Au printemps 2002, j’ai été victime de deux formes d’empoisonnements successifs qui ont notamment mis fin à toutes mes possibilités de retour à l’emploi.
A chaque fois que cette affaire est relancée, d’autres le sont aussi.
Marina Litvinenko, veuve de l’ancien espion russe Alexandre Litvinenko, à Londres le 27 janvier 2015 (c) Afp
Londres (AFP) – L’éventuelle implication de Moscou dans l’empoisonnement au polonium du transfuge Alexandre Litvinenko est au coeur de l’enquête publique ouverte mardi à Londres pour tenter d’élucider le meurtre de cet ancien agent secret russe.
La mort il y a plus de huit ans à Londres d’Alexandre Litvinenko, transfuge des services de renseignements russes collaborant avec le MI6 britannique, est digne d’un roman d’espionnage.
Le 1er novembre 2006, l’ex-espion du FSB, 43 ans, a rendez-vous avec deux ex-agents russes dans un grand hôtel londonien. Il s’agit d’Andreï Lougovoï, aujourd’hui député, et de l’homme d’affaires Dmitri Kovtoun, avec lesquels il prend un thé.
Le soir même, il commence à se sentir mal avant de succomber trois semaines plus tard d’un empoisonnement au polonium-210, une substance radioactive extrêmement toxique et quasiment indétectable, devenant ainsi la première victime connue d’un « assassinat radioactif ».
Dans une lettre poignante et pleine de rage rédigée sur son lit de mort, Litvinenko accuse le président Vladimir Poutine d’avoir commandité son meurtre, une accusation que le Kremlin a toujours niée.
« Vous pouvez réussir à faire taire un homme mais le grondement des protestations du monde entier retentiront dans vos oreilles pendant le reste de votre vie, M. Poutine », a-t-il dicté aux policiers venus prendre sa déposition.
Mardi, la lecture de ces extraits a donné le ton de cette enquête publique (« enquiry »), procédure qui permet d’examiner à huis clos des documents sensibles. Elle prend le relais de l’enquête judiciaire (« inquest »), bloquée par l’impossibilité d’examiner l’éventuelle responsabilité de Moscou.
La Russie a aussi refusé d’extrader Dimitri Kovtun et Andreï Lougovoï. « Toute cette affaire est une farce », a déclaré ce dernier mardi à l’agence russe Tass. Le député a précisé qu’il n’avait pas prévu d’assister à ces auditions, que ce soit en personne ou à distance via un lien vidéo.
Dès l’ouverture de l’enquête, le magistrat instructeur Robert Owen, avait pourtant affirmé que l’implication de l’État russe serait « d’une importance centrale dans (son) investigation ». Il avait aussi déclaré « valider » la thèse basée sur des documents du gouvernement britannique « établissant au premier examen la responsabilité de l’Etat russe dans la mort » de l’opposant.
Mardi, Robin Tam, un conseiller juridique du magistrat instructeur, a révélé que Litvinenko avait probablement été la cible « non pas d’un mais de deux empoisonnements ». Selon lui, la première tentative s’était déroulée lors d’une rencontre avec les deux mêmes protagonistes, dans les locaux d’une entreprise de sécurité où des traces de polonium ont été relevées.
- Kovtun et le ‘cuisinier’ -
Toujours selon M. Tam, Dimitri Kovtun aurait confié à un ami qu’il était en possession d’un poison extrêmement cher et qu’il cherchait « un cuisinier pour l’administrer à Litvinenko. Cet « ami » doit venir témoigner à Londres.
Citant une source proche de l’enquête, le Daily Telegraph a affirmé samedi que l’agence de sécurité américaine (NSA) avait intercepté des communications entre les personnes soupçonnées d’être impliquées dans l’empoisonnement de M. Litvinenko et leur chef à Moscou, peu de temps après le décès.
Le journal avance que l’existence de ces communications constitue « une preuve centrale » qu’il s’agit d’une exécution fomentée par Moscou.
Toutefois la théorie selon laquelle Moscou aurait été derrière la mort de Litvinenko, devenu un citoyen britannique, n’est pas la seule qui circule, son travail consistant à enquêter sur le crime organisé, y compris dans d’autres pays européens comme l’Italie ou l’Espagne.
La plupart des audiences de l’enquête publique se dérouleront au cours des deux prochains mois à huis clos pour permettre le témoignage de membres des services secrets et l’examen de documents confidentiels.
« L’important est que les preuves rassemblées par la police vont être présentées et que tout le monde pourra les voir », a estimé la veuve d’Alexandre Litvinenko, Marina, dans un entretien avec l’AFP.
« C’est la dernière chose que je peux faire pour lui (…). Je dois défendre son nom et sa mémoire, a-t-elle souligné. Pour moi, c’est vraiment important d’avoir enfin une explication officielle à la mort de Sasha ».
Quelle que soit l’issue de l’enquête publique -qui sert à établir des faits sans pour autant prononcer de condamnations-, le veuve de Litvinenko dit cependant avoir peu d’espoir d’un changement d’attitude de Moscou.
Il y a exactement dix ans, le 11 novembre 2004, Yasser Arafat décédait dans un hôpital de la banlieue parisienne. La thèse d’un empoisonnement commandité par Israël ne faisait aucun doute pour la direction palestinienne, ni pour la plupart des opinions arabes et militantes. Pourtant, ce n’est qu’après sept ans de silence et d’inaction qu’une enquête suisse a pu confirmer, à partir de prélèvements, la présence anormale de polonium dans ses vêtements. Mais d’autres experts, russes et français persistent à le nier. À qui profite donc le mystère persistant autour de la mort du leader historique de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) ?
Yasser Arafat n’est pas mort naturellement. « Sa disparition soudaine, au cœur de son 77 e automne, dans un lit d’hôpital, a bien été voulue, provoquée, organisée. » Telle est la conclusion de l’enquête minutieuse du journaliste Emmanuel Faux, qui vient de paraître dix ans après la mort du raïs, le 11 novembre 2004 à l’hôpital militaire Percy de Clamart, près de Paris.
