On apprend également que l’acte d’intimidation à l’égard d’un magistrat qui lui est actuellement reproché ne consiste qu’en un regard.
La dernière fois que j’ai vu des magistrats, deux d’entre eux ne me quittaient pas des yeux, ils me fixaient d’un air vraiment mauvais… Que suis-je censée en penser ?
Par ailleurs, l’ami de Josette Brenterch Jean-Marc Rouillan, ancien membre d’Action Directe et désormais militant d’un « parti politique », le NPA, qui s’active pour provoquer des guerres civiles et des révolutions sanglantes, avec pour objectif de nous imposer par la force un régime de type soviétique, a sans aucun doute, encore une fois, perdu une bonne occasion de se taire.
Rappelons donc qu’en attendant le Grand Soir de leurs voeux, les militants de ce « parti » tenant de l’organisation criminelle ne se privent pas de multiplier les exactions en vue de faire psychiatriser à la mode soviétique tous leurs opposants ou cibles, notamment des ingénieurs qui les dérangent et qu’autrefois ils assassinaient à l’aide d’armes à feu, au risque de le payer de lourdes peines de réclusion criminelle.
L’avocat Bernard Ripert en garde à vue à Grenoble
C’est un avocat réputé de Grenoble qui a été interpellé, ce lundi 23 mai au matin, à son domicile, avant d’être conduit à l’Hôtel de Police de Grenoble. La procédure porte sur des menaces et intimidation envers un magistrat.
- France 3 Alpes avec AFP
- Publié le 23 mai 2016 à 10:51, mis à jour le 25 mai 2016 à 16:55
Le 13 mai dernier, Bernard Ripert aurait menacé un magistrat de la cour d’appel de Grenoble, chargé du dossier de sanction le concernant.
Du coup, l’avocat fait l’objet de poursuites pour « menace ou tout acte d’intimidation commis envers un magistrat (…) en vue d’influencer son comportement dans l’exercice de ses fonctions ». Un délit passible de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende.
Mais Me Ripert n’a pas honoré sa convocation à l’Hôtel de Police prévue vendredi dernier. C’est ce qui a conduit l’autorité judiciaire à utiliser la force publique pour le contraindre à se présenter.
Il « a été interpellé comme un terroriste, alors que c’est lui qui est terrorisé », a déclaré son épouse Rose-Marie Ripert. « Ça ne s’est pas bien passé. C’est inquiétant cette façon de procéder. Il a été menotté, a-t-elle complété. Ces méthodes démontrent bien la justesse de son combat ».
Des supensions à répétition
Avocat « historique » de l’organisation armée d’extrême gauche « Action Directe », Me Ripert, 65 ans, était déjà suspendu d’exercice après une décision de la même cour d’appel pour des manquements déontologiques. Il n’entendait pas en rester là. Cette première affaire remonte à plusieurs mois, à la suite d’une remarque du parquet général quant au comportement du défenseur. Le Bâtonnier de Grenoble avait saisi le Conseil de l’Ordre d’une requête en suspension provisoire. Finalement, le Conseil a attendu avant de prendre une décision, l’avocat ayant présenté une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) auprès de la Cour de cassation. Ce délai a permis au pénaliste de plaider dans l’affaire de la rixe d’Échirolles.
Le barreau de Grenoble a ensuite fait appel. Et malgré une demande de renvoi, en raison de l’absence pendant deux mois de Me Ripert, il a été suspendu. Une audience sur le fond de cette affaire doit avoir lieu début juin.
Condamné à trois reprises à des sanctions disciplinaires, Me Ripert avait déjà été suspendu pendant un an en 2013 pour avoir qualifié une avocate de « roquet » et dit d’un président de cour d’assises qu’il avait « triché » et « menti ».
