raconte dans le détail sa relation avec Matzneff, en 1986, alors qu’elle avait 14 ans et lui 49. Encouragée par ce premier témoignage et l’­ouverture d’une enquête, à la demande du parquet, une autre ancienne victime présumée de l’écrivain, Francesca Gee, a, à son tour, décidé de rompre le silence dans le New York Times, dénonçant l’emprise que Matzneff a exercée sur elle pendant trois ans à partir de 1973, lorsqu’elle avait 15 ans, et lui 37… C’est cette dernière, aujourd’hui âgée de 62 ans, qui a confirmé aux enquêteurs, le 20 février, le rôle que jouait Michèle Barzach, alors gynécologue avenue Félix-Faure, à Paris, dans le 15e arrondissement : au début des années 1970, la doctoresse, en toute connaissance de cause, prescrivait la pilule à des jeunes filles mineures que Matzneff mettait dans son lit.

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Beaucoup, en réalité, avait déjà été dévoilé par Gabriel Matzneff lui-même dans plusieurs de ses récits. Dès 1991, dans Élie et Phaéton, la partie de son « journal intime » qui couvre la période 1970 à 1973, il racontait son inquiétude, au bout de trois mois de relation avec la très jeune Francesca : « J’achète un truc à la pharmacie pour savoir si on attend un bébé ou non. Francesca sèche l’école, vient chez moi faire le test. Ouf ! c’est négatif. Toutefois, il faut que nous trouvions un gynécologue qui accepte de lui prescrire la pilule sans prévenir sa mère. Si nous tombons sur un médecin réac, hyper-catho, c’est fichu. » L’écrivain est un mondain, connecté au Tout-Paris. À l’automne 1973, après quelques coups de fil, Matzneff emmène Francesca prendre un café près des Champs-Élysées avec une connaissance, la journaliste Juliette Boisriveaud.

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L’UNICEF, cette formidable association qui accueillait dans ses locaux le CRIES où se tournaient des films pédophiles

 

Publié par wikistrike.com sur 3 Mai 2013, 10:43am

Catégories : #Social – Société

L’UNICEF, cette formidable association qui accueillait dans ses locaux le CRIES où se tournaient des films pédophiles

 

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Pour aborder la question de ces réseaux pédophiles qui n’existent pas, on a déjà vu rapidement l’affaire Dutroux, celle du Var, celles de Zandvoort, du réseau pédophile anglais, d’Outreau… On va aujourd’hui parler un peu en profondeur du CRIES (pour « Centre de Recherche et d’Information sur l’Enfance et la Sexualité »), un groupuscule de pédophiles qui s’amusait à tourner des films pédophiles, notamment dans les locaux de l’UNICEF à Bruxelles. Les peines ont été a minima, et bien sur un bon paquet des inculpés ont récidivé.

 

Les CRIES, c’est quoi ?

Le centre a été fondé par Philippe Carpentier, ancien traducteur au parquet de Bruxelles, au début des années 80. A cette époque pas si lointaine où les pédophiles revendiquaient, comme les homos, la « liberté sexuelle », oubliant que leurs partenaires sont des mineurs. D’ailleurs, ces mouvements de pédos veulent aussi abaisser la majorité sexuelle, mais bref.

Carpentier était un vieil amant du pasteur Doucé, ce pédo qui a disparu entre les mains des RG français en juin 1990, probablement parce qu’il connaissait quasiment tout le monde dans les circuits pédocriminels de l’époque.

Le CRIES était donc un centre destiné à faire du lobbying pour la cause des pédos, par exemple en banalisant l’acte sexuel avec les enfants qui, selon eux, s’épanouissent dans les rapports sexuels avec de vieux pervers. Dans leur langue, ça donne : « une relation amoureuse faite de tendresse et de sensualité épanouie peut être pour les jeunes, quel que soit leur âge ou leur sexe, une expérience éminemment positive, si elle est vécue dans la liberté, à l’abri de toute forme de contrainte, mais aussi à l’abri des interdits et de la culpabilité que notre société attache encore trop souvent à la sexualité ». Ces types prennent leurs fantasmes pour des réalités, et ils sont complètement dingues : « Si les enfants aujourd’hui nous fascinent, c’est que nous désirons retrouver à leur contact toute la richesse du vécu de l’enfance, par-delà notre propre jeunesse ». Bien sûr, ils vous diront qu’ils ne font que répondre aux avances des gamins, et que si les choses se passent mal (pour eux ou pour l’enfant ?), c’est parce que l’entourage des enfants ne comprend rien à cet « amour ».

Toutes ces théories fumeuses se retrouvaient dans la revue du CRIES intitulée « L’Espoir ». Mais le CRIES, c’est surtout un réseau de distribution et de tournage de films pédopornos, de photos, et de prostitution de mineurs.

On a retrouvé 4.000 photos pédopornos lors de diverses perquisitions, mais seulement 25 victimes âgées de 5 à 16 ans. La plupart étaient là avec le consentement de leurs parents, mais pas tous. Et quand bien même, il fallait condamner les parents au lieu, comme on va le voir, de les acquitter systématiquement. L’affaire a été jugée en correctionnelle en mars 1988, c’est-à-dire comme s’il s’agissait de simples délits, au lieu d’être jugée aux assises puisque les viols d’enfants sont des crimes.

On a aussi retrouvé 800 noms de clients, certains comme le suisse Beat Meyer, ou Jean-Marc Houdmont ont été interrogés mais beaucoup n’ont jamais été dérangés, comme Jean-François Makhlouf, qui a tenu une maison pour enfants des rues à Katmandou. 17 personnes ont finalement comparu en 1988, devant le tribunal correctionnel, car on a estimé qu’il ne s’agissait « que » d’attentats à la pudeur et d’outrages aux mœurs sur les enfants. Autrement dit, aucun de la douzaine de pédophiles impliqués n’aurait jamais touché aucun enfant, bien que certains étaient déjà des récidivistes.

 

L’affaire médiatique

17 personnes ont été jugées en première instance. Une douzaine de pédophiles qui s’échangeaient enfants et photos, et quelques parents.

Des parents qui ont prêté leurs enfants à des pédos avec une rare complaisance, qu’ils soient débiles ou appartenant aux catégories aisées. Et qui finalement n’ont pas eu de condamnations.

En première instance Carpentier avait pris 9 ans fermes, Weber 10 ans, Drieghe et Felu 8 ans, Delporte 6 ans, Mesureur 4 ans, mais Verbeek le patron de l’UNICEF n’avait pris que 2 ans de sursis, ce qui n’a pas empêché le quotidien Le Soir de qualifier cette peine de « lourde ». En appel, Verbeek a été carrément acquitté. Carpentier n’a pas eu de chance, il a ramassé un an de plus et est mort en prison. Drieghe et Felu ont pris deux ans de plus, Jacque et Decré aussi.

D’après André Rogge, un détective embauché par le commissaire bruxellois Yves Zimmer pour enquêter sur le CRIES, l’affaire du CRIES ne devait pas aboutir, car Zimmer lui a dit que certains clients sont très haut placés. D’ailleurs, il semble que Jean-Paul Dumont, pédophile impliqué dans le réseau pédophile d’élite belge, et qui a à son actif plusieurs meurtres d’enfants, était l’avocat de certains des accusés parmi lesquels Georges Dessy, qui n’a finalement pas été envoyé au tribunal.

Claude Drieghe, présenté comme un producteur de films, est un récidiviste. Selon l’acte d’accusation du procès en première instance en 1988, et l’accusation se fait toujours a minima, on lui reprochait des attentats à la pudeur (avec violences ou menaces) sur deux mineurs de moins de 16 ans et d’outrage aux mœurs sur 3 autres. Il a pris huit ans en première instance, 10 en appel, et est sorti au bout de cinq ans.

Olivier Ralet a pris un an de sursis et n’a fait que deux mois de préventive. Il est passé entre les mailles du filet parce que les seuls jeunes avec lesquels on a pu prouver une relation avaient 18 ans lors des relations qui ont été prouvées. Donc il n’a pris son sursis que pour incitation à la débauche, pour les photos.

Jean Claude Weber a pris 10 ans en première instance pour attentats à la pudeur avec violences ou menaces sur mineur de moins de 16 ans et de plus de 16 ans (7 victimes officielles). Au moment du procès, il était déjà en prison à Montpellier, où il avait pris 6 ans. Il a été extradé et a pris 9 ans en 1991 pour l’affaire du CRIES. Lui aussi était récidiviste : il avait déjà été condamné en mars 1982 par la cour d’appel de Bruxelles, à quatre ans de prison pour attentats à la pudeur avec violences. Toutefois, le tribunal l’avait qualifié en 1988 de « pervers » et de « danger social ».

C’est Weber –qui était membre du Mouvement pour la libération des pédophiles- qui avait soufflé à Carpentier l’idée de créer la revue Espoir, et il a laissé le CRIES s’en occuper puisqu’il était en prison. Ensuite, il est passé pour le « directeur artistique » du CRIES.

Marc Van den Bossche profitait de ses activités de scoutisme pour avoir des relations sexuelles avec deux frères de 14 et 16 ans que leur père lui confiait régulièrement. Mais bizarrement, le tribunal a estimé qu’ils étaient « capables de manifester leur consentement ». Du coup, on a considéré qu’il ne s’agissait pas de viols. Et vanden Bossche a même obtenu une réhabilitation en 1993, ce qui l’a probablement aidé à pouvoir devenir infirmier. Et ce qui interdisait à la justice t’en tenir compte pour des dossiers ultérieurs qui, on va le voir, ne manqueront pas de survenir.

Christian Jacque, qualifié de pédophile « sadique », a « incité » son fils « à la débauche », ainsi que d’autres enfants. On a retrouvé chez lui des images le montrant en train de violer des gosses, mais bizarrement, on n’a retenu contre lui aucun viol. Il était le « bras droit » de Carpentier au CRIES, et avait déjà été condamné en 1985 pour pédophilie, par le tribunal correctionnel. Il a pris six ans de prison en première instance et 8 en appel.

Michel Felu  a pris 8 puis 10 ans en appel –le maximum en correctionnelle- et était récidiviste (il avait été interné sans procès puis libéré). D’après l’acte d’accusation, « la cheville ouvrière des échanges d’enfants paraît en l’espèce être Michel Felu qui est de toutes les parties, de tous les voyages, principalement en compagnie du prévenu Michel Decré ». Pourquoi n’a-t-on retenu contre lui que des attouchements ? Les magistrats ajoutent « Le CRIES apparaît à la lumière des éléments de la procédure être en fait une couverture pour un circuit de prostitution de jeunes enfants ». Pourquoi n’a-t-on pas retenu la prévention de proxénétisme contre les prévenus ?
Quoi qu’il en soit, Felu réalisait au minimum des albums photos des enfants, diffusés via le réseau CRIES, mais aussi le réseau Spartacus ou encore celui du pasteur Doucé qui disait appartenir à la Grande Loge de France (mais en aurait été radié en 1982), tous en interconnexions. Les pédos n’avaient plus qu’à choisir leur victime, et il semble qu’on pouvait les fournir puisqu’il est question de voyages de Felu.

Pierre Delporte a pris 6 puis 8 ans, il était aussi en récidive. Mais après sa libération, il a continué à ramener des garçons au domicile familial, afin de les violer. Il a été qualifié d’intelligent, violent et pervers.

Jacques Delbouille, fossoyeur d’un cimetière communal qui se faisait passer pour écrivain public et père de famille, a pris un an mais n’a fait que cinq jours de préventive. En fait, il a seulement été condamné pour rébellion et détention d’arme non déclarée. Ce qui est quand-même très peu.

Michel Decré, juriste et traducteur qui a travaillé au ministère de la justice, avait pris sept ans en appel. Il faut dire qu’on lui reprochait d’avoir organisé des partouzes, au cours desquelles des enfants n’étaient donc pas violés puisque la justice a estimé que là encore, il ne s’agissait que d’attouchements et d’attentats à la pudeur avec violences, y compris sur mineurs de moins de 10 ans.

Le routier Bernard Vanmeerbeek a pris trois ans de sursis. On a considéré qu’il ne faisait pas partie de la clique du CRIES. Pourtant, comme la plupart des inculpés dans cette affaire, il a recommencé ses saletés.

La mère d’une des victimes, Viviane H., a été acquittée car « les faits reprochés à la prévenue H. doivent être considérés sous l’angle du souci qui habite certains milieux aisés de paraître ‘branchés’ ». Elle a pourtant loué ses deux enfants aux tarés de ce réseau.