Son livre, L’affaire Arafat, l’étrange mort du leader palestinien ne conclut pas formellement à l’empoisonnement du vieux chef, faute de preuve absolue. Ni à l’identité des exécutants et des commanditaires. Dix ans plus tard, les circonstances de la disparition d’Arafat restent l’enjeu d’une bataille de communication — et souvent de désinformation — doublée d’un combat d’experts. On attend d’ailleurs toujours, en ce 11 novembre 2014, les conclusions de l’enquête palestinienne et de celle de la justice française. Mais avec les éléments qu’il a eus en main et après une trentaine d’entretiens avec les principaux acteurs, Faux estime le dossier assez solide pour affirmer que « l’hypothèse d’une mort provoquée est bien celle qui doit être retenue ».
La thèse d’un empoisonnement d’Arafat n’est pas nouvelle. Pour la direction palestinienne et pour les opinions publiques arabes, elle ne fait aucun doute. Le journaliste franco-israélien Amnon Kapeliouk, biographe d’Arafat1 en était persuadé dès le début. Le jour de l’enterrement du « vieux » le 12 novembre, dans la cour de son quartier général à Ramallah, il disait à une journaliste française : « ça y est, ils l’ont tué. » Pour ce connaisseur de la région, « ils », c’était le gouvernement israélien, dirigé à l’époque par Ariel Sharon. Pourtant, le silence s’est installé. Il a fallu attendre sept ans et deux documentaires de la chaîne de télévision qatarie Al-Jazeera English, en juillet 2012 et en novembre 2013, pour que l’affaire soit relancée.
Le risque d’une nouvelle révolte
Pourquoi ce délai ? Au premier abord, on pourrait se demander quel intérêt auraient les différentes parties — et surtout la direction palestinienne — à enterrer le sujet. La réponse s’impose facilement. La preuve d’un empoisonnement de Yasser Arafat risquait de déclencher une nouvelle révolte dans les territoires occupés, avec des conséquences incalculables dans le monde arabe. Elle aurait définitivement enterré le processus de paix israélo-palestinien, option toujours validée officiellement par les deux parties et par les États-Unis, même si elle est aujourd’hui moribonde.
On pourrait aussi se demander pourquoi Israël aurait eu intérêt à tuer le vieux leader. N’était-il pas réduit à l’impuissance, prisonnier dans quelques pièces de la Moukata’a, son QG de Ramallah cerné par les chars qui le bombardaient régulièrement ? N’était-il pas qualifié tous les jours d’ « irrelevant » (« non pertinent ») par Sharon ? Mais Arafat représentait encore un danger, comme symbole. Même si une bonne partie des Palestiniens lui reprochaient de les avoir entraînés dans un marché de dupes avec les accords d’Oslo, il était le drapeau vivant qui faisait tenir ensemble le peuple et ses organisations politiques. Aujourd’hui encore, des commentateurs palestiniens estiment que si Yasser Arafat avait survécu, l’éclatement politique entre l’Autorité palestinienne et le Hamas à la faveur des élections législatives de 2006 n’aurait pas eu lieu2.
Les barrages dressés pour tuer dans l’œuf la thèse de l’intoxication volontaire semblent issus d’un mauvais scénario de série télé. Les Palestiniens n’attendent pas le décès de leur leader pour réfuter la thèse de l’assassinat. Deux jours avant l’issue fatale, le négociateur Nabil Shaath réunit une conférence de presse pour annoncer : « Les médecins ont complètement exclu l’hypothèse de l’empoisonnement. Nous pouvons donc l’écarter aussi. » Les proches d’Arafat, à commencer par sa veuve Souha — qui se dit pourtant persuadée de l’assassinat — n’ont pas demandé d’autopsie. Il n’y aura qu’un simple rapport clinique des médecins de Percy, qui ne parvient pas à expliquer un processus foudroyant. Yasser Arafat est mort en un mois. Pris de douleurs intestinales le 12 octobre, il est évacué en France le 29 octobre. Son état se dégrade brusquement dans la nuit du 2 au 3 novembre. Il tombe dans un coma dont il ne sortira pas.
Un « septennat de silence »
Suit, selon l’expression d’Emmanuel Faux « un septennat de silence ». « Hormis la création quasi clandestine d’une commission d’enquête en Palestine, sept ans sans action ni réaction ». Alors que la rumeur de l’empoisonnement enfle dans tout le Proche-Orient.
Tout change en 2012 avec la diffusion du premier volet de l’enquête d’Al-Jazeera en anglais « What killed Arafat ? » (« Qu’est-ce qui a tué Arafat ? ») . En vedette, Souha Arafat et un poison nouveau venu sur le marché secret du meurtre d’État : le polonium 210. Une substance hautement radioactive qui est supposée avoir déjà emporté un opposant russe, Alexandre Litvinenko, en 2006 à Londres. Le documentaire révèle qu’un laboratoire suisse commissionné par Souha Arafat et Al-Jazeera, l’Institut de radiophysique de Lausanne, a détecté des quantités anormales de polonium sur les vêtements du défunt. Souha Arafat porte plainte devant la justice française et demande dans la foulée l’exhumation du corps de son mari, qui aura lieu le 26 novembre 2012 à Ramallah.
Cette cérémonie lugubre et solennelle se déroule sous tension, comme le raconte de façon saisissante le médecin suisse Paul Bochud, chef de la seule équipe d’experts autorisée à descendre dans le tombeau pour opérer des prélèvements. Les deux autres délégations, la française et la russe, ont été priées de rester en surface. Elles reçoivent chacune un lot d’échantillons identiques.
De la politique dans les laboratoires
L’ « affaire Arafat » n’est pas terminée pour autant. Une forte dose de politique semble avoir été ajoutée aux résultats des analyses, connus fin 2013. À partir des mêmes prélèvements, les Français et les Russes ne concluent pas à l’empoisonnement, tout en ne publiant pas l’intégralité de leur rapport. Pour ces deux pays, engagés dans un rapprochement stratégique avec Israël, la raison d’État paraît avoir pris le pas sur la vérité scientifique. Les Suisses, au contraire, ouvrent leurs documents et affirment publiquement que leurs résultats « soutiennent raisonnablement la thèse de l’empoisonnement ». Le chef de l’équipe confirmera à Faux que les doses de polonium « supposent forcément l’intervention d’un tiers ». Reste l’adverbe « raisonnablement ». Mais le médecin confie l’avoir employé « pour ne pas avoir l’air affirmatif à 100 % et parce que, huit ans après, une part de doute subsiste ».