L’avocat historique d’Action directe interné d’office en psychiatrie
23 Mai 2016, 19h50 | MAJ : 23 Mai 2016, 19h49
Bernard Ripert, avocat «historique» de l’organisation armée d’extrême gauche Action directe (AD), a été interné d’office en psychiatrie lundi à la suite d’un examen mené durant sa garde à vue, a-t-on appris auprès du parquet de Grenoble (Isère).
C’est après avoir été hospitalisé dans la journée en raison d’une tension élevée qu’un examen psychiatrique a été ordonné.
«Le psychiatre estime que son état justifie une hospitalisation sous contrainte», a déclaré ensuite Jean-Yves Coquillat, procureur de Grenoble, qui a décidé de lever la garde à vue visant l’avocat. Me Ripert doit être transféré en hôpital psychiatrique, où il sera examiné par deux nouveaux médecins.
Poursuivi pour «intimidation envers un magistrat», un délit passible de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende, Me Ripert n’avait pas honoré une convocation à l’hôtel de police prévue vendredi. L’autorité judiciaire a donc mandaté la force publique pour l’interpeller à son domicile, en Savoie, lundi matin. Puis l’avocat a été conduit à l’hôtel de police de Grenoble et placé en garde à vue.
Déjà condamné à trois reprises
«Il a été interpellé comme un terroriste alors que c’est lui qui est terrorisé», dénonce Rose-Marie Ripert, l’épouse de cet avocat coutumier des coups d’éclat dans et en dehors des prétoires. «Ça ne s’est pas bien passé. Il a été menotté. Ces méthodes démontrent bien la justesse de son combat», assure-t-elle. «Si la force a dû être employée, c’est parce que Me Ripert ne voulait pas suivre les policiers», justifie le procureur de Grenoble.
Âgé de 65 ans, Bernard Ripert a été suspendu d’exercice pendant quatre mois par la cour d’appel de Grenoble pour «un acte d’intimidation» envers un magistrat de la cour d’appel iséroise qui avait statué sur le dossier de sanction disciplinaire dont il fait l’objet. «Si acte d’intimidation il y a, c’est plutôt de la part de l’institution judiciaire grenobloise», réplique Me Ronald Gallo, qui le défend.
Me Ripert a été relaxé mi-mai par le conseil régional de discipline qui statuait sur des manquements déontologiques présumés. Le procureur général a fait appel de cette décision et la cour d’appel a fixé au 2 juin une audience sur le fond de cette affaire. Condamné à trois reprises à des sanctions disciplinaires, Me Ripert avait déjà été suspendu pendant un an en 2013 pour avoir qualifié une avocate de «roquet» et dit d’un président de cour d’assises qu’il avait «triché» et «menti».
http://www.ledauphine.com/savoie/2016/05/25/me-bernard-ripert-on-veut-me-neutraliser
SAVOIE / BASSENS Me Bernard Ripert : « On veut me neutraliser ! »
« Ils utilisent l’hôpital psychiatrique comme en URSS à l’époque soviétique ! » fulmine Me Bernard Ripert. Joint au téléphone, ce mercredi après-midi, au Centre hospitalier spécialisé de Bassens où il est interné d’office, l’avocat du barreau de Grenoble estime que son hospitalisation est une manœuvre. « On veut me neutraliser ! » explique-t-il, dans la procédure disciplinaire à laquelle il est actuellement soumis. Présenté comme une personne à l’état mental nécessitant un placement d’urgence en structure psychiatrique, dangereux pour lui et pour les autres, selon le parquet de Grenoble, il affirme : « Tout le monde est d’accord pour dire que je ne souffre d’aucun trouble : je ne suis soumis à aucun traitement neurologique, psychiatrique ou psychologique pour m’abrutir depuis mon hospitalisation. Les seuls médicaments que je prends sont ceux de mon traitement habituel du diabète ». Il souhaite une décision de levée de son internement d’office par le préfet de la Savoie (qui doit statuer dans les 72 heures après la première décision d’hospitalisation sous contrainte) qu’il « espère plus soucieux des droits de l’homme et des libertés individuelles que son collègue de l’Isère ».