Marie Paule H., mère d’un jeune qu’elle a laissé se faire violer par Mesureur (qui vivait chez elle) pendant dans années, parce qu’elle était amoureuse de Mesureur et ne voulait rien voir, n’a pris que trois ans de sursis puis un acquittement. Pourtant, dès les 11 ans de son fils en 1983, elle le confiait chaque week-end à Mesureur, alors qu’elle savait très bien ce qu’il se passait. Elle a même fait placer son fils aîné quand Mesureur est revenu vivre au domicile en 1985, car elle estimait que les problèmes venaient de lui.

En fait, il semble que la base du réseau soit constituée d’un quatuor : Carpentier, fondateur du CRIES, Jozef Verbeek le patron de l’UNICEF Belgique, Felu qui fournissait les enfants et Weber, qui avait un bon carnet d’adresses.

Verbeek a failli se faire coincer (2 ans de sursis en première instance, acquitté en appel) parce qu’il a eu la mauvaise idée d’embaucher un certain Michel Felu, pédophile déjà condamné, comme homme à tout faire. La version qu’a donné la justice est que Felu, qui squattait le sous-sol des locaux de l’UNICEF, avait carrément aménagé un studio de pédopornographie, et que les gamins allaient et venaient dans ce studio pendant des années, sans que Verbeek ne soit au courant de rien.

Les soirs et les week-ends entre 1982 et 1986, des enfants allaient et venaient dans cette cave de l’UNICEF qui sentait le fauve. D’ailleurs, des employés avaient demandé des explications : pourquoi Felu restait-il 24 heures sur 24 h dans ces sous-sols, pourquoi personne ne nettoyait jamais alors qu’en principe c’était sa mission (à tel point qu’une seconde personne a été embauchée pour faire le travail que Felu ne faisait pas), etc. Verbeek n’a jamais donné de réponse. Il « était sourd à toute remarque qui aurait pu remettre en question la présence de Felu au sein de l’UNICEF », lit-on encore. Pourtant, Felu était bien embauché en réinsertion, par pur humanisme, a déclaré Verbeek aux enquêteurs.

Verbeek n’a cessé de se contredire et de donner de fausses explications sur ses liens avec Felu et donc avec tous les autres. La stratégie a payé puisqu’il a donc été acquitté en appel.

Lors des perquisitions au siège de l’UNICEF, des données avaient été effacées des ordinateurs qui servaient au CRIES. Il existait en effet un programme donnant accès à une base de données reprenant tous les enfants victimes du réseau, à laquelle Felu avait accès d’après l’une des victimes. Felu a confirmé qu’un tel fichier existait, mais Carpentier a quant à lui affirmé qu’il n’existait pas de listing d’enfants. On sait aussi que Verbeek a ordonné un grand nettoyage de la cave après une perquisition qui était censée avoir permis de tout embarquer.

Quant aux témoins, ils ont été victimes de pressions de la part de leurs employeurs, y compris les nouveaux chefs de l’UNICEF Belgique, si bien que le tribunal, au lieu de pousser les recherches sur les collusions entre les prévenus et ceux qui font ces pressions, a simplement décidé de cesser de les interroger.

L’enquête aurait du continuer en France, puisque les investigations côté belge ont permis d’établir queMaurice Balland[1], qui dirigeait l’antenne française du CRIES, tenait à jour la liste des enfants victimes du réseau. On sait aussi qu’un certain nombre de clients français étaient dans les listings du CRIES, et même que certains se déplaçaient jusqu’à Bruxelles pour violer des enfants proposés par les pédos liés au studio de l’UNICEF. Ainsi, « les mérites d’un des garçonnets avaient, grâce aux rencontres réalisées au sein des activités du CRIES, dépassé la frontière et décidé un pédophile de nationalité française à venir à deux reprises en Belgique pour faire sa connaissance et enfin, passer une nuit en sa compagnie au domicile et avec l’assentiment intéressé des parents de l’enfant », est-il écrit dans l’acte d’accusation du procès du CRIES. Cet enfant et sa sœur étaient voisins de Michel Felu et celui-ci les louait à qui voulait, cela pendant des années.

Mais, la Belgique n’a jamais jugé utile de transmettre le dossier aux autres pays concernés.

 

Ils ont refait parler d’eux

Michel Mesureur, ancien membre du CRIES, médecin « psychiatre » et pédophile, ami de Carpentier, s’est fait attraper en 1997 pour détention d’images pédopornographiques (il a pris un an de sursis), puis il s’est à nouveau retrouvé sur le banc des accusés en 2008, 20 ans plus tard. Mesureur bénéficie d’une grande clémence de la justice : l’époque du CRIES déjà, il n’avait fait que deux ans de prison, la moitié de sa peine, et a même obtenu sa réhabilitation par la suite.

En 2006, le FBI avait découvert un site appelé « little boy », sur lequel des belges faisaient marcher leur carte de crédit. Parmi eux, Mesureur, placé sous mandat d’arrêt en juin 2006.  Il a pris… 1 an ferme !

Claude Drieghe passe pour une victime de la cause sur Boywiki (et dans L’Espoir), un portail pédophile « soft » qui vise surtout à faire de la propagande. Il avait déjà été condamné en 1982 pour des faits similaires et libéré en conditionnelle en avril 1985. Directement à sa sortie, il a commencé à recruter des ados pour faire des films, et organisait des répétitions qui finissaient en orgies. Condamné à 10 ans pour l’affaire du CRIES, il a fui en Thaïlande dès sa libération conditionnelle après cinq ans de taule, en 1987[2]. Et il est allé directement à Pattaya chez son ami Michel Rosoor. Pattaya c’est une ville qui ressemble à un bordel géant pour vieux amateurs de chair fraiche, le paradis des pédophiles.

En 2009, il était défendu par deux ténors du barreau belge quand il a été accusé d’avoir tenu des bordels avec des mineurs en Thaïlande. Une quarantaine de victimes étaient recensées. Il tenait ces bordels avec son ami pédo Michel Rosoor, et avait été expulsé en 2002 quand les autorités Thaïlandaises ont découvert cette activité et le dossier a été transmis à la justice belge. Drieghe a lui aussi bénéficié d’une grande bienveillance de la justice : en 2011, il avait été condamné à six ans fermes pour avoir prostitué des dizaines d’enfants dans ses bordels thaïlandais, mais n’avait pris que cinq ans en appel et a été acquitté en cassation ! Au final, il n’a presque jamais été en prison, malgré trois procédures pour les mêmes faits.

Le dénommé Michel Rosoor est très intéressant. Il a été cité dans le dossier du CRIES par Weber qui disait lui envoyer des vidéos, mais n’a jamais été inquiété dans cette affaire. Il a pris la fuite avant d’être arrêté pour comparaitre pour les bordels à Bruxelles.

Avant cela, lors de l’affaire CRIES, les flics apprennent que Rosoor tenait un commerce de poissons exotiques[3]qui permettait de faire transiter des quantités de cassettes pédophiles. Dans les années 70 et 80, Rosoor était probablement protégé, puisque c’est lui qui fournissait les enfants pour les partouzes de la région bruxelloise.

En 1997 il est cité devant le tribunal de Draguignan pour un réseau de trafic d’enfants asiatiques et roumains et diffusion de pédopornographie avec six autres accusés. Des documents trouvés trois ans plus tôt chez un curé du Var portaient sur la création d’un orphelinat en Roumanie, ainsi que des cassettes avec des actes de torture et de barbarie contre des enfants, sur lesquelles on identifie Rosoor. Le principal inculpé, un certain Chabanne va déclarer connaître Michel Rosoor comme étant « un riche pédophile belge, résidant à Pattaya en Thailande, qui informe régulièrement les amateurs d’enfants sur les possibilités de tourisme pédo-sexuel en Asie et envoie des photos de mineurs ». En outre, un proche de Rosoor a déclaré que le pédo se vantait de bien connaître Dutroux.

De fait, selon un témoin interrogé en février 1997 dans le cadre de l’affaire Dutroux, Rosoor était alors un « pédophile notoirement connu en Thaïlande », et était en relation avec Dutroux. D’après ce témoin, Rosoor envoyait des enfants en Norvège sous prétexte d’adoption. En outre, d’après le PV, Rosoor « dit qu’il ne craint rien en Belgique car il a des appuis ». Etrangement, dans le sommaire de tous les PV, l’agent Pourbaix qui a interrogé le témoin a mis « pas de lien avec Marc Dutroux ».

Mais il n’est pas à son procès.

Olivier Ralet a été condamné à un an de sursis pour le CRIES puis a été acquitté. Lors de l’enquête sur Dutroux, une perquisition a été effectuée chez lui à Bruxelles. On y a trouve de « nombreuses photos artistiques d’enfants nus » de 8 à 16 ans, dont la plupart fréquentaient l’école Decroly et pour lesquelles les parents étaient d’accord, du moins la plupart du temps. Ralet s’est fait connaitre dans cette école parce qu’il y faisait les photos de classe. Entendu en août 1996, il a expliqué être totalement innocent dans l’affaire du CRIES. Il explique : « un certain Philippe Carpentier qui avait créé le CRIES m’avait demandé de recevoir chez moi en 1983 un certain Michel Decré qui voulait voir des photos de mon exposition [de nus d’enfants] à l’ULB en 1978. Comme il s’agissait d’un personnage malsain que j’avais mis à la porte de chez moi, lorsqu’il a été arrêté dans le cadre de l’affaire du CRIES, il a fait une déclaration selon laquelle il pensait que j’étais pédophile ». Les photos saisies lors de l’affaire du CRIES ont à nouveau été saisies en 1998, tout simplement parce que la justice les lui avait rendues !

Jean-Claude Weber, qui avait prévenu en 1991 qu’il recommencerait s’il n’était pas « soigné », a en effet recommencé : en 2007 il a été condamné à Bruxelles à 10 ans de prison, ainsi que 10 ans de mise à disposition du gouvernement (= internement) pour « viols sur un mineur de 15 ans et d’attentats à la pudeur avec violences et menaces sur 10 hommes, tout juste majeurs »

Marc Vanden Bossche, devenu entre temps infirmier, n’avait pris que du sursis dans le dossier du CRIES. En 1998, on a retrouvé sur ses ordinateurs 10 millions de fichiers pédopornographiques. Encore une fois, ce n’est pas à la justice belge qu’on le doit, évidemment. C’est la police brésilienne qui a demandé son extradition en 2010 (refusée) pour des viols sur 13 garçons, et cela de 2002 à 2006. Vanden Bossche avait aussi violé cinq mineurs en Pologne après 2006, et encore cinq en Belgique dans les années 80 et 90 : Vanden Bossche a été sous le coup d’une enquêtepour pédopornographie car, avec un autre pédophile il avait gagné la confiance de parents du voisinage et en profitait pour faire des images. Pour cela, il n’a eu que deux ans de sursis car là encore, on a évité de parler de viols. La clémence envers lui vient très certainement du fait qu’il possède des listes de pédophiles actifs.

Jacques Delbouille, le fossoyeur, a refait parler de lui en 2001 quand il s’est fait avoirpour un trafic d’images pédopornos avecMichel Decré, aussi condamné dans l’affaire CRIES, et deux comparses, Jacques Becker et Dany Deversenne. On a trouvé chez Delbouille et ses copains 15 mètres cubes de matériel pédoporno, bien qu’il ait eu le temps d’en évacuer une partie. D’ailleurs, il avait aménagé des caches pour y mettre les images les plus « hard ». De toute manière, la justice a dit qu’elle n’avait Pourtant, lui et Decré ont été libérés en préventive. A cette époque, Delbouille était entré en politique, et avait été candidat Ecolo aux communales. Delbouille était aussi un proche de Bernard Weinstein, cet ami de Dutroux qui en savait beaucoup sur les enlèvements mais qui a fini assassiné grâce à des tartines de Rohypnol beurrées par Michelle Martin. Mais, Delbouille est passé chez Ecolo après avoir démarré à la Ligue Chrétienne Belge, un groupe de fachos cathos créé en 1992 et auto dissous en 2000 pour lequel Delbouille se disait « conseiller juridique ». Delbouille gardien de l’ordre moral, on rêve !
Delbouille se revendique aussi d’une petite église dissidente du mouvement Hinschiste, un groupe sectaire basé dans le sud de la France, pour lequel il a demandé des privilèges fiscaux confessionnels.

Bernard Vanmeerbeek avait pris 3 ans de sursis dans l’affaire du CRIES. Et voilà qu’en 1999, il prend 10 ans fermes cette fois, pour viols sur quatre garçons de 10 et 11 ans. Comme Felu, il se liait d’amitié avec les parents pour emmener les enfants le week-end, puis pendant les vacances. Il els violait et prenait des photos sado maso. Il a un moment été soupçonné de la disparition de Nathalie Geijsbregts en février 1991.