Pour compléter son enquête, l’auteur a soumis le dossier à quatre spécialistes réputés de toxicologie. Tout en respectant la prudence scientifique, chacun d’entre eux a repoussé l’hypothèse d’un décès dû à la fatigue ou à la vieillesse. Mais les interrogations médicales ne sont peut-être finalement pas les plus difficiles à résoudre, nous dit Emmanuel Faux. Selon lui, l’enquête sur la mort d’Arafat pourrait plonger dans les eaux les plus noires du conflit. Dix ans après, la mort du raïs palestinien sert de support aux luttes internes palestiniennes au moins autant qu’au conflit avec Israël. L’auteur s’interroge sur les sept ans de silence de la veuve d’Arafat et consacre un chapitre aux accusations lancées par Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne. Qui désigne à mots à peine couverts Mohammed Dahlan, ancien chef de la sécurité palestinienne proche des Israéliens et des Américains, soupçonné d’avoir eu une part dans la mort du drapeau vivant de la Palestine. Le poison du soupçon, lui n’a pas fini d’agir.
les attentats du 11 septembre 2001 de New York furent une attaque nucléaire
Revélations sur le 11 Septembre… « Trop secret pour être publié », un rapport d’une agence du ministère de l’énergie américain (DOE) révèle que les attentats du 11 septembre 2001 de New York furent une attaque nucléaire…
Par ces révélations officielles, beaucoup de choses concernant les attentats du 11 Septembre s’éclaircissent. Certains articles connexes se doivent d’être traduits pour mieux comprendre cette information. C’est du lourd… Cela doit être divulgué. En fait, l’affaire ukrainienne s’ajoutant à celle de la Syrie énervent particulièrement un pays qui possède des informations depuis plus d’une décennie qu’il gardait sous le coude pour des jours plus sombres… Nous y sommes ! L’empire ne devrait pas s’en relever si tout le monde fait son boulot.
– Résistance 71 –
Jim W. Dean,
Samedi 13 Septembre 2014
Le jour où le monde s’écroula… Le 11 Septembre a été une attaque nucléaire
La lettre courriel de Veterans Today sur le 11 Septembre envoyée à 100 000 officiels d’état aux Etats-Unis
… par Jim W. Dean, VT Editor … en compagnie d’Américains loyaux qui ont contribué pour le peuple américain et le peuple du monde
Veterans Today a rendu public le rapport officiel classifié américain de 2003 sur l’attaque de Ground Zero à New York comme étant un évènement nucléaire, ce qui a été rapidement confirmé par une analyse de spectrométrie de masse des échantillons de poussières collectés sur place.
Cet examen a été effectué depuis des décennies par les agences de renseignement nationales principales après chaque grosse explosion ayant eu lieu dans différents pays et la plupart des analyses ont révélé qu’il s’agissait d’attaque par mini bombe nucléaire.
Ce qui rend notre étude si incroyable est que les enquêteurs de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique) ont confirmé l’historique des attaques par bombes nucléaires et notre propre laboratoire Sandia (américain) a mis au point les bombes qui étaient supposées être utilisées pour nous défendre. Ils sont très très en colère à l’heure actuelle.
Veterans Today est une plateforme de renseignement couvrant trois générations de professionnels du renseignement civil et militaire, allant de la guerre froide jusqu’au boulot actuel du contre-terrorisme dans lequel certains membres de notre comité directeur sont engagés.
Notre poursuite des véritables coupables ayant perpétré les attentats du 11 Septembre 2001 a été récompensée juste à temps pour l’anniversaire qui arrive. Après des années à avoir été observés à distance pour nos efforts, le rapport officiel de Sandia nuclear labs de 2003 sur le 11 septembre nous a été fuité par une source au sein d’un gouvernement étranger ; rapport qui contient beaucoup de détails décrivant comment les bâtiments de Ground Zero ont été détruits au moyen de mini armes nucléaires.
Nous avons éliminé par nos propres efforts de recherche toutes les autres théories concurrentes comme n’étant physiquement pas possible. Nous avons eu beaucoup d’indices mettant la puce à l’oreille comme par exemple le granit fondu se trouvant sous les tours, qui n’a pu se produire que comme résultat d’une détonation nucléaire, puis plus tard les pics de radiation et les maladies résultant des ingestions de particules radioactives qui ont commencées à apparaître et mis sous couvert du secret au moyen de diagnostics volontairement erronés.
Malgré les experts que nous avons ici à VT, certains ayant une expérience dans le nucléaire, nous avons également lancé le mot dans les réseaux familiers de nos “anciens”, que nous avions besoin de la confirmation que nous n’étions pas les victimes d’une intox élaborée ourdie par nos nombreux ennemis. Nous recevons des histoires foireuses et de plus ou moins bons canulards toutes les semaines. A notre plus grande surprise, la confirmation est venue de la meilleure source qui puisse être: du corps des inspecteurs de l’AIEA et des fabricants, concepteurs des bombes nucléaires du labo Sandia, qui ont écrit le rapport (de 2003).
Ces personnes ont non seulement confirmé que le rapport était réel, mais pire, que les empreintes nucléaires trouvées dans les échantillons de poussière de Ground Zero, ont montré que le matériel fissile de la tête nucléaire employé provenait d’ici (des Etats-Unis).
Il apparaît que nos armes nucléaires tactiques appelées ‘Mothballed Davy Crockett” (NdT: photo dans l’article original en anglais) seraient “tombées de camions” au travers d’un système de comptabilité qui fut créé pour subrepticement faire disparaître du matériel de têtes nucléaires.
L’inventaire en question est parti en Israël après l’incident de la centrale de Dimona qui a annihilé sa capacité de produire du matérial radioactif suffisamment enrichi pour produire des têtes nucléaires, mais ils avaient l’expertise pour transformer les vieux “Davy Crockett” en armes nucléaires tactiques modernes.
Les enquêteurs de l’AIEA ont confirmé ce que nous savions déjà, que de mini-armes nucléaires ont été utilisées depuis quelque temps dans les grandes attaques terroristes à la bombe, ce qui éliminait les groupes terroristes de façade comme perpétrateurs (patsies), parce qu’une très courte liste de pays majeurs ont la capacité nécessaire pour exécuter ces attaques.
A chaque fois qu’il y a eu une énorme explosion quelque part, toutes les meilleures agences de renseignement ont dépêché sur place leurs équipe d’évaluation pour récupérer des échantillons de poussière afin de faire un test routinier de spectrométrie de masse et pour voir s’il y avait des résidus radiologiques, qui furent toujours trouvés, incluant les empreintes de ceux utilisés en particulier pour les comparer à leur base de données sur les explosions précédentes.