Plus d’informations dans nos éditions du Dauphiné Libéré du jeudi 26 mai
Par Frédéric CHIOLA | Publié le 25/05/2016 à 17:05 Vu 4927 fois
Le syndicat des avocats dénonce les conditions d’internement de Me Ripert
Par AFP , publié le 25/05/2016 à 17:07 , mis à jour à 17:07
Grenoble – Le syndicat des avocats de France (SAF) a condamné mercredi la garde à vue et l’internement en psychiatrie de Bernard Ripert, avocat « historique » d’Action Directe, dénonçant des « conditions qui laissent craindre une instrumentalisation ».
« Le SAF dénonce et condamne le traitement auquel notre confrère Bernard Ripert est soumis par ceux-là mêmes qu’il dérange« , a martelé le syndicat dans un communiqué, pointant « les conditions de plus en plus inacceptables dans lesquelles la défense doit s’exercer » de façon générale.
Exigeant un « traitement impartial des faits reprochés à Me Ripert« , le syndicat réclame « une réforme radicale de la procédure disciplinaire et des conditions dans lesquelles des poursuites peuvent être engagées à l’encontre d’un avocat« .
« Le SAF ne peut accepter qu’un procureur de la République puisse à la fois se comporter en plaignant, en autorité de poursuite et jeter en pâture à la presse l’honneur et la dignité d’un avocat« , a-t-il ajouté.
L’avocat grenoblois Bernard Ripert, 65 ans, a été interné sous contrainte lundi soir en hôpital psychiatrique dans la banlieue de Grenoble après un placement en garde à vue pour « intimidation envers un magistrat« .
Atteint d’hypertension au cours de sa présentation aux policiers, il a été examiné à l’hôpital par un expert psychiatre qui a décidé de son internement.
Mardi, il a été transféré dans un autre établissement, à Bassens (Savoie), qu’il pourrait toutefois quitter très vite après le recours déposé ce mercredi matin par son avocat.
Lundi, le conseil de l’ordre avait adopté une motion déplorant « les moyens judiciaires exceptionnels et disproportionnés mis en oeuvre » dans ce dossier.
Le lendemain, une centaine d’avocats s’étaient rassemblés près du palais de justice de Grenoble en soutien à Bernard Ripert.
Le syndicat des avocats dénonce les conditions d’internement de Me Ripert
Le syndicat des avocats de France (SAF) a condamné mercredi la garde à vue et l’internement en psychiatrie de Bernard Ripert, avocat « historique » d’Action Directe, dénonçant des « conditions qui laissent craindre une instrumentalisation ».
« Le SAF dénonce et condamne le traitement auquel notre confrère Bernard Ripert est soumis par ceux-là mêmes qu’il dérange », a martelé le syndicat dans un communiqué, pointant « les conditions de plus en plus inacceptables dans lesquelles la défense doit s’exercer » de façon générale.
Exigeant un « traitement impartial des faits reprochés à Me Ripert », le syndicat réclame « une réforme radicale de la procédure disciplinaire et des conditions dans lesquelles des poursuites peuvent être engagées à l’encontre d’un avocat ».
« Le SAF ne peut accepter qu’un procureur de la République puisse à la fois se comporter en plaignant, en autorité de poursuite et jeter en pâture à la presse l’honneur et la dignité d’un avocat », a-t-il ajouté.
L’avocat grenoblois Bernard Ripert, 65 ans, a été interné sous contrainte lundi soir en hôpital psychiatrique dans la banlieue de Grenoble après un placement en garde à vue pour « intimidation envers un magistrat ».
Atteint d’hypertension au cours de sa présentation aux policiers, il a été examiné à l’hôpital par un expert psychiatre qui a décidé de son internement.
Mardi, il a été transféré dans un autre établissement, à Bassens (Savoie), qu’il pourrait toutefois quitter très vite après le recours déposé ce mercredi matin par son avocat.