On a aussi parlé de Jean-Marc Houdmont, ce « cinéaste » recyclé dans le commerce de poissons exotiques, qui avait été interrogé dans le cadre de l’enquête sur le CRIES car son nom figurait dans le carnet d’adresses du réseau. Il a aussi été mêlé à l’affaire de la disparition d’Elisabeth Brichet[4], car il vivait à côté de chez elle et était déjà connu pour ses activités pédophiles. Houdmont fait partie de ces nombreux témoins qui ont eu la bonne idée de mourir avant de témoigner dans l’affaire Dutroux, en l’occurrence d’un accident de voiture en février 1997. Alors que justement, il avait téléphoné aux flics la veille pour faire des révélations. Comme il n’y avait pas de trace de freinage, on a conclu au suicide. Le père d’Houdmont et celui de Dutroux ont vécu à la même époque dans le même village du Congo. On soupçonnait Houdmont de trafic d’images pédo pornos, comme celles qui se trouvaient dans son chalet, incendié en 1990.

Le suisse Beat Meier était aussi sur la liste des clients du CRIES, et pour cela il est arrêté à Douvres en 1987. C’est un pédophile anglais qui a beaucoup de relations, comme Warwik Spinks, un autre pédo anglais qui a trafiqué des gosses en Angleterre, aux Pays-Bas, puis en République Tchèque, et qui en aurait même tué quelques uns. Meier s’est fait attraper pour avoir amené un petit anglais de 12 ans en Suisse, afin de le violer et de le torturer. La scène a été filmée, et les flics sont tombés dessus.

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En conclusion, on observe que huit des inculpés pour le CRIES ont récidivé, et aussi qu’une bonne partie avait déjà des antécédents. On note aussi que le réseau du CRIES était manifestement connecté avec d’autres réseaux tout aussi néfastes, comme celui de Doucé par exemple. L’impunité règne, et ces types une fois en liberté continuent leurs activités, rencontrent d’autres pédos reliés à d’autres réseaux, également protégés, etc. D’où la nébuleuse de réseaux qui s’entrecroisent pour le plus grand malheur des enfants qui servent de matière première à cette industrie  florissante.

 


[1] Curé pédophile, devenu militantnous dit Boy Wiki. Il fut le bras droit du pasteur Doucé, au Centre du Christ Libérateur. Il a accompagné des groupes de jeunes à l’étranger, tout en ayant une liaison suivie avec un jeune garçon.  Lui aussi entre en contact avec les parents pour capter les jeunes qui l’attirent. On peut aussi lire que « De 1976 à1978, il accepte le rôle de vice-président de l’Association Nationale pour la Création de Républiques d’Enfants, créée par trois éducateurs pédérastes pour favoriser l’établissement de communautés éducatives selon les principes libertaires de Janusz Korczac et de l’école de Summerhill ». Il a été arrêté une première fois en 1981 pour détention d’images pédopornos, et pour avoir violé de plusieurs mineurs.  Boys Wiki ajoute que le juge qui s’est occupé de l’affaire « n’a pas voulu l’accabler », et de fait il remet Balland en liberté directement, sous conditions paraît-il.

[2] Et pas question de lui faire faire ses 10 ans pour avoir rompu sa conditionnelle : il y a prescription !

[3] Un autre pédophile, Jean-Marc Houdmont, faisait aussi dans le commerce de poissons exotiques. Quant à Nihoul, il a eu une boite de grossiste en poissons qui permettait de faire les trajets entre Anvers et Bruxelles.

[4] Finalement, c’est à Fourniret qu’on a imputé le meurtre d’Elisabeth Brichet. Alors qu’un autre grand ami de Dutroux, un certain Diakostavrianos, trafiquant de voitures, vivait aussi juste à côté de chez elle.

 

Source: Donde Vamos

 

Jean-Marc Donnadieu, ses amis « sceptiques » et les réseaux pédo-satanistes

Voilà ce que Jean-Marc Donnadieu a posté hier à 18h27 sur sa page Facebook, manifestement en écho à ma dernière publication, celle-ci :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/23/des-avocats-attaquent-la-justice-les-magistrats-sinsurgent-vaste-plaisanterie/

 

Jean-Marc Donnadieu, ses amis

 

Il s’agit de cette vidéo qui venait tout juste d’être mise en ligne sur Youtube et a déjà fait 640 vues :

 

#20 – Les réseaux pédo-satanistes

640 vues
•26 avr. 2020

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Découvrez la face cachée de nos politiciens, la nature et la raison de leurs rituels pédo-satanistes. Certains lanceurs d’alerte ont trouvé des enjeux bien plus vastes à l’existence de tels réseaux, il est temps aujourd’hui qu’éclate la vérité.
Special guests:
- Cédric André
- Corine Fanton Auroy (Exister en liberté),
- François De Siebenthal,
- Stan Maillaud,
- Yan Lopez,
**************************
Plus d’informations: https://www.youtube.com/watch?v=oBZCQ… (avec minutage)

Culpabilité de Yan Lopez: https://drive.google.com/file/d/1fwdP…

Catégorie
Éducation

 

L’auteur de cette vidéo, manifestement un des amis sceptiques de Jean-Marc Donnadieu, a aussi sa page Facebook, qu’il a ouverte le 30 octobre 2018, ici :

https://www.facebook.com/lhistoire.corrigee.1

Il n’a d’ailleurs pas tardé à se féliciter lui-même sur la page de son ami Jean-Marc Donnadieu après que celui-ci eut posté sa vidéo sur sa propre page Facebook…

Histoire de recadrer un peu le sujet avec des propos sérieux et non travestis par un montage malhonnête, je vous invite à visionner et écouter très attentivement cette vidéo où Gilbert Abas, ancien policier des Renseignements Généraux de Toulouse, a la parole :

 

 

Les textes en insertion dans cette vidéo d’Alexandre Lebreton du 5 janvier 2017 sont disponibles ici :

http://mk-polis2.eklablog.com/les-reseaux-satano-pedophiles-par-gilbert-abas-p1236162?noajax&mobile=0

Et voici une présentation de son auteur :

http://mk-polis2.eklablog.com/alexandre-lebreton-p1363462

Voir également cet hommage qui a été rendu à Gilbert Abas le 19 avril 2017 à la suite de son décès :

https://www.lamidesauteurs.fr/hommage-a-gilbert-abas/

Il était né en 1947, comme l’indique cette biographie du 2 février 2014 :

http://fichesauteurs.canalblog.com/archives/2014/02/02/29102291.html

 