Voici ci-dessous une liste partielle des attaques suicides fausse-bannière qui ont utilisées de mini-bombes nucléaires. Ceci constitue une campagne de terreur pour laquelle non seulement rien n’a été fait pour faire rentrer le génie dans sa lampe, mais dont rien n’a été dit au peuple américain, ni aux peuples du monde, ce qui rend la chose aisée à continuer.
Les camps militaires des Marines américains et des parachutistes français à Beyrouth (Drakkar), Liban en 1983.
Le bâtiment Alfred P. Murrah d’Oklahoma City en 1995.
L’ambassade égyptienne d’Islamabad, Pakistan, 1995.
Les tours Khobar de Dahran, Arabie Saoudite, 1996.
Les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, 1998.
Le consulat britannique d’Istanboul
Les attentats du WTC du 11 Septembre 2001
La boîte de nuit Sari, Bali, 2002
Le bureau de l’ONU à Bagdhad, 2003
Ambassade d’Australie, Djakarta, 2004
Attentat pour l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais Rafik Hariri, mini bombe nucléaire implantée dans les égoûts, Beyrouth, 2005
Attentat sur l’école de police algérienne, 2008
Et beaucoup d’autres non rapportées.
_____________________________________
Les Etats-Unis sont sujets d’une grosse pénétration de leur système de sécurité, la plus grosse de l’histoire mondiale et cela a été classifé afin de protéger ceux responsables des transferts de matériaux fissiles vers Israël et ceux après eux pensant que si le peuple américain venait à le savoir, cela déclencherait une révolution ici.
Mais il y a eu un groupe dans le domaine de la sécurité et du renseignement qui pensait juste l’inverse, que cacher ce qui s’est passé et permettre aux véritable perpétrateurs de s’en sortir en étant toujours en possession d’un large stock de ce type d’arme, nous laissait littéralement pieds et poings liés et sous la menace.
L’autre problème fut aussi le laisser-faire de long terme en Amérique concernant toute traduction en justice d’Israël pour espionnage, pas seulement dû à l’ambarras politique que cela provoquerait, mais aussi à cause des Américains de haut niveau, toutes branches étatiques de notre gouvernement confondues, qui l’ont assistés depuis des années.
L’ordre de non poursuite judiciaire était en fait un outil de recrutement pour eux, montrant qu’ils étaient intouchables. Les médias de masse ont jusqu’ici complètement occulté notre entière série d’articles. Nous n’avons pas eu d’appels de ces médias manifestant un quelconque désir d’en savoir plus. La peur est la cause sous-jacente dans bien des cas, parce que nous parlons ici de meurtres, d’assassinats de masse et les perpétrateurs n’ont plus rien à perdre et tuer quelques personnes supplémentaires n’a plus vraiment d’importance. Mais tous n’ont pas peur. Nous allons jouer les cartes qui nous ont été distribuées, mais nous ne pouvons pas espérer de succès sans votre aide.
Nous vous demandons de travailler avec nous et de traquer ces personnes et de faire en sorte que les armes encore à leur disposition soient neutralisées avant qu’ils ne s’en servent encore. La première des choses à faire est de déclencher une demande publique de masse pour que le rapport de Sandia Labs soit rendu public et que soient aussi rendus publics tous les dossiers accumulés et classifiés sur l’espionnage d’Israël aux Etats-Unis, dont nos amis membres du FBI nous disent qu’ils seraient largement suffisants pour expliquer toute l’affaire.
Nous ne serons jamais en sécurité tant que nous ne ferons pas face et que nous ne nettoierons pas cette horrible partie de notre histoire. Si nous ne faisons rien, nous devenons les complices de ces assassins. Aucun d’entre nous ici, à Veterans Today, ne fera jamais cela et ce, quelqu’en soient les risques et les coûts.
Il est plus que temps d’appuyer sur le bouton “reset/redémarrage” de cette affaire du 11 Septembre.
Note de Résistance 71: Ces deux articles ci-dessus sont de la “dynamite” (sans mauvais esprit) et nous avons l’intention de les traduire. Merci de votre patience !…
Attentats du 11 septembre 2001 : Zacarias Moussaoui met en cause l’Arabie Saoudite
Article exclusif Publié le 17/11/2014 à 10:13, Mis à jour le 17/11/2014 à 10:36
11-Septembre – Narbonne (11) – Narbonne
Zacharias Moussaoui a été condamné à la prison à vie aux Etats-Unis pour terrorisme. / Photo DR
De Narbonne à sa prison de haute sécurité aux Etats-Unis, Zacarias Moussaoui, que la justice américaine considère comme le « 20e pirate de l’air » du 11 septembre 2001, a eu un bien étrange parcours. Depuis quelques jours, il refait parler de lui aux Etats-Unis où il a été condamné à la prison à vie le 4 mai 2006, sans possibilité de libération anticipée.
Le 23 octobre, il a écrit à la Cour Fédérale de New York et de l’Oklahoma pour expliquer qu’un prince saoudien avait payé ses cours de pilotage avant les attentats du World Trade Center, à lui, mais aussi aux 19 pirates de l’air qui ont précipité les avions détournés sur les cibles que l’on connait. A-t-il voulu réagir là à une déclaration des avocats de l’Arabie Saoudite qui avaient affirmé en septembre, que ce pays n’avait joué aucun rôle dans les attentats du 11 septembre 2001? Ou cherche-t-il à négocier un aménagement de peine? Affaire à suivre.
Retour sur ses années dans l’Aude et les Pyrénées-Orientales
Zacarias Moussaoui est né le 30 mai 1968 à Saint-Jean-de-Luz, mais il avait grandi à Narbonne avec ses cinq frères et soeurs et sa mère qui cherchait à échapper aux violences conjuguales infligées par le père de famille. Zacarias Moussaoui avait ensuite été surveillant au collège Victor-Hugo de Narbonne. Il avait aussi obtenu un bac pro de maintenance des systèmes mécaniques automatisés à Montpellier en 1988 puis un BTS technico-commercial au lycée François-Arago de Perpignan en 1990. Deux ans après, il avait obtenu un Deug d’administration économique et sociale à l’université Paul-Valéry à Montpellier, et enfin un master de gestion à la South Bank Université de Londres, en 1995… année de son premier voyage en Afghanistan. On connaît la suite.