Lundi, le conseil de l’ordre avait adopté une motion déplorant « les moyens judiciaires exceptionnels et disproportionnés mis en œuvre » dans ce dossier.
Le lendemain, une centaine d’avocats s’étaient rassemblés près du palais de justice de Grenoble en soutien à Bernard Ripert.
Bernard Ripert, l’avocat historique d’Action directe interné d’office
Le défenseur du groupe terroriste d’extrême gauche a été placé lundi en hôpital psychiatrique sous la contrainte. Ses proches dénoncent la vendetta d’un procureur de Grenoble.
- Bernard Ripert, l’avocat historique d’Action directe interné d’office
Stupeur. L’avocat grenoblois Bernard Ripert, 65 ans, connu pour sa verve insolente et son goût pour la provocation, défenseur d’Action directe, de Christophe Khider, des complices de Carlos et d’Antonio Ferrara, s’apprêtait mercredi soir à passer sa troisième nuit en hôpital psychiatrique. Interné sous la contrainte lundi soir au centre hospitalier de Saint-Egrève (Isère), il a été transféré mardi après-midi à l’hôpital psychiatrique de Bassens (Savoie), proche de son domicile, et a entamé une grève de la faim selon son avocat, Ronald Gallo.
Le ténor du barreau grenoblois avait été interpellé lundi à son domicile de Détrier, en Savoie, sur réquisition du procureur de la République de Grenoble. Il ne s’était en effet pas présenté à une convocation à l’hôtel de police dans le cadre d’une procédure pour «menaces ou actes d’intimidation envers un magistrat». L’interpellation a été rude : face à son refus d’obtempérer, les forces de l’ordre ont menotté l’avocat avant de le conduire à l’hôtel de police de Grenoble, où il a été placé en garde à vue. «Une dizaine de policiers ont déboulé à notre domicile de Détrier. Une voiture de police bloquait la rue. C’était impressionnant. Hors de proportion. Ils sont allés dans notre chambre et ils l’ont embarqué menotté dans leur voiture», raconte Rose-Marie, l’épouse de Bernard Ripert.
Dans la journée de lundi, l’état de santé de l’avocat – tension élevée – avait nécessité son hospitalisation au CHU de Grenoble, où il a été examiné par un psychiatre à la demande du procureur de la République. D’après ce dernier, le psychiatre a «estimé que M. Ripert était une personne présentant des troubles mentaux qui nécessitaient son placement sous contrainte en hôpital psychiatrique. Je considère, au vu des éléments du dossier, qu’il représente potentiellement un danger pour lui-même et les autres»,a-t-il déclaré au Dauphiné libéré.
C’est néanmoins le préfet qui peut ordonner, selon la loi, une telle «admission en soins sans consentement», sur avis de l’expert psychiatrique. De fait, la garde à vue de Me Bernard Ripert a été levée lundi soir afin de permettre cette hospitalisation. Ce que dénonce vigoureusement Ronald Gallo. Pour l’avocat, la teneur du bilan psychiatrique invoquée dans l’arrêté préfectoral semble très contestable.
Guerre ouverte. Ripert avait été suspendu quatre mois en février, accusé d’entorses à la déontologie de sa profession. Il aurait notamment eu des propos fleuris à l’encontre de confrères ou d’un directeur de prison. Le conseil régional de discipline l’avait néanmoins relaxé le 9 mai. Mais le parquet avait fait appel, prolongeant ainsi sa suspension.
Dans un contexte de guerre ouverte entre le conseil et quelques magistrats grenoblois, une audience sur le fond a été fixée au 2 juin, avec en ligne de mire la radiation de Me Bernard Ripert.