2 février 2014

Gilbert ABAS

Biographie
Gilbert Abas est né en 1947. Licencié en Droit, il effectue sa carrière aux « Renseignements Généraux », pendant 30 ans, service qu’il quitte avec le grade de Commandant de Police.
Après un passage au Ministère de l’Intérieur, Place Beauvau, à Paris, il est affecté ensuite à la « Direction Régionale des RG » à Toulouse. (DCRI aujourd’hui). C’est dans ce service de la « ville rose » qu’il obtient rapidement la responsabilité du « service opérationnel photo » et qu’il intègre la nouvelle section créée par Nicolas Sarkozy destinée à lutter contre le terrorisme et les groupes à risques agissant sur le territoire national.
Ses capacités d’observation, sa discrétion, son sens de l’observation et ses initiatives osées lui permettent de rejoindre très vite le groupe actif qui opére au sein de la section spécialisée dans la recherche du renseignement auprès des bandes hostiles et potentiellement violentes. Il a su ainsi pénétrer efficacement les « milieux fermés » particulièrement agressifs et clandestins: L’Islamisme activiste, l’hooliganisme, les skinheads, les sectes et notamment le satanisme en mettant constamment en exergue son talent de policier « fin limier ».
Grâce aux outils dont il disposait: surveillance, planque, filature, recours aux sources humaines (informateurs) et interceptions de sécurité (écoutes administratives), il a pu obtenir des résultats qui lui ont valu de nombreuses lettres de félicitation signées par sa hiérarchie. Petit à petit, spécialisé dans la lutte contre les dérives sectaires, il a surtout focalisé son travail dans un combat difficile contre les gourous de tous poils qui sévissaient dans la clandestinité et l’impunité.
Traumatisé par des affaires particulièrement douloureuses et terrifiantes (suicides d’adolescents, profanations, exhumations de cadavres, mutilation des dépouilles, viols, rapt d’enfants, pédophilie et meurtres…) Il a voulu, dès sa retraite, alerter l’homme de la rue sur les dangers véhiculés par des individus fanatiques et prêts à tout pour étancher leur soif exacerbée par un machiavélisme inimaginable. Il a donc écrit un livre : Qui veut encore tuer le Christ ? qui reprend fidèlement des affaires horribles perpétrées à Toulouse, dans le pays cathare, en France, en Europe ou ailleurs dans le monde. En ce qui concerne le satanisme, tous les faits repris dans son roman sont réels ! Il voulait ainsi dénoncer les pratiques horribles de « l’armée de Satan » et surtout appeler les lecteurs à une vigilance plus efficace. En effet aucune famille n’est à l’abri aujourd’hui de ces « fous de Lucifer » parfaitement structurés en bandes organisées, fédérées à un réseau international, étonnamment désavoué par la presse, la police judiciaire et la justice !
~~~
Résumés
  1. Les coups tordus des services secrets français (Éd. Coëtquen – 2014)
  2. Qui veut encore tuer le Christ ? (Éd. Tatamis – 2012)
Bonne lecture

 

 

Les meilleurs partent toujours trop tôt.

Et bien sûr, Jean-Marc Donnadieu ne fait partie d’aucun réseau pédo-sataniste, non, non, non…

 

A lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/11/24/jean-marc-donnadieu-rend-hommage-au-pedophile-patrick-font/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/01/26/la-theorie-des-faux-souvenirs-ou-comment-jean-marc-donnadieu-defend-les-pedophiles/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/07/comment-jean-marc-donnadieu-sest-encore-fait-remarquer-chez-des-anti-pedophiles/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/28/comment-jean-marc-donnadieu-va-devenir-celebre/

 

Des avocats attaquent la justice, les magistrats s’insurgent… vaste plaisanterie…

Voir article ci-dessous : trois avocats parisiens ont signé mercredi une tribune incendiaire contre toute une corporation de fonctionnaires démissionnaires ou déserteurs en ces temps de pandémie, les magistrats, faisant sortir de leur réserve deux de leurs plus hauts représentants…

Dans le même temps, signes que ce genre de problème n’a pas attendu la crise sanitaire pour se manifester et se faire très cruellement sentir, d’une part, j’enregistre depuis hier sur mes trois blogs un gros regain d’intérêt pour tous mes articles concernant l’affaire de l’assassinat de Jean-Jacques Le Page à Plougonvelin le 24 juillet 2009, et d’autre part, je constate aussi en consultant les statistiques de Satanistique que depuis environ huit jours certains de mes harceleurs parviennent à visiter ce blog avec toute une série de mots-clés improbables concernant des avocats que pour la plupart je n’ai jamais cités dans aucun article :

 

25 mars 2020 – 23 avr. 2020

Mots-clés de recherche

Entrée Pages vues

http://satanistique.blogspot.com/2018/11/?m=1

3

cabinet avocat 15 rue du caire paris 002 language:fr

2

cabinet avocat 33 rue traverse brest language:fr

2

olivier morice avocat cabinet language:fr

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1

avocat calvados droit civil pages jaunes language:fr

1

avocat clermont ferrand ayant gagné aux droits de l homme language:fr

1

avocat droit de la construction benoit lamber language:fr

1

avocat romans sur isere language:fr

1

cabinet avocat 11 rue de la vieille intendance language:fr

1

 

16 avr. 2020 20:00 – 23 avr. 2020 19:00

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cabinet avocat 11 rue de la vieille intendance language:fr

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cabinet avocat 11 rue de la vieille intendance à montpellier language:fr

1

 

 

Puisqu’apparaît dans cette liste la mention d’un avocat de Romans-sur-Isère, je rappelle avoir rapporté dans l’article suivant l’existence d’une polémique ayant quelque peu secoué le Barreau de la Drôme à la suite de l’attentat du 4 avril dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/10/attentat-de-romans-sur-isere-pas-de-revendication-pour-cause-de-confinement/

Or, elle a conduit à la démission du bâtonnier mis en cause précisément mardi (voir ci-dessous).

Vu de Brest, tout cela est évidemment assez surréaliste, puisqu’ici, les « avocats » se trouvent tous pieds et poings liés aux magistrats locaux par un règlement intérieur très très particulier qui leur interdit de les contrarier, raison pour laquelle aucun d’entre eux ne m’a jamais défendue et ne le fera jamais.

Mais je ne suis pas la seule des justiciables français à se voir depuis des lustres quasi interdire tout accès à la « justice » française par des magistrats aussi CORROMPUS que ceux du TGI de Brest et des avocats comme ceux du Barreau de Brest qui en fait ne valent guère mieux, en témoignent notamment deux responsables de l’association Wanted Pedo dans cette émission d’hier que je vous recommande à tous de visionner et bien écouter, aussi longue soit-elle :

 

 

 

 

 

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/des-avocats-attaquent-la-justice-les-plus-hauts-magistrats-du-pays-s-insurgent-20200423

Des avocats attaquent la justice, les plus hauts magistrats du pays s’insurgent

Une tribune de trois avocats accusant la magistrature de déserter la justice, met le feu aux poudres, révélant l’exaspération croissante au sein des tribunaux.

Publié il y a 5 heures, mis à jour il y a 3 heures

 

Une outrance qui passe mal et fait sortir de sa réserve la première présidente et le procureur général près la Cour de cassation, Chantal Arens et François Molins. Trois avocats du Barreau de Paris en l’occurrence Dominique Tricaud, Matteo Bonaglia et Anis Harabi ont signé mercredi une tribune de sang sur Mediapart accusant non seulement les magistrats de se terrer plutôt que de rendre la justice en ces temps troublés, mais en rappelant l’attitude des magistrats pendant l’occupation. En ligne de mire : une justice ralentie, recentrées sur les urgences pénales et qui crispent les avocats, une profession en crise. « Aujourd’hui dans une société qui vacille sous la peur et rêve de dictature, ils devraient rendre la justice c’est-à-dire être le dernier rempart institutionnel des libertés publiques et privées contre l’arbitraire. Ils devraient intervenir dans l’urgence pour sauver des familles que le confinement déchire, protéger des enfants battus. Au lieu de quoi ils se terrent ! », affirme le texte.

 

De quoi engendrer un mouvement de colère rare au sein de ce corps très policé : « Outre le fait que de tels propos sont particulièrement insultants, ils sont inexacts », protestent les deux plus hauts magistrats de l’ordre judiciaire français. « Dans cette période difficile, nous ne pouvons que regretter que par de vaines polémiques, des auxiliaires de justice cherchent ainsi à décrédibiliser notre institution dans une période qui exige, au contraire, qu’autour des valeurs qui nous sont communes, magistrats, fonctionnaires et auxiliaires de justice, nous mobilisions nos énergies dans l’exercice optimal de nos missions ».

 

De son côté, l’Union syndicale des magistrats tente de calmer le jeu en demandant à ce que « tous les acteurs de la justice puissent s’impliquer pleinement dans cette étape de relèvement des tribunaux, qui sortiront encore plus exsangues de cette crise sans précédent ». Olivier Cousi, le Bâtonnier de Paris, ne dit pas autre chose. En faisant remarquer que « les propos de ces avocats n’engagent en aucun cas l’ordre », il insiste sur la nécessité désormais de « laisser là les polémiques. Il est temps au contraire de se retrousser les manches et de travailler à la restauration d’une justice au quotidien digne d’un grand pays ».

» À VOIR AUSSI – La justice française est-elle vraiment indépendante?

Coronavirus: les avocats parisiens assignent la Chancellerie

 

 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-batonnier-de-la-drome-demissionne-apres-la-polemique-sur-l-auteur-de-l-attaque-au-couteau-de-1587464239

Démission du bâtonnier de la Drôme après la polémique sur l’auteur de l’attaque au couteau à Romans-sur-Isère

 

Mardi 21 avril 2020 à 12:55 -
Par , France Bleu Drôme Ardèche

 

Cette démission est du jamais vu au barreau de la Drôme. Elle fait suite à une vive polémique après des propos tenus sur Facebook par le Bâtonnier et deux de ses confrères sur l’auteur de l’attaque au couteau de Romans. Des propos jugés inacceptables par de nombreux avocats.

 

Illustration
Illustration © Radio France – Nathanael Charbonnier

 

C’est une première dans l’histoire du Barreau de la Drôme. Le Bâtonnier Thierry Chauvin a envoyé son courrier de démission ce mardi matin. Un conseil de l’ordre s’est tenu en visioconférence lundi après-midi dans lequel il avait évoqué cette possibilité. Le Bâtonnier et deux autres de ses confrères étaient mis en cause de manière insistante par de nombreux avocats drômois mais aussi français depuis ses propos écrits sur un groupe professionnel privé de Facebook après l’attaque au couteau commise à Romans-sur-Isère le 4 avril dernier.

Propos indignes

Ce jour-là, devant l’horreur des actes commis, et sans doute sous le coup de l’émotion un premier membre du conseil de l’ordre, avocat a Romans, s’en était pris à l ‘ensemble de ses confrères. Il avait traité de « connards » ceux qui voudraient défendre l’auteur de la tuerie. Le Bâtonnier avait commenté qu’il ne « désignerait » d’office aucun avocat pour le défendre et que l’auteur pouvait «crever» où il voulait. Une ex-bâtonnière avait également tenu des propos jugés inacceptables sur la nationalité de l’auteur de l’attaque.

Vives réactions

Immédiatement, de très nombreux avocats drômois mais aussi de la France entière ont condamné ces écrits. Certains s’en sont émus au point qu’un courrier a fini par circuler dans le barreau de la Drôme demandant la démission des trois avocats concernés. Avant même que la demande soit faite de manière officielle, le Bâtonnier a évoqué cette possibilité hier. Après une nuit de réflexion, il a envoyé un courrier à l’ensemble de ses confrères dans lequel il annonce mettre un terme à son mandat. Le Bâtonnier Chauvin avait pris ses fonctions le premier janvier dernier.

Reconnaître son erreur

Thierry Chauvin ne souhaite pas faire de déclaration mais dans sa lettre il souligne qu’en prenant ses fonctions, il souhaitait mettre un terme aux deux années précédentes, et retrouver « l’ambiance confraternelle » que le barreau avait perdue. Il faut préciser qu’en juin 2018 le Bâtonnier précédent avait dû faire face à une vague de dix démissions au sein du conseil de l’ordre, ces avocats lui reprochant une mauvaise gestion administrative de l’ordre. D’où la mauvaise ambiance soulignée par le démissionnaire. Thierry Chauvin poursuit :

« Chacun peut commette une erreur. Certains de mes prédécesseurs en ont commis. »

Il précise : « le plus important est de le reconnaître, s’en excuser et ne pas la renouveler. » Une façon de se défendre qui fait bondir son prédécesseur Ivan Flaud : « Je souhaite rappeler que tout Bâtonnier peut commettre des erreurs, on s’en remet toujours. C’est moins grave que de commettre une faute qui a sali la réputation et l’honneur du Barreau de la Drôme dont j’ai eu l’honneur d’être Bâtonnier pendant deux ans au cours desquels l’image, l’honneur et la dignité du Barreau n’ont jamais été mis en cause ».

Ça aurait dû rester en interne

Thierry Chauvin pointe aussi du doigt, sans le nommer, un confrère à qui il attribue la divulgation des propos à la presse et donc au public. Un sentiment partagé par l’un des pénalistes parmi les plus respectés du barreau Maître Alain fort. Il était sorti de sa réserve habituelle au début de la polémique, pour préciser que : « défendre même le pire des criminels, est l’un des fondements de notre démocratie ».

Ce même Alain Fort déplore aujourd’hui que toute cette affaire ait été rendue publique. « Il aurait mieux valu que tout cela reste en interne au sein du barreau, même si l’issue aurait été la même » précise cet avocat qui plaide depuis 50 ans. « Car en effet la démission du Bâtonnier et de ses deux confrères mis en cause serait sans doute arrivée de la même façon, mais sans éclabousser l’ensemble des avocats drômois aux yeux du grand public ».