REDACTION PREMIUM
Information publiée précédemment sur Accédez au site en cliquant ici
Le Français Zacarias Moussaoui, condamné à la prison à perpétuité, sans possibilité de remise de peine, pour complicité dans les attentats du 11-Septembre 2001 aux États-Unis, vient d’écrire aux tribunaux fédéraux de New York et d’Oklahoma pour leur signifier sa volonté de témoigner sur le fonctionnement interne d’Al Qaïda.
Dans ce courrier manuscrit daté du 23 octobre, celui qui est surnommé «le 20e pirate de l’air», âgé aujourd’hui de 46 ans, prétend qu’il a reçu des financements d’un prince saoudien, qui l’a aidé en 2001 pour payer des cours de pilotage. Moussaoui assure également que cette même personnalité a largement financé la majorité des 19 pirates de l’air qui ont participé aux attentats. Enfin, l’ancien étudiant de l’université de Perpignan qui avait tout quitté en 1992, affirme avoir dit cette année à un agent du Secret Service qu’Oussama Ben Laden, soutenu par de hauts dignitaires religieux saoudiens aurait eu pour projet, dans les années 1990, d’abattre le président américain Bill Clinton et sa femme Hillary.
Ces affirmations ont été suffisamment prises au sérieux pour que certains avocats fassent le déplacement à la prison fédérale Supermax, dans le Colorado, où il purge sa peine. Mais d’autres sont beaucoup plus sceptique sur la crédibilité du détenu, qui souffrirait de paranoïa et de schizophrénie. Un juge a d’ailleurs estimé que la requête de Moussaoui pour témoigner en public devait être rejetée.
Interrogé par «La Dépêche» hier, Samuel Laurent n’est guère été surpris par la possible implication de l’Arabe saoudite. «Il n’y a rien de nouveau. On sait que tous les mouvements islamistes radicaux de la planète se sont fait financer par l’Arabie saoudite, le Qatar. On sait très pertinemment que le dernier danger véritable en termes de financement qui reste, est le financement totalement incontrôlable que représentent les donateurs du golfe. Ils lâchent des dizaines de millions de dollars à Al Qaïda ou à l’État islamique. Donc les confessions de Moussaoui n’ont rien d’étonnant. L’Arabie, le Qatar, le Koweït, les Émirats livrent tellement un double jeu qu’on aura du mal à y mettre un terme dans un avenir proche.»
Le complexe pénitentiaire de Florence est planté sur les plateaux arides du Colorado. Moussaoui y est incarcéré à vie.
D.R.
Le Narbonnais Zacarias Moussaoui a été condamné, en 2006, à la prison à vie pour sa participation à la préparation des attentats du 11 septembre 2001. Il est incarcéré à Florence, surnommé l’Alcatraz des Rocheuses, dans des conditions de détention extrêmes…
« Je ne suis pas un numéro ! », criait le héros de la série télé Le prisonnier. Du fond de sa cellule, dans la prison de très haute sécurité de Florence dans le Colorado, personne ne sait si le prisonnier 51427-054, crie lui aussi…
Alcatraz des Rocheuses
Ses gardiens certainement, qui le surveillent jour et nuit par caméra interposée. Mais rien ne filtre depuis 2006, silence absolu ! C’est en mai, cette année-là, que Zacarias Moussaoui est incarcéré dans ce lieu surnommé Supermax ou encore Alcatraz des Rocheuses, à 160 km au sud de Denver.
A vie
À l’issue de quatre mois de procès, le Narbonnais venait d’échapper à la peine de mort. Après avoir plaidé coupable de six chefs d’accusation dans le cadre de l’enquête sur les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, la sentence tombait : incarcération à vie.
Isolement total
Géré par le bureau fédéral des prisons, le complexe pénitentiaire de Florence a été construit dans le milieu des années 1990, pour permettre le « contrôle individuel de chaque détenu ». Les principaux condamnés pour terrorisme au pays de l’Oncle Sam y sont emprisonnés, à l’isolement total, comme Zacarias Moussaoui. Outre Supermax, le complexe compte deux autres prisons au régime moins… sévère.
Troubles mentaux
Des conditions d’incarcération “assouplies” qui seraient tout de même à l’origine de graves troubles mentaux diagnostiqués chez des prisonniers, selon des enquêtes menées par des journalistes et des associations de défense des droits de l’Homme.
« Privation sensorielle »
Alors qu’en est-il réellement pour les “pensionnaires” de Supermax ? Comment un homme, même reconnu coupable d’avoir commis le plus horrible des crimes, peut-il survivre dans ce lieu d’enfermement ? Qualifiée de prison la plus sûre des États-Unis, Supermax repose sur le principe de « privation sensorielle » selon les autorités américaines.
Pièce de 3,5 m sur 2 m
Zacarias Moussaoui y est ainsi confiné 23 heures sur 24 dans une cellule de seulement 3,5 m sur 2 m. Celle-ci est entièrement insonorisée et son mobilier “coulé” dans le béton. Douche et WC disposent d’un minuteur pour éviter toute inondation et une caméra de vidéosurveillance permet d’observer à tout moment l’occupant des lieux.
Que le ciel
Les fenêtres, de petites tailles, sont situées en hauteur et leur inclinaison n’autorise le prisonnier qu’à observer le ciel. Une heure par jour, le matricule 51427-054 est autorisé à sortir de sa cellule pour… en rejoindre une autre, appelée salle d’exercice. À aucun moment il ne peut croiser un autre prisonnier.
Lettres sans réponse
Quel est donc le quotidien de Zacarias Moussaoui, aujourd’hui âgé de 45 ans, dans un tel univers carcéral ? Sa santé mentale est-elle altérée ? Seuls ses geôliers détiennent le secret. Pour sa mère, à Narbonne, cela demeure une terrible inconnue. Dans les premiers temps de l’incarcération de son fils, elle lui a expédié plusieurs lettres restées sans réponse. En 2011, elle s’est donc décidée à écrire au directeur de Supermax pour s’en inquiéter. Réponse de l’administration pénitentiaire américaine : si aucune lettre n’est renvoyée à l’expéditeur, c’est qu’elles sont bien parvenues à leur destinataire…
Emmuré dans sa prison du Colorado, Zacarias Moussaoui n’est plus qu’un matricule, un souvenir, un homme mis entre… parenthèses.
Plusieurs places et rues du centre de Lunel ont été bouclées ce mardi matin.