Les avocats de Grenoble ont très vigoureusement réagi au traitement réservé à leur confrère. Leur conseil de l’ordre a en effet exprimé sa «sidération devant les conditions d’arrestation» de Bernard Ripert, dénoncé «les moyens judiciaires exceptionnels et disproportionnés mis en œuvre» et «une volonté manifeste d’anéantissement personnel et professionnel d’un avocat». Une centaine d’entre eux se sont réunis en robe, mardi à Grenoble, pour exprimer leur soutien et protester contre «un contexte de dégradation massive des relations entre l’institution judiciaire grenobloise et les avocats».
De Me Ripert, sa consœur Marie-Christine Etelin, elle aussi avocate des membres d’Action directe, dit que «ce n’est pas un avocat qui se couche». Mais «un avocat qui s’engueule avec un procureur, c’est classique», souligne-t-elle aussitôt, pour mieux dénoncer le traitement qui lui a été infligé. «Il a assuré la défense d’Action directe en 1987 et 1994, dans les deux procès à Paris devant la cour spéciale. Son internement en psychiatrie est un nouvel épisode du harcèlement contre cet avocat qui a toujours défendu des militants politiques selon leurs convictions. On veut se débarrasser de lui, entre autres pour nous avoir défendus», a réagi de son côté Jean-Marc Rouillan, l’ancien leader d’Action directe.
«Radiation».Que reproche l’institution judiciaire à Me Ripert ? Le 13 mai, au palais de justice de Grenoble, il aurait dévisagé l’un des juges ayant signé sa suspension. C’est ce «regard», perçu comme menaçant, qui a justifié l’ouverture de la procédure pour «intimidation envers un magistrat». Me Gallo s’insurge : son confrère «n’a commis aucun acte d’intimidation, qui doit être constitué par un geste, une parole… Accorder à un regard une valeur d’intimidation, c’est la démonstration d’un délire paranoïaque de l’institution judiciaire !»
Propos similaires de la part de son épouse : «C’est écœurant. Hallucinant. Ce sont des pratiques d’une autre époque. On veut le faire plier. Il est en conflit avec un procureur de Grenoble. Ce dernier a fait de sa radiation une affaire personnelle. Il veut régler cette histoire avant son départ du tribunal en juin.»
Me Ronald Gallo devait déposer mercredi une demande de relaxe au juge des libertés du tribunal de Chambéry. Il se dit déterminé à obtenir gain de cause le plus rapidement possible : «A travers le cas Ripert, c’est un débat plus large et grave qui est posé aujourd’hui. L’institution judiciaire a le pouvoir d’éliminer un avocat, d’éliminer une forme de défense. En défendant Ripert, je me défends, je défends Eric Dupond-Moretti et tous les confrères qui, un jour ou l’autre, sur un dossier, choisissent de manifester leur indignation de manière véhémente.» Mercredi soir, des rassemblements de soutien étaient prévus à Grenoble et à Chambéry.
Bonjour.
en ce qui me concerne, et dans une situation où sont en jeu des intérêts politiques haut placés c’est dès le 7 mai 2012, soit quelques heures (!) après le résultat des présidentielles, que des poursuites ont été engagées contre moi pour « outrage à magistrat ». Mais, sachant que je ne me suis jamais adressé en personne à aucun magistrat, ni par oral ni par écrit, ni par l’envoi de photos ni par des gestes obscènes, ni pour le blâmer ni pour le féliciter : on entrevoit ce qui tient lieu de déontologie, du côté de la place Vent d’hommes…
Merci pour ce commentaire.
Je viens de lire ceci :
https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=AHRF_339_0005
Est-ce bien vous ?
Je ne vous connais pas, ne connais pas votre cas et ne peux donc en juger d’aucune manière.
Mais j’ai de mon côté également bien des soucis que j’expose publiquement avec d’énormes difficultés et en prenant des risques non moins considérables, comme vous l’avez peut-être remarqué.
Aussi, j’abonde dans votre sens ou même celui de Maître Ripert actuellement, quoique mes problèmes ne soient pas du tout les siens : je ne défends pas des criminels, j’en suis victime. Qui plus est, nombre d’entre eux se réclament de l’extrême-gauche.