Par ailleurs, en démissionnant, le Bâtonnier tente de mettre un terme à la polémique, les propos tenus lui faisant risquer des poursuites, au moins à titre déontologique puisque certains étaient disposés à porter plainte contre lui auprès des instances qui régissent la profession.

 

Tuerie au Canada dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 avril 2020 : au moins 19 morts, encore une influence « sceptique »…

En effet, très bizarrement, ces derniers jours, j’ai enregistré dans les statistiques de Satanistique plusieurs visites pour mon unique article consacré à la tuerie masculiniste du 6 décembre 1989 à Montréal, ce qui n’est pas du tout habituel, cet article du 10 mars 2019 n’ayant jamais intéressé grand monde (voir ci-dessous les trois dernières, des 9, 13 et 14 avril 2020).

Or, la dernière de ces visites, du 14 avril 2020, montre bien que son auteur était également très intéressé par le soi-disant « sceptique » Jean-Marc Donnadieu, comme ne le sont habituellement que ses amis et complices… pour la plupart également masculinistes…

 

 

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https://www.francetvinfo.fr/monde/canada/canada-un-homme-arme-fait-au-moins-16-morts-la-pire-tuerie-du-pays_3925339.html

Canada : un homme armé tue au moins 18 personnes au cours de la pire fusillade de l’histoire récente du pays

 

Le suspect de 51 ans a trouvé la mort lors de son arrestation à l’issue d’une vaste chasse à l’homme d’une douzaine d’heures dans toute la province de Nouvelle-Ecosse.

 

Des policiers inspectent un véhicule alors qu\'un homme armé a fait au moins 16 morts, à Debert, au Canada, dans la nuit du 18 au 19 avril 2020. 

Des policiers inspectent un véhicule alors qu’un homme armé a fait au moins 16 morts, à Debert, au Canada, dans la nuit du 18 au 19 avril 2020.  (JOHN MORRIS / REUTERS)

 

Un homme armé a tué au moins 18 personnes en Nouvelle-Ecosse (Canada). Un précédent bilan faisait état de 16 personnes tuées, dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 avril, en plus du tueur abattu par la police, mais il s’est alourdi lundi. C’est la pire tuerie de ce genre qu’ait connu le Canada.

Le suspect de 51 ans, un prothésiste dentaire, qui s’appelait Gabriel Wortman, selon les médias, a trouvé la mort lors de son arrestation à l’issue d’une vaste chasse à l’homme d’une douzaine d’heures dans toute cette province de l’est du Canada. Lundi, le Premier ministre Justin Trudeau a demandé « aux médias de ne pas utiliser le nom ou les photos de l’auteur de ces actes terribles ». « Ne lui faisons pas ce cadeau, concentrons-nous plutôt sur les victimes et leurs proches », a justifié Justin Trudeau.

« La tragédie n’aurait jamais dû se produire. La violence n’a jamais sa place dans notre pays », a déclaré le Premier ministre canadien. « Bien que la pandémie [de coronavirus] nous empêche » de nous réunir physiquement pour rendre hommage aux victimes, « une veillée virtuelle aura lieu en ligne à 19 heures vendredi [heure locale]«  sur un groupe Facebook, a-t-il précisé.

Un mobile encore inconnu

Cet homme a notamment circulé à bord d’une voiture semblable à celles de la police, portant au moins une partie d’un uniforme de policier. Il a semé la mort en plusieurs endroits, dans des circonstances et pour une raison encore mystérieuses qui ont choqué le pays, où les fusillades de masse sont rares. Ses motivations doivent encore être éclaircies par l’enquête.

« Il est trop tôt pour parler de mobile », a expliqué, lors d’un point-presse, un responsable de la police fédérale de Nouvelle-Ecosse. Plusieurs victimes « ne semblent pas avoir de lien avec le tireur », a-t-il noté. Mais « le fait que cet individu disposait d’un uniforme et d’une voiture de police laisse certainement penser que ce n’était pas un acte spontané ».

Selon les médias locaux, Gabriel Wortman était propriétaire d’un cabinet de prothésiste dentaire à Dartsmouth, près de Halifax. La police a indiqué qu’elle tenterait de déterminer si ce massacre a un lien quelconque avec l’épidémie de coronavirus, qui a entraîné la fermeture des activités non essentielles dans tout le pays.

 

 

 

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/04/19/canada-un-homme-arme-tue-apres-avoir-fait-au-moins-dix-morts_6037110_3210.html

Canada : dix-huit morts dans une fusillade, la plus meurtrière de l’histoire du pays

 

La tuerie a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche en Nouvelle-Ecosse. L’auteur présumé de ces meurtres a trouvé la mort lors de son arrestation, à l’issue d’une chasse à l’homme d’une douzaine d’heures.

Le Monde avec AFP et AP Publié hier à 23h32, mis à jour à 18h14

 

Intervention des forces de police pour abattre l’auteur de la fusillade, dans une station-service d’Enfield, en Nouvelle-Ecosse, au Canada, le 19 avril.

Intervention des forces de police pour abattre l’auteur de la fusillade, dans une station-service d’Enfield, en Nouvelle-Ecosse, au Canada, le 19 avril. TIM KROCHAK / AP

 

Un homme armé a tué au moins 18 personnes pour une raison encore inconnue dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 avril en Nouvelle-Ecosse, au Canada, selon un bilan actualisé annoncé lundi par le premier ministre, Justin Trudeau. Il s’agit de la pire tuerie de ce genre qu’ait connu le Canada.

L’homme de 51 ans, un prothésiste dentaire selon les médias, a trouvé la mort lors de son arrestation, à l’issue d’une vaste chasse à l’homme d’une douzaine d’heures dans toute la province de l’est du Canada, a annoncé la police.

Gabriel Wortman a notamment circulé à bord d’un véhicule ressemblant à une voiture de police, et portait plusieurs éléments d’un uniforme de policier. Il a semé la mort en plusieurs endroits, dans des circonstances et pour une raison encore mystérieuses qui ont choqué le pays, où les fusillades de masse sont rares.

Motivations inconnues

Les motivations de Gabriel Wortman doivent encore être éclaircies par l’enquête. « Il est trop tôt pour parler de motivation », a expliqué lors d’une conférence de presse le responsable des enquêtes criminelles de la police fédérale de Nouvelle-Ecosse, Chris Leather. Plusieurs victimes « ne semblent pas avoir de lien avec le tireur », a-t-il noté. Mais « le fait que cet individu disposait d’un uniforme et d’une voiture de police laisse certainement penser que ce n’était pas un acte spontané ».

La tuerie a commencé samedi en fin de soirée dans la petite commune rurale de Portapique, une bourgade à une centaine de kilomètres de la capitale, Halifax. Plusieurs victimes ont été découvertes devant et à l’intérieur d’une maison où la police a été appelée pour des signalements de coups de feu.

L’auteur présumé de ces meurtres avait pris la fuite à l’arrivée de la police, déclenchant une vaste chasse à l’homme d’une douzaine d’heures dans toute la province. Les habitants de la région ont été priés par les autorités de rester chez eux.

« Violence insensée »

Selon les médias locaux, Gabriel Wortman était propriétaire d’un cabinet d’orthodontie à Dartsmouth, près de Halifax. La police a fait savoir qu’elle tenterait de déterminer si ce massacre avait un lien quelconque avec l’épidémie due au coronavirus, qui a entraîné la fermeture des activités non essentielles dans tout le pays.

Ce massacre est d’ores et déjà le plus grave que le Canada ait connu de toute son histoire. Une policière, mère de deux enfants, fait partie des victimes.

Le 6 décembre 1989, un homme avait tué par balles 14 femmes à l’Ecole polytechnique de Montréal avant de se donner la mort, provoquant ce qui était à l’époque la pire tuerie de masse de l’histoire du pays. Le 23 avril 2018 à Toronto, le conducteur d’une camionnette de location avait tué huit femmes et deux hommes qu’il avait volontairement percutés sur un trottoir d’une artère du centre-ville.

« C’est avec tristesse que j’ai appris l’acte de violence insensé qui a été perpétré en Nouvelle-Ecosse et a coûté la vie de nombreuses personnes, y compris celle d’une membre de la gendarmerie royale du Canada (GRC) », a réagi le premier ministre, Justin Trudeau, dans un communiqué.

Le Monde avec AFP et AP

 

 

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1695510/enquete-lendemain-tuerie-nouvelle-ecosse

Tuerie en Nouvelle-Écosse : au moins 18 victimes et « peut-être plus encore »

 

Un blindé de la police sur la route et des policiers qui interceptent des automobilistes.

Le drame de Portapique, en Nouvelle-Écosse, a fait au moins 18 victimes, toutes des adultes.

Photo : La Presse canadienne / Andrew Vaughan

Radio-Canada

15 h 03 | Mis à jour à 19 h 48

 

Le bilan de la pire tragédie de l’histoire du Canada, survenue au cours de la fin de semaine dans le nord de la Nouvelle-Écosse, fait maintenant état de 18 morts, en plus du tireur. La Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui poursuit son enquête, a cependant prévenu lundi que les nombreuses scènes de crime pourraient mener à la découverte d’autres victimes.

Au total, la GRC a identifié au moins 16 scènes de crime, incluant des incendies, dans la petite communauté de Portapique et ailleurs dans le centre de la province.

Nous pensons avoir identifié toutes les scènes de crime, mais nous n’avons pas pu tout examiner, car, par exemple, il y a cinq incendies de structures. La plupart de ces structures sont des résidences, a expliqué Chris Leather, chef des opérations criminelles de la GRC en Nouvelle-Écosse.

Cette multiplication des scènes de crime fait craindre aux autorités un bilan encore plus lourd que celui annoncé lundi.

Nous pensons qu’il y a possiblement des victimes dans ces maisons brûlées. Cette partie de l’enquête continue.

Chris Leather, chef des opérations criminelles de la GRC en Nouvelle-Écosse

Nous en sommes au début de cette enquête très complexe. Nous continuons à chercher des réponses. Nous avons des équipes qui se chargent des différents processus de l’enquête : entrevue, travail analytique et recherches sur les propriétés du suspect, a indiqué le chef des opérations criminelles.

Les autorités s’intéressent tout particulièrement au fait que le tireur ait eu accès à une copie d’une voiture de patrouille ainsi qu’à un uniforme identique à ceux que portent les agents de la GRC.

[C]ette fausse voiture de police a été découverte tôt le matin et retrouvée sur une scène de crime qui impliquait la constable Heidi [Stevenson]. En ce qui concerne l’uniforme de police, nous ne connaissons pas l’origine. Nous pensons que c’était soit un vrai uniforme ou soit une bonne reproduction. Nous n’avons pas tous les éléments de l’enquête encore, a affirmé Chris Leather.

La GRC a aussi précisé que le suspect connaissait certaines de ses victimes, mais que d’autres lui étaient inconnues.

L’agente de la GRC Heidi Stevenson, qui cumulait 23 ans de service, figure parmi les 18 personnes qui ont perdu la vie. Un autre policier, le constable Chad Morrison, a été blessé par balle, mais on ne craint pas pour sa vie. Ce vétéran qui compte 11 ans de service au sein de la GRC récupère chez lui, s’est réjoui Chris Leather.

 

Le drapeau du Canada flotte moins haut que d'habitude.

Les drapeaux sont en berne sur les édifices du Parlement, à Ottawa, à la suite de la tuerie commise en Nouvelle-Écosse.

Photo : Radio-Canada

 

« Merci pour ce que vous faites »

Le premier ministre Justin Trudeau a profité de sa mise à jour quotidienne sur la crise de la COVID-19, lundi, pour remercier les premiers répondants qui risquent leur vie pour protéger la population.

Vous travaillez déjà très fort à cause de la pandémie. Plus que jamais, on a besoin de vous et par moment, c’est une responsabilité qui peut être lourde à porter, a-t-il reconnu.

Malgré des circonstances exceptionnelles, vous avez fait ce que vous avez l’habitude de faire : vous n’avez pas hésité à risquer votre vie pour sauver celle des autres. De la part de tous les Canadiens, merci.

Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Le premier ministre a également saisi l’occasion pour demander aux Canadiens d’être patients et de laisser l’enquête suivre son cours. Je sais que les gens ont des questions. L’enquête est toujours en cours, mais je peux vous assurer que la GRC et les autorités locales vont vous garder au courant des derniers développements, a-t-il précisé.

Longue chasse à l’homme

Le tireur, identifié comme étant Gabriel Wortman, 51 ans, a été tué après que la police l’eut intercepté dans une station-service d’Enfield, en Nouvelle-Écosse. La police affirme que ce dernier ne semble pas avoir eu de complice.

Sa mort fait actuellement l’objet d’une enquête par un groupe d’enquêteurs indépendant. Il n’était pas connu des autorités, selon la commissaire de la GRC, Brenda Lucki.

 

Un policier se rue vers un groupe de collègues en vêtements d'allure militaire.

Les derniers instants de la traque du tireur, le 19 avril 2020, à une station-service d’Enfield, en Nouvelle-Écosse.

Photo : La Presse canadienne / Tim Krochak

 

Pendant ce temps, la GRC tente de savoir exactement comment la tuerie s’est déroulée.

Les agents disent qu’ils ont d’abord reçu samedi soir des signalements au sujet d’un homme armé dans la petite ville de Portapique, en Nouvelle-Écosse.Les agents y ont trouvé de nombreuses personnes mortes ou blessées, à l’intérieur comme à l’extérieur d’une propriété. Mais l’inspecteur en chef Chris Leather a indiqué que lorsque la police est arrivée, le tireur avait disparu.

Une chasse à l’homme d’une durée de plusieurs heures et une poursuite policière ont suivi dans une partie de la province maritime.

M. Leather a noté que les meurtres semblaient être, au moins en partie, de nature très aléatoire.

Le premier ministre Stephen McNeil a décrit le massacre comme l’un des actes de violence les plus insensés de l’histoire de notre province.