CAROLINE FROELIG
La porte d’entrée du rez-de-chaussée a été détruite par le GIPN.
PIERRE SALIBA
L’appartement de l’interpellé est situé au-dessus de l’ancienne école et de la mairie de Caussiniojouls.
PIERRE SALIBA
A Caussiniojouls (Hérault), non loin de Faugères, un homme a été interpellé à 6 h 30 ce mardi matin par le GIPN dans un appartement situé au-dessus de l’ancienne école.
PIERRE SALIBA
Plusieurs places et rues du centre de Lunel ont été bouclées ce mardi matin.
CAROLINE FROELIG
La porte d’entrée du rez-de-chaussée a été détruite par le GIPN.
PIERRE SALIBA
I NFO MIDI LIBRE – Des policiers d’élite ont mené une opération anti-jihad dans le centre ville de Lunel. Cinq personnes, impliquées dans des filières de recrutement, ont été interpellées à Lunel, Aimargues (Gard) et Caussiniojouls dans l’Hérault. Elles ont été placées en garde à vue.
Le Raid et le GIPN ont déclenché une opération anti-jihad à Lunel à 6 h 30 ce mardi matin ainsi que dans plusieurs autres communes du Gard et de l’Hérault. Plusieurs quartiers du centre ville de Lunel ont été bouclés. Cinq personnes, impliquées dans des filières de recrutement et proches de Lunellois morts en Syrie, ont été interpellées. Ils ont notamment été repérés par des mandats envoyés en Syrie. Ils ont été placés en garde à vue. Des perquisitions ont été effectuées à leur domicile. Ce coup de filet était prévu depuis début janvier mais il avait été reporté à cause des attentats à Paris.
Interpellations à Lunel
Une Lunelloise a été blessée lors de la perquisition d’une habitation. Elle était derrière la porte lorsque les policiers l’ont forcée. Elle a été évacuée vers les urgences. Plusieurs habitations ont été fouillées place Rey, place Fruiterie, rue Marc-Antoine Ménard et rue Sadi-Carnot. Un déploiement de policiers particulièrement impressionnant pour les riverains cloîtrés chez eux. L’un des suspects a été interpellé à son domicile boulevard Saint-Fructueux à Lunel. Il a été conduit à sa voiture pour effectuer une perquisition. Il s’agit du frère de Karim, décédé en Syrie en décembre dernier.
Le maire de Lunel, Claude Arnaud, a déclaré sur France Info : « »Ce matin, sans avoir prévenu, des brigades spécialisées ont investi certaines rues de Lunel… La ville était sous surveillance, l’opération d’aujourd’hui était donc à sens assez logique (…) Quand ils viennent, il savent qui ils viennent chercher (…). L’opération me paraît logique : derrière ces départs, il faut savoir qui il y a. Est-ce qu’il y a quelque chose d’organisé ? Combien sont-ils ? (…) Avec l’opération de ce matin, c’est un début de réponse qui arrive ». Six jeunes Lunellois, âgés de 18 à 30 ans, sont morts ces derniers mois après être partis faire le jihad en Syrie et en Irak. Cette ville de 27 000 habitants est sous étroite surveillance.
A Aimargues et Caussiniojouls
Deux personnes ont été également interpellées à Aimargues dans le Gard et à Caussiniojouls dans l’Hérault. Selon nos informations recueillies à Caussiniojouls, non loin de Faugères, un homme a été interpellé à 6 h 30 ce mardi matin par le GIPN dans un appartement situé au-dessus de la mairie et de l’ancienne école. Une femme et son fils y vivent depuis une dizaine d’années. Un homme les a rejoints il y a quinze jours. Des riverains avaient identifié une voiture montant la garde depuis peu. Le profil de l’homme interpellé n’a pas été précisé.
Cinq personnes, proches de jeunes gens partis faire le djihad en Syrie, sont en garde à vue après l’opération anti-djihadiste menée mardi matin à Lunel, dans l’Hérault, a-t-on appris de source proche du dossier. Deux des cinq gardés à vue sont eux-mêmes soupçonnés d’être partis en Syrie, les trois autres sont soupçonnés d’être des candidats au djihad, selon une source proche du dossier. D’après nos informations, il s’agit de Hamza M, un étudiant d’origine tunisienne dont le frère Houssamedine et son épouse Maeva ont rejoint la Syrie en février 2014. Ils seraient dans les rangs de l’État islamique à Raqqa.
Jaouad S. a lui aussi été interpellé, il est soupçonné de financer la filière de Lunel. Depuis plus d’un an, il envoie de l’argent par Western Union à ses compatriotes sur la route du djihad. Il faisait notamment parvenir de l’argent à Abdellilah H., un ancien militaire français qui se présente comme ex-membre des commandos et spécialisé en armes à feu. Il avait déclaré être un sniper pour Daech à son entourage basé dans l’Hérault.
Par ailleurs, la filière se finançait grâce à des prêts à la consommation. Chacun des participants parvenait à obtenir jusqu’à 10 000 euros des établissements de crédit type Cofidis ou Cetelem.
« Une filière particulièrement dangereuse » ?
Tous sont connus pour fréquenter une mosquée d’obédience Tabligh, un mouvement piétiste non politique, qui réislamise souvent des individus de culture musulmane détachés de la pratique de la religion. Depuis deux ans, les personnes interpellées revendiquaient publiquement leur soutien à la rébellion djihadiste anti-Bachar el-Assad. Parmi les cinq, deux ont perdu un ou des frères dans les combats. À Lunel, commune de 26 000 habitants, une vingtaine de jeunes entre 18 et 30 ans sont partis pour la Syrie depuis octobre et six ont trouvé la mort, selon les autorités françaises.