Je n’aurais jamais pensé en allant me coucher hier soir que je me lèverais en apprenant l’horrible nouvelle qu’un tireur était en fuite en Nouvelle-Écosse, a déclaré M. McNeil à Halifax dimanche.

 

 

 

https://www.journaldemontreal.com/2020/04/20/tuerie-en-nouvelle-ecosse-la-grc-fait-le-point

Tuerie en Nouvelle-Écosse: 19 victimes, dont certaines connaissaient le suspect

 

Agence QMI

Lundi, 20 avril 2020 12:55 MISE À JOUR Lundi, 20 avril 2020 14:21

Au moins 19 personnes ont perdu la vie dans la tuerie survenue en fin de semaine en Nouvelle-Écosse, mais d’autres morts sont à prévoir, a prévenu la Gendarmerie royale du Canada (GRC) dans son bilan présenté lundi après-midi.

• À lire aussi: La fusillade la plus meurtrière de l’histoire du Canada

• À lire aussi: Un visage sur la policière qui a perdu la vie

Le suspect, Gabriel Wortman, aurait tué 18 personnes lors d’une cavale qui s’est échelonnée sur une douzaine d’heures. Elle a débuté dans le petit village de Portapique, qui se situe à 40 kilomètres à l’ouest de Truro, en bordure de la baie de Cobéquid.

L’homme de 51 ans qui s’est fait passer pour un policier a parcouru en tout 90 kilomètres avant d’être intercepté et abattu à une station-service d’Enfield, à une trentaine de kilomètres au nord d’Halifax.

Cette rage meurtrière constitue la pire tuerie de masse de l’histoire récente du Canada, devançant les événements de l’École Polytechnique. En effet, la fusillade qui s’est déroulée dans l’université montréalaise en 1989 avait fait 14 victimes et 14 blessés.

Gabriel Wortman aurait incendié sa propre maison et plusieurs autres résidences de son quartier avant de faire feu sur les gens qui sortaient de leurs demeures en panique. Le suspect a ensuite pris la fuite, en se déguisant en agent de police de la GRC.

Dans son point de presse tenu lundi en début d’après-midi, le superintendant de la GRC Chris Leather a précisé que le bilan des victimes pourrait continuer à s’alourdir, puisque 16 différentes scènes de crimes étaient analysées. Les pompiers combattaient aussi cinq feux de structures, notamment dans des résidences, alors que des corps pourraient s’y retrouver.

La GRC compte une victime parmi ses rangs, l’agente Heidi Stevenson qui détenait 23 ans d’expérience dans son domaine. Un autre policier a été blessé, mais on ne craint pas pour sa vie. Le superintendant n’a pas écarté que d’autres agents aient pu subir des blessures.

  • Écoutez l’analyse de Geneviève Pettersen qui revient sur le point de presse de la GRC à QUB Radio:

 

Une cavale meurtrière

Des premiers tirs d’arme à feu ont été entendus à Portapique «samedi en fin de soirée», selon les informations de la GRC. Le service de police s’est ensuite servi de son compte Twitter à 23h32 pour signifier à la population que ses agents enquêtaient et que les résidents devaient se barricader dans leurs demeures.

Plusieurs résidents ont aussi entendu au moins une explosion, alors que des bâtiments ont été rasés et des voitures incendiées. Gabriel Wortman connaissait apparemment plusieurs de ses victimes, habitant lui-même Portapique et étant denturologiste.

À 10h12, heure locale, dimanche matin, la GRC a rapporté que le tireur pouvait être vêtu d’un uniforme des services de police en plus de conduire une réplique des voitures de la GRC. Selon le «Globe and Mail», le suspect aurait stoppé une voiture sur une route de campagne en se faisant passer pour un officier, avant de tuer les occupants du véhicule à bout portant.

Le superintendant Leather a affirmé que la voiture et l’uniforme du suspect étaient des imitations très convaincantes et qu’il n’avait pas encore reçu d’information sur un possible vol de ces items chez un véritable agent de police.

Selon le parcours détaillé en direct par la GRC, le suspect aurait finalement abandonné sa fausse voiture de police pour un VUS Chevrolet. C’est dans ce véhicule qu’il a été appréhendé par la GRC à Enfield, à 11h40.

Toujours selon le «Globe and Mail», Gabriel Wortman a été décrit comme un passionné de la police, lui qui en collectionnait plusieurs souvenirs et plus de retaper à l’occasion des voitures de patrouilles. Selon Nathan Staples, une source du quotidien torontois, le suspect était «obsédé» par la police tandis que sa demeure de Portapique était un «sanctuaire» en hommage à la GRC.

Des réactions de partout au Canada

Au-delà des milliers de réactions d’internautes et de personnalités publiques sur les réseaux sociaux, le premier ministre Justin Trudeau a débuté sa conférence de presse quotidienne à Ottawa, qu’il tient depuis le début de la crise sur la COVID-19, par un hommage aux victimes de la tuerie.

«Aux grands-parents qui ont perdu un enfant – aux enfants qui ont perdu un parent – aux voisins qui ont perdu des amis – mes pensées et les pensées de tous les Canadiens vous accompagnent», a mentionné M. Trudeau.

«Une telle tragédie n’aurait jamais dû se produire. La violence n’a jamais sa place dans notre pays», a-t-il ajouté.

Dans son point de presse quotidien, le premier ministre du Québec François Legault a offert ses condoléances aux victimes. «C’est une tragédie épouvantable», a-t-il dit lundi.

L’Assemblée nationale a d’ailleurs annoncé que le drapeau québécois a été mis en berne sur la tour centrale de l’hôtel du Parlement.

 

Pourquoi Cyprien Luraghi ne va plus dans l’Himalaya

 

 

 

 

 

 

Il l’a dit lui-même dans un de ses billets de blog le 28 juillet 2019 comme dans ses commentaires récents sur Twitter : l’« insipide modernité » avance dans les montagnes comme ailleurs (voir : http://petitcoucou.unblog.fr/2020/04/17/quand-cyprien-luraghi-faisait-du-tourisme-sexuel-dans-lhimalaya/), et avec elle son flot d’humanitaires, d’enseignants et d’enquêteurs en tous genres, même de la police française…

Résultat : tandis que l’illettrisme et l’ignorance reculent chez leurs proies d’habitude, la traque aux prédateurs sexuels s’organise, mettant en danger ces derniers comme ils ne le sont pas encore dans le Lot, en France, où le trafiquant de drogue, pirate informatique et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi a élu domicile voici une trentaine d’années et n’a jamais été inquiété pour aucune de ses nombreuses activités illicites.

 

 

https://www.francetvinfo.fr/monde/asie/seisme-au-nepal/video-envoye-special-nepal-la-traque-des-touristes-sexuels_1600167.html

VIDEO. Envoyé spécial. Népal : la traque des touristes sexuels

 

Frappé l’an dernier par un terrible séisme, le Népal fait face à un afflux de pédophiles. Enquête sur le travail des membres d’une ONG en première ligne dans la traque des prédateurs d’enfants.

 

Frappé l’an dernier par un séisme, le Népal fait face à un afflux de pédophiles venus du monde entier. Une centaine d’entre eux se rendraient régulièrement dans ce petit pays montagneux, grimés en travailleurs humanitaires, pour cibler les nombreux enfants des rues. Face à ces prédateurs, la police locale est peu ou pas formée. Les ONG sont en première ligne. Pendant huit mois, « Envoyé spécial » a suivi le travail d’une femme, Sulakshana Rana, et d’une cellule anti-pédophiles particulièrement efficace. Filatures, tournages en caméra cachée, recueil de témoignages… pour la première fois, le magazine a pu filmer, dans les rues de Katmandou, la traque et l’arrestation de plusieurs Français déjà condamnés par le passé.

Des ressortissants français arrêtés

Avec le commissaire Grossir, un policier français, « Envoyé spécial » a également enquêté sur la façon dont les pédophiles s’échangent des photos de jeunes Népalais sur internet. Le travail du commissaire Grossir a conduit à l’arrestation de 12 Français en trois ans dans la région. Enquête sur la nouvelle destination de prédilection des prédateurs d’enfants.

Un reportage de Camille Le Pomellec, Sébastien Sega.

 

 

https://www.lepoint.fr/monde/au-coeur-d-une-caste-d-intouchables-episode-1-17-08-2015-1957195_24.php#xtmc=lamoureux-nepal&xtnp=1&xtcr=3

Au coeur d’une caste d’intouchables, épisode 1

 

Pendant des siècles, les femmes badis du Népal ont dansé pour les rois, avant de basculer dans le commerce du sexe. Notre reporter les a rencontrées.

 

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Modifié le 14/09/2015 à 17:51 – Publié le 17/08/2015 à 12:19 | Le Point.fr
Communaute badie de Tulsipur, dans le district de Dang.
Communauté badie de Tulsipur, dans le district de Dang.   © Le Point/ Nathalie Lamoureux

 

Nuit sans charme, froide et humide, au pied du Toit du monde. Des chiens qui traînent leur misère, des bus qui fument. Le pschitt des cocottes à dal bhat (plat local).

 

Pourquoi Cyprien Luraghi ne va plus dans l'Himalaya dans Attentats 1955838lpw-1955847-jpg_3054937
Mina Badi, ancienne prostituée, elle rêvait d’un mariage et d’une maison.    © Nathalie Lamoureux Le Point

 

Mina attend dans l’arrière-salle d’un hôtel blafard, où tous les sentiments sont gris, les mots d’amours, rares. Elle resserre doucement un châle autour de ses épaules. Ses yeux sourient. Puis, sans fioriture, elle raconte : « J’ai commencé avant les règles, à dix ans peut-être. Personne ne m’a forcée. Pour manger », mime-t-elle avec sa main. Puis elle reprend sèchement en levant les yeux vers l’ancienne trappe qui desservait les étages. «Les filles se plaçaient contre un mur de la pièce. Les hommes, de l’autre côté. La musique aidant, ils n’avaient plus qu’à choisir. » Comme dans les années 1960, dans les dancings au Groenland.

« Il y avait des beaux, des gentils, des moches, des vulgaires, surtout de hautes castes, des Brahmanes, des Chetris, mais aussi des Magars… Certains venaient à cheval, d’autres, en grosse voiture. » À 17 ans, Mina succombe au charme d’un de ses clients, et tombe enceinte. « Je l’aimais, il me donnait un peu d’argent. Je savais que je ne trouverais pas d’autres hommes et je me suis accrochée à lui. Mais sa femme l’a su et ne l’a plus lâché. J’ai recommencé avec le sexe pour nourrir mon enfant », poursuit-elle. Quelques années plus tard, Mina revoit son client et donne naissance à un second garçon. Elle rêve secrètement d’un mariage et d’une maison. Ses désirs se réalisent, mais sans cohabitation véritable.

L’arbre qui cache la forêt

L’histoire de Mina n’est pas un cas isolé, c’est l’arbre qui cache la forêt. La jeune femme appartient à la communauté badie et, pendant des décennies, les femmes de cette caste d’intouchables ont vendu leurs charmes pour survivre. La communauté badie, estimée à 38 603 habitants, forme l’une des vingt-cinq sous-castes du Népal, la plus basse sur l’échelle de l’intouchabilité, dont on n’accepte ni l’eau, ni la nourriture, ni le contact, ni la proximité. Difficile de saisir, du point de vue de la dualité pur-impur, qui structure la hiérarchie des castes, théorisée par Louis Dumont, comment un Brahmane, qui vit dans l’angoisse de la souillure, puisse copuler avec une intouchable. Sauf à penser que la purification par aspersion d’eau suffit à laver ses écarts et que sa moralité s’arrête au pied du lit. « Les Kamis sont là pour travailler le métal, les Damais pour coudre des habits, les Sarkis pour fabriquer des chaussures, les Badis pour fournir des plaisirs sexuels », explique le sociologue Thomas Cox.

 

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Les désirs de Mina se réalisent mais sans cohabitation véritable.   © Nathalie Lamoureux Le Point

 

« Traiter ces femmes comme autre chose que des objets sexuels est, pour les Brahmanes, les Chetris et les Thakuris (1), une violation des règles de la caste qui porte atteinte au statut social de l’individu supérieur », analyse encore le sociologue.

La réalité est plus complexe. Si les Badis sont intouchables, c’est parce qu’ils fabriquent des tambours, conçus à partir d’éléments organiques. Leur fonction dans l’ordre socio-brahmanique est de divertir, lors des festivals et des mariages, pas de fournir des services sexuels. Par ailleurs, des enfants illégitimes sont nés de ces relations et des mariages intercastes, encouragés notamment par les maoïstes, ont favorisé ce que l’hindouisme rejette par-dessus tout : le mélange des individus. Mais, encore une fois, valeurs, croyances et moralité s’arrêtent au pied du lit…

1) Thakuri, caste royale, descendant des Rajput, rois du Rajasthan, juste en dessous des Chetris (guerriers) dans l’ordre socio-brahmanique.

 

https://www.lepoint.fr/monde/nepal-au-coeur-d-une-caste-d-intouchables-episode-2-24-08-2015-1958868_24.php#xtmc=lamoureux-nepal&xtnp=1&xtcr=2

Népal : au cœur d’une caste d’intouchables, épisode 2

 

Intouchables, mais pourtant à vendre ou à louer… Au cœur du Népal, chez les Badis, la prostitution est une « tradition ». Reportage.

 

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Modifié le 14/09/2015 à 17:50 – Publié le 24/08/2015 à 17:42 | Le Point.fr
Communaute Badi a Lantee dans le district de Salyan. Rassemblement des habitants du village.
Communauté Badi à Lantee dans le district de Salyan. Rassemblement des habitants du village.   © Le Point/ Nathalie Lamoureux

 

Salyan est la terre ancestrale des Badis, dont l’histoire est aussi nébuleuse que celle du Népal ancien. Les scientifiques pensent que les Badis sont venus dans l’ouest du pays depuis l’Inde, vraisemblablement au XIVe siècle. Leur territoire est éclaté en une poussière de petits royaumes, dirigés par des dynasties belliqueuses. Le roi fait appel à des troupes d’artistes pour le divertir, les Badis, déformation de baadak qui signifie joueur de musique. Au fil du temps, les seigneurs usent de leur prestige aristocratique sur le beau sexe. Le roi peut pratiquer ce qu’il interdit, les règles de caste ne s’appliquent pas à sa personne. Cependant, les alliances et naissances qui en découlent, reprouvées par les codes brahmaniques, embarrassent la noblesse, et les Brahmanes ne sont pas toujours disposés à imaginer un artifice de généalogie pour introduire les rejetons dans une caste enviée.

Hors castes et exclus du palais

Les Badis sont donc exclus des palais et poursuivent leurs activités dans la rue. Comme tous les hors-caste, certains travaillaient pour un patron, le bista, et recevaient, en échange, du grain. Après la chute du régime Rana, les notables de l’ouest du Népal perdirent leur pouvoir économique et ne purent continuer à assumer le patronage des Badis, qui, pour survivre, entamèrent une vie de débauche. Le phénomène sera facilité au milieu des années 60 par l’ouverture de nouveaux accès routiers – grâce aux programmes d’éradication de la malaria – vers les villes de la plaine du Terai, ouvrant ainsi un large marché pour le commerce du sexe. Parallèlement, l’émergence de la radio et de la télévision réduisit, de façon drastique, la demande en divertissements traditionnels.

 

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Bahadur Guma Badi et son épouse. Bien que sa vie matérielle se soit améliorée, son statut de basse caste n’a pas changé. Lantee dans le district de Salyan.    © Nathalie Lamoureux Le Point

 

Des huttes de chaume et d’argile

Salyan, sur les premiers reliefs himalayens, est leur terre ancestrale. Dans la brume matinale, les bus Tata multicolores y tracent des courbes vertigineuses, la porte ouverte aux quatre vents. Arrêt en fanfare à Lantee, petit paradis pour aventurier solitaire, aux maisonnettes bleu et ocre, entouré de champs de blé vert, de moutarde et de forêts. « C’est la première fois que l’on voit des Occidentaux », lance Bahadur Guma Badi, dit le « brave ». De la bravoure, il en a fallu à ses ancêtres pour traverser les montagnes fragiles, peu habitées, chahutées par les rivières en crue, les glissements de terrain. « Ma famille cherchait une rivière pour pêcher, car nous n’avions pas le droit de posséder des terres. On vendait des tambours. On mendiait auprès des hautes-castes. »

Les Badis vivaient dans des huttes de chaume et d’argile. Des villages leur étaient affectés. « Mais les villageois nous persécutaient. De fait, nous sommes devenus des nomades. Personne ne voulait nous approcher. Puis mes fils sont partis travailler en Inde, mes filles se sont prostituées. J’ai acheté une terre à un privé. Nous avons vécu sans l’aide de personne. » Bahadur vend des fruits et des légumes sur le marché, élève des porcs. « C’est plus rentable que de cultiver des champs. Un porcelet rapporte 5 000 roupies pièce [50 euros] », dit-il fièrement.

 

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Salyan, le fief historique des Badis, caste de troubadours venue d’Inde au14ème.   © Nathalie Lamoureux Le Point

 

La famille, pilier de la prostitution

Le soleil peine à élever sa torche jaune. Des hommes, rassemblés autour d’un feu, sirotent par goulées bruyantes du dudh cya brûlant (thé au lait). Des enfants, impatients de se faire photographier, s’agitent dans le dédale de maisons de terre serrées les unes contre les autres. « Il est arrivé que des clients éméchés se trompent de maison et violent les filles d’à côté », raconte Geni Badi. Elle a 14 ans lorsque sa mère lui apprend les rudiments du métier. « Elle-même avait appris de sa mère. Mais la première fois fut très dure. J’avais mal, je pleurais, j’étais effrayée. »

Les familles sont de solides piliers dans la prostitution. Elles prospectent les clients, négocient les tarifs, et dissuadent leurs filles de se marier. Les parents autorisent le mariage seulement après avoir obtenu une compensation du futur époux correspondant à la perte de revenu occasionnée. Celles qui contreviennent aux règles de la caste sont obligées de s’enfuir, avec leur compagnon. Le premier rapport sexuel est très prisé. La fille offerte a le statut de déesse. « On peut toucher entre 5 000 et 10 000 roupies [50 à 100 euros] », précise Gina. Il s’accompagne, comme pour un mariage traditionnel hindou, d’un rituel, arrangé par la mère et appelé nathuni kholne. La fille est maquillée et habillée avec de jolis vêtements. Elle porte un gros bijou (bulaki) qui relie le nez à l’oreille. Le plus offrant a le droit d’ouvrir le bulaki, de la déflorer.

Aujourd’hui, là où la prostitution persiste, la vente du corps se banalise. La fille accepte simplement de perdre sa virginité. « L’hiver, je descendais à pied dans le Terai, reprend Gina. Là, il y avait beaucoup d’hommes, des militaires, des chauffeurs. Je les interpellais dans la rue. Mais ce n’était pas des oranges que je vendais. » Gina vit seule, sans enfants. Sa vie s’est améliorée, dit-elle. « On peut trouver de l’argent en vendant des fruits, du poisson, en faisant pousser des champignons, en cassant des cailloux. Pour un camion plein, on reçoit 1 500 roupies (15 euros). » L’équivalent d’une dizaine de passes. « Plus jamais je ne voudrais refaire ça. »

Une loi sur l’intouchabilité en 2001

Dans les foyers, qui tournent avec l’argent de la prostitution – où prédomine le modèle patriarcal –, les femmes ont souvent plus de pouvoir. Mais quand la prostitution cesse ou devient gênante, l’hégémonie masculine se reconfigure. La relative autonomie des femmes Badis les rend plus vulnérables aux viols. Les histoires qui circulent racontent comment une jeune fille Dalit a été violée, battue et promenée dans le village, comment telle autre a été enlevée et vendue à des particuliers. « Ma sœur se prostituait, raconte Sirzana Malla, 27 ans. Un jour, un homme est venu à la maison. Puis, quand il est parti, mon père m’a enfermée pendant un mois dans une pièce. Il me disait que les autres garçons ne devaient pas me voir. Je ne comprenais pas. Le jour du mariage, j’ai su. Mon père m’avait donnée à un Thakuri. J’avais douze ans, il en avait 30 ans. »

Aujourd’hui, cette alliance lui confère une certaine position dans la communauté, mais à quel prix. Le regard baissé, malgré l’émotion qui l’envahit, elle poursuit. « Il me battait, buvait, allait voir d’autres filles. Puis nous avons eu deux enfants et il s’est calmé. Mais ma belle-famille ne veut pas me recevoir car je suis de caste inférieure. » Elle s’interrompt brusquement. Deux hommes hautains traversent le village, marquent une pause, font mine de s’intéresser à la discussion, envoient de grands sourires mielleux, puis repartent en direction de la rivière. « Bahun [brahmane en nepali], lâche-telle, discrètement. Nos relations se sont améliorées. On n’a plus à laver nos verres dans les tea-shop, mais ils viennent toujours brûler leurs morts en face de nos maisons. » La loi sur l’intouchabilité ne date que de 2001.

 

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Sirzana Malla, 27, mariée de force à 12 ans, à un homme de haute-caste. Sa belle famille refuse toujours de la recevoir.    © Nathalie Lamoureux Le Point

 

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Népal : au cœur d’une caste d’intouchables, épisode 3

 

La prostitution, stigmate ou norme sociale  ? Au cœur du Népal, chez les Badis, où la prostitution est une « tradition ». Reportage.

 

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Modifié le 14/09/2015 à 17:49 – Publié le 04/09/2015 à 10:50 | Le Point.fr
Sunita Badi, 17 ans, mariee, un enfant. Traditionnellement, les filles sont mariees jeunes. C'est parfois un moyen pour eviter qu'elles ne se prostituent.
Sunita Badi, 17 ans, mariée, un enfant. Traditionnellement, les filles sont mariées jeunes. C’est parfois un moyen pour éviter qu’elles ne se prostituent.   © Le Point/ Nathalie Lamoureux

 

La prostitution est une pratique complexe, produit de significations particulières en fonction des cultures. « Les frontières qui séparent intérêts et sentiments, contraintes et plaisirs, égalité et domination sont ténues », analysent les chercheurs de l’École des hautes études en sciences sociales (EHSS) (1).

Le sexe pour s’émanciper

On peut penser que les femmes badis ont, à travers les transactions sexuelles, cherché à construire les conditions sociales de leur émancipation, sans pour autant acquérir toujours valorisation et dignité aux yeux des hommes. Les mariages intercastes, se pratiquant souvent hors du cercle familial, leur ont donné un moyen d’exister socialement, de fonder une famille, tout en échappant à la dépendance de la belle-famille, qui, si elle les avait acceptées, les aurait cantonnées dans des rôles de bonnes à tout faire : servir le mari, le nourrir, entretenir sa fertilité, assurer l’engendrement, nettoyer l’étable, couper les fourrages, aller chercher l’eau au puits…. Rien ne dit, néanmoins, qu’au sein du foyer distant, la femme ne retrouve pas le statut social de la femme dans la société népalaise en général, « qui n’est pas celui d’une très grande liberté, dans les premières années qui suivent le mariage, et ce quel que soit le rang social, même les plus élevés, explique Rémi Bordes, anthropologue au Centre d’études himalayennes. Ce n’est qu’ensuite, lorsque les femmes auront eu plusieurs enfants et pris un peu d’âge, qu’elles seront mieux considérées. Pour ce qui est de l’aisance économique, rien n’interdit à une femme de monter une petite affaire pour dégager du revenu, ou d’y aider son mari, et les femmes badis s’associent sans doute assez facilement à leurs époux dans ce genre de projet, voire elles le choisissent aussi selon ce critère, lorsqu’elles savent que cela sera possible. »

 

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Bina et Parbati Badi, anciennes prostituées, àTulsipur. « La prostitution est interdite, on n’a plus de job. Qu’est ce qu’on fait ? »   © Nathalie Lamoureux Le Point

 

Le trottoir, ma fille

Le soleil cogne les bas-reliefs qui entourent Tulsipur, ville du Sud-Ouest, à trois heures au sud de Salyan, déglinguée, comme après un tremblement de terre. La poussière s’infiltre dans la bouche, les narines. La sécheresse est à son apogée. Il y a dix ans, le site était un vaste bordel à ciel ouvert, où convergeaient les prostituées originaires des pahad, les montagnes. Quelques familles ont pu y acheter des terres et construire de belles maisons. Gopal Nepali, comptable pour DMEK, association de défense des femmes dalit, égrène  : « Ici vivait une fille avec deux enfants. Elle a rencontré un homme français. Elle vit là-bas. Là, la femme possède trois maisons, dont deux à Katmandou. » L’intéressée, Sabrita Nepali, intriguée par cette visite impromptue, accepte de nous rencontrer. Rayonnante, elle porte fièrement le sindur, cette poudre de vermillon tracée sur la raie des cheveux, marque des femmes mariées. Dans la culture hindoue, toute femme qui n’est pas une épouse (veuve incluse) est suspecte. Très tôt, sa mère lui trace son destin. Le trottoir, ma fille. « Les hommes étaient saouls, violents. Ils me battaient, parfois ne payaient pas. J’étais la risée des autres filles. » Sa mère écoute, sans rien dire. Le calvaire de Sabrita prend fin au bout de trois ans. Elle rencontre un homme avec lequel elle s’engage dans des relations suivies, « un ingénieur chetri, qui trouve du travail aux USA. Il m’envoyait 5 000, parfois 8 000 euros. » Elle semble heureuse. « On n’aurait pas eu tout ça. Qu’est-ce que je pouvais faire d’autre, je suis illettrée. » Son sourire se dissipe. « Quand j’y repense, tous ces hommes, on a envie de leur dire que ce sont des cochons. »

 

2012433lpw-2014573-jpg_3054915 dans Le Post
© Nathalie Lamoureux Le Point

 

La prostitution, une norme

Les témoignages récoltés permettent de nuancer les conclusions de Thomas Cox, qui les a étudiées pendant dix ans et qui écrivait dans les années 2000  : « Il n’y a pas de stigmate de la prostitution dans la société badi. Au contraire, c’est une norme. C’est précisément parce que les prostituées badis reçoivent des soutiens psychologiques des autres membres de la communauté qu’elles ne sont pas traumatisées, comme les prostituées dans les autres sociétés. » Gopal Nepali, titulaire d’un master en sociologie, dénonce lui aussi cette vision réductrice et humiliante. « C’est un stigmate qui souille toute la communauté. Les Badis ne sont pas nés dans la prostitution. Et toutes les femmes ne vendent pas leur corps. » En 2013, il a publié une étude, recentrée sur leur exploitation par les puissants, et multiplie les conférences pour alerter l’opinion sur le sort des Dalit, ces « rebuts de l’ordre hindou », qui luttent pour leurs droits. L’affirmation de Cox a suscité un tollé, également parmi les chercheurs internationaux qui s’intéressent aux basses castes – et à juste titre. « En reprenant pour argent comptant le discours de façade produit par les Badis, Cox culturalise le stigmate, le fait passer pour une donnée naturelle de la société, avec sous-jacente l’idée terrifiante que toute norme instillée par la culture est bonne à partir du moment où elle est reconnue par le groupe, argumente Rémi Bordes. Imaginez ce que serait cette idée transposée à l’assassinat djihadiste  : à partir du moment où on naîtrait dans une société où il serait normal et valorisé de devenir kamikaze à l’âge de douze ans, eh bien cela n’aurait plus rien de répréhensible parce que le kamikaze et son entourage le vivraient bien. »

 

2012433lpw-2014572-jpg_3054916 dans Luraghi
© Nathalie Lamoureux Le Point

 

Des corps aliénés

Si les femmes badis, soutenues par leur famille, souffrent peut-être moins que des filles enrôlées brutalement et de force, leur corps est tout aussi aliéné. « Il n’y a certes pas de maquereau chez les Badis, pas d’agent personnel de l’exploitation des corps, mais ce qui se passe au niveau sociologique et subjectif est peut-être pire, quoique larvé. Ce qui tient lieu de maquereau, c’est l’adhésion fataliste et intériorisée à un système de valeurs et de positions sociales particulièrement impitoyables, devant lequel les Badis n’ont pas eu d’autre choix que de survivre en faisant bonne figure », poursuit Rémi Bordes.

(1) Le revenu moyen par personne est de 340 dollars par an.

 

https://www.lepoint.fr/monde/nepal-au-coeur-d-une-caste-d-intouchables-episode-3-13-09-2015-1964380_24.php#xtmc=lamoureux&xtnp=1&xtcr=1