Les policiers du Raid sont intervenus peu après 6 heures, rue Frédéric Mistral, non loin de l’église de Lunel, qui avait été totalement bouclé. L’opération s’est prolongée pendant la matinée et aurait également visé de petites communes voisines, situées dans le Gard, a indiqué encore une source proche du dossier. Selon l’AFP, elle a notamment touché Caussiniojouls, au nord de Béziers, voire Aimargues (Gard). Elle s’est déroulée dans le cadre d’une information judiciaire dont sont saisis des magistrats antiterroristes à Paris. « Si l’implication des personnes soupçonnées est confirmée par l’autorité judiciaire, ce sera donc une filière particulièrement dangereuse et organisée qui aura été démantelée ce matin, une de plus », a ensuite réagi le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
« Une intervention musclée »
« Quand ils viennent, ils savent qui ils viennent chercher. (…) L’opération me paraît logique. Derrière ces départs, il faut savoir qui il y a. Est-ce qu’il y a quelque chose d’organisé ? Avec l’opération de ce matin, c’est un début de réponse qui arrive », a commenté de son côté le maire (DVD) de Lunel, Claude Arnaud, sur France Info. Selon un habitant de l’un des immeubles investis, « plusieurs voitures banalisées sont arrivées. Des hommes en sont sortis encagoulés et ont défoncé les portes des appartements de l’immeuble ». Choqué, le témoin raconte : « On m’a mis un fusil sur la tempe (…) et finalement ils ont interpellé le voisin du dessus, Saïd », a-t-il ajouté, précisant « ne pas connaître son voisin plus que ça ». « Saïd, c’est quelqu’un de bien. Il travaille. À ma connaissance, il n’avait pas de problème avec la justice. Il tenait un bar à chicha à Lunel », a déclaré un autre voisin.
Selon un troisième témoin, Tarek, dont le frère a été interpellé, les hommes « en tenue » avaient « une masse d’armes ». « Ils m’ont plaqué, m’ont mis par terre, m’ont tapé dessus. Ils ont embarqué mon frère », a-t-il dit. À Caussiojouls, les policiers du Raid ont débarqué à 6 h 30 dans un appartement au-dessus de la mairie et ont interpellé un homme qui s’y trouvait depuis une quinzaine de jours.
À Lunel, des riverains restent médusés. Comme ce couple qui tient une boucherie, juste en face des deux immeubles visités. « Des flics sont arrivés, ils ont défoncé des portes », témoigne Christiane. « Ils sont arrivés comme à Paris, quand il y a eu les attentats, ils étaient une vingtaine, cagoulés et avec des armes… On se serait cru dans un film. On se doutait bien que ce n’était pas pour un petit trafic. » Sur cette place au coeur de la ville, l’opération a duré de 6 heures à 9 h 30, avec au moins une interpellation dans chaque résidence. Les policiers ont pénétré dans chaque appartement à la recherche « d’une personne bien précise », « ils ont demandé comment je m’appelais, je le leur ai dit. Ils ne m’ont pas cru. Alors, j’ai sorti ma pièce d’identité. Ils ont appelé leur chef pour vérifier et ils m’ont laissé tranquille », a raconté un habitant.
Changement de discours à la mosquée
Dans cette petite ville, classée en zone de sécurité prioritaire avec un taux de chômage qui atteint les 20 %, les départs de jeunes vers la Syrie interpellent depuis plusieurs mois les autorités, mais elles ne trouvent pas de réponses appropriées. Certains djihadistes fréquentaient la mosquée Al-Baraka, que le préfet de l’Hérault, début janvier, a jugée « préoccupante en raison d’un risque d’emprise fondamentaliste ».
Après l’annonce de la mort de certains en Syrie, l’ex-président de l’Union des musulmans de Lunel, Lahoucine Goumri, avait refusé de condamner leurs départs avant de revenir sur ses propos. Son successeur, Rachid Belhaj, a voulu calmer le jeu. Après les attentats parisiens, la mosquée de la ville est revenue dans le giron de l’ensemble des mosquées du département et a participé au message unique de paix envoyé à la communauté musulmane, lors de l’office du vendredi, par une vingtaine d’imams héraultais.
Après la diffusion ce week-end de la vidéo de la décapitation de l’otage américain Peter Kassing, le nombre de français partant faire le jihad en Syrie est en hausse régulière. A l’heure où Michael Dos Santos, le second français identifié parmi les bourreaux de l’otage américain fait la une des médias, VM TV revient sur ces événements terroristes qui inquiètent les français et notamment les Val-de-Marnais d’où le djihadiste Michael Dos Santos est originaire.
Des méthodes d’endoctrinement incontrôlables
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, la France doit faire face comme d’autres pays aux menaces terroristes en relation avec la présence militaire occidentale par les groupes terroristes dont le plus connu est Al Qu’Aïda.
Les actions de propagandes de l’EI s’effectuent de plus en plus via les réseaux sociaux, les militants au djihad se servant de ces plateformes pour diffuser des photos, vidéos, des appels à la conversion, une pratique que l’on peut appeler de « djihad médiatique ». Ils se servent d’internet pour donner un aspect attrayant à la radicalisation. C’est de cette manière que les djihadistes procèdent au recrutement en Irak ou en Syrie. Le gouvernement veut alors se pencher sur cet aspect d’endoctrinement viral. Cependant il est toutefois difficile de garantir l’équilibre entre la liberté d’expression et la propagande terroriste.
Plusieurs arrestations dans le Val-de-Marne
La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) est chargée de prévenir et réprimer toutes actions susceptibles de constituer une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation. Elle a mené plusieurs actions de lutte contre le terrorisme comme ce 12 novembre 2013 où quatre hommes ont été interpellés dans le Val de Marne dans le cadre du démantèlement d’une filière djihadiste vers la Syrie. Le leader présumé du réseau, âgé de 24 ans, a été arrêté par la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Les 3 autres hommes dont 2 ayant combattu en Syrie dans les rangs de la brigade Islamique du front Al-Nosra ont été interpellés à Cachan et Thiais.
La prison de Fresnes, haut lieu de propagande
Les djihadistes interpellés sont jugés puis emprisonnés, un lourd problème est alors soulevé « la radicalisation du mouvement Islamique dans les cellules». Depuis le 28 novembre 2013, la prison de Fresnes constate le développement d’une propagande du mouvement Islamique derrière ses barreaux. Des prisonniers subissent des pressions, intimidations et menaces de la part de leurs codétenus dans le but de les obliger à se convertir à l’islamisme radical.
« Si tu ne te convertis pas à l’Islam, tu es un homme mort »
Certains prisonniers sont convertis de force, obligés de lire les ouvrages religieux islamiques. La prison de Fresnes devient une pépinière où les djihadistes y sont incarcérés et continuent à propager leur mouvement.
Des élus du Val-de-Marne mobilisés
Le 17 mai 2013, Christophe Cambon, Sénateur du Val-De-Marne, propose au Sénat qu’une conférence des ministres européens devrait-être organisée sur le thème de la lutte contre le terrorisme. Un an plus tard, le 10 juillet 2014, le premier ministre M.Valls présente au conseil des ministres un projet de loi » renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme. »
Interviewé par Public Sénat, Christian Cambon déclare que ce projet de loi est nécessaire :
» il est inhabituel dans un pays démocratique de procéder à des interdictions de sorties de territoire, mais si c’est pour éviter à des jeunes victimes d’un endoctrinement incontrôlable de partir dans une aventure et parfois de ne pas en revenir, il faut aider le gouvernement à combattre ces nouvelles formes de terrorisme «
Avec l’intervention française au Mali, la France est particulièrement exposée aux risques terroristes, c’est pourquoi, le 25 septembre 2014 Christian Cambon s’est prononcé en faveur d’une coopération européenne contre le terrorisme. Le sénateur affirme :
« dans une telle situation la coopération entre les pays européens est primordiale ».
Des jeunes Val-de-Marnais potentiellement dangereux
Malgré les appels à la vigilance de l’Etat français contre ces jeunes qui se radicalisent, le mouvement continue à prendre de l’ampleur. Alors qu’on apprenait hier que l’un des bourreaux de l’otage américain Peter Kassing est originaire de Champigny, un autre jeune Val-de-Marnais, Salim Benghalem, 34 ans, aurait rejoint les terroristes de l’Etat Islamique. Il est signalé depuis le 1 octobre 2014 par les autorités américaines dans la liste des djihadistes recherchés.
Le 3 novembre 2014 plusieurs attentats ont été déjoués en Ile de France suite à l’arrestation du terroriste nommé Mohammed O, un jeune français de Créteil qui a séjourné en Syrie dans les rangs de l’Etat Islamique dans un camp d’entrainement au combat. Agé de 20 ans il s’informait des cibles potentielles en France en vue d’une action kamikaze. Il utilise internet comme la plupart des jeunes djihadiste pour diffuser ses idées et évoquer avec envie les « méthodes Merah et Nemmouche »
Champigny-sur-Marne sous le choc
A l’heure où Michael Dos Santos suscite l’intérêt général suite aux vidéos diffusées sur le net, les Campinois se disent« choqués ». Abou Othman, alias Michael Dos Santos, est bien entendu un cas isolé. Pour autant, un tel engouement médiatique autour de ce phénomène propage un sentiment de peur et d’inquiétude.
» Je suis choquée à double titre car étant Campinoise mais également d’origine portugaise, cette histoire me touche particulièrement. Néanmoins, il ne faut surtout pas généraliser mais plutôt repenser l’accompagnement et le soutient aux jeunes en ruptures avec notre société. Dans le département comme sur la ville de Champigny, nous devons apporter enfin des solutions à nos jeunes. »
déclare Isilda Silva de Amorim, Conseillère Municipale d’opposition (UMP) à Champigny-sur-Marne
Le Val-de-Marne, un terreau du djihadisme ?
Le département du Val-de-Marne n’est certainement pas le berceau de l’endoctrinement au djihadisme. Toute la France est concernée au même titre que l’ensemble des pays occidentaux ainsi que les autres pays. Dans cette affaire du jeune Michael Dos Santos d’origine portugaise, alors que la communauté portugaise est considérée comme parfaitement intégrée en France et sans « histoire », on ne peut que faire le constat suivant : aucune communauté, aucune famille n’est à l’abris d’un tel drame.
C’est donc un message de vigilence qui doit être adressé face à ces personnes endoctrinées et manipulées qui présentent souvent le même profil.
Comment des personnes décrites de manière discrètes, sociables et serviables peuvent commettre de tels actes de barbarie ? Jusqu’où les filières djihadistes corrompent-elles l’esprit des jeunes ? Autant de questions que tous, quelque soit notre origine, notre lieu de vie, notre conviction religieuse et politique, devrons se poser très rapidement.
Ce blog a été créé le 6 janvier 2015 pour prendre le relais du Petitcoucou venant d'être suspendu sans préavis ni avertissement en milieu de journée. Ayant eu cette fonction jusqu'au 1er février 2015, il devient un doublon du Petitcoucou suite à la réouverture de ce dernier après trois semaines de suspension, et sa reprise d'activité à compter du 2 février 2015.
Les statistiques de ce blog sont bloquées depuis le 21 janvier 2015. Plus aucun compteur n'est incrémenté, ceux des visites du jour restent à zéro, les mises à jour ne se font plus.
Avis du 24 janvier 2015
Mes statistiques "avancées" sont de retour et font apparaître un record de visites le 21 janvier 2015 - record très modeste, mais néanmoins record pour ce blog nouveau-né.
En revanche, les statistiques "basiques" sont toujours bloquées.
Tout cela m'évoque bien évidemment les petites manies de Cyprien Luraghi qui n'a jamais pu supporter de voir s'envoler le nombre de mes lecteurs, qu'il surveille comme le lait sur le feu depuis la création de mon premier blog, sur Le Post, début septembre 2009.
Avis du 26 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout se passe normalement. Le Chinois de Thaïlande est inactif sur ce blog.
Avis du 31 janvier 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 29 janvier.
Avis du 1er février 2015
Retour de mes statistiques "basiques".
Avis du 3 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er février.
Avis du 6 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour. Tout fonctionne.
Avis du 11 février 2015
Mes statistiques "basiques" sont de nouveau bloquées depuis le 8 février.
Avis du 26 février 2015
Statistiques "basiques" enfin débloquées !
Avis du 27 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt...
Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
Avis du 4 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 1er mars. Merci de les débloquer et ne plus les bloquer ou les oublier en cet état à l'avenir.
Avis du 7 mars 2015
Statistiques "basiques" bien débloquées. Merci.
Avis du 25 mars 2015
Statistiques "basiques" bloquées depuis le 14 mars.
Avis du 2 avril 2015
Mes statistiques "basiques" sont de retour.
Avis du 26 avril 2015
Les statistiques "basiques" de ce blog sont encore bloquées, depuis le 10 avril 2015.
Avis du 28 avril 2015
Statistiques de retour. Merci.
Avis du 7 mai 2015
Je n'ai de nouveau plus de statistiques "basiques" depuis le 2 mai. Comme pour Petitcoucou, les statistiques "avancées" ont également disparu depuis deux jours.
Avis du 10 mai 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Merci. Me manquent encore les statistiques "avancées".
Avis du 14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
Avis du 3 octobre 2015
Les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro depuis le 1er octobre. Merci de me les rendre.
Commentaires récents