Népal : au cœur d’une caste d’intouchables, épisode 4

 

Une reconfiguration, pas une disparition. Aujourd’hui, au Népal, la prostitution subsiste, mais ne se pratique plus au grand jour. Reportage.

 

Par

Publié le 13/09/2015 à 16:02 | Le Point.fr
Puspa Badi, 19 ans, nee d'une mere prostituee et de pere inconnu, a du batailler pour s'inscrire a l'universite. La Constitution provisoire ne prevoit pas la delivrance du certificat de citoyennete a partir du nom de la mere.
Puspa Badi, 19 ans, née d’une mère prostituée et de père inconnu, a dû batailler pour s’inscrire à l’université. La Constitution provisoire ne prévoit pas la délivrance du certificat de citoyenneté à partir du nom de la mère.    © Le Point/ Nathalie Lamoureux

 

Au Népal, peu à peu, la prostitution se reconfigure. Les programmes de prévention et de lutte contre le sida, engagés dans les années 90, ont eu pour effet de faire prendre conscience aux femmes des dangers de leur métier et des mutilations dont elles sont victimes. « Il fallait que ça s’arrête, avoue Bahadur. On ne pouvait plus continuer comme ça. Je voyais les hommes s’allonger sur mes filles. Pendant la guerre civile, les maoïstes battaient les femmes qui se vendaient pour le sexe. »

Un tournant en 2007

2007 marque un tournant. Des femmes Badis investissent, pendant 48 jours, les rues de la capitale népalaise pour réclamer la fin de la prostitution, un travail décent, des papiers pour les enfants illégitimes, et l’élimination du terme patar (prostituée) pour indiquer Badis. Le mouvement aboutit à l’établissement d’un Comité de développement. « Une révolution », exulte Rem Bahadur BK, président de Jagaran Media Center, une alliance de journalistes Dalit. Mais le projet s’empêtre dans les millefeuilles de la bureaucratie népalaise. En 2011, le gouvernement débloque finalement un million d’euros sur cinq ans, affectés à quatorze districts de l’Ouest. Les filles bénéficient de formations en esthétique et en couture, les garçons de stage de conduite. Des programmes de logement sont mis en place. Les emplois sont limités et les financements pas toujours bien répartis. « Mais on n’était plus considérés comme des sous-hommes », nuance Rem.

 

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Paysan Tharu sur sa charette. © Nathalie Lamoureux Le Point

 

Des intouchables à l’école

Près de quatre cents enfants illégitimes ont été scolarisés. « Pendant longtemps, les enfants Badis n’avaient pas le droit de toucher les livres, témoigne Sitara Badi, membre du parti du Congrès. Certains sont devenus instituteurs, infirmiers, patrons, d’autres se sont engagés en politique. » Malgré les soutiens, les blessures de l’enfance sont restées douloureuses et profondes. « Le jour où quelqu’un a dit que mon père était l’instituteur du village, mon enfance s’est brisée. En classe, l’homme ne m’a plus adressé la parole. Les autres élèves m’ont traité de tous les noms », racontePuspa Badi, 19 ans. Jolie comme un cœur dans sa polaire à pois, elle rêve alors d’un tourbillon qui l’aspire hors de l’infamie. Mais sa mère se marie avec un Kami (caste des travailleurs), donne naissance à deux autres enfants, puis l’abandonne, elle et sa sœur, chez l’oncle maternel. « J’étais perdue. J’ai dû me battre pour m’inscrire à l’université. » La Constitution provisoire de 2007 ne prévoit pas de disposition permettant de donner la citoyenneté à un enfant, à partir du nom de la femme. Sans papier d’identité, on ne peut pas postuler pour un travail, passer des concours, s’inscrire à l’école. La Cour suprême a ordonné au gouvernement de régulariser les cas d’enfants nés de père inconnu, « mais son application se fait au compte-gouttes », ajoute Rem, qui blâme l’inertie et la corruption.

Juste de quoi survivre

Les reliefs ne sont plus en vue, enveloppés dans une brume épaisse. Pas une plissure, pas un creux pour heurter le regard. Des forêts, des champs de céréales, parfois des cochons énormes qui se prélassent au soleil dans l’herbe. La plaine subtropicale du Terai, immense et fertile, s’étend de chaque côté de la route fourmillante de monde. Une moto avec trois personnes sur la selle, une quatrième sur le porte-bagages et une cinquième sur le réservoir, arrive en sens inverse. Esquive parfaite du pilote, qui, très zen, frôle le pare-choc avant du minibus, et évite, de justesse, la charrette d’un paysan Tharu. Direction Kailali, à deux pas de la frontière indienne, haut lieu de la prostitution. La piste en terre s’écarte de la route et vient buter sur un pâté de maisons peu engageantes et d’immeubles qui menacent de s’effondrer. Un peu à l’écart, le gouvernement a fait construire une trentaine de maisons pour les Badis. Quatre murs en briques avec une ou deux pièces, un toit de tôle et un carré de jardin. « Juste de quoi leur permettre de survivre », ironise un observateur. Certains, malgré tout, apprécient ce peu. « On peut cultiver un potager. Avant, les gens nous disaient que ça ne pousserait jamais, car nous sommes de basses castes, explique Malla Badi. Le seul problème, il n’y a pas de travail. Et quand on en trouve, le salaire est insuffisant pour vivre décemment. Je m’en sors, car je n’ai pas d’enfants. »

 

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District de Kailali, à la frontière indienne, foyer de prostitution.  © Nathalie Lamoureux Le Point

 

Des familles désintégrées

Elle passe en revue les habitations : « Dans celle-ci, les filles travaillent dans des maisons [comprendre de passe] à Bombay et dans le Penjab. Dans l’autre, là, aussi, elles ont emmené leurs enfants avec elles. Elles disent que c’est dur. » La maisonnée se limite aux parents et aux grands-parents. Accroupie par terre, une grand-mère sourire, aux yeux pleins de malice, couverte de bijoux, lâche : « Khane, bosne [manger, se reposer], il n’y a rien d’autre à faire ici. » Les flux migratoires et leurs drames délitent le tissu social. Les familles se désintègrent, mais aucune ne manque Dasain, fête religieuse qui célèbre la restauration de l’ordre du monde, la reconduction des vœux, des hiérarchies familiales et des contrats de toutes sortes. « Les filles reviennent avec 5 000 et 10 000 roupies en poche [50-100 euros]. Toute la famille accomplit les rites normalement », poursuit Malla. Intense moment de communication avec le sacré, avant le retour à l’enfer des bordels.

 

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Lotissement Badi dans le district de Kailali. Le gouvernement a financé la construction de maisons en dur, avec jardin. Les filles travaillent en Inde dans des bordels. © Nathalie Lamoureux Le Point

 

Des ombres au bord de l’asphalte

Le soir venu, sur les grandes artères où défilent les camions, les ombres qui bordent l’asphalte ne trompent pas. Elles cachent des visages aux histoires cabossées, nourries de miettes d’espérance. Bouche peinte en rouge, Bina témoigne sans gêne : « Je fais ça pour me payer une formation. Mes sœurs et mes frères sont en Inde. Mes parents sont âgés. » La porosité de la frontière, conséquence d’un traité datant de 1950, est dénoncée par les organisations humanitaires, ainsi que par l’État népalais, comme un facteur favorisant la traite des femmes. Les statistiques sur la prostitution, difficilement chiffrables, sont à prendre avec précaution. D’après la Fondation Scelles, qui lutte contre l’exploitation sexuelle, il y aurait des centaines de milliers de Népalaises dans les maisons de passe des métropoles indiennes, dont 100 000 rien qu’à Bombay. Quelque 50 000 exerceraient dans les restaurants dansants et salons de massage de Katmandou. Il aurait été intéressant de pousser notre enquête en Inde, mais le temps nous manquait. Le phénomène de la prostitution concerne toutes les castes et n’est plus l’apanage des Badis. Mais le regard de l’autre, lui, ne change pas.12 % de la communauté Badi s’est convertie au christianisme pour échapper au boycott économique et social, retrouver sa dignité, ainsi que des solidarités altruistes.

 

Nouvelles machines à clics de Cyprien Luraghi : c’est fini !

La première, de Chicago, entrée en service hyperactif le mercredi 4 mars 2020 à 12h23, a cessé toute activité depuis le dimanche 12 avril 2020 à 8h08 (voir ci-dessous).

Et la seconde, émettant du Turkménistan, qui avait fait sa première apparition le 8 mars 2020 pour disparaître quatre jours plus tard, a brièvement repris du service les 9 et 10 avril 2020 pour un total de 433 visites et n’est plus réapparue depuis, comme le montrent les statistiques de Satanistique pour la période concernée :

 

20 mars 2020 – 18 avr. 2020

 

Blogger _ Satanistique - Vue d'ensemble des statistiques 7 - www.blogger.com

 

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Portugal

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11 avr. 2020 16:00 – 18 avr. 2020 15:00

 

Blogger _ Satanistique - Vue d'ensemble des statistiques 8 - www.blogger.com

 

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Philippines

17

Russie

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Portugal

7

Tunisie

7

 

 

A lire ou à relire :

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http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/05/corruption-de-magistrats-dans-le-finistere-mon-information-est-validee/

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http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/09/nouvelle-machine-a-clics-sur-satanistique-depuis-le-8-mars-2020/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/25/nouvelles-machines-a-clics-de-cyprien-luraghi-en-recul/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/29/nouvelle-machine-a-clics-de-cyprien-luraghi-toujours-en-recul/

 

 

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Quand Cyprien Luraghi faisait du tourisme sexuel dans l’Himalaya…

 

 

 

La première des trois photos ci-dessous, qu’il a prises en 1989 lors d’un de ses périples dans l’Himalaya et récemment postées sur Twitter, est vraiment infecte. La petite fille qu’il laisse entièrement nue vient d’être violée, sa posture est parlante, elle en a… plein le dos… et les deux adultes qui l’accompagnent, sans aucun doute contraints de subir cette abomination, exècrent le Français qui par-dessus le marché les viole tous les trois dans l’intimité de leur vie privée misérable avec sa photo souvenir volée qui risque de se retrouver dans un de ces catalogues que les pédophiles et trafiquants d’enfants constituent pour leur commerce…

Sur la seconde, on aperçoit deux hommes dont l’un porte dans ses bras un enfant si jeune que l’on peut s’étonner de ne pas le voir plutôt avec une femme. Ils sortent de la chambre où ils laissent celui qui les photographie, c’est-à-dire derechef le pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui aujourd’hui ne se gêne pas pour les accuser publiquement, le premier, d’être un serial killer, et le second, un serial « enculeur », ce qu’en fait il est lui-même – le pervers narcissique voit toujours les autres à son image. Sont-ils venus récupérer l’enfant après usage ? Ce n’est pas impossible.

Quant à la troisième de ses trois photographies rapportées ci-dessous, la seule dont il n’ait pas surpris ou mécontenté le sujet avec son appareil, il l’a commentée sur Twitter en laissant lui-même entendre avoir effectivement – et encore – consommé de la chair fraîche durant la « nuit vraiment chouette » qu’il dit avoir passée dans la « petite famille » de l’adolescente népalaise dont il s’agit (voir la vidéo ci-dessus pour de plus amples explications).

 

 
Quand Cyprien Luraghi faisait du tourisme sexuel dans l'Himalaya... dans Corruption Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_Quelque%2Bpart%2Bau%2BGarhwal%2B%25C2%25A9%2Bcyp%2B1989%2B%2528sca_%2B-%2Btwitter.com

 
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Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_Quelque%2Bpart%2Btout%2B%25C3%25A0%2Bl%2527ouest%2Bdu%2BN%25C3%25A9pal%2B%25C2%25A9%2B_%2B-%2Btwitter.com dans Folie

 

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Yin

cuy gracioso 3

Aime le potage

Avis du 3 février 2015

Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.

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Avis

Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.

Avis du 24 janvier 2015

Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né. En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées. Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.

Avis du 26 janvier 2015

Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.

Avis du 31 janvier 2015

Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.

Avis du 1er février 2015

Retour de mes statistiques "basiques".

Avis du 3 février 2015

Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.

Avis du 6 février 2015

Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.

Avis du 11 février 2015

Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.

Avis du 26 février 2015

Statistiques "basiques" enfin débloquées !

Avis du 27 février 2015

Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !

Avis du 4 mars 2015

Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.

Avis du 7 mars 2015

Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.

Avis du 25 mars 2015

Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.

Avis du 2 avril 2015

Mes statistiques "basiques" sont de retour.

Avis du 26 avril 2015

Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.

Avis du 28 avril 2015

Statistiques de retour. Merci.

Avis du 7 mai 2015

Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.

Avis du 10 mai 2015

Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".

Avis du 14 mai 2015

Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.

Avis du 3 octobre 2015

Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.

Avis du 5 octobre 2015

Statistiques "avancées" de retour ce soir. Merci.